- ChlidéNiveau 9
nauje a écrit:Chlidé a écrit: que cela fait plaisir de te voir ici , voilà donc où j'en suis! 09/20 pas si mal pour n'avoir pas bossé Rousseau.
Un pause s'impose pour moi, je n'ai plus d'énergie.
je vais avancer tout doucement ...
Je suis toujours un peu de loin ce fil. Cela fait écho à une période si forte, inoubliable. Cette année, j’ai coaché un collègue qui l’a passée pour la première fois et qui est admissible. Donc, je ne suis pas bien loin de l’agrégation! On m’a proposé d’animer des séances de formation sur de la didactique mais je ne le sens pas trop. J’ai posé l’éventualité d’intervenir sur de la dissertation littéraire mais pas le droit, le PAF marcherait sur les plate-bandes de l’université. Dommage!
Il faut parfois mieux souffler pour reprendre. Tu sais, j’étais déjà bi-ad de l’externe, loupée la 2nde fois à rien. Une barrière psychologique certainement. J’ai attendu 13 ans avant de m’y remettre vraiment. Et puis la prepa agreg demande une certaine une disponibilité que la vie professionnelle et familiale n’accorde pas si facilement. Et oui, pour finir, se débarrasser des cours, fiches, colloques, classeurs surabondants de commentaire en tous genres sur l’œuvre pour se concentrer sur celle-ci, c’est ce qui avait finalement payé pour moi. Une très bonne connaissance de l’œuvre, l’une ou lnautre très bonne introduction (pas nécessairement celle de l’édition au programme), quelques articles, et cela avait suffi.
- BmoolNiveau 2
Bonjour à tou.te.s,
J'espère que vous tenez le coup et que vous n'avez pas atteint le stade de saturation - qui me guette depuis un bon mois déjà
Je me suis pas mal entraînée sur les différentes épreuves (même s'il y a encore du boulot), mais pas du tout sur l'étude littéraire, que je redoute énormément. J'ai vu que le sujet avait déjà été abordé sur d'autres fils, j'ai consulté beaucoup de rapports de jury, mais j'ai encore beaucoup de mal à cerner les enjeux et la méthodologie de l'épreuve, notamment la gestion du temps de préparation... des conseils ? des exemples ?
Merci à vous, et bon courage pour la suite !
PS : @Punky Encore merci pour le sujet sur Du Bellay, très intéressant et transversal. Il m'a bien plu.
J'espère que vous tenez le coup et que vous n'avez pas atteint le stade de saturation - qui me guette depuis un bon mois déjà
Je me suis pas mal entraînée sur les différentes épreuves (même s'il y a encore du boulot), mais pas du tout sur l'étude littéraire, que je redoute énormément. J'ai vu que le sujet avait déjà été abordé sur d'autres fils, j'ai consulté beaucoup de rapports de jury, mais j'ai encore beaucoup de mal à cerner les enjeux et la méthodologie de l'épreuve, notamment la gestion du temps de préparation... des conseils ? des exemples ?
Merci à vous, et bon courage pour la suite !
PS : @Punky Encore merci pour le sujet sur Du Bellay, très intéressant et transversal. Il m'a bien plu.
- SoNiveau 2
Bonjour,
je suis en état de saturation en grammaire ! Plus je rends de devoirs plus mes notes baissent. Je crois que plus je bosse la grammaire, moins je comprends. Je vais faire une pause là sur la grammaire parce que cela ne flatte pas vraiment mon ego. Pour l'étude littéraire, c'est à mon avis une sorte de leçon mais qui ne se concentre que sur un certain passage. Cela se rapproche donc aussi de la composition. Il faut trouver une problématique sur ce passage, trouver trois axes pour répondre à cette problématique. Cette problématique devrait à mon avis des points moins évidents de l'oeuvre, une interprétation "personnelle" ou du moins qui n'emprunte pas forcément les sentiers battus. Je pense qu'il faut passer une partie de la préparation à relire rapidement, plus ou moins en diagonal, le passage pour en cerner le mouvement et les axes principaux mais aussi des détails pour des analyses plus stylistiques et spécifiques...
Pour Du Bellay en leçon on peut imaginer de nombreuses choses : l'exil, la satire, la louange, Paris et Rome, Ulysse, Ronsard, les sources intertextuelles, le sonnet, des citations extraites des premiers sonnets qui évoquent le projet de Du Bellay etc.
Bon courage !
je suis en état de saturation en grammaire ! Plus je rends de devoirs plus mes notes baissent. Je crois que plus je bosse la grammaire, moins je comprends. Je vais faire une pause là sur la grammaire parce que cela ne flatte pas vraiment mon ego. Pour l'étude littéraire, c'est à mon avis une sorte de leçon mais qui ne se concentre que sur un certain passage. Cela se rapproche donc aussi de la composition. Il faut trouver une problématique sur ce passage, trouver trois axes pour répondre à cette problématique. Cette problématique devrait à mon avis des points moins évidents de l'oeuvre, une interprétation "personnelle" ou du moins qui n'emprunte pas forcément les sentiers battus. Je pense qu'il faut passer une partie de la préparation à relire rapidement, plus ou moins en diagonal, le passage pour en cerner le mouvement et les axes principaux mais aussi des détails pour des analyses plus stylistiques et spécifiques...
Pour Du Bellay en leçon on peut imaginer de nombreuses choses : l'exil, la satire, la louange, Paris et Rome, Ulysse, Ronsard, les sources intertextuelles, le sonnet, des citations extraites des premiers sonnets qui évoquent le projet de Du Bellay etc.
Bon courage !
- SélénéNiveau 5
So a écrit:Bonjour,
je suis en état de saturation en grammaire ! Plus je rends de devoirs plus mes notes baissent. Je crois que plus je bosse la grammaire, moins je comprends. Je vais faire une pause là sur la grammaire parce que cela ne flatte pas vraiment mon ego. Pour l'étude littéraire, c'est à mon avis une sorte de leçon mais qui ne se concentre que sur un certain passage. Cela se rapproche donc aussi de la composition. Il faut trouver une problématique sur ce passage, trouver trois axes pour répondre à cette problématique. Cette problématique devrait à mon avis des points moins évidents de l'oeuvre, une interprétation "personnelle" ou du moins qui n'emprunte pas forcément les sentiers battus. Je pense qu'il faut passer une partie de la préparation à relire rapidement, plus ou moins en diagonal, le passage pour en cerner le mouvement et les axes principaux mais aussi des détails pour des analyses plus stylistiques et spécifiques...
Pour Du Bellay en leçon on peut imaginer de nombreuses choses : l'exil, la satire, la louange, Paris et Rome, Ulysse, Ronsard, les sources intertextuelles, le sonnet, des citations extraites des premiers sonnets qui évoquent le projet de Du Bellay etc.
Bon courage !
Bonjour!
Pour moi aussi, c'est la cata en grammaire. Je n'arrive pas à progresser sachant que j'ai raté l'admission à cause de ça il y a quelques années. Donc, je panique...
Quant à l'étude littéraire, c'est en effet une sorte de leçon construite à partir d'un long passage de l'oeuvre (la lettre 18, III chez Rousseau par exemple). La troisième partie doit être très interprétative et personnelle.
Bon courage à tous!
_________________
"Pour soulever un poids si lourd,
Sisyphe, il faudrait ton courage!
Bien qu'on ait du coeur à l'ouvrage,
L'Art est long et le Temps est court"
- Catulle-MentuleNiveau 1
Moi aussi je n'y comprends pas grand chose. Je suis en LC donc ça serait pas rédhibitoire de me rétamer sur la question de grammaire. Un ami reçu à l'externe LM m'a dit que ça consistait uniquement à bachoter des dizaines de fiches pour intégrer des plans plus ou moins pré-faits et les appliquer sur l'extrait.
En ce qui concerne l'étude littéraire; rien de nouveau dans ce que je vais dire mais si j'ai bien compris, il y a deux écueils majeurs : le principal étant de faire ressortir les lignes de force, il faut éviter de tomber dans l'analyse littéraire précise. L'autre c'est justement de rester trop théorique, au point de faire oublier qu'en fait, il y a un texte!
Bon clairement j'enfonce des portes ouvertes
Sinon, j'ai eu l'occasion d'écouter cette année 2 E.L vraiment très brillantes, et les reproches des profs portaient sur cet "excès de virtuosité" . Apparemment, on attend quoiqu'il arrive une grande simplicité dans la première partie; dans une E.L qui sera un conte par exemple, rappeler toutes les composantes du contes, ce qui semble rébarbatif en cours, est un passage obligé devant le jury.
Comme pour la dissert', il s'agirait d'un "truc" à "chopper"
Ma maigre expérience des concours me montre aussi que la multiplication déraisonnée des exercices est plus néfaste que l'inverse. J'ai vu des gens se tuer à la tâche et se crasher de plus belle à force d'empiler trop d'informations dans leur tête...
Donc bon travail, et bon repos
En ce qui concerne l'étude littéraire; rien de nouveau dans ce que je vais dire mais si j'ai bien compris, il y a deux écueils majeurs : le principal étant de faire ressortir les lignes de force, il faut éviter de tomber dans l'analyse littéraire précise. L'autre c'est justement de rester trop théorique, au point de faire oublier qu'en fait, il y a un texte!
Bon clairement j'enfonce des portes ouvertes
Sinon, j'ai eu l'occasion d'écouter cette année 2 E.L vraiment très brillantes, et les reproches des profs portaient sur cet "excès de virtuosité" . Apparemment, on attend quoiqu'il arrive une grande simplicité dans la première partie; dans une E.L qui sera un conte par exemple, rappeler toutes les composantes du contes, ce qui semble rébarbatif en cours, est un passage obligé devant le jury.
Comme pour la dissert', il s'agirait d'un "truc" à "chopper"
Ma maigre expérience des concours me montre aussi que la multiplication déraisonnée des exercices est plus néfaste que l'inverse. J'ai vu des gens se tuer à la tâche et se crasher de plus belle à force d'empiler trop d'informations dans leur tête...
Donc bon travail, et bon repos
- BmoolNiveau 2
Merci à vous !... je crois que je vais tout de même croiser les doigts pour ne pas tomber sur une EL^^'
Quant à la grammaire, arrrrghh - voilà où j'en suis de mon côté.
Bon courage !
Quant à la grammaire, arrrrghh - voilà où j'en suis de mon côté.
Bon courage !
- ElodieNiveau 5
Bonjour à tous,
Je suis aussi assez dépitée par la grammaire mais j'ai aussi un souci méthodique. Faut-il une problématique ? Y a-t-il un plan attendu ? J'ai peur de l'effet catalogue et je ne vois pas bien comment problématiser l'étude d'un point de grammaire.
Élodie
Je suis aussi assez dépitée par la grammaire mais j'ai aussi un souci méthodique. Faut-il une problématique ? Y a-t-il un plan attendu ? J'ai peur de l'effet catalogue et je ne vois pas bien comment problématiser l'étude d'un point de grammaire.
Élodie
- IridianeFidèle du forum
Bonjour !
Pour la grammaire à l’oral, il n’y a pas besoin d’une problématique à proprement parler, en revanche il faut un plan car il est nécessaire comme à l’écrit de classer les occurrences. En gros, il convient d’abord de définir la notion avec précision (en la distinguant bien d’éventuelles notions proches) et en cernant tous ses aspects. Par exemple, si vous devez traiter les adjectifs, pensez à mentionner les différentes fonctions possibles même si elles ne sont pas toutes présentes dans le texte, en le précisant. Ensuite, vous annoncez votre démarche, c’est à dire votre plan, en explicitant bien le critère discriminant que vous avez choisi (syntaxique, sémantique…). Et puis vous développez votre plan en énumérant dans chaque partie les occurrences correspondantes et en pensant bien à faire les commentaires nécessaires sur les occurrences qui appellent des précisions. Pensez aux éventuels cas limites : soit vous leur réservez un traitement dans une partie à part, soit vous les intégrez au plan mais en justifiant toujours pourquoi vous avez choisi de les classer dans telle ou telle partie.
Pour la grammaire à l’oral, il n’y a pas besoin d’une problématique à proprement parler, en revanche il faut un plan car il est nécessaire comme à l’écrit de classer les occurrences. En gros, il convient d’abord de définir la notion avec précision (en la distinguant bien d’éventuelles notions proches) et en cernant tous ses aspects. Par exemple, si vous devez traiter les adjectifs, pensez à mentionner les différentes fonctions possibles même si elles ne sont pas toutes présentes dans le texte, en le précisant. Ensuite, vous annoncez votre démarche, c’est à dire votre plan, en explicitant bien le critère discriminant que vous avez choisi (syntaxique, sémantique…). Et puis vous développez votre plan en énumérant dans chaque partie les occurrences correspondantes et en pensant bien à faire les commentaires nécessaires sur les occurrences qui appellent des précisions. Pensez aux éventuels cas limites : soit vous leur réservez un traitement dans une partie à part, soit vous les intégrez au plan mais en justifiant toujours pourquoi vous avez choisi de les classer dans telle ou telle partie.
- agatheNiveau 5
Je sais combien la grammaire peut être source de stress et si je peux vous donner un conseil c'est de ne pas/plus, à ce stade de l'année trop vous prendre la tête à part vous assurer que vous voyez ce qui est attendu méthodologiquement : un classement pertinent et justifié des occurrences du texte avec apports "scientifiques" sur la question traitée.
Séléné, je ne comprends que trop ce que tu dis, car moi aussi en 2017 je me disais que j'avais raté l'admission à cause de la grammaire ( il me manquait deux points sur le total). Mais en fait cette admissibilité était une surprise, j'étais enceinte, j'avais eu plein de choses à rattraper en un mois ( le programme de comparée jamais ouvert avant....) et donc aucun temps pour réviser la grammaire ; plus une question de grammaire "tordue", j'ai eu l'impression que le jury m'avait "saquée" là dessus. En fait avec le recul je me dis que je n'étais pas prête tout simplement.
Si l'on est vraiment au point sur les oeuvres et les attendus des épreuves, la grammaire peut faire changer l'odre d'admission, mais c'est tout. C'est un petit coeff au regard de tout le reste. L'an dernier, dans des circonstances différentes et beaucoup plus favorables, même en étant toujours nulle en grammaire, c'est passé parce que j'ai eu de très bonnes notes ailleurs (y compris d'ailleurs en ET malgré une grammaire assez ratée à mon sens même si je m'étais plus ou moins rattrapée grâce aux questions du jury)
Je comprends vraiment l'angoisse de la grammaire qui était aussi la mienne, mais dites vous que vous ferez ce que vous pouvez. C'est important d'avoir des connaissances, des idées de classements possibles et de plans sur les notions etc... mais surtout du bon sens et du sang froid devant le texte le jour J.
Et surtout, relisez vos oeuvres, vos cours, vos fiches, essayez de vous entrainer aux épreuves si vous en avez le temps.
Courage , la période est difficile mais vous allez y arriver !
Séléné, je ne comprends que trop ce que tu dis, car moi aussi en 2017 je me disais que j'avais raté l'admission à cause de la grammaire ( il me manquait deux points sur le total). Mais en fait cette admissibilité était une surprise, j'étais enceinte, j'avais eu plein de choses à rattraper en un mois ( le programme de comparée jamais ouvert avant....) et donc aucun temps pour réviser la grammaire ; plus une question de grammaire "tordue", j'ai eu l'impression que le jury m'avait "saquée" là dessus. En fait avec le recul je me dis que je n'étais pas prête tout simplement.
Si l'on est vraiment au point sur les oeuvres et les attendus des épreuves, la grammaire peut faire changer l'odre d'admission, mais c'est tout. C'est un petit coeff au regard de tout le reste. L'an dernier, dans des circonstances différentes et beaucoup plus favorables, même en étant toujours nulle en grammaire, c'est passé parce que j'ai eu de très bonnes notes ailleurs (y compris d'ailleurs en ET malgré une grammaire assez ratée à mon sens même si je m'étais plus ou moins rattrapée grâce aux questions du jury)
Je comprends vraiment l'angoisse de la grammaire qui était aussi la mienne, mais dites vous que vous ferez ce que vous pouvez. C'est important d'avoir des connaissances, des idées de classements possibles et de plans sur les notions etc... mais surtout du bon sens et du sang froid devant le texte le jour J.
Et surtout, relisez vos oeuvres, vos cours, vos fiches, essayez de vous entrainer aux épreuves si vous en avez le temps.
Courage , la période est difficile mais vous allez y arriver !
- gildasNiveau 3
Bonjour à toutes et tous,
Je suis comme tous les admissibles plongé dans les préparations aux épreuves.
Je reviens sur la question de grammaire et la nécessité ou pas de la problématique : j'ai pu lire ici et là qu'il fallait au contraire éviter le plan catalogue préparé d'avance...
Dans un ouvrage vraiment pertinent (Réussir l'agrégation interne de LM et LC) voici un exemple de problématique qui visiblement a donné lieu à une bonne prestation ( 17.5/20 pour le tout ET +Grammaire) sur les formes composées du verbe :"Comme nous venons de le voir, une grande majorité de ces formes composées contient dans sa dénomination le mot "passé". Mais devons-nous en déduire que les formes composées sont des temps du passé, des temps qui expriment un procès ayant lieu avant le présent de l'énonciation ?"
Je dois avouer que ce genre de problématisation me semble vraiment pertinent et donne le sentiment certes d'avoir à tenir compte de tout un savoir universitaire, mais d'éviter de calquer un plan tout fait. Ne pas recracher un cours, n'est-ce pas ce que les jurys revendiquent pour toutes les épreuves ?
Bon courage à tout le monde...
Je suis comme tous les admissibles plongé dans les préparations aux épreuves.
Je reviens sur la question de grammaire et la nécessité ou pas de la problématique : j'ai pu lire ici et là qu'il fallait au contraire éviter le plan catalogue préparé d'avance...
Dans un ouvrage vraiment pertinent (Réussir l'agrégation interne de LM et LC) voici un exemple de problématique qui visiblement a donné lieu à une bonne prestation ( 17.5/20 pour le tout ET +Grammaire) sur les formes composées du verbe :"Comme nous venons de le voir, une grande majorité de ces formes composées contient dans sa dénomination le mot "passé". Mais devons-nous en déduire que les formes composées sont des temps du passé, des temps qui expriment un procès ayant lieu avant le présent de l'énonciation ?"
Je dois avouer que ce genre de problématisation me semble vraiment pertinent et donne le sentiment certes d'avoir à tenir compte de tout un savoir universitaire, mais d'éviter de calquer un plan tout fait. Ne pas recracher un cours, n'est-ce pas ce que les jurys revendiquent pour toutes les épreuves ?
Bon courage à tout le monde...
- IridianeFidèle du forum
Mais en fait la notion de « problématique » me semble en tant que telle très scolaire… évidemment il ne faut pas calquer un plan tout fait, mais de toute façon une question de grammaire est toujours posée en fonction des occurrences présentes dans le texte et il est très rare qu’il soit possible de plaquer un plan préparé à l’avance (ou alors c’est plutôt mauvais signe). En revanche le fait de sélectionner et d’expliquer son plan, le(s) critères(s) utilisé(s) c’est en soi une façon de questionner la notion. Qu’on le formule ou non sous la forme d’une question « façon problématique » n’a pas grande importance au fond.
- NicétasNiveau 9
Edit. erreur de fil (un an de retard !)
_________________
« Quand un discours naturel peint une passion ou un effet, on trouve dans soi-même la vérité de ce qu'on entend, laquelle on ne savait pas qu'elle y fût, en sorte qu'on est porté à aimer celui qui nous le fait sentir ; car il ne nous a pas fait montre de son bien, mais du nôtre ; et ainsi ce bienfait nous le rend aimable, outre que cette communauté d'intelligence que nous avons avec lui incline nécessairement le cœur à l'aimer. »
Pascal, Pensées
- maiteNiveau 9
Bonjour,
Si certains d'entre vous ont suivi les cours Sévigné, qu'avez-vous pensé des cours sur Du Bellay ? Admissible, j'hésite à investir dans la formule à la carte mais j'aimerais savoir si ça vaut le coup.
Si certains d'entre vous ont suivi les cours Sévigné, qu'avez-vous pensé des cours sur Du Bellay ? Admissible, j'hésite à investir dans la formule à la carte mais j'aimerais savoir si ça vaut le coup.
- cyrano54Niveau 1
Bonjour à toutes et à tous. J'ai une question à celles et ceux qui ont déjà passé l'oral, qui peut paraître un peu sotte...
Y a-t-il un dress code particulier ?
Lorsque j'avais passé les oraux du CAPES, on avait conseillé aux garçons de porter une cravate, ce que j'avais fait. Mais c'était il y a 30 ans, et la plupart de mes profs de fac masculins en portaient une - il y en avait même un qui ne quittait jamais son noeud pap', peut-être pour dormir ? - Il me semble que cela s'est perdu dans le monde universitaire, de même que le tailleur pour les dames.
Merci d'avance à celles et ceux qui prendront la peine de me répondre !
Y a-t-il un dress code particulier ?
Lorsque j'avais passé les oraux du CAPES, on avait conseillé aux garçons de porter une cravate, ce que j'avais fait. Mais c'était il y a 30 ans, et la plupart de mes profs de fac masculins en portaient une - il y en avait même un qui ne quittait jamais son noeud pap', peut-être pour dormir ? - Il me semble que cela s'est perdu dans le monde universitaire, de même que le tailleur pour les dames.
Merci d'avance à celles et ceux qui prendront la peine de me répondre !
- SeiGrand Maître
Le dress code est plus souple, en effet.
Pour la grammaire, j'avoue que j'avais dû plus ou moins plaquer des plans et des problématiques repérés pendant la préparation lors de mes épreuves du Capes et de l'agrégation, et j'ai obtenu les deux fois d'excellentes notes sur ces épreuves. J'imagine que ça collait aux occurrences (je ne me souviens que de mon sujet d'agrégation : il s'agissait d'étudier les formes du verbe être, j'avais fait un plan proposant un classement du sens plein à simple copule, quelque chose comme ça).
Pour la grammaire, j'avoue que j'avais dû plus ou moins plaquer des plans et des problématiques repérés pendant la préparation lors de mes épreuves du Capes et de l'agrégation, et j'ai obtenu les deux fois d'excellentes notes sur ces épreuves. J'imagine que ça collait aux occurrences (je ne me souviens que de mon sujet d'agrégation : il s'agissait d'étudier les formes du verbe être, j'avais fait un plan proposant un classement du sens plein à simple copule, quelque chose comme ça).
_________________
"Humanité, humanité, engeance de crocodile."
- SoNiveau 2
L'année dernière j'y suis allée en mode jean et baskets... je l'ai pas eue. Je vais essayer la robe et les escarpins ou les mocassins tailleur pantalon et si je l'ai pas je retenterais en basket l'année prochaine...Franchement ça m'étonnerait que le jury s'arrête à notre tenue vestimentaire. L'essentiel est invisible pour les yeux...
- IridianeFidèle du forum
Attention on va bientôt partir sur les crop tops
Je ne pense pas que le jury fasse spécialement attention à la tenue vestimentaire des candidats, mais lorsque j’étais en prepa agreg on nous avait clairement conseillé d’éviter jean baskets et de façon générale les tenues trop décontractées. Bon, cela ne nécessite pas d’aller jusqu’à la cravate ou au tailleur, mais disons qu’un chemisier, une veste et des chaussures de ville sont recommandés je pense. Ça ne sera pas déterminant pour le résultat mais contribue à donner une bonne première impression, et autant tout mettre de son côté !
Je ne pense pas que le jury fasse spécialement attention à la tenue vestimentaire des candidats, mais lorsque j’étais en prepa agreg on nous avait clairement conseillé d’éviter jean baskets et de façon générale les tenues trop décontractées. Bon, cela ne nécessite pas d’aller jusqu’à la cravate ou au tailleur, mais disons qu’un chemisier, une veste et des chaussures de ville sont recommandés je pense. Ça ne sera pas déterminant pour le résultat mais contribue à donner une bonne première impression, et autant tout mettre de son côté !
- PunkyNiveau 10
Dernière ligne droite : faire les magasins en urgence. Ça c'est de la préparation.
- IridianeFidèle du forum
Personnellement (et blague à part) c’est ce que j’avais fait quelques jours avant avec mes ami(e)s admissibles : ça nous avait détendus (et réussi d’ailleurs). Mais enfin, si je maintiens qu’il est important d’avoir une tenue qui marque le coup, je ne pense pas pour autant que le jury s’offusque d’une tenue n’ayant pas été achetée spécialement pour l’occasion… dans mes souvenirs ils ne vérifient pas les étiquettes
- SélénéNiveau 5
Moi aussi, opération shopping avant les oraux! Remarque, ça permet de faire une petite pause... là, je sature!
_________________
"Pour soulever un poids si lourd,
Sisyphe, il faudrait ton courage!
Bien qu'on ait du coeur à l'ouvrage,
L'Art est long et le Temps est court"
- EmeraldiaÉrudit
J’ai obtenu 9,5 à la dissertation sur Rousseau alors que j’ai cité précisément des lettres et des extraits. J’ai eu 8 en didactique. J’étais en congé de formation et j’ai vraiment beaucoup travaillé. C’était la 2e fois que je la préparais. Je n’y retournerai pas pour ma part. Je vais vivre et lire ce que je veux.
Félicitations et bon courage aux admissibles.
Félicitations et bon courage aux admissibles.
- SoNiveau 2
J'espère néanmoins que tu gardes le moral, c'est pas facile à encaisser. Ce ne sont pas des mauvaises notes, tu n'es pas passé loin. C'est dur quand on a beaucoup bossé mais je crois que c'est aussi une question de méthode, une façon d'envisager le sujet, de le reconvoquer tout au long du devoir et de réaliser un plan véritablement dialectique. Je ne sais pas depuis combien de temps tu essaies mais tu as peut-être besoin d'une pause. Le travail que tu as fourni jusque là devrait être payant une prochaine fois.
- fée clochetteNiveau 1
Bonjour Emeraldia,
L'agrégation est pour certains, certaines un travail de longue haleine et de persévérance. Pour plein de raisons diverses et variées, nous avons parfois besoin d'un peu plus de temps que les autres. Mais ce qui est lu est lu, tout ce dont tu t'es enrichie est à toi. Et puis le congé de formation ne garantit pas la réussite, il faut bien comprendre les attendus des deux épreuves.
Bonne continuation et bonne chance pour la suite.
L'agrégation est pour certains, certaines un travail de longue haleine et de persévérance. Pour plein de raisons diverses et variées, nous avons parfois besoin d'un peu plus de temps que les autres. Mais ce qui est lu est lu, tout ce dont tu t'es enrichie est à toi. Et puis le congé de formation ne garantit pas la réussite, il faut bien comprendre les attendus des deux épreuves.
Bonne continuation et bonne chance pour la suite.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum