- RosanetteEsprit éclairé
sifi a écrit:Nous discutons beaucoup en ce moment avec les collègues de philo pour donner un maximum de cohérence à la spé, que ce soit en 1re ou en terminale.
En première nous n'allons pas forcer sur les oeuvres intégrales: le programme en lettres leur fera déjà un choc, il ne faut pas vouloir en faire trop. Nous pensions à une oeuvre intégrale courte par semestre, qui serait étudiée en lettres et en philo.
Pour le premier semestre, j'envisageais L'Odyssée, et le collègue me propose la Médée de Sénèque (qu'il faut que je lise, je ne crois pas l'avoir déjà lue en entier, pour l'instant je ne vois pas trop quoi y faire concernant la parole). On a laissé le 2ème semestre en stand by pour l'instant, on va déjà dégrossir le 1er.
En terminale en revanche j'ai l'intention de les faire pas mal lire: ils n'auront plus de matières qui leur demanderont beaucoup de lecture, donc on peut se lâcher. Pour l'instant, je pensais à Aurélia de Nerval, et il est certain que nous allons travailler W de Perec qui se prête à merveille au programme. En plus, je suis une groupie de Perec, et l'enseigner est mon rêve depuis longtemps. Pour le reste, nous y réfléchissons.
Pour les deux niveaux nous allons aussi insister sur le culturel: ils iront voir les films proposés par Lycéens au cinéma (avec leurs professeurs d'anglais, comme ça ça n'empiètera pas sur nos horaires et nous pourrons quand même les exploiter :diable: ) , et nous irons voir plusieurs pièces de théâtre comme nous avons un accord avec le théâtre de la ville.
Nous prévoyons également une sortie par niveau: bibliothèque Humaniste de Sélestat et Musée Unterlinden à Colmar pour les 1eres, et musée d'art contemporain de Bâle pour les terminales. Joie, bonheur, petits oiseaux!
Faux pour la spé LLCE si vous en avez dans vos groupes de term ; en anglais deux œuvres littéraires à lire + 1 film à étudier d'ici les épreuves de mars.
- sifiÉrudit
Rosanette a écrit:sifi a écrit:Nous discutons beaucoup en ce moment avec les collègues de philo pour donner un maximum de cohérence à la spé, que ce soit en 1re ou en terminale.
En première nous n'allons pas forcer sur les oeuvres intégrales: le programme en lettres leur fera déjà un choc, il ne faut pas vouloir en faire trop. Nous pensions à une oeuvre intégrale courte par semestre, qui serait étudiée en lettres et en philo.
Pour le premier semestre, j'envisageais L'Odyssée, et le collègue me propose la Médée de Sénèque (qu'il faut que je lise, je ne crois pas l'avoir déjà lue en entier, pour l'instant je ne vois pas trop quoi y faire concernant la parole). On a laissé le 2ème semestre en stand by pour l'instant, on va déjà dégrossir le 1er.
En terminale en revanche j'ai l'intention de les faire pas mal lire: ils n'auront plus de matières qui leur demanderont beaucoup de lecture, donc on peut se lâcher. Pour l'instant, je pensais à Aurélia de Nerval, et il est certain que nous allons travailler W de Perec qui se prête à merveille au programme. En plus, je suis une groupie de Perec, et l'enseigner est mon rêve depuis longtemps. Pour le reste, nous y réfléchissons.
Pour les deux niveaux nous allons aussi insister sur le culturel: ils iront voir les films proposés par Lycéens au cinéma (avec leurs professeurs d'anglais, comme ça ça n'empiètera pas sur nos horaires et nous pourrons quand même les exploiter :diable: ) , et nous irons voir plusieurs pièces de théâtre comme nous avons un accord avec le théâtre de la ville.
Nous prévoyons également une sortie par niveau: bibliothèque Humaniste de Sélestat et Musée Unterlinden à Colmar pour les 1eres, et musée d'art contemporain de Bâle pour les terminales. Joie, bonheur, petits oiseaux!
Faux pour la spé LLCE si vous en avez dans vos groupes de term ; en anglais deux œuvres littéraires à lire + 1 film à étudier d'ici les épreuves de mars.
Merci Rosanette, je le savais mais je l'ai zappé. Bon, ils devraient pouvoir y arriver quand même!
- Clecle78Bon génie
Spé lca deux oeuvres aussi
- RosanetteEsprit éclairé
Oui oui et il faut les faire lire, c'est juste pour pas se faire recevoir sur le fait que dans les autres spé on leur donne plus d'œuvres intégrales à lire !sifi a écrit:Merci Rosanette, je le savais mais je l'ai zappé. Bon, ils devraient pouvoir y arriver quand même!Rosanette a écrit:Faux pour la spé LLCE si vous en avez dans vos groupes de term ; en anglais deux œuvres littéraires à lire + 1 film à étudier d'ici les épreuves de mars.sifi a écrit:Nous discutons beaucoup en ce moment avec les collègues de philo pour donner un maximum de cohérence à la spé, que ce soit en 1re ou en terminale.
En première nous n'allons pas forcer sur les oeuvres intégrales: le programme en lettres leur fera déjà un choc, il ne faut pas vouloir en faire trop. Nous pensions à une oeuvre intégrale courte par semestre, qui serait étudiée en lettres et en philo.
Pour le premier semestre, j'envisageais L'Odyssée, et le collègue me propose la Médée de Sénèque (qu'il faut que je lise, je ne crois pas l'avoir déjà lue en entier, pour l'instant je ne vois pas trop quoi y faire concernant la parole). On a laissé le 2ème semestre en stand by pour l'instant, on va déjà dégrossir le 1er.
En terminale en revanche j'ai l'intention de les faire pas mal lire: ils n'auront plus de matières qui leur demanderont beaucoup de lecture, donc on peut se lâcher. Pour l'instant, je pensais à Aurélia de Nerval, et il est certain que nous allons travailler W de Perec qui se prête à merveille au programme. En plus, je suis une groupie de Perec, et l'enseigner est mon rêve depuis longtemps. Pour le reste, nous y réfléchissons.
Pour les deux niveaux nous allons aussi insister sur le culturel: ils iront voir les films proposés par Lycéens au cinéma (avec leurs professeurs d'anglais, comme ça ça n'empiètera pas sur nos horaires et nous pourrons quand même les exploiter :diable: ) , et nous irons voir plusieurs pièces de théâtre comme nous avons un accord avec le théâtre de la ville.
Nous prévoyons également une sortie par niveau: bibliothèque Humaniste de Sélestat et Musée Unterlinden à Colmar pour les 1eres, et musée d'art contemporain de Bâle pour les terminales. Joie, bonheur, petits oiseaux!
D'ailleurs quelques ponts possibles entre la HLP et LLCE en term, autour de l'écriture du moi, de l'apprentissage (+ Jane Eyre comme œuvre possible au programme en LLCE).
- sifiÉrudit
J'adoooore Jane Eyre!! Il faut que je voie ça avec le collège de LLCE. Je suis aussi une grande fan de Jane Austen, je pense d'ailleurs en recaser un extrait quelque part!Rosanette a écrit:Oui oui et il faut les faire lire, c'est juste pour pas se faire recevoir sur le fait que dans les autres spé on leur donne plus d'œuvres intégrales à lire !sifi a écrit:Merci Rosanette, je le savais mais je l'ai zappé. Bon, ils devraient pouvoir y arriver quand même!Rosanette a écrit:Faux pour la spé LLCE si vous en avez dans vos groupes de term ; en anglais deux œuvres littéraires à lire + 1 film à étudier d'ici les épreuves de mars.sifi a écrit:Nous discutons beaucoup en ce moment avec les collègues de philo pour donner un maximum de cohérence à la spé, que ce soit en 1re ou en terminale.
En première nous n'allons pas forcer sur les oeuvres intégrales: le programme en lettres leur fera déjà un choc, il ne faut pas vouloir en faire trop. Nous pensions à une oeuvre intégrale courte par semestre, qui serait étudiée en lettres et en philo.
Pour le premier semestre, j'envisageais L'Odyssée, et le collègue me propose la Médée de Sénèque (qu'il faut que je lise, je ne crois pas l'avoir déjà lue en entier, pour l'instant je ne vois pas trop quoi y faire concernant la parole). On a laissé le 2ème semestre en stand by pour l'instant, on va déjà dégrossir le 1er.
En terminale en revanche j'ai l'intention de les faire pas mal lire: ils n'auront plus de matières qui leur demanderont beaucoup de lecture, donc on peut se lâcher. Pour l'instant, je pensais à Aurélia de Nerval, et il est certain que nous allons travailler W de Perec qui se prête à merveille au programme. En plus, je suis une groupie de Perec, et l'enseigner est mon rêve depuis longtemps. Pour le reste, nous y réfléchissons.
Pour les deux niveaux nous allons aussi insister sur le culturel: ils iront voir les films proposés par Lycéens au cinéma (avec leurs professeurs d'anglais, comme ça ça n'empiètera pas sur nos horaires et nous pourrons quand même les exploiter :diable: ) , et nous irons voir plusieurs pièces de théâtre comme nous avons un accord avec le théâtre de la ville.
Nous prévoyons également une sortie par niveau: bibliothèque Humaniste de Sélestat et Musée Unterlinden à Colmar pour les 1eres, et musée d'art contemporain de Bâle pour les terminales. Joie, bonheur, petits oiseaux!
D'ailleurs quelques ponts possibles entre la HLP et LLCE en term, autour de l'écriture du moi, de l'apprentissage (+ Jane Eyre comme œuvre possible au programme en LLCE).
- AphrodissiaMonarque
Rosanette a écrit:sifi a écrit:Nous discutons beaucoup en ce moment avec les collègues de philo pour donner un maximum de cohérence à la spé, que ce soit en 1re ou en terminale.
En première nous n'allons pas forcer sur les oeuvres intégrales: le programme en lettres leur fera déjà un choc, il ne faut pas vouloir en faire trop. Nous pensions à une oeuvre intégrale courte par semestre, qui serait étudiée en lettres et en philo.
Pour le premier semestre, j'envisageais L'Odyssée, et le collègue me propose la Médée de Sénèque (qu'il faut que je lise, je ne crois pas l'avoir déjà lue en entier, pour l'instant je ne vois pas trop quoi y faire concernant la parole). On a laissé le 2ème semestre en stand by pour l'instant, on va déjà dégrossir le 1er.
En terminale en revanche j'ai l'intention de les faire pas mal lire: ils n'auront plus de matières qui leur demanderont beaucoup de lecture, donc on peut se lâcher. Pour l'instant, je pensais à Aurélia de Nerval, et il est certain que nous allons travailler W de Perec qui se prête à merveille au programme. En plus, je suis une groupie de Perec, et l'enseigner est mon rêve depuis longtemps. Pour le reste, nous y réfléchissons.
Pour les deux niveaux nous allons aussi insister sur le culturel: ils iront voir les films proposés par Lycéens au cinéma (avec leurs professeurs d'anglais, comme ça ça n'empiètera pas sur nos horaires et nous pourrons quand même les exploiter :diable: ) , et nous irons voir plusieurs pièces de théâtre comme nous avons un accord avec le théâtre de la ville.
Nous prévoyons également une sortie par niveau: bibliothèque Humaniste de Sélestat et Musée Unterlinden à Colmar pour les 1eres, et musée d'art contemporain de Bâle pour les terminales. Joie, bonheur, petits oiseaux!
Faux pour la spé LLCE si vous en avez dans vos groupes de term ; en anglais deux œuvres littéraires à lire + 1 film à étudier d'ici les épreuves de mars.
Clecle78 a écrit:Spé lca deux oeuvres aussi
Peu importe, en fait, qu'ils aient des livres à lire par ailleurs: les élèves ont choisi une spécialité littéraire, il est normal qu'ils lisent. Un livre par semestre en 1e, un peu plus en terminale, cela me semble bien.
@Sifi, tu as pensé à Aurélia et moi à Sylvie avec une incursion dans les Chimères.
_________________
Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- sifiÉrudit
Oups... je me suis mélangé les crayons avec Nerval! Il est temps que je relise! :lol:
- glucheNiveau 10
Je pensais aussi à Si c'est un Homme qu'on peut exploiter aussi pour le thème "L'humain et ses limites".Florizelle a écrit:[
En Terminale, je pense étudier Le Rapport de Brodeck de Claudel pour le thème "Histoire et violence". Mais je suis encore en quête des autres oeuvres...
Il y a la parole performative de Médée dans sa prière initiale (très beau texte) qui est en même temps une perversion du rituel de l'épithalame, la parole rusée de Médée qui prend un visage humain pour obtenir de Créon une journée de délai avant son exil et sans doute d'autres choses encore.sifi a écrit:
Pour le premier semestre, j'envisageais L'Odyssée, et le collègue me propose la Médée de Sénèque (qu'il faut que je lise, je ne crois pas l'avoir déjà lue en entier, pour l'instant je ne vois pas trop quoi y faire concernant la parole).
- sifiÉrudit
@gluche merci pour ces précisions.
J'ai la pièce dans ma bibliothèque, je vais la relire.
J'ai la pièce dans ma bibliothèque, je vais la relire.
- EoleNiveau 9
Bonsoir à tous,
Je récupère les HLP terminale l'an prochain, et à force de parcourir les fils de discussion et le bo, j'ai dû louper une réponse à une question pourtant basique... Je vois à peu près qu'il faut faire réfléchir les élèves sur différents aspects d'un thème, mais concrètement, comment ? l'étude de texte ? telle que pratiquée en 1ère (que ce soit dans l'ancien ou le nouveau programme), ça ne me paraît pas être ce qu'on demande. Des études de corpus ? De l'histoire des arts ?
Bref, je compte donner des lectures cursives et sélectionner des textes, mais je n'arrive toujours pas à saisir comment se passe concrètement une heure de cours.
Merci d'avance pour vos réponses.
Je récupère les HLP terminale l'an prochain, et à force de parcourir les fils de discussion et le bo, j'ai dû louper une réponse à une question pourtant basique... Je vois à peu près qu'il faut faire réfléchir les élèves sur différents aspects d'un thème, mais concrètement, comment ? l'étude de texte ? telle que pratiquée en 1ère (que ce soit dans l'ancien ou le nouveau programme), ça ne me paraît pas être ce qu'on demande. Des études de corpus ? De l'histoire des arts ?
Bref, je compte donner des lectures cursives et sélectionner des textes, mais je n'arrive toujours pas à saisir comment se passe concrètement une heure de cours.
Merci d'avance pour vos réponses.
- The PaperHabitué du forum
Je compte essentiellement proposer des corpus. Mais j'avoue, en parcourant la banque de sujets, que je vois mal en quoi mes cours vont vraiment aider les élèves à affronter l'épreuve. Par exemple, pour le thème L'art de la parole, je compte reprendre la distinction aristotélicienne judiciaire/délibératif/épidictique pour montrer les caractéristiques de chacune de ces catégories. Je n'ai pas vu que ça puisse être réinvesti dans les sujets.
_________________
- Publicité:
- Etude de "Manon Lescaut" https://www.amazon.fr/dp/B0B8BM227F
"Cahier de Douai" + étude https://www.amazon.fr/dp/B0CF4CWMPH
Etude du Menteur de Corneille : https://www.amazon.fr/dp/B0DG31W66J
Etude du "Malade imaginaire" https://www.amazon.fr/dp/B08D54RDYF
Etude de la "Déclaration des droits de la femme" : https://www.amazon.fr/dp/B09B7DHTXP
Etude de "La princesse de Clèves" : https://www.amazon.fr/dp/B07VWGR4L4
"Bataille de dames" + étude https://www.amazon.fr/dp/B09FC7XCW4
"Les Romanesques" + étude : https://www.amazon.fr/dp/B0DC78GZR9
"Bisclavret" et "Le laüstic" + dossier sur le loup https://www.amazon.fr/dp/B0CGL84111
- sifiÉrudit
Pour ma part également, j'ai surtout prévu des corpus. Je ne vois pas comment traiter efficacement ce programme tout de même très vaste, en 2h/semaine, sans proposer des textes assez nombreux.
De temps en temps je vais alterner avec l'étude plus approfondie d'un texte précis, en fonction d'une question "type examen", mais effectivement, je trouve que même les questions ou les sujets dits "littéraires" sont orientés philo... Mais j'imagine qu'ils vont devoir appuyer leur argumentaire sur des procédés littéraires, et donc par exemple savoir identifier les 3 types de discours selon Aristote?
Je vais aussi proposer l'une ou l'autre étude filmique, et quelques œuvres d'art. Pas de commentaire "formel", ils auront bien assez à faire en cours de français.
De temps en temps je vais alterner avec l'étude plus approfondie d'un texte précis, en fonction d'une question "type examen", mais effectivement, je trouve que même les questions ou les sujets dits "littéraires" sont orientés philo... Mais j'imagine qu'ils vont devoir appuyer leur argumentaire sur des procédés littéraires, et donc par exemple savoir identifier les 3 types de discours selon Aristote?
Je vais aussi proposer l'une ou l'autre étude filmique, et quelques œuvres d'art. Pas de commentaire "formel", ils auront bien assez à faire en cours de français.
- RuthvenGuide spirituel
La liste des essais de la banque classée en fonction de la discipline pour 1S1 (cela peut toujours être utile) :
Question de réflexion (littérature)
Aimer le « beau langage » suffit-il à bien parler ? (4, Denys d’Halicarnasse)
A-t-on besoin d’un guide pour la lecture des textes littéraires et philosophiques ? (18, Galilée)
Comment s’assurer de la sincérité d’une parole ? (79, Machiavel)
Dans quelle mesure une œuvre littéraire peut-elle être transgressive ? (76, Foucault)
Faut-il connaître le sens de chaque mot pour apprécier une œuvre littéraire ? (75, Aristote)
Jusqu’où peut-on se laisser abuser par la parole (45, Arendt)
La création littéraire et artistique vise-t-elle à « partager le monde avec d’autres hommes » ? (77, Arendt)
La création littéraire vous semble-t-elle permettre de « relativiser le monde » ? (53, Wolff)
La littérature est-elle, elle aussi, une « technique de combat » ? (88, Platon)
La parole a-t-elle davantage de pouvoir sur scène ? (49, Nietzsche)
La parole d’un écrivain est-elle toujours une quête de vérité ? (47, Foucault)
La parole engagée peut-elle être séduisante ? (44, Sartre)
La parole théâtrale peut-elle séduire tous les publics ? (48, Molière)
La rhétorique s’éloigne-t-elle « presque toujours » du bon sens et de la sagesse ? (37, Hobbes)
On appelle « déontologie » la morale propre à un métier, une profession. Selon vous, la création littéraire implique-t-elle le respect d’une déontologie ? (51, Wolff)
Pensez-vous que « les hommes aiment trompés et être trompés » dans le domaine de la parole ? (40, Locke)
Poètes, romanciers et dramaturges vous semblent-ils, comme l’orateur, « envoyer promener le vrai » ? (52, Platon)
Qu’apporte la littérature à la consolation ? (80, Cicéron)
Qu'est-ce que bien parler ? (19, Arnauld/Nicole)
Selon vous, à quel(s) « usage(s) spécifique(s) » de la parole, tels que les entend Hobbes, la création littéraire pourrait-elle correspondre ? (55, Hobbes)
Selon vous, peut-on distinguer ce qu’on a à dire de la manière de le dire ? (46, Arnauld/Nicole)
Selon vous, qui parle quand un auteur écrit ? (54, Wolff)
Selon vous, une œuvre littéraire ou artistique peut-elle ne pas être politique ? (78, Arendt)
Y a-t-il des dangers à susciter les émotions d’un auditoire ? (86, Cicéron)
Question de réflexion (philosophie)
Avons-nous un devoir de parole envers ceux qui souffrent ? (71, Malherbe)
Bavarder, est-ce renoncer à toute raison ? (5, La Bruyère)
Des paroles peuvent-elles apaiser la fureur ? (30, Virgile)
En quoi la parole séductrice a-t-elle besoin du consentement de ses auditeurs ? (41, Donneau de Visé, Corneille)
Face à deux personnes qui argumentent de manière opposée sur un même sujet, sommes-nous en mesure de savoir qui a raison ? (31, Chrétien de Troyes)
Faut-il maîtriser la parole pour avoir le droit de parler ? (43, Modiano)
Faut-il opposer la parole à l’action ? (67, Démosthène)
L’éloquence peut-elle être naturelle ? (39, De Scudéry)
La parole a-t-elle toujours pour seul but de révéler une vérité ? (72, Racine)
La parole peut-elle être violente ? (26, La Fontaine)
La parole peut-elle vraiment dissimuler nos intentions ? (33, Molière)
La parole qui pardonne est-elle suffisamment forte pour effacer la faute ? (45, Corneille)
La puissance symbolique de la parole permet-elle une juste représentation de la réalité ? (68, Eschyle)
Le discours doit-il toujours être utile ? (6, La Fontaine)
Le discours savant peut-il engendrer un abus de pouvoir ? (9, Molière)
Le pouvoir de persuader a-t-il pour seule limite le manque d’habileté de celui qui parle ? (73, Roman de Renart)
Ne pas tout dévoiler, est-ce nécessairement dissimuler ? (3, Du Bellay)
Parler habilement, est-ce toujours mentir ? (74, Beaujeu)
Parler, n’est-ce que communiquer ? (89, Novarina)
Pour convaincre, ne s’adresse-on qu’à la raison ? (28, Homère)
Pourquoi la censure est-elle nécessaire à la parole ? (1, Castiglione)
Que risque-t-on à défendre une cause en s’appuyant sur des sentiments ? (34, De StaËl)
Que vaut la parole, sans le geste ? (38, Shakespeare)
Quel rôle la parole joue-t-elle dans l’amour ? (8, Guillaume de Lorris)
Quel sens donner au silence ? (36, La Rochefoucauld)
Quelle est la place de la parole dans le sentiment amoureux ? (50, Rostand)
Quels bénéfices peut-on tirer du faire d’exprimer ses émotions par la parole ? (32, Garnier)
Séduire autrui par la parole, est-ce nécessairement le tromper ? (7, La Fontaine)
Suffit-il de dialoguer pour surmonter un désaccord ? (70, Rotrou)
Tenter de convaincre le passionné par des arguments peut-il réussir ? (29, Sophocle)
Toute démonstration requiert-elle de l’éloquence ? (2, Cicéron)
Un discours peut-il n’avoir aucun sens ? (35, De Staël)
Une parole qui cherche à séduire peut-elle être sincère ? (69, Ovide)
Question de réflexion (littérature)
Aimer le « beau langage » suffit-il à bien parler ? (4, Denys d’Halicarnasse)
A-t-on besoin d’un guide pour la lecture des textes littéraires et philosophiques ? (18, Galilée)
Comment s’assurer de la sincérité d’une parole ? (79, Machiavel)
Dans quelle mesure une œuvre littéraire peut-elle être transgressive ? (76, Foucault)
Faut-il connaître le sens de chaque mot pour apprécier une œuvre littéraire ? (75, Aristote)
Jusqu’où peut-on se laisser abuser par la parole (45, Arendt)
La création littéraire et artistique vise-t-elle à « partager le monde avec d’autres hommes » ? (77, Arendt)
La création littéraire vous semble-t-elle permettre de « relativiser le monde » ? (53, Wolff)
La littérature est-elle, elle aussi, une « technique de combat » ? (88, Platon)
La parole a-t-elle davantage de pouvoir sur scène ? (49, Nietzsche)
La parole d’un écrivain est-elle toujours une quête de vérité ? (47, Foucault)
La parole engagée peut-elle être séduisante ? (44, Sartre)
La parole théâtrale peut-elle séduire tous les publics ? (48, Molière)
La rhétorique s’éloigne-t-elle « presque toujours » du bon sens et de la sagesse ? (37, Hobbes)
On appelle « déontologie » la morale propre à un métier, une profession. Selon vous, la création littéraire implique-t-elle le respect d’une déontologie ? (51, Wolff)
Pensez-vous que « les hommes aiment trompés et être trompés » dans le domaine de la parole ? (40, Locke)
Poètes, romanciers et dramaturges vous semblent-ils, comme l’orateur, « envoyer promener le vrai » ? (52, Platon)
Qu’apporte la littérature à la consolation ? (80, Cicéron)
Qu'est-ce que bien parler ? (19, Arnauld/Nicole)
Selon vous, à quel(s) « usage(s) spécifique(s) » de la parole, tels que les entend Hobbes, la création littéraire pourrait-elle correspondre ? (55, Hobbes)
Selon vous, peut-on distinguer ce qu’on a à dire de la manière de le dire ? (46, Arnauld/Nicole)
Selon vous, qui parle quand un auteur écrit ? (54, Wolff)
Selon vous, une œuvre littéraire ou artistique peut-elle ne pas être politique ? (78, Arendt)
Y a-t-il des dangers à susciter les émotions d’un auditoire ? (86, Cicéron)
Question de réflexion (philosophie)
Avons-nous un devoir de parole envers ceux qui souffrent ? (71, Malherbe)
Bavarder, est-ce renoncer à toute raison ? (5, La Bruyère)
Des paroles peuvent-elles apaiser la fureur ? (30, Virgile)
En quoi la parole séductrice a-t-elle besoin du consentement de ses auditeurs ? (41, Donneau de Visé, Corneille)
Face à deux personnes qui argumentent de manière opposée sur un même sujet, sommes-nous en mesure de savoir qui a raison ? (31, Chrétien de Troyes)
Faut-il maîtriser la parole pour avoir le droit de parler ? (43, Modiano)
Faut-il opposer la parole à l’action ? (67, Démosthène)
L’éloquence peut-elle être naturelle ? (39, De Scudéry)
La parole a-t-elle toujours pour seul but de révéler une vérité ? (72, Racine)
La parole peut-elle être violente ? (26, La Fontaine)
La parole peut-elle vraiment dissimuler nos intentions ? (33, Molière)
La parole qui pardonne est-elle suffisamment forte pour effacer la faute ? (45, Corneille)
La puissance symbolique de la parole permet-elle une juste représentation de la réalité ? (68, Eschyle)
Le discours doit-il toujours être utile ? (6, La Fontaine)
Le discours savant peut-il engendrer un abus de pouvoir ? (9, Molière)
Le pouvoir de persuader a-t-il pour seule limite le manque d’habileté de celui qui parle ? (73, Roman de Renart)
Ne pas tout dévoiler, est-ce nécessairement dissimuler ? (3, Du Bellay)
Parler habilement, est-ce toujours mentir ? (74, Beaujeu)
Parler, n’est-ce que communiquer ? (89, Novarina)
Pour convaincre, ne s’adresse-on qu’à la raison ? (28, Homère)
Pourquoi la censure est-elle nécessaire à la parole ? (1, Castiglione)
Que risque-t-on à défendre une cause en s’appuyant sur des sentiments ? (34, De StaËl)
Que vaut la parole, sans le geste ? (38, Shakespeare)
Quel rôle la parole joue-t-elle dans l’amour ? (8, Guillaume de Lorris)
Quel sens donner au silence ? (36, La Rochefoucauld)
Quelle est la place de la parole dans le sentiment amoureux ? (50, Rostand)
Quels bénéfices peut-on tirer du faire d’exprimer ses émotions par la parole ? (32, Garnier)
Séduire autrui par la parole, est-ce nécessairement le tromper ? (7, La Fontaine)
Suffit-il de dialoguer pour surmonter un désaccord ? (70, Rotrou)
Tenter de convaincre le passionné par des arguments peut-il réussir ? (29, Sophocle)
Toute démonstration requiert-elle de l’éloquence ? (2, Cicéron)
Un discours peut-il n’avoir aucun sens ? (35, De Staël)
Une parole qui cherche à séduire peut-elle être sincère ? (69, Ovide)
- EoleNiveau 9
Merci beaucoup pour ces éclairages.
C'est vrai que vu le temps dont on dispose, on ne peut pas se permettre d'aller au fond des textes. En plus, j'ai le niveau terminal, je pense que les élèves étaient bien contents de ne plus avoir d'études de texte avec des analyses stylistiques poussées...
Mais vous avez raison qu'il y a l'air d'avoir un gouffre entre la manière dont on peut mener les cours et l'épreuve elle-même...
Et en effet, même côté littéraire, c'est quand même orienté philo, ça me gêne pas mal...
C'est vrai que vu le temps dont on dispose, on ne peut pas se permettre d'aller au fond des textes. En plus, j'ai le niveau terminal, je pense que les élèves étaient bien contents de ne plus avoir d'études de texte avec des analyses stylistiques poussées...
Mais vous avez raison qu'il y a l'air d'avoir un gouffre entre la manière dont on peut mener les cours et l'épreuve elle-même...
Et en effet, même côté littéraire, c'est quand même orienté philo, ça me gêne pas mal...
- sifiÉrudit
Merci pour le partage Ruthven.
Ceci dit, je trouve ces sujets plus affolants qu'autre chose: c'est très théorique, et tire plus sur la philo que sur la littérature, je trouve. Je crois que ça va être très difficile à travailler avec eux, d'autant plus qu'ils auront manqué de méthodologie avec le confinement...
Ceci dit, je trouve ces sujets plus affolants qu'autre chose: c'est très théorique, et tire plus sur la philo que sur la littérature, je trouve. Je crois que ça va être très difficile à travailler avec eux, d'autant plus qu'ils auront manqué de méthodologie avec le confinement...
- RuthvenGuide spirituel
Même partage pour 1S2 :
Question de réflexion (littérature)
Qu’apporte la lecture des œuvres du passé consacrées à la découverte des nouveaux mondes au lecteur d’aujourd’hui ? (27, Fontenelle)
En quoi les écrivains sont-ils des guides dans les voyages imaginaires qu’ils proposent ? (25, Rousseau)
Un récit de voyage doit-il être objectif pour être intéressant ? (60, Rousseau)
En quoi l’écriture de voyage conduit-elle à une réflexion morale ? (57, Bougainville)
La littérature peut-elle nous aider à comprendre ce que d’abord nous serions portés à condamner ? (93, Voltaire)
En quoi la rencontre d’autres cultures modifie-t-elle le regard que l’on porte sur la sienne ? (24, Rousseau)
La confrontation à l’autre ouvre-t-elle toujours l’esprit ? (90, Prevost d’Exiles)
« Tout ce qui nous semble extraordinaire, nous le condamnons, et aussi ce que nous ne comprenons pas » : la littérature et les arts permettent-ils de dépasser cette attitude ? (64, Montaigne)
En quoi consiste la magie de la peinture ? (17, Jaucourt)
Les fictions peuvent-elles rendre compte de la réalité ? (20, Pascal)
Imaginer, est-ce s’éloigner de la vérité ? (85, Lucien)
A quelles conditions les fictions sont-elles capables de satisfaire notre esprit ? (12, Bacon)
Peut-on vivre dans une fiction ? (87, Cervantès)Le discours scientifique est-il le seul valable pour décrire le monde ? (13, Buffon)
La littérature a-t-elle pour mission de prêter une voix à celles et ceux qui n’en ont pas ? (65, Diderot)
Les ouvrages de fiction mettant en scène des animaux conduisent-ils à leur attribuer une intelligence ? (23, More)
Qu’apporte le comique à la réflexion sur l’homme ? (58, Cyrano de Bergerac)
« L’homme n’est pas un animal comme les autres » : est-ce si évident ? (22, Condillac)
Que dit la situation de l’enfant sauvage des limites entre l’homme et l’animal ? (11, Condillac)
Quel intérêt y a-t-il selon vous à comparer l’homme et l’animal ? (21, Condillac)
Quels rôles fait-on jouer à l’animal dans les textes où il est mis en comparaison avec l’homme ? (15, Lamarck)
Question de réflexion (philosophie)
Que gagnent les voyages à être racontés ? (83, Poivre)
Est-ce important pour l’humanité de savoir quelle est sa place dans l’univers ? (81, Malfilâtre)
Comprendre le monde, est-ce trouver une utilité à toute chose ? (66, Diderot)
L’humanité présente-t-elle, d’après vous, des propriétés universelles, malgré la diversité des croyances et des cultures ? (16, Grandpré)
Comment en vient-on à considérer l’autre comme un sauvage ? (14, Voltaire)
Les échanges entre les peuples induisent-ils nécessairement des rapports de force ? (56, Bougainville)
Devons-nous maîtriser la nature pour dominer nos peurs ? (61, Perrault)
L’être humain peut-il se prétendre plus intelligent que l’animal ? (82, La Bruyère)
Peut-on comprendre l’animal comme on comprend l’homme ? (59, Voltaire)
Nous est-il possible de renoncer à notre animalité ? (62, La Fontaine)
L’animal peut-il être réduit à une machine ? (91, Voltaire)
Est-il légitime d’instrumentaliser les animaux ? (92, Zola)
En quoi le monde rêvé se distingue-t-il du monde réel ? (63, Théophile de Viau)
L’imagination peut-elle favoriser la connaissance ? (84, Cyrano de Bergerac)
Le but de l’art est-il la « communication des esprits » ? (10, Bataille)
Question de réflexion (littérature)
Qu’apporte la lecture des œuvres du passé consacrées à la découverte des nouveaux mondes au lecteur d’aujourd’hui ? (27, Fontenelle)
En quoi les écrivains sont-ils des guides dans les voyages imaginaires qu’ils proposent ? (25, Rousseau)
Un récit de voyage doit-il être objectif pour être intéressant ? (60, Rousseau)
En quoi l’écriture de voyage conduit-elle à une réflexion morale ? (57, Bougainville)
La littérature peut-elle nous aider à comprendre ce que d’abord nous serions portés à condamner ? (93, Voltaire)
En quoi la rencontre d’autres cultures modifie-t-elle le regard que l’on porte sur la sienne ? (24, Rousseau)
La confrontation à l’autre ouvre-t-elle toujours l’esprit ? (90, Prevost d’Exiles)
« Tout ce qui nous semble extraordinaire, nous le condamnons, et aussi ce que nous ne comprenons pas » : la littérature et les arts permettent-ils de dépasser cette attitude ? (64, Montaigne)
En quoi consiste la magie de la peinture ? (17, Jaucourt)
Les fictions peuvent-elles rendre compte de la réalité ? (20, Pascal)
Imaginer, est-ce s’éloigner de la vérité ? (85, Lucien)
A quelles conditions les fictions sont-elles capables de satisfaire notre esprit ? (12, Bacon)
Peut-on vivre dans une fiction ? (87, Cervantès)Le discours scientifique est-il le seul valable pour décrire le monde ? (13, Buffon)
La littérature a-t-elle pour mission de prêter une voix à celles et ceux qui n’en ont pas ? (65, Diderot)
Les ouvrages de fiction mettant en scène des animaux conduisent-ils à leur attribuer une intelligence ? (23, More)
Qu’apporte le comique à la réflexion sur l’homme ? (58, Cyrano de Bergerac)
« L’homme n’est pas un animal comme les autres » : est-ce si évident ? (22, Condillac)
Que dit la situation de l’enfant sauvage des limites entre l’homme et l’animal ? (11, Condillac)
Quel intérêt y a-t-il selon vous à comparer l’homme et l’animal ? (21, Condillac)
Quels rôles fait-on jouer à l’animal dans les textes où il est mis en comparaison avec l’homme ? (15, Lamarck)
Question de réflexion (philosophie)
Que gagnent les voyages à être racontés ? (83, Poivre)
Est-ce important pour l’humanité de savoir quelle est sa place dans l’univers ? (81, Malfilâtre)
Comprendre le monde, est-ce trouver une utilité à toute chose ? (66, Diderot)
L’humanité présente-t-elle, d’après vous, des propriétés universelles, malgré la diversité des croyances et des cultures ? (16, Grandpré)
Comment en vient-on à considérer l’autre comme un sauvage ? (14, Voltaire)
Les échanges entre les peuples induisent-ils nécessairement des rapports de force ? (56, Bougainville)
Devons-nous maîtriser la nature pour dominer nos peurs ? (61, Perrault)
L’être humain peut-il se prétendre plus intelligent que l’animal ? (82, La Bruyère)
Peut-on comprendre l’animal comme on comprend l’homme ? (59, Voltaire)
Nous est-il possible de renoncer à notre animalité ? (62, La Fontaine)
L’animal peut-il être réduit à une machine ? (91, Voltaire)
Est-il légitime d’instrumentaliser les animaux ? (92, Zola)
En quoi le monde rêvé se distingue-t-il du monde réel ? (63, Théophile de Viau)
L’imagination peut-elle favoriser la connaissance ? (84, Cyrano de Bergerac)
Le but de l’art est-il la « communication des esprits » ? (10, Bataille)
- naujeNiveau 9
Bonsoir à tous,
Comment accueillez-vous une interprétation littéraire qui prend la forme d'une analyse linéaire?
et attendez-vous au sein de cette même interprétation des renvois à d'autres œuvres?
( j'ai une élève qui se pose cela comme contrainte ....)
merci de vos avis !
J'ai envie de dire oui pour l'analyse linéaire parce que nous n'avons pas d'attendu précis.
Comment accueillez-vous une interprétation littéraire qui prend la forme d'une analyse linéaire?
et attendez-vous au sein de cette même interprétation des renvois à d'autres œuvres?
( j'ai une élève qui se pose cela comme contrainte ....)
merci de vos avis !
J'ai envie de dire oui pour l'analyse linéaire parce que nous n'avons pas d'attendu précis.
- ovidianaNiveau 5
Même si la forme que peut prendre leur travail est assez libre, il ne me semble pas qu'une analyse linéaire puisse être qualifiée "d'essai". Il me semble que cela doit rester une réflexion problématisée, avec une vraie argumentation structurée, même si ce n'est pas aussi strict qu'une dissertation. Le texte apparaît plus comme un support de réflexion, et son explication doit permettre d'établir un dialogue avec d'autres oeuvres et et de brasser les questions abordées dans le cadre du programme. C'est comme cela que je vois l'épreuve (mais je me fourvoie peut-être). Une analyse linéaire rapide est la base du travail au brouillon, mais pas le point d'arrivée.
- ovidianaNiveau 5
Chez nous, le directeur a divisé l'horaire de Terminale par deux, au motif que l'on a peu d'élèves par rapport aux autres spé... Donc on se partage 3h hebdomadaires avec ma collègue de philo. On fera des miracles, c'est sûr, à 1h30 chacune... :pleurs:
On leur donne du travail pour compléter, mais c'est plus que bancal.
On a donné à lire L'âge d'Homme de Michel Leiris pendant les vacances aux sortants de Première. Ils n'y ont pas compris grand chose visiblement. On va l'exploiter à partir de maintenant (j'avoue que je n'ai pas encore défini précisément comment...). Après, comment exploiter une OI en 1h30... Mystère non résolu encore pour l'instant...
On leur donne du travail pour compléter, mais c'est plus que bancal.
On a donné à lire L'âge d'Homme de Michel Leiris pendant les vacances aux sortants de Première. Ils n'y ont pas compris grand chose visiblement. On va l'exploiter à partir de maintenant (j'avoue que je n'ai pas encore défini précisément comment...). Après, comment exploiter une OI en 1h30... Mystère non résolu encore pour l'instant...
- AphrodissiaMonarque
Mais comment est-ce possible? Est-ce au moins légal? Que sont devenues les 3 autres heures? A qui ont-elles été données?ovidiana a écrit:Chez nous, le directeur a divisé l'horaire de Terminale par deux, au motif que l'on a peu d'élèves par rapport aux autres spé... Donc on se partage 3h hebdomadaires avec ma collègue de philo. On fera des miracles, c'est sûr, à 1h30 chacune... :pleurs:
On leur donne du travail pour compléter, mais c'est plus que bancal.
On a donné à lire L'âge d'Homme de Michel Leiris pendant les vacances aux sortants de Première. Ils n'y ont pas compris grand chose visiblement. On va l'exploiter à partir de maintenant (j'avoue que je n'ai pas encore défini précisément comment...). Après, comment exploiter une OI en 1h30... Mystère non résolu encore pour l'instant...
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- FlorizelleNiveau 1
C'est incroyable! Nous n'avons que 9 élèves en terminale mais je peine déjà avec mes 3 heures et les heures qui sautent çà et là. Courage!!!
- Clecle78Bon génie
Ce n'est pas légal car le lycée touche des dotations fléchées pour les spécialités. Visiblement ces heures servent à autre chose. Ne vous laissez pas faire.Aphrodissia a écrit:Mais comment est-ce possible? Est-ce au moins légal? Que sont devenues les 3 autres heures? A qui ont-elles été données?ovidiana a écrit:Chez nous, le directeur a divisé l'horaire de Terminale par deux, au motif que l'on a peu d'élèves par rapport aux autres spé... Donc on se partage 3h hebdomadaires avec ma collègue de philo. On fera des miracles, c'est sûr, à 1h30 chacune... :pleurs:
On leur donne du travail pour compléter, mais c'est plus que bancal.
On a donné à lire L'âge d'Homme de Michel Leiris pendant les vacances aux sortants de Première. Ils n'y ont pas compris grand chose visiblement. On va l'exploiter à partir de maintenant (j'avoue que je n'ai pas encore défini précisément comment...). Après, comment exploiter une OI en 1h30... Mystère non résolu encore pour l'instant...
- trompettemarineMonarque
Aphrodissia a écrit:Mais comment est-ce possible? Est-ce au moins légal? Que sont devenues les 3 autres heures? A qui ont-elles été données?ovidiana a écrit:Chez nous, le directeur a divisé l'horaire de Terminale par deux, au motif que l'on a peu d'élèves par rapport aux autres spé... Donc on se partage 3h hebdomadaires avec ma collègue de philo. On fera des miracles, c'est sûr, à 1h30 chacune... :pleurs:
On leur donne du travail pour compléter, mais c'est plus que bancal.
On a donné à lire L'âge d'Homme de Michel Leiris pendant les vacances aux sortants de Première. Ils n'y ont pas compris grand chose visiblement. On va l'exploiter à partir de maintenant (j'avoue que je n'ai pas encore défini précisément comment...). Après, comment exploiter une OI en 1h30... Mystère non résolu encore pour l'instant...
Si les cde ne se gênent pas pour piétiner les décrets et circulaires sur les langues anciennes, pourquoi se gêneraient-ils pour d'autres disciplines...
Ceci dit, amertume bue, ton cde est vraiment hors la loi. Contactez vos inspecteurs respectifs.
- ovidianaNiveau 5
On est dans le privé, je crois que les dotations sont plus serrées que dans le public (enfin, à ce que nous dit le directeur, mais dit-il la vérité ?). Le grand mystère, c'est effectivement de savoir ce que deviennent ces heures ! Un collègue a eu 1,5h par semaine pour préparer les élèves au Grand Oral (autre blague), en éloquence. Donc on a déjà une piste pour savoir où ils ont pris ces heures... Les langues vivantes ont aussi des heures en plus il me semble. Visiblement c'est un choix d'établissement. On a 6 élèves en Humanités en Tle. Mais on en a 16 en première, donc on va négocier dur l'an prochain pour récupérer nos 3h manquantes en terminale. Mais c'est usant ces combats permanents.
Je n'ai jamais contacté les inspecteurs. Ce n'est pas la guerre ouverte après, dans l'établissement, entre les administratifs et nous ? (d'un autre côté, ce n'est déjà pas l'amour fou...)
Je n'ai jamais contacté les inspecteurs. Ce n'est pas la guerre ouverte après, dans l'établissement, entre les administratifs et nous ? (d'un autre côté, ce n'est déjà pas l'amour fou...)
- Une passanteEsprit éclairé
ovidiana a écrit:Même si la forme que peut prendre leur travail est assez libre, il ne me semble pas qu'une analyse linéaire puisse être qualifiée "d'essai". Il me semble que cela doit rester une réflexion problématisée, avec une vraie argumentation structurée, même si ce n'est pas aussi strict qu'une dissertation. Le texte apparaît plus comme un support de réflexion, et son explication doit permettre d'établir un dialogue avec d'autres oeuvres et et de brasser les questions abordées dans le cadre du programme. C'est comme cela que je vois l'épreuve (mais je me fourvoie peut-être). Une analyse linéaire rapide est la base du travail au brouillon, mais pas le point d'arrivée.
nauje pose la question pour l'interprétation littéraire, pas pour l'essai
- naujeNiveau 9
ovidiana a écrit:On est dans le privé, je crois que les dotations sont plus serrées que dans le public (enfin, à ce que nous dit le directeur, mais dit-il la vérité ?). Le grand mystère, c'est effectivement de savoir ce que deviennent ces heures ! Un collègue a eu 1,5h par semaine pour préparer les élèves au Grand Oral (autre blague), en éloquence. Donc on a déjà une piste pour savoir où ils ont pris ces heures... Les langues vivantes ont aussi des heures en plus il me semble. Visiblement c'est un choix d'établissement. On a 6 élèves en Humanités en Tle. Mais on en a 16 en première, donc on va négocier dur l'an prochain pour récupérer nos 3h manquantes en terminale. Mais c'est usant ces combats permanents.
Je n'ai jamais contacté les inspecteurs. Ce n'est pas la guerre ouverte après, dans l'établissement, entre les administratifs et nous ? (d'un autre côté, ce n'est déjà pas l'amour fou...)
Merci pour ta réponse, je parlais de l'interprétation littéraire.
J'ai une collègue dans le privé qui 5 élèves en HLP et elle a bien ses 3 heures ! Ce sont des choix d'établissement effectivement mais attention à ne pas se faire taper sur les doigts ! Il y a des enveloppes d'heures non attribuées qui sont redistribuées pour les dédoublements par exemple ou les options. Ils ne sont pas supposés toucher aux spécialités il y a d'autres ressources possibles. Et puis pour les projets spécifiques il y a les IMP.
Parlez-en aux syndicats.
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