- lene75Prophète
Ah zut, c'est de toute façon très loin pour moi, alors (déjà St Germain c'est pas non plus complètement la porte à côté).
- lene75Prophète
J'ai encore une question !
Je ne parviens pas à trouver où et comment sont publiés les postes vacants dans le privé. Y a-t-il moyen pour quelqu'un qui n'y enseigne pas déjà d'avoir accès à ces informations ? Et y a-t-il moyen de connaître le nombre d'heures sans enseignant quand il n'y a pas un poste complet ? Étant agrégée et acceptant (voire préférant) un temps partiel, je pourrais servir de bouche-trou bien pratique.
Je ne parviens pas à trouver où et comment sont publiés les postes vacants dans le privé. Y a-t-il moyen pour quelqu'un qui n'y enseigne pas déjà d'avoir accès à ces informations ? Et y a-t-il moyen de connaître le nombre d'heures sans enseignant quand il n'y a pas un poste complet ? Étant agrégée et acceptant (voire préférant) un temps partiel, je pourrais servir de bouche-trou bien pratique.
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- Clecle78Bon génie
Il y a une liste qui paraît chaque année. Peut-être sur le site du diocèse avec les postes vacants et susceptibles d'être vacants et les quotités d'heure. Je les ai consultés l'an dernier mais impossible de me souvenir comment j'y ai accédé.
- kazamasogetsuNiveau 5
lene75 a écrit:J'ai encore une question !
Je ne parviens pas à trouver où et comment sont publiés les postes vacants dans le privé. Y a-t-il moyen pour quelqu'un qui n'y enseigne pas déjà d'avoir accès à ces informations ? Et y a-t-il moyen de connaître le nombre d'heures sans enseignant quand il n'y a pas un poste complet ? Étant agrégée et acceptant (voire préférant) un temps partiel, je pourrais servir de bouche-trou bien pratique.
Ce que tu cherches c'est dans l'académie de Nantes
Emplois.ac-nantes.fr
J'imagine que c'est partout plus ou moins pareil. Si tu y vas aujourd'hui, tu n'auras pas les emplois mais au pire le calendrier. Souvent début avril pour la publication
- EdithWGrand sage
Attention ! Les créneaux d’ouverture des serveurs indiquant les postes sont assez variables selon les académies, ça peut s’étaler sur 4 semaines. Un conseil, aller voir chacune et noter les dates. Ça s’ouvre pour consultation et candidature (pour les titulaires inscrits au mouvement) sur une période assez courte, pas plus de 2 semaines, et ensuite ça disparaît. Il faut donc imprimer les postes dès parution et ensuite, fin juin, après la première phase du mouvement, on peut appeler les CDE pour boucher d’éventuels trous, sachant que les stagiaires, les neotit et les suppléants déjà en place seront prioritaires sur les profs du public.
Voilà un des liens, pour voir à quoi ça ressemble
https://bv.ac-versailles.fr/mvtprive/jsp/agent.jsp
Et un fil déjà ouvert sur le sujet
https://www.neoprofs.org/t123856-mouvement-dans-le-prive
Voilà un des liens, pour voir à quoi ça ressemble
https://bv.ac-versailles.fr/mvtprive/jsp/agent.jsp
Et un fil déjà ouvert sur le sujet
https://www.neoprofs.org/t123856-mouvement-dans-le-prive
- lene75Prophète
Merci beaucoup !
Bon, la Société des agrégés est très dubitative quant à mes chances de réussite compte-tenu de la pénurie de titulaires de ma discipline dans mon académie. Apparemment même les départs d'agrégés dans le supérieur sont refusés. Un comble quand on sait le peu de postes offerts aux concours quand je les ai passés, tous les copains ultra compétents restés sur le carreau, et encore aujourd'hui les jeunes agrégés brillants poussés à la démission dans notre académie par les conditions honteuses qui leur sont faites.
Bon, la Société des agrégés est très dubitative quant à mes chances de réussite compte-tenu de la pénurie de titulaires de ma discipline dans mon académie. Apparemment même les départs d'agrégés dans le supérieur sont refusés. Un comble quand on sait le peu de postes offerts aux concours quand je les ai passés, tous les copains ultra compétents restés sur le carreau, et encore aujourd'hui les jeunes agrégés brillants poussés à la démission dans notre académie par les conditions honteuses qui leur sont faites.
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- gemshornNiveau 10
lene75 a écrit:J'ai encore une question !
Je ne parviens pas à trouver où et comment sont publiés les postes vacants dans le privé. Y a-t-il moyen pour quelqu'un qui n'y enseigne pas déjà d'avoir accès à ces informations ? Et y a-t-il moyen de connaître le nombre d'heures sans enseignant quand il n'y a pas un poste complet ? Étant agrégée et acceptant (voire préférant) un temps partiel, je pourrais servir de bouche-trou bien pratique.
Attention, les profs du public qui souhaitent être nommés dans le privé doivent postuler et ne peuvent être nommés que sur des services à temps complet. voir ci-dessous, page 13 :
https://ec72.fr/wp-content/uploads/sites/42/2018/02/Circulaire-mouvement-2018.pdfLa nomination d’un maître de l’enseignement public, outre une nomination sur un poste spécifique, ne pourra intervenir que sous certaines conditions :
- les pertes de contrat ou d’heures au niveau académique doivent être réglées.
- les stagiaires de l’année en cours doivent avoir obtenu une affectation.
- les lauréats 2018 doivent être affectés.
Par ailleurs, il est rappelé que le maître doit justifier - à l'appui de sa demande (qui ne peut porter que sur un service à temps complet) - de l'accord préalable du chef d'établissement d'accueil et de l'avis favorable du recteur de l'académie d'origine
Quoi qu'il en soit, s'il se retrouvent ensuite en perte d'heure dans l'établissement privé où ils sont affectés, ils sont remis à la disposition du Recteur et doivent participer au mouvement du public et ne peuvent bénéficier d'un complément de service dans un autre établissement privé (cf, commentaires par la Commission nationale sur les Accords pour l'Emploi dans l'Enseignement privé).
4.1.4 Dans le cas où le service menacé de suppression totale ou partielle est celui d'un maître titulaire du public, le chef d'établissement en informe obligatoirement, sans délai et par écrit l'intéressé, le Recteur et le Président de la commission académique de l'Emploi en tenant compte du calendrier rectoral prévu pour le mouvement de l'emploi dans les établissements publics.
https://www.ec75.org/wp-content/uploads/2020/12/accordEmploi2nd.pdf
5.2.7
Il convient d’informer le maître titulaire, dans des délais compatibles avec le calendrier du mouvement de l’enseignement public, qu’il est remis à la disposition du Recteur. Les fonctionnaires ne peuvent obtenir un complément d’horaire dans un autre établissement ou un nouveau service à temps complet dans le cadre du mouvement de l’emploi de l’enseignement privé.
https://ec-aixmarseille.fr/sites/default/files/cne2-2017-846_accord_emploi_second_degre_tableau_interpretations.pdf
- lene75Prophète
Merci pour ces précisions. La direction diocésaine m'a indiqué la même chose... ce qui ne m'arrange pas vraiment.
Et en cas de perte d'heures, peut-on basculer à temps partiel ou les textes ci-dessus signifient-ils implicitement qu'on serait rebasculé dans le public ?
Et en cas de perte d'heures, peut-on basculer à temps partiel ou les textes ci-dessus signifient-ils implicitement qu'on serait rebasculé dans le public ?
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- gemshornNiveau 10
lene75 a écrit:Merci pour ces précisions. La direction diocésaine m'a indiqué la même chose... ce qui ne m'arrange pas vraiment.
Et en cas de perte d'heures, peut-on basculer à temps partiel ou les textes ci-dessus signifient-ils implicitement qu'on serait rebasculé dans le public ?
J'imagine que ces textes s'appliquent en particulier à un maître du public désireux de conserver un temps complet et signifient qu'il ne peut prétendre pour cela à un complément de service dans un autre établissement privé que celui où il est nommé et où il serait en perte d'heure.
Peut-être est-il envisageable qu'il puisse rester dans son établissement privé d'affectation à condition de passer à temps partiel au prorata des heures perdues, mais on entre là dans des subtilités qui m'échappent et je n'ai pas encore vu le cas de figure. Je ne peux donc répondre de façon catégorique. Il serait quand même curieux qu'un maître du public qui peut travailler à temps partiel dans le public n'ait pas le droit de le faire dans le privé. En tout cas, pour la nomination, il est impératif de postuler sur un service à temps complet.
- lene75Prophète
Merci pour ta réponse.
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- BAILLEULNiveau 2
Bonjour à toutes et tous,
Je relance le sujet ;-)
Si on souhaite passer du public au privé, quelles sont les dates à surveiller svp ?
Merci par avance,
Bon après-midi
Je relance le sujet ;-)
Si on souhaite passer du public au privé, quelles sont les dates à surveiller svp ?
Merci par avance,
Bon après-midi
- MitcindyNiveau 10
Bonjour,
Tu peux t'inscrire dès maintenant pour passer le pré-accord.
Tu peux t'inscrire dès maintenant pour passer le pré-accord.
- BAILLEULNiveau 2
Merci beaucoup
et tu vas où ? tu fais comment ? stp
et tu vas où ? tu fais comment ? stp
- EdithWGrand sage
Appelle la DDEC de ton lieu de vie (ou de celui où tu souhaites travailler). C’est diocésain donc ça recoupe plus ou moins les départements même si la tendance est au regroupement de deux diocèses en une seule DDEC. Sur leur site internet, il y a toujours un onglet « devenir enseignant ». Sinon, si un établissement précis t’intéresse, rien ne t’empêche d’aller les voir aux JPO, de candidater… en avril/mai les postes vacants ou susceptibles de l’être sont publiés, pendant une fenêtre assez courte, ça peut être intéressant d’aller voir les postes dans ta discipline puis d’imprimer le listing. En juin, après les mutations des titulaires, il peut rester des postes et c’est le moment de se faire connaître des CDE, en se servant du listing imprimé.
- BAILLEULNiveau 2
Merci beaucoup !
- Chloé92Niveau 2
Bonjour, je m'intéresse aussi au sujet Du coup, on peut postuler en avril-mai si un poste nous intéresse dans la liste (en tant que professeur du public) ou bien il faut attendre juin?
- pépé46Niveau 2
Depuis 21 ans dans le privé, mon expérience me pousse à vous mettre en garde.
Deux avantages au privé: le système de prévoyance, le choix d'une zone géographique.
Nombre d'inconvénients majeurs:
- salaire amputé de 200 à 300 €
- soumission totale aux chefs d'établissement soutenus aveuglément par les rectorats, dans les faits création d'un "délit de sale gueule" déguisé en "non adéquation avec le projet d'établissement".
- retraite calculée sur les 25 meilleures années bau lieu des 6 derniers mois.
- bénévolat fortement "encouragé".
- dérives fréquentes du style "semaine du réenchantement" (parents invités à remplacer les cours par des interventions souvent fumeuses), "semaine du bien-être" comme l'an passé avec séances d'aromathérapie, de minéralothérapie, sophrologie, ... interventions parfois dangereuses pour la santé (dire à des gamins de 6e qu'on peut guérir le cancer par la méditation ou l'imposition de pierres judicieusement choisies!), limites sectaires dans les faits qui dénotent de l'incompétence crasse de la direction comme des intervenants.
Il me faudrait tout un livre pour témoigner des conditions de travail dans le privé. Et je doute malheureusement que ces constats soient l'apanage de l'académie de Toulouse. Bémol, j'ai aussi fréquenté (rarement) des établissements dignes de ce nom, avec une direction humaine, à la hauteur. La majorité des chefs d'établissement du privé sont des commerciaux aux profils fantaisistes, mais trop souvent ancrés avant tout dans le tissu politique local voire national.
Bref si vous souhaitez être plus exploité encore que dans le public, corvéables à merci, foncez !
Deux avantages au privé: le système de prévoyance, le choix d'une zone géographique.
Nombre d'inconvénients majeurs:
- salaire amputé de 200 à 300 €
- soumission totale aux chefs d'établissement soutenus aveuglément par les rectorats, dans les faits création d'un "délit de sale gueule" déguisé en "non adéquation avec le projet d'établissement".
- retraite calculée sur les 25 meilleures années bau lieu des 6 derniers mois.
- bénévolat fortement "encouragé".
- dérives fréquentes du style "semaine du réenchantement" (parents invités à remplacer les cours par des interventions souvent fumeuses), "semaine du bien-être" comme l'an passé avec séances d'aromathérapie, de minéralothérapie, sophrologie, ... interventions parfois dangereuses pour la santé (dire à des gamins de 6e qu'on peut guérir le cancer par la méditation ou l'imposition de pierres judicieusement choisies!), limites sectaires dans les faits qui dénotent de l'incompétence crasse de la direction comme des intervenants.
Il me faudrait tout un livre pour témoigner des conditions de travail dans le privé. Et je doute malheureusement que ces constats soient l'apanage de l'académie de Toulouse. Bémol, j'ai aussi fréquenté (rarement) des établissements dignes de ce nom, avec une direction humaine, à la hauteur. La majorité des chefs d'établissement du privé sont des commerciaux aux profils fantaisistes, mais trop souvent ancrés avant tout dans le tissu politique local voire national.
Bref si vous souhaitez être plus exploité encore que dans le public, corvéables à merci, foncez !
- JennyMédiateur
Ce que tu décris ressemble au pire établissement dans lequel j'ai travaillé dans le public, mais je n'ai jamais vu ça ailleurs, je suis persuadé que c'est un cas extrême.
Vu le recours au bénévolat, je pense que la perte salariale ne se limite pas à 300 euros.
Vu le recours au bénévolat, je pense que la perte salariale ne se limite pas à 300 euros.
- pépé46Niveau 2
Jenny a écrit:Ce que tu décris ressemble au pire établissement dans lequel j'ai travaillé dans le public, mais je n'ai jamais vu ça ailleurs, je suis persuadé que c'est un cas extrême.
Vu le recours au bénévolat, je pense que la perte salariale ne se limite pas à 300 euros.
Mon expérience se fonde sur 10 années de contractuel avant d'être certifié. Plus d'une douzaine d'établissements visités en CLG, LGT et LP sur 5 départements de l'académie. La situation s'est nettement dégradée depuis mes débuts. Une dizaine d'amis exerçant dans le public du primaire à la fac a la gentillesse de nourrir et d'ouvrir mes réflexions. De même avec la grande majorité de mes collègues de galère in situ.
Mais j'insiste à nouveau sur le fait qu'il existe de très bons établissements dans le public comme dans le privé ! Quant au élèves il semblerait que nous ayons les mêmes cas, à peu près dans les mêmes proportions selon les zones géographiques. Sauf que dans le privé les parents sont des clients et ils ne se privent pas de le revendiquer... ce qui influe notablement sur le comportement des chefs d'établissement.
Je tiens à ta disposition, en MP, quelques éléments concrets pour étayer mes propos.
- JennyMédiateur
Je te crois, pas de souci. Je disais juste que sur une dizaine d'établissements tous publics, je ne l'avais vu que sur un seul établissement. Quelque part, ça confirme ce que tu dis.
- amollivierJe viens de m'inscrire !
Bonjour
J'arrive tardivement sur le sujet mais j'aurais souhaité connaître le fin mot de l'histoire
J'ai contacté les syndicats et ont m'a dit qu'il était absolument impossible de passer du public au privé sous contrat autrement qu'en démissionnant et en recommençant tout à 0 !
Pourtant les échanges ici évoquent des possibilités...
J'arrive tardivement sur le sujet mais j'aurais souhaité connaître le fin mot de l'histoire
J'ai contacté les syndicats et ont m'a dit qu'il était absolument impossible de passer du public au privé sous contrat autrement qu'en démissionnant et en recommençant tout à 0 !
Pourtant les échanges ici évoquent des possibilités...
- HansNiveau 7
C est possible en effet mais c est de plus en plus compliqué.
Légalement c est possible mais c est tres très compliqué.
Tout simplement car il faut déjà obtenir son détachement du public (ou alors être en disponibilité) puis postuler en cae dans le privé, et vous passez après tout le monde, hors cae, juste avant une ccma d août.
En gros, si il n y a personne sur un poste, vous discutez avec le chef d établissement qui peut décider de vous prendre vous à la place d un suppléant non titulaire.
Légalement c est possible mais c est tres très compliqué.
Tout simplement car il faut déjà obtenir son détachement du public (ou alors être en disponibilité) puis postuler en cae dans le privé, et vous passez après tout le monde, hors cae, juste avant une ccma d août.
En gros, si il n y a personne sur un poste, vous discutez avec le chef d établissement qui peut décider de vous prendre vous à la place d un suppléant non titulaire.
- NatalinoNiveau 10
Un peu désespéré après une nouvelle mutation refusée et une absence totale de perspective en CPGE dans le public (ou comme PRAG), je parcours ce fil qui fait un peu les montagnes russes et, si je résume, aux dernières nouvelles, il est de plus en plus difficile de passer du public au privé sur dossier, demande, recrutement diocésain etc (je me perds un peu dans tout ça, mais les derniers messages étant assez pessimistes, je n'y pense plus vraiment).
Mais je ne vois pas pourquoi démissionner avant le concours. Pourquoi ne pas passer le concours du privé pendant une année où on enseigne dans le public ? Dans ces cas là, est-ce que la démission n'est pas "automatique" sans suspension de salaire après obtention du concours ?
J'ai surtout trois questions pratiques :
Puis-je passer le concours du privé à l'interne ? (est-ce que ça existe, déjà, et quelles sont les conditions ?)
Je suis agrégé (du public donc). Est-ce que mon salaire reprendra à zéro aussi ou bien, comme lorsqu'on change de corps pour aller vers un corps qui progresse moins vite, il sera impossible à l'état de baisser mon salaire actuel ?
Est-ce que, d'une certaine manière, mon statut d'agrégé est encore recevable dans mon CV, à votre avis ? (dans la mesure où j'ai déjà passé l'agreg, je n'ai pas envie de le refaire, mais si je postule pour un CPGE privé, est-ce que j'ai encore le droit de me présenter comme "agrégé" en fait ?)
J'ajoute qu'en dehors de la question de mutation, ce n'est pas un revirement opportuniste : j'ai hésité entre les deux concours et je viens en fait de l'enseignement privé (je suis même pratiquant en fait) mais à l'époque, j'avais besoin de partir loin de mon environnement, et le concours public me donnait un "prétexte" tout trouvé pour quitter ma région.
Merci beaucoup à ceux qui ont les réponses (et aux autres qui m'ont lu sans agacement).
Natalino, à la recherche d'un horizon ...
Mais je ne vois pas pourquoi démissionner avant le concours. Pourquoi ne pas passer le concours du privé pendant une année où on enseigne dans le public ? Dans ces cas là, est-ce que la démission n'est pas "automatique" sans suspension de salaire après obtention du concours ?
J'ai surtout trois questions pratiques :
Puis-je passer le concours du privé à l'interne ? (est-ce que ça existe, déjà, et quelles sont les conditions ?)
Je suis agrégé (du public donc). Est-ce que mon salaire reprendra à zéro aussi ou bien, comme lorsqu'on change de corps pour aller vers un corps qui progresse moins vite, il sera impossible à l'état de baisser mon salaire actuel ?
Est-ce que, d'une certaine manière, mon statut d'agrégé est encore recevable dans mon CV, à votre avis ? (dans la mesure où j'ai déjà passé l'agreg, je n'ai pas envie de le refaire, mais si je postule pour un CPGE privé, est-ce que j'ai encore le droit de me présenter comme "agrégé" en fait ?)
J'ajoute qu'en dehors de la question de mutation, ce n'est pas un revirement opportuniste : j'ai hésité entre les deux concours et je viens en fait de l'enseignement privé (je suis même pratiquant en fait) mais à l'époque, j'avais besoin de partir loin de mon environnement, et le concours public me donnait un "prétexte" tout trouvé pour quitter ma région.
Merci beaucoup à ceux qui ont les réponses (et aux autres qui m'ont lu sans agacement).
Natalino, à la recherche d'un horizon ...
- NatalinoNiveau 10
Bon, j'ai au moins une réponse :
Non pour le concours interne (il suffisait de chercher)
https://www.devenirenseignant.gouv.fr/enseigner-dans-un-college-ou-lycee-de-l-enseignement-prive-sous-contrat-643
"le Caer-Capes (concours interne) concerne certaines personnes qui ont déjà travaillé dans un établissement privé sous contrat, qui peuvent justifier de 3 ans de services et qui détiennent une licence (ou équivalent)"
Non pour le concours interne (il suffisait de chercher)
https://www.devenirenseignant.gouv.fr/enseigner-dans-un-college-ou-lycee-de-l-enseignement-prive-sous-contrat-643
"le Caer-Capes (concours interne) concerne certaines personnes qui ont déjà travaillé dans un établissement privé sous contrat, qui peuvent justifier de 3 ans de services et qui détiennent une licence (ou équivalent)"
- NatalinoNiveau 10
D'un autre côté, je trouve carrément des offres d'emploi du privé en CPGE qui sont ouverts aux agrégés du public :
https://www.bginette.com/enseigner-a-ginette
Mais ça ne change pas grand chose au problème, puisqu'à la fin, c'est quand même l'IG qui choisit, si je comprends bien ce que je lis ici et là, donc je ne suis pas plus avancé.
https://www.bginette.com/enseigner-a-ginette
Mais ça ne change pas grand chose au problème, puisqu'à la fin, c'est quand même l'IG qui choisit, si je comprends bien ce que je lis ici et là, donc je ne suis pas plus avancé.
- IridianeFidèle du forum
Pour te répondre sur un point : si tu démissionnes de l’agrégation, tu pourras toujours prétendre au titre d’agrégé (donc te présenter comme agrégé sur ton CV) et tu seras toujours considéré comme tel « intellectuellement » si je puis dire, par contre tu ne feras plus partie du corps des agrégés au niveau administratif, ce qui a des implications en termes de salaire, classement, progression… et pour certains postes. Pour un poste en CPGE, je ne sais pas si ça a de l’influence mais pour un poste de PRAG de fait ça en a, puisque c’est un poste d’agrégé détaché, ce qui implique d’appartenir au corps des agrégés.
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