- Mariella87Je viens de m'inscrire !
Bonjour,
Le dernier message date un peu mais j'essaie quand même, peut-être que quelqu'un me répondra.
Enseignante certifiée depuis 2012 et depuis 2013 sur 3 puis 2 établissements.
Je souhaiterais pouvoir récupérer des heures qu' un collègue libère mais un collègue veut les récupérer.
Toutefois je m'interroge concernant sa priorité sur moi pour les raisons suivantes :
Il a réussi son Cafep en 2016 et agrégation du public en 2020.
Maintenu dans le public depuis.
A savoir que nous connaissons une tension dans la discipline.
1. Quel est son statut ?
public et donc détaché forcément, ou privé. A savoir qu'en 2020 (agreg du public uniquement)
Je serais très étonnée que l'on puisse passer le concours public et demander à devenir de statut privé parce que l'on ne souhaite pas les contraintes des mutations du public et en plus " écraser" des collègues plus anciens qui luttent depuis des années pour être sur un seul établissement et avoir une qualité de vie meilleure. Cela serait très fort et immoral !
Je comprends que cette personne soit en perte d'heures. Néanmoins, il y a des heures ailleurs dans l'académie à 30 min de chez elle.
Il me semblerait plus normal que je récupère les heures du collègue puisque que je suis titulaire privé bien avant elle et que j'attends depuis longtemps et qu'elle aille compléter ailleurs. Je l' ai fait pendant des années. Nous l'avons tous fait.
Pourquoi cette personne serait privilégiée plus que d'autres surtout en periode de tension dans une discipline.
Le dernier message date un peu mais j'essaie quand même, peut-être que quelqu'un me répondra.
Enseignante certifiée depuis 2012 et depuis 2013 sur 3 puis 2 établissements.
Je souhaiterais pouvoir récupérer des heures qu' un collègue libère mais un collègue veut les récupérer.
Toutefois je m'interroge concernant sa priorité sur moi pour les raisons suivantes :
Il a réussi son Cafep en 2016 et agrégation du public en 2020.
Maintenu dans le public depuis.
A savoir que nous connaissons une tension dans la discipline.
1. Quel est son statut ?
public et donc détaché forcément, ou privé. A savoir qu'en 2020 (agreg du public uniquement)
Je serais très étonnée que l'on puisse passer le concours public et demander à devenir de statut privé parce que l'on ne souhaite pas les contraintes des mutations du public et en plus " écraser" des collègues plus anciens qui luttent depuis des années pour être sur un seul établissement et avoir une qualité de vie meilleure. Cela serait très fort et immoral !
Je comprends que cette personne soit en perte d'heures. Néanmoins, il y a des heures ailleurs dans l'académie à 30 min de chez elle.
Il me semblerait plus normal que je récupère les heures du collègue puisque que je suis titulaire privé bien avant elle et que j'attends depuis longtemps et qu'elle aille compléter ailleurs. Je l' ai fait pendant des années. Nous l'avons tous fait.
Pourquoi cette personne serait privilégiée plus que d'autres surtout en periode de tension dans une discipline.
- Charles-MauriceNiveau 10
Je ne comprends pas bien, a-t-il été maintenu dans le privé ou intégré dans le public ? Dans le privé, les affectations sont plus occultes, mais relèvent aussi des chefs d'établissement. Un agrégé peut avoir la priorité au lycée et dans les classes d'examen ou du sup. Seul le Proviseur peut répondre à votre question.Mariella87 a écrit:Bonjour,
Le dernier message date un peu mais j'essaie quand même, peut-être que quelqu'un me répondra.
Enseignante certifiée depuis 2012 et depuis 2013 sur 3 puis 2 établissements.
Je souhaiterais pouvoir récupérer des heures qu' un collègue libère mais un collègue veut les récupérer.
Toutefois je m'interroge concernant sa priorité sur moi pour les raisons suivantes :
Il a réussi son Cafep en 2016 et agrégation du public en 2020.
Maintenu dans le public depuis.
A savoir que nous connaissons une tension dans la discipline.
1. Quel est son statut ?
public et donc détaché forcément, ou privé. A savoir qu'en 2020 (agreg du public uniquement)
Je serais très étonnée que l'on puisse passer le concours public et demander à devenir de statut privé parce que l'on ne souhaite pas les contraintes des mutations du public et en plus " écraser" des collègues plus anciens qui luttent depuis des années pour être sur un seul établissement et avoir une qualité de vie meilleure. Cela serait très fort et immoral !
Je comprends que cette personne soit en perte d'heures. Néanmoins, il y a des heures ailleurs dans l'académie à 30 min de chez elle.
Il me semblerait plus normal que je récupère les heures du collègue puisque que je suis titulaire privé bien avant elle et que j'attends depuis longtemps et qu'elle aille compléter ailleurs. Je l' ai fait pendant des années. Nous l'avons tous fait.
Pourquoi cette personne serait privilégiée plus que d'autres surtout en periode de tension dans une discipline.
Bon courage.
- Mariella87Je viens de m'inscrire !
Merci pour votre retour.
Je le sais que les mutations dans le privé sont occultes
Le collègue en question en perte d'heures a été maintenu dans le privé mais je ne sais pas s'il est forcément détaché du public.
Auquel cas, est non prioritaire sur moi.
Je le sais que les mutations dans le privé sont occultes
Le collègue en question en perte d'heures a été maintenu dans le privé mais je ne sais pas s'il est forcément détaché du public.
Auquel cas, est non prioritaire sur moi.
- lene75Prophète
Mariella87 a écrit:Merci pour votre retour.
Je le sais que les mutations dans le privé sont occultes
Le collègue en question en perte d'heures a été maintenu dans le privé mais je ne sais pas s'il est forcément détaché du public.
Auquel cas, est non prioritaire sur moi.
Réponse à vérifier, mais il me semble qu'au moment de l'obtention de l'agrégation, qui n'existe pas pour le privé et est donc forcément l'agrégation du public (hors CAER), on demande à la personne si elle veut être maintenue dans le privé ou passer dans le public. S'il a fait le choix du maintien dans le privé, il reste donc considéré comme professeur du privé à part entière. C'est en tout cas ce que j'ai cru comprendre de ce que m'ont expliqué des copains, donc à prendre avec des pincettes.
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- Mariella87Je viens de m'inscrire !
D'accord. Merci beaucoup pour cette information.
Il faut que je vérifie alors.
Il faut que je vérifie alors.
- EdithWGrand sage
Un collègue du public, détaché dans le privé, n'est pas prioritaire sur un titulaire du privé (sauf exceptions, cas particulier, compétences spécifiques). A vérifier comme dit Lene75 par rapport au statut spécifique des agrégés ayant opté pour le privé... Dans certaines académies (la mienne), les suppléants passent même avant les certifiés ou agrégés du public. Le mouvement dans le privé est plus opaque que dans le public mais les syndicats siègent encore dans l'équivalent des CAPA et scrutent les dossiers des adhérents pour s'assurer que les passe-droit n'existent pas, un CDE peut choisir tel ou tel prof, à niveau et ancienneté équivalents, selon le projet de l'établissement, mais plus maintenir quelqu'un malgré la priorité de celui qui veut le poste. Normalement... parce que les arrangements existent encore et que la plupart des rectorats soutiennent les CDE du privé, d'où l'intérêt de se syndiquer pour avoir un suivi très précis de son dossier.
Dans mon cas, bien que les documents de mut indiquent "temps plein" ou "temps partiel" depuis le début du processus, le rectorat, sur demande du CDE (je l'ai su après), a tenté de me barrer l'accès sous un prétexte fallacieux (texto : si on m'acceptait avec un temps partiel, cela impliquait que je serais prioritaire sur des suppléants locaux si jamais je demandais un complément ), le CDE préférant garder son suppléant "local" ayant un bac +3 de lettres plutôt qu'accueillir un titulaire du CAPES de doc avec 15 ans d'expérience. Sans mon syndicat, je n'aurais jamais pu m'imposer. La menace du TA les a fait plier (ils m'ont joué le grand air du "on fait une exception pour vous madame").
Dans mon cas, bien que les documents de mut indiquent "temps plein" ou "temps partiel" depuis le début du processus, le rectorat, sur demande du CDE (je l'ai su après), a tenté de me barrer l'accès sous un prétexte fallacieux (texto : si on m'acceptait avec un temps partiel, cela impliquait que je serais prioritaire sur des suppléants locaux si jamais je demandais un complément ), le CDE préférant garder son suppléant "local" ayant un bac +3 de lettres plutôt qu'accueillir un titulaire du CAPES de doc avec 15 ans d'expérience. Sans mon syndicat, je n'aurais jamais pu m'imposer. La menace du TA les a fait plier (ils m'ont joué le grand air du "on fait une exception pour vous madame").
- lene75Prophète
J'en profite EdithW pour te poser une question : quand un titulaire du public obtient un poste dans le privé avec un détachement, on est bien d'accord qu'une fois qu'il a le poste on ne peut plus l'éjecter ? C'est bien uniquement pour l'obtention du poste qu'il n'est pas prioritaire ?
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- lisa81Habitué du forum
lene75 a écrit:Mariella87 a écrit:Merci pour votre retour.
Je le sais que les mutations dans le privé sont occultes
Le collègue en question en perte d'heures a été maintenu dans le privé mais je ne sais pas s'il est forcément détaché du public.
Auquel cas, est non prioritaire sur moi.
Réponse à vérifier, mais il me semble qu'au moment de l'obtention de l'agrégation, qui n'existe pas pour le privé et est donc forcément l'agrégation du public (hors CAER), on demande à la personne si elle veut être maintenue dans le privé ou passer dans le public. S'il a fait le choix du maintien dans le privé, il reste donc considéré comme professeur du privé à part entière. C'est en tout cas ce que j'ai cru comprendre de ce que m'ont expliqué des copains, donc à prendre avec des pincettes.
Je confirme
J'ai une amie qui n'a jamais enseigné dans le public. Quand elle a passé l'agrégation, alors qu'elle était titulaire dans le privé depuis plusieurs années elle a choisi de rester sur son poste. Je ne pense pas qu'elle soit considérée comme détachée dans le privé.
- EdithWGrand sage
Je pense que ça dépend des académies... en cas de perte d'heures ou de suppression de poste, c'est le détaché qui saute le premier. Forcément, les titulaires du privé n'ayant pas de sécurité de l'emploi ni de garantie de continuer à être payés s'ils ont moins voire plus d'heures, ça semble normal que le détaché, qui a, lui un poste qui l'attend dans son académie d'origine, soit éjecté en priorité. Mon conjoint a fait un détachement du 93 (public) vers le 92 (privé sous contrat) à un moment où sa matière était en surnombre dans le 93 et en sous-effectifs dans le 92, mais il savait qu'il était sur un siège éjectable (sans trop de risque, son établissement privé étant rempli de suppléants). Il est retourné dans le public sans (trop) de soucis (à part des problèmes de poste, du style à recevoir le 25 un courrier daté du 24 envoyé le 22 et à renvoyer avant le 21... qui a failli lui coûter sa mut) quand on a déménagé (avec un an de congé parental entre les deux).
- Mariella87Je viens de m'inscrire !
EdithW a écrit:Un collègue du public, détaché dans le privé, n'est pas prioritaire sur un titulaire du privé (sauf exceptions, cas particulier, compétences spécifiques). A vérifier comme dit Lene75 par rapport au statut spécifique des agrégés ayant opté pour le privé... Dans certaines académies (la mienne), les suppléants passent même avant les certifiés ou agrégés du public. Le mouvement dans le privé est plus opaque que dans le public mais les syndicats siègent encore dans l'équivalent des CAPA et scrutent les dossiers des adhérents pour s'assurer que les passe-droit n'existent pas, un CDE peut choisir tel ou tel prof, à niveau et ancienneté équivalents, selon le projet de l'établissement, mais plus maintenir quelqu'un malgré la priorité de celui qui veut le poste. Normalement... parce que les arrangements existent encore et que la plupart des rectorats soutiennent les CDE du privé, d'où l'intérêt de se syndiquer pour avoir un suivi très précis de son dossier.
Dans mon cas, bien que les documents de mut indiquent "temps plein" ou "temps partiel" depuis le début du processus, le rectorat, sur demande du CDE (je l'ai su après), a tenté de me barrer l'accès sous un prétexte fallacieux (texto : si on m'acceptait avec un temps partiel, cela impliquait que je serais prioritaire sur des suppléants locaux si jamais je demandais un complément ), le CDE préférant garder son suppléant "local" ayant un bac +3 de lettres plutôt qu'accueillir un titulaire du CAPES de doc avec 15 ans d'expérience. Sans mon syndicat, je n'aurais jamais pu m'imposer. La menace du TA les a fait plier (ils m'ont joué le grand air du "on fait une exception pour vous madame").
Merci EdithW pour ton témoignage et toutes ces précisions.
On verra mais il est vrai que si je suis dans mon droit je le ferai respecter autrement à quoi faire des règles. Et s'il faut que j'aille jusqu'au TA, j irai. De toutes les manières lorsqu'il y a des manipulations du CDE et des collègues l'ambiance ne peut être que mauvapeu peu importe l'issue.
- Pat BÉrudit
Il est probable que ton collègue soit considéré comme enseignant du privé s'il n'a jamais quitté le privé, même avec son agrégation externe.
Les règles de priorité habituelles s'appliquent alors : priorité à ceux qui sont en perte d'heure et aux anciens chefs d'établissement voulant retrouver un poste ; puis ce sont les mutations avec différents niveaux selon les raisons (rapprochement familial passe avant convenance personnelle), je ne sais même pas si l'ancienneté peut entrer beaucoup en ligne de compte au niveau législatif (l'avis du chef d'établissement compte, lui, par contre!) ; ensuite les stagiaires à placer sur leur premier poste.
L'ancienneté dans l'enseignement privé est prise en compte pour savoir qui va perdre des heures en cas de perte d'heure dans l'établissement. Pour les mutations, ça doit compter un peu mais bien moins que l'avis du chef d'établissement (je ne sais même pas si c'est dans les textes)
Les règles de priorité habituelles s'appliquent alors : priorité à ceux qui sont en perte d'heure et aux anciens chefs d'établissement voulant retrouver un poste ; puis ce sont les mutations avec différents niveaux selon les raisons (rapprochement familial passe avant convenance personnelle), je ne sais même pas si l'ancienneté peut entrer beaucoup en ligne de compte au niveau législatif (l'avis du chef d'établissement compte, lui, par contre!) ; ensuite les stagiaires à placer sur leur premier poste.
L'ancienneté dans l'enseignement privé est prise en compte pour savoir qui va perdre des heures en cas de perte d'heure dans l'établissement. Pour les mutations, ça doit compter un peu mais bien moins que l'avis du chef d'établissement (je ne sais même pas si c'est dans les textes)
- marxNiveau 6
C'est l'avantage du privé sous-contrat : on peut se faire totalement arnaquer en cumulant tous les défauts du système (par exemple se farcir un chef d'établissement fanatisé, et se retrouver en même temps dans une discipline sous tension : perte d'heures sans droit aux indemnités chômage, et impossibilité de trouver un temps complet à cause de profs détachés du public squattant les postes avec la bénédiction du rectorat). Et il ne faut pas trop remuer, ou ça se remarquera et ça se fera savoir dans les CCMA.
- EdithWGrand sage
C’est important de se renseigner surtout en ce moment ! Il y a des académies où il faudra « rendre » beaucoup de postes (Rennes, Lille et Amiens sont les plus touchées il me semble …) donc beaucoup de fermetures / réduction. Un collège privé ferme dans mon département, 4 ETP supprimés (le reste c’est des hsa…), les collègues titulaires à recaser au moins mal…
Les DHG arrivent vendredi, on en saura plus. Pour info, les premières CCMA et CAE sont cette semaine, ceux d’entre vous qui souhaitent muter et sont syndiqués, faites-vous connaître auprès de vos représentants. C’est un bon moyen d’avoir des infos. Pas de passe-droit possible mais un vrai suivi de votre dossier. À titre personnel, le collègue deCCMA m’a appelée, sachant que je perds des heures, pour savoir ce qui pourrait m’intéresser comme service de complément, puisque je serai prioritaire.
Les DHG arrivent vendredi, on en saura plus. Pour info, les premières CCMA et CAE sont cette semaine, ceux d’entre vous qui souhaitent muter et sont syndiqués, faites-vous connaître auprès de vos représentants. C’est un bon moyen d’avoir des infos. Pas de passe-droit possible mais un vrai suivi de votre dossier. À titre personnel, le collègue deCCMA m’a appelée, sachant que je perds des heures, pour savoir ce qui pourrait m’intéresser comme service de complément, puisque je serai prioritaire.
- Carrie7Niveau 9
Je suis désolée Mariella, mais si votre collègue a le CAFEP + agreg du public mais a demandé à être maintenu dans le privé, il est bel et bien prof du privé, tout autant qu'un Cafepien n'ayant pas eu l'agreg. Il n'est pas détaché, il est enseignant du privé.
- MitcindyNiveau 10
Ce que je peux vous dire, c'est que les règles du privé sont plus souples que celles du public !
Je viens du public et suis maintenant dans le privé (dans une discipline très en tension).
Je peux vous dire, que quand ils ont besoin de vous rapidement, ils sont capables de faire des efforts, que ce soit en matière de mutation ou de primes d'attractivité. Cela n'a plus rien à voir avec votre ancienneté ou le fait que vous ayez le concours qui correspond à la bonne case.
La justice dans une discipline en tension est une chimère.
Je viens du public et suis maintenant dans le privé (dans une discipline très en tension).
Je peux vous dire, que quand ils ont besoin de vous rapidement, ils sont capables de faire des efforts, que ce soit en matière de mutation ou de primes d'attractivité. Cela n'a plus rien à voir avec votre ancienneté ou le fait que vous ayez le concours qui correspond à la bonne case.
La justice dans une discipline en tension est une chimère.
- lene75Prophète
Question technique : quand on veut passer du public au privé, il faut d'abord être recruté par un chef d'établissement et ENSUITE demander un détachement, c'est ça ? Il ne faut pas demander un détachement dans le vide ( = sans préciser exactement sur quel poste) par précaution au cas où on serait recruté ? J'ai vu passer des dates limites pour les demandes de détachement, incompatibles avec le fait d'attendre les réponses des chefs d'établissement, alors ça me paraît bizarre.
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- Clecle78Bon génie
Oui c'est ça. Procédure quasi impossible de nos jours. J'avais tente il y a 25 ans mais c'était déjà très très compliqué. Je n'ai connu que 2 personnes ayant réussi dont l'une était la belle-fille du directeur de l'école en question. Pour moi les délais étaient trop longs et l'issue de la procédure trop incertaine.
- lene75Prophète
J'ai une copine de ma discipline qui a réussi il y a 10 ans et qui s'en félicite tous les jours. Son mari était déjà dans le privé, ça a dû jouer. Bien que normalien, il a eu l'intelligence de passer le Cafep plutôt que le Capes. Et une collègue TZR d'une autre discipline il y a un peu moins longtemps. Ravie aussi. Mais en effet de nos jours j'ai peu d'espoir, surtout dans mon académie. Pour l'instant, les réponses que j'ai, c'est en effet que mon CV fait rêver, qu'on le garde sous le coude, mais que pour l'instant, se lancer dans une procédure de détachement, ça va être compliqué. Donc en gros je comprends qu'on reviendra vers moi s'il n'y a personne d'autre. Mais je ne veux avoir aucun regret, alors je tente quand même.
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- Clecle78Bon génie
Oui tu peux essayer, mais personne ne reviendra vers toi, sauf piston. Autre possibilité éventuelle, prendre ta retraite et repostuler dans le privé pour un cumul. Avec les nouvelles règles ce sera peut-être plus interessant. Sinon tu devrais postuler au ministère de la défense. Il y avait des postes à Saint Cyr et à la légion d'honneur dans ma matiere cette année. C'est une procédure spéciale. Quelqu'un a publié la liste cette année sur Néo et mon gendre a d'ailleurs postulé.
La légion, c'est le top.
La légion, c'est le top.
- lene75Prophète
Pour la retraite j'avais regardé, je ne peux pas. La somme que j'ai le droit de gagner en cumulant un emploi avec la retraite est un pourcentage de ma retraite... ridicule. Et ça ne me permet pas de cotiser pour augmenter ma retraite, dont le montant est définitif. Cette possibilité ne s’offre par ailleurs à moi que jusqu'à fin octobre : je crains que l'invalidité à 80% ne soit pas reconduite ensuite. Pas de poste dans ma matière à St Cyr ni la légion. Je regarderai tous les ans. Je demande aussi ma mutation, sans grand espoir. D'autant que depuis qu'on a déménagé j'ai moins de possibilités géographiquement.
- Clecle78Bon génie
Il finira bien par y avoir une opportunité, soit en mutation soit en détachement. J'ai eu mon premier poste en lycée de façon tout à fait inattendue ,(collègue mutée en fac début juin) et il y a 3 ans un super lycée qui n'apparaissait nulle part (départ en retraite tardif l'année précédente et poste remis au mouvement sans tambour ni trompette). Quand j'ai décidé de me rapprocher de mon domicile actuel à la campagne j'ai laissé mon super poste en ville à une collègue qui n'en revenait pas. Je croise les doigts pour toi. Une bonne surprise peut toujours se produire.
- lene75Prophète
Merci. Oui, je vais continuer à chercher. Ma situation n'est pas catastrophique non plus, mais je ne me vois pas rester là 20 ou 30 ans avec des conditions chaque année plus difficiles. Je peux attendre tout en faisant ce qu'il faut pour ne pas rater l'occasion rare.
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- JennyMédiateur
Pour la légion, les postes de philo sont à Saint-Denis, non ?
- PonocratesExpert spécialisé
Le collège est à St-Germain en Laye, le lycée à St-Denis, en effet.Jenny a écrit:Pour la légion, les postes de philo sont à Saint-Denis, non ?
_________________
"If you think education is too expensive, try ignorance ! "
"As-tu donc oublié que ton libérateur,
C'est le livre ? "
- JennyMédiateur
Merci pour la confirmation, il me semblait bien.
- lene75Prophète
Ah zut, c'est de toute façon très loin pour moi, alors (déjà St Germain c'est pas non plus complètement la porte à côté).
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum