- roxanneOracle
Si c’etait pour faire le malin, autant aller jusqu’au bout ou alors ne rien dire. Franchement.
- KilmenyEmpereur
Voici la surprise que j'aimerais : l'application de la réforme de l'EAF retardée d'un an comme lors de la précédente réforme, parce que pour former les élèves à des épreuves dont on ignore tout mieux vaut commencer en début de seconde !
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Un petit clic pour les animaux : http://www.clicanimaux.com/catalog/accueil.php?sites_id=1
- IphigénieProphète
Ol ne s'agit pas de dresser la liste des grands écrivains. J'ai moi même fait travailler mes premières parfois aussi sur Aragon, enseigné en terminale de nombreuses années, je ne vais donc pas te contredire sur cet auteur ou tel autre. Mais tes propos m'aident à mieux cerner le problème des désaccords et voir qu'on ne le résoudra pas.Miettes a écrit:Je rebondis sur une de tes remarque de la page précédente, Iphigénie ; j'ai quelques amies qui, grâce au programme de TL, sont devenues d'ardentes lectrices de Bonnefoy ou Jacottet (qui lui aussi est tombé, me semble-t-il). Ce qui ne les empêche pas d'aimer Baudelaire. Lorsque j'avais étudié Les Yeux d'Elsa en première, notre professeure nous avait bien montré en quoi Aragon était redevable de la poésie médiévale et renaissante... études de poèmes à l'appui. Avons-nous été lésées ? n'avons-nous rien retiré de ces heures de cours ? je ne le crois pas. Il est vrai que nous nous intéressions déjà à la littérature.
(Ernaux ! je suis tombée sur un extrait des Années à l'oral du CAPES, à mon grand bonheur ; quelle immense écrivaine)
Il y a en effet derrière cette histoire de programme deux visions différentes de notre travail, me semble-il.
Pour certains, il s'agit de donner le goût (forcément le sien) du plaisir littéraire.
Pour moi, il s'agit de transmettre des connaissances.
Je ne cherche pas à me faire plaisir, ou à forcer le plaisir des élèves en leur transmettant le mien, je cherche juste à leur donner des connaissances, et au-delà, leur faire comprendre que la connaissance est un plaisir.
Le goût est toujours soumis à la mode ou à la personnalité du professeur, pas la connaissance! Boileau rejetait Marot ou Ronsard et préférait François de Malherbe, Pascal tout en haïssant le moi lisait Montaigne.
Je ne forge pas des sensibilités mais des raisonnements (qui donneront aux élèves les clés pour affirmer leur personnalité, pas pour copier la mienne), j'ai vu avec beaucoup de peine les Littéraires se transformer de "forts en thèmes" en "midinettes", pour utiliser des expressions vieillies mais bien parlantes.
C'est pour cela que l'idée d'un programme dans des limites raisonnables évidemment, me paraît utile, pour unifier ces connaissances et aussi (peut-être surtout!) revenir vers un niveau commun des classes, qui à vrai dire n'est pas assuré, y compris dans les évaluations comme le Bac (on connaît diverses stratégies), quand les uns travaillent sur Balzac et les autres sur l'oeuvre de Francis Lalanne, pour caricaturer les extrêmes.
Tout à fait d'accord avec Roxane et Kilmeny.
- NLM76Grand Maître
Oui : voilà l'essentiel. Si les littéraires ne sont plus des latinistes, des hellénistes, des grammairiens, des traducteurs, ils tournent vite au baratin et aux discussions byzantines.Iphigénie a écrit: j'ai vu avec beaucoup de peine les Littéraires se transformer de "forts en thèmes" en "midinettes", pour utiliser des expressions vieillies mais bien parlantes.
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Iphigénie a écrit:Ol ne s'agit pas de dresser la liste des grands écrivains. J'ai moi même fait travailler mes premières parfois aussi sur Aragon, enseigné en terminale de nombreuses années, je ne vais donc pas te contredire sur cet auteur ou tel autre. Mais tes propos m'aident à mieux cerner le problème des désaccords et voir qu'on ne le résoudra pas.Miettes a écrit:Je rebondis sur une de tes remarque de la page précédente, Iphigénie ; j'ai quelques amies qui, grâce au programme de TL, sont devenues d'ardentes lectrices de Bonnefoy ou Jacottet (qui lui aussi est tombé, me semble-t-il). Ce qui ne les empêche pas d'aimer Baudelaire. Lorsque j'avais étudié Les Yeux d'Elsa en première, notre professeure nous avait bien montré en quoi Aragon était redevable de la poésie médiévale et renaissante... études de poèmes à l'appui. Avons-nous été lésées ? n'avons-nous rien retiré de ces heures de cours ? je ne le crois pas. Il est vrai que nous nous intéressions déjà à la littérature.
(Ernaux ! je suis tombée sur un extrait des Années à l'oral du CAPES, à mon grand bonheur ; quelle immense écrivaine)
Il y a en effet derrière cette histoire de programme deux visions différentes de notre travail, me semble-il.
Pour certains, il s'agit de donner le goût (forcément le sien) du plaisir littéraire.
Pour moi, il s'agit de transmettre des connaissances.
Je ne cherche pas à me faire plaisir, ou à forcer le plaisir des élèves en leur transmettant le mien, je cherche juste à leur donner des connaissances, et au-delà, leur faire comprendre que la connaissance est un plaisir.
Le goût est toujours soumis à la mode ou à la personnalité du professeur, pas la connaissance! Boileau rejetait Marot ou Ronsard et préférait François de Malherbe, Pascal tout en haïssant le moi lisait Montaigne.
Je ne forge pas des sensibilités mais des raisonnements (qui donneront aux élèves les clés pour affirmer leur personnalité, pas pour copier la mienne), j'ai vu avec beaucoup de peine les Littéraires se transformer de "forts en thèmes" en "midinettes", pour utiliser des expressions vieillies mais bien parlantes.
C'est pour cela que l'idée d'un programme dans des limites raisonnables évidemment, me paraît utile, pour unifier ces connaissances et aussi (peut-être surtout!) revenir vers un niveau commun des classes, qui à vrai dire n'est pas assuré, y compris dans les évaluations comme le Bac (on connaît diverses stratégies), quand les uns travaillent sur Balzac et les autres sur l'oeuvre de Francis Lalanne, pour caricaturer les extrêmes.
Tout à fait d'accord avec Roxane et Kilmeny.
Entièrement d'accord avec cette vision de notre métier.
J'ajouterais au passage que "transmettre des connaissances" est l'objectif de toutes les disciplines, je ne vois pas pourquoi en littérature ce serait un gros mot, et pourquoi le "plaisir" devrait être un objectif en soi, et qui plus est, devrait être "donné" par le professeur (n'y voyez rien de... hum). On transmet des connaissances, on donne des clefs, on ouvre la voie pour que l'élève développe lui-même sa sensibilité et trouve du plaisir éventuellement.
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Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- trompettemarineMonarque
Iphigénie a écrit:Ol ne s'agit pas de dresser la liste des grands écrivains. J'ai moi même fait travailler mes premières parfois aussi sur Aragon, enseigné en terminale de nombreuses années, je ne vais donc pas te contredire sur cet auteur ou tel autre. Mais tes propos m'aident à mieux cerner le problème des désaccords et voir qu'on ne le résoudra pas.Miettes a écrit:Je rebondis sur une de tes remarque de la page précédente, Iphigénie ; j'ai quelques amies qui, grâce au programme de TL, sont devenues d'ardentes lectrices de Bonnefoy ou Jacottet (qui lui aussi est tombé, me semble-t-il). Ce qui ne les empêche pas d'aimer Baudelaire. Lorsque j'avais étudié Les Yeux d'Elsa en première, notre professeure nous avait bien montré en quoi Aragon était redevable de la poésie médiévale et renaissante... études de poèmes à l'appui. Avons-nous été lésées ? n'avons-nous rien retiré de ces heures de cours ? je ne le crois pas. Il est vrai que nous nous intéressions déjà à la littérature.
(Ernaux ! je suis tombée sur un extrait des Années à l'oral du CAPES, à mon grand bonheur ; quelle immense écrivaine)
Il y a en effet derrière cette histoire de programme deux visions différentes de notre travail, me semble-il.
Pour certains, il s'agit de donner le goût (forcément le sien) du plaisir littéraire.
Pour moi, il s'agit de transmettre des connaissances.
Je ne cherche pas à me faire plaisir, ou à forcer le plaisir des élèves en leur transmettant le mien, je cherche juste à leur donner des connaissances, et au-delà, leur faire comprendre que la connaissance est un plaisir.
Le goût est toujours soumis à la mode ou à la personnalité du professeur, pas la connaissance! Boileau rejetait Marot ou Ronsard et préférait François de Malherbe, Pascal tout en haïssant le moi lisait Montaigne.
Je ne forge pas des sensibilités mais des raisonnements (qui donneront aux élèves les clés pour affirmer leur personnalité, pas pour copier la mienne), j'ai vu avec beaucoup de peine les Littéraires se transformer de "forts en thèmes" en "midinettes", pour utiliser des expressions vieillies mais bien parlantes.
C'est pour cela que l'idée d'un programme dans des limites raisonnables évidemment, me paraît utile, pour unifier ces connaissances et aussi (peut-être surtout!) revenir vers un niveau commun des classes, qui à vrai dire n'est pas assuré, y compris dans les évaluations comme le Bac (on connaît diverses stratégies), quand les uns travaillent sur Balzac et les autres sur l'oeuvre de Francis Lalanne, pour caricaturer les extrêmes.
Tout à fait d'accord avec Roxane et Kilmeny.
Tssss.... Mike Brant sur une liste de bac chez nous...
Si je me souviens bien le programme est chronologique. Mais, je dois le relire. J'avoue une certaine saturation...
Une liste d'oeuvres patrimoniales ou une liste d'auteurs avec obligation d'en traiter certains me paraîtrait un bon compromis.
Supposons que l’œuvre imposée soit les Fleurs du Mal : Rimbaud, Apollinaire resteront des inconnus.
Plutôt que de faire faire un livret à la mords-moi le nœud pourquoi ne pas proposer des morceaux choisis de grands auteurs (et éventuellement un peu de contemporain ou de littérature étrangère).
Réduire le XVIIIe à Candide, c'est quand même donner une pauvre vision des Lumières. C'est ce qui risque de se passer, d'autant que je ne comprends pas ces histoires de livrets, et surtout ce que sous-entend le mot parcours.
J'aurais tellement souhaité une simplification de l'oral du baccalauréat : des explications et entretien sur des lectures : une liste, pas de descriptif et un respect humble devant le texte littéraire à étudier pris pour lui-même dans son contexte et son originalité...
- IphigénieProphète
Trompettemarine, tes arguments ne sont pas faux...
Par contre moi j’ai fait une erreur, Boileau ne rejetait pas vraiment Marot même s’il le réduisait au badinage: ça m’est revenu ensuite Tant qu’à faire ne transmettons pas d’erreurs :lol:
Il a comme une fracture entre LC et LM dites donc....Je pense bien que Nlm a raison...
Par contre moi j’ai fait une erreur, Boileau ne rejetait pas vraiment Marot même s’il le réduisait au badinage: ça m’est revenu ensuite Tant qu’à faire ne transmettons pas d’erreurs :lol:
Il a comme une fracture entre LC et LM dites donc....Je pense bien que Nlm a raison...
- ProvenceEnchanteur
Fires of Pompeii a écrit:Iphigénie a écrit:
Il y a en effet derrière cette histoire de programme deux visions différentes de notre travail, me semble-il.
Pour certains, il s'agit de donner le goût (forcément le sien) du plaisir littéraire.
Pour moi, il s'agit de transmettre des connaissances.
Je ne cherche pas à me faire plaisir, ou à forcer le plaisir des élèves en leur transmettant le mien, je cherche juste à leur donner des connaissances, et au-delà, leur faire comprendre que la connaissance est un plaisir.
Le goût est toujours soumis à la mode ou à la personnalité du professeur, pas la connaissance! Boileau rejetait Marot ou Ronsard et préférait François de Malherbe, Pascal tout en haïssant le moi lisait Montaigne.
Je ne forge pas des sensibilités mais des raisonnements (qui donneront aux élèves les clés pour affirmer leur personnalité, pas pour copier la mienne), j'ai vu avec beaucoup de peine les Littéraires se transformer de "forts en thèmes" en "midinettes", pour utiliser des expressions vieillies mais bien parlantes.
C'est pour cela que l'idée d'un programme dans des limites raisonnables évidemment, me paraît utile, pour unifier ces connaissances et aussi (peut-être surtout!) revenir vers un niveau commun des classes, qui à vrai dire n'est pas assuré, y compris dans les évaluations comme le Bac (on connaît diverses stratégies), quand les uns travaillent sur Balzac et les autres sur l'oeuvre de Francis Lalanne, pour caricaturer les extrêmes.
Tout à fait d'accord avec Roxane et Kilmeny.
Entièrement d'accord avec cette vision de notre métier.
J'ajouterais au passage que "transmettre des connaissances" est l'objectif de toutes les disciplines, je ne vois pas pourquoi en littérature ce serait un gros mot, et pourquoi le "plaisir" devrait être un objectif en soi, et qui plus est, devrait être "donné" par le professeur (n'y voyez rien de... hum). On transmet des connaissances, on donne des clefs, on ouvre la voie pour que l'élève développe lui-même sa sensibilité et trouve du plaisir éventuellement.
Sans surprise, d'accord avec Iphigénie!
J'ai eu une jeune collègue qui se plaignait que certains élèves ne manifestaient pas de plaisir dans ses cours. Elle ne le formulait pas ainsi, elle parlait d'enthousiasme. Mais il est certain que le goût, et non le savoir, était son objectif... Je suis toujours surprise, par ailleurs, de lire des propos du type: "le cours a bien marché, les élèves ont adoré". Adorer plutôt que retenir, apprendre, comprendre...
- IllianeExpert
J'ai tendance à penser qu'un cours qui a été apprécié est mieux retenu, mais je peux tout à fait me tromper. En ce qui me concerne, mon objectif premier reste l'apprentissage, mais si je peux rendre le cours plaisant (sans verser dans le ludique outrancier) et si les élèves apprécient, tant mieux.
- ProvenceEnchanteur
Illiane a écrit:J'ai tendance à penser qu'un cours qui a été apprécié est mieux retenu, mais je peux tout à fait me tromper. En ce qui me concerne, mon objectif premier reste l'apprentissage, mais si je peux rendre le cours plaisant (sans verser dans le ludique outrancier) et si les élèves apprécient, tant mieux.
Mais nous sommes bien d'accord! Le plaisir est davantage un moyen qu'un objectif, non?
- IphigénieProphète
Provence a écrit:Illiane a écrit:J'ai tendance à penser qu'un cours qui a été apprécié est mieux retenu, mais je peux tout à fait me tromper. En ce qui me concerne, mon objectif premier reste l'apprentissage, mais si je peux rendre le cours plaisant (sans verser dans le ludique outrancier) et si les élèves apprécient, tant mieux.
Mais nous sommes bien d'accord! Le plaisir est davantage un moyen qu'un objectif, non?
D'accord avec Provence
Personne n'a dit qu'il faut être emm..dant!
Mais la définition d'un classique c'est que c'est inépuisable, non? On m'aurait menti?
Il y a toujours un angle qui peut passionner élèves et professeurs? Il reste à le trouver, ça fait une possibilité de mettre quelque chose de plus personnel que les études rabâchées, non?
Sur ce forum il arrive que certains proposent sur des œuvres pourtant très connues des questionnements originaux qui suscitent l'effervescence , et c'est ce qui est le plus intéressant de ce forum, non?
- IllianeExpert
Nous sommes bien d'accord ! Je me disais simplement que les collègues qui se plaignent de l'absence apparente d'enthousiasme de leurs élèves sont peut-être tout à fait dans la même perspective : ils regrettent de ne pas pouvoir intéresser davantage les élèves et craignent qu'ils retiennent moins bien leurs cours. Après, je n'ai jamais eu de collègues tenant ce type de discours, il y en a peut-être dans le lot qui sont effectivement dans le ludique pour le ludique...
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Nous avons eu une lettre émanant de l'inspection, disant que ce serait publié courant janvier: d'autres ont-ils eu des échos dans ce sens?
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- jane pemberleyNiveau 5
Aucun courrier par contre nous sommes tous convoqués pour des formations sur les nouveaux programmes autour du 7 février. Je suppose que cela ne devrait plus tarder si je comprends bien.
- ChlidéNiveau 9
A priori demain pour les programmes officiels avec les modalités d’examen retenues. L’inspecteur n’en savait pas plus pour la parution des œuvres au programme.
- Hermione0908Modérateur
Le BO paraît le jeudi, peut-être y aura-t-il quelque chose ?
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Certaines rubriques de Neoprofs.org sont en accès restreint.
Pour en savoir plus, c'est par ici : https://www.neoprofs.org/t48247-topics-en-acces-restreint-forum-accessible-uniquement-sur-demande-edition-2021
- AuzNiveau 6
Bonsoir,
Je cherche, je cherche et je ne vois rien au BO concernant les programmes (toutes matières confondues) ou les épreuves du bac... Je cherche mal?
Je cherche, je cherche et je ne vois rien au BO concernant les programmes (toutes matières confondues) ou les épreuves du bac... Je cherche mal?
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Boulet un jour, boulet toujours.
- User7570Niveau 6
Non, rien pour l'instant...
- roxanneOracle
suspens suspens…
Candide, Dom Juan , la Recherche du temps perdu, oui-oui à la plage? Quelle angoisse !
Candide, Dom Juan , la Recherche du temps perdu, oui-oui à la plage? Quelle angoisse !
- Petit poisNiveau 9
JM Blanquer a annoncé hier que les programmes paraitront la semaine prochaine (Source Ouest France 17/01/2018).
Il avait aussi annoncé sa venue à Rennes et s'est désisté la veille ....
Il avait aussi annoncé sa venue à Rennes et s'est désisté la veille ....
- TivinouDoyen
Toujours pas d'info? Je viens de lire - mea culpa, je n'avais pas fait attention - que les œuvres seraient différentes en première générale et en première techno.
Voilà qui me fait quatre nouveaux programmes à monter pour l'année prochaine: 2nde, première G, première T, et BTS... TOUT VA BIEN!
Voilà qui me fait quatre nouveaux programmes à monter pour l'année prochaine: 2nde, première G, première T, et BTS... TOUT VA BIEN!
- IllianeExpert
D'après le message d'Auz dans ce fil https://www.neoprofs.org/t122732-quid-des-programmes-de-francais-en-premiere-technologique?highlight=fran%E7ais, les programmes seraient assez proches...
- gregforeverGrand sage
quelqu'un aurait compris ce qui serait donné en commentaire? parce que avec des parcours différents c'est plus difficile de trouver un texte qui corresponde aux trois oeuvres/parcours...
- TivinouDoyen
Merci, je n'avais pas consulté cet autre fil...
Tout cela me semble bien ambitieux pour les élèves que j'ai actuellement en Seconde. Pour les séries techno, il faudra effectivement piocher dans les "autres" œuvres...
Tout cela me semble bien ambitieux pour les élèves que j'ai actuellement en Seconde. Pour les séries techno, il faudra effectivement piocher dans les "autres" œuvres...
- TivinouDoyen
gregforever a écrit:quelqu'un aurait compris ce qui serait donné en commentaire? parce que avec des parcours différents c'est plus difficile de trouver un texte qui corresponde aux trois oeuvres/parcours...
Cela me semble encore plus large en ce qui concerne la dissertation littéraire... plus large qu'avec les actuels programmes en tout cas. Trouver un sujet de dissertation sur le roman qui convienne à la fois pour Gargantua et pour les Mémoires d'Hadrien: j'avoue que j'ai du mal!
Allez, je me lance: "un roman, c'est un miroir qu'on promène dans la bouche de Pantagruel" (mince, ça ne marche pas, ce n'est pas le bon roman de Rabelais!)
Edit: désolée pour le double post, j'ai dû écrire mon premier message pendant que @gregforever rédigeait le sien.
- IllianeExpert
gregforever a écrit:quelqu'un aurait compris ce qui serait donné en commentaire? parce que avec des parcours différents c'est plus difficile de trouver un texte qui corresponde aux trois oeuvres/parcours...
: j'étais tellement obsédée par tout le reste (quel type de dissertation, les "parcours", qu'enseigner exactement en grammaire et dans quel but...) que je ne me suis même pas posé la question ! Effectivement, on va faire comment ?
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