- trompettemarineMonarque
Une lettre adressée aux recteurs est sortie le 6 mars, sauf erreur. Il faut que je retrouve le texte.
Si les spécialités sont pleines,
on donne à l'élève son quatrième ou cinquième vœu,
ou bien il va suivre la spécialité dans le lycée d'à côté, mais il n'est pas prioritaire
ou bien il suit le cned aidé d'un professeur référent de son lycée
ou bien on le place dans une spécialité qu'il n'a pas choisie.
Pour remplir les spécialités, on s'appuie sur les notes de l'élève (je crois. )
Je cherche le texte et je reviens.
Si les spécialités sont pleines,
on donne à l'élève son quatrième ou cinquième vœu,
ou bien il va suivre la spécialité dans le lycée d'à côté, mais il n'est pas prioritaire
ou bien il suit le cned aidé d'un professeur référent de son lycée
ou bien on le place dans une spécialité qu'il n'a pas choisie.
Pour remplir les spécialités, on s'appuie sur les notes de l'élève (je crois. )
Je cherche le texte et je reviens.
- MatheodHabitué du forum
trompettemarine a écrit:Une lettre adressée aux recteurs est sortie le 6 mars, sauf erreur. Il faut que je retrouve le texte.
Si les spécialités sont pleines,
on donne à l'élève son quatrième ou cinquième vœu,
ou bien il va suivre la spécialité dans le lycée d'à côté, mais il n'est pas prioritaire
ou bien il suit le cned aidé d'un professeur référent de son lycée
ou bien on le place dans une spécialité qu'il n'a pas choisie.
Pour remplir les spécialités, on s'appuie sur les notes de l'élève (je crois. )
Je cherche le texte et je reviens.
https://www.neoprofs.org/download.forum?id=5692
- RuthvenGuide spirituel
C'est une note de la DGESCO ; elle est déjà passée sur le forum. Mais il y a une vraie hypocrisie à communiquer auprès des familles :"Vous choisissez librement les trois spécialités" et à dire ensuite aux proviseurs :"Vous avez le droit de sélectionner pour les spé."
- trompettemarineMonarque
Ils ont oublié de réfléchir, ces gens pragmatiques.
Les trmd ont été votés en février. Certes, il pourra y avoir des modifications à la marge, mais c'est voté.
Les trmd ont été votés en février. Certes, il pourra y avoir des modifications à la marge, mais c'est voté.
- Cléopatra2Guide spirituel
NOn, pas partout.
- neo-fitNiveau 9
Est-ce la note de la DGESCO du 06 mars ?trompettemarine a écrit:Une lettre adressée aux recteurs est sortie le 6 mars, sauf erreur. Il faut que je retrouve le texte.
Si les spécialités sont pleines,
on donne à l'élève son quatrième ou cinquième vœu,
ou bien il va suivre la spécialité dans le lycée d'à côté, mais il n'est pas prioritaire
ou bien il suit le cned aidé d'un professeur référent de son lycée
ou bien on le place dans une spécialité qu'il n'a pas choisie.
Pour remplir les spécialités, on s'appuie sur les notes de l'élève (je crois. )
Je cherche le texte et je reviens.
Il me semble qu'un sujet en parlait sur Neo mais je n'arrive pas à le retrouver (peut-être a-t-il été depuis fusionné avec un autre ?)
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2019/03/11032019Article636878872313563017.aspx
Post du 10/03 sur https://www.facebook.com/pg/Inter-collectifs-La-Chaîne-des-Bahuts-194521998140665/posts/?ref=page_internal
On peut aussi dérouler ceci :
La Dgesco a envoyé une note aux rectorats sur la #réformelycée. Décryptage ici ⤵️ 1/14 @FCPE_nationale @FederationPEEP @LarrereMathilde @MsieurLeProf @cafepedagogique @UNLnational @SGL_National @UNL_SD @SoisFidl @SNESFSU @USyndicaliste @cgt_educ @SUD_education @Questions2C pic.twitter.com/tIHxzqFDkw
— STOP réformes Blanquer (@STOPreformes) 10 mars 2019
- BoubouleDoyen
Chez nous (gros lycée) il y aurait pour l'instant (voeux) de quoi faire 3 groupes de NSI. Un seul collègue est volontaire pour s'y coller et pour un seul groupe. Je ne vois pas comment on peut faire autrement que de sélectionner.
- mamieprofExpert spécialisé
Idem chez nous en SI. Un seul collègue qui aura ses TS-SI et ne veut qu un groupe de spé... malgré plus de 60 demandes.
- Lord StevenExpert
Alors que chez nous tout le monde ou presque voudrait enseigner anglais en spé et il y a déjà des grincements de dents!!!!
_________________
If you play with a cat, you should mind his scratch
- IsidoriaDoyen
Dans mon lycée nous avons demandé 4 vœux, ce qui a permis de conseiller l’élève quand les choix étaient étranges.
- trompettemarineMonarque
Mais selon l'esprit de la réforme, ils ont droit à ces voeux étranges.
- IsidoriaDoyen
Oui oui je sais bien, nous nous sommes contentés de donner des conseils ou de demander si les vœux étaient en accord avec un éventuel objectif professionnel. Sans compter les élèves qui choisissent maths avec 4 de moyenne...
- Not a PandaHabitué du forum
Les consignes données dans la note de la DGESCO ne s'appuient sur aucun texte (mis à part le paragraphe 1. et les histoires de changement d'établissement). Quelle en est alors la valeur juridique ?
Est-ce normal (disons habituel) que ce genre de procédure (le choix des spécialités) ne soit encadré que par :
https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006527029&dateTexte=
et
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=D873617159A10EA8FBBF4B247301CF60.tplgfr37s_2?cidTexte=JORFTEXT000037202800&dateTexte=20190311
(on notera au passage la phrase en gras)
Ai-je manqué des textes ?
Que répondre honnêtement à un élève qui me demande qui a le dernier mot en cas de désaccord ?
En cette période de conseils de classe du deuxième trimestre, il y a encore beaucoup trop de flou.
PS : On peut aussi ajouter, lorsqu'il est question de changement d'établissement :
Est-ce normal (disons habituel) que ce genre de procédure (le choix des spécialités) ne soit encadré que par :
Le choix des enseignements optionnels, champs et spécialités d'une voie d'orientation incombe aux parents de l'élève ou à l'élève majeur, éclairés par le dialogue avec les membres de l'équipe éducative et par l'avis du conseil de classe.
https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006527029&dateTexte=
et
La liste des enseignements de spécialité et des enseignements optionnels est établie conformément à la liste nationale fixée en annexe du présent arrêté. Le recteur ou le vice-recteur arrête la carte de ces enseignements en veillant à l'équilibre et à leur bonne répartition dans le cadre géographique le plus adapté au territoire relevant de sa compétence, après avis des instances consultatives compétentes. Les directeurs régionaux de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt fixent, pour les établissements relevant de leur compétence, la carte des enseignements de spécialité.
A titre exceptionnel, un élève peut suivre une partie des enseignements dans un établissement autre que celui dans lequel il est inscrit, lorsque ces enseignements ne peuvent être dispensés dans son établissement d'inscription et lorsqu'une convention existe à cet effet entre les deux établissements, ou changer d'établissement dans les conditions prévues à l'article D. 331-38 susvisé du code de l'éducation.
Le choix des enseignements de spécialité s'opère de la façon suivante :
-en classe de première, l'élève choisit trois enseignements de 4 heures hebdomadaires dans la liste proposée ;
-en classe de terminale, l'élève choisit deux enseignements de 6 heures hebdomadaires parmi ceux déjà choisis en classe de première.
A titre exceptionnel, le choix en classe de terminale d'un enseignement de spécialité différent de ceux choisis en classe de première est possible après avis du conseil de classe en fin d'année.
Le travail de projet individuel ou collectif dans la perspective de l'épreuve orale est préparé dans le cadre des enseignements de spécialité.
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=D873617159A10EA8FBBF4B247301CF60.tplgfr37s_2?cidTexte=JORFTEXT000037202800&dateTexte=20190311
(on notera au passage la phrase en gras)
Ai-je manqué des textes ?
Que répondre honnêtement à un élève qui me demande qui a le dernier mot en cas de désaccord ?
En cette période de conseils de classe du deuxième trimestre, il y a encore beaucoup trop de flou.
PS : On peut aussi ajouter, lorsqu'il est question de changement d'établissement :
- Spoiler:
- https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000029255402&cidTexte=LEGITEXT000006071191&dateTexte=20150826
et
https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000025164760&cidTexte=LEGITEXT000006071191&dateTexte=20150826
- PèpNiveau 8
Isidoria a écrit:Oui oui je sais bien, nous nous sommes contentés de donner des conseils ou de demander si les vœux étaient en accord avec un éventuel objectif professionnel. Sans compter les élèves qui choisissent maths avec 4 de moyenne...
Bah alors c'est pas grave, ils sont habitués à se prendre des cartons. Ce sera juste un peu pire en Spé, pas de risque sur l'équilibre psychologique
- MatheodHabitué du forum
Not a Panda a écrit:
Que répondre honnêtement à un élève qui me demande qui a le dernier mot en cas de désaccord ?
Je te conseille la méthode Blanquer. « Ah mais c'est nous qui avons le dernier mot en cas de désaccord ». La vérité c'est trop hasbeen de nos jours, inutile de s'embêter à la chercher.
- SimeonNiveau 10
Que répondre honnêtement à un élève qui me demande qui a le dernier mot en cas de désaccord ?
Il me semble relativement clair que c'est l'élève qui a le dernier mot sur ses spécialités sauf si des contraintes d'organisation ne permettent pas de lui accorder ses voeux.
Et c'est le proviseur qui décident ce qui constitue une contrainte d'organisation.
- Not a PandaHabitué du forum
Simeon a écrit:Que répondre honnêtement à un élève qui me demande qui a le dernier mot en cas de désaccord ?
Il me semble relativement clair que c'est l'élève qui a le dernier mot sur ses spécialités sauf si des contraintes d'organisation ne permettent pas de lui accorder ses voeux.
Et c'est le proviseur qui décident ce qui constitue une contrainte d'organisation.
Ceci n'est envisagé que dans la lettre de la DGESCO. Tu penses donc que cette lettre a une valeur juridique importante face à un parent qui monterais au créneau ?
C'est une vraie question, je suis nul en droit.
- SimeonNiveau 10
Not a Panda a écrit:Simeon a écrit:Que répondre honnêtement à un élève qui me demande qui a le dernier mot en cas de désaccord ?
Il me semble relativement clair que c'est l'élève qui a le dernier mot sur ses spécialités sauf si des contraintes d'organisation ne permettent pas de lui accorder ses voeux.
Et c'est le proviseur qui décident ce qui constitue une contrainte d'organisation.
Ceci n'est envisagé que dans la lettre de la DGESCO. Tu penses donc que cette lettre a une valeur juridique importante face à un parent qui monterais au créneau ?
C'est une vraie question, je suis nul en droit.
Ce que je sais c'est que cette lettre ne définie pas la loi, mais en propose une interprétation.
Mes connaissances en droit ne vont pas vraiment plus loin et je ne sais pas si un tribunal validerait cette interprétation, mais cette question me parait très théorique, et je ne pense pas du tout qu'on ait à se soucier de ça.
Et avec le rythme de la justice..
- Not a PandaHabitué du forum
Je comprends, merci pour la précision !
- ycombeMonarque
Cette lettre — qui, techniquement, n'est ni une loi ni un décret ni une circulaire — n'a rigoureusement aucune valeur juridique et ne peut pas être opposée aux familles.Simeon a écrit:Not a Panda a écrit:Simeon a écrit:Que répondre honnêtement à un élève qui me demande qui a le dernier mot en cas de désaccord ?
Il me semble relativement clair que c'est l'élève qui a le dernier mot sur ses spécialités sauf si des contraintes d'organisation ne permettent pas de lui accorder ses voeux.
Et c'est le proviseur qui décident ce qui constitue une contrainte d'organisation.
Ceci n'est envisagé que dans la lettre de la DGESCO. Tu penses donc que cette lettre a une valeur juridique importante face à un parent qui monterais au créneau ?
C'est une vraie question, je suis nul en droit.
Ce que je sais c'est que cette lettre ne définie pas la loi, mais en propose une interprétation.
Mes connaissances en droit ne vont pas vraiment plus loin et je ne sais pas si un tribunal validerait cette interprétation, mais cette question me parait très théorique, et je ne pense pas du tout qu'on ait à se soucier de ça.
Et avec le rythme de la justice..
L'article D331-38 du code de l'éducation, dans son premier alinéa, précise:
Le choix des enseignements optionnels, champs et spécialités d'une voie d'orientation incombe aux parents de l'élève ou à l'élève majeur, éclairés par le dialogue avec les membres de l'équipe éducative et par l'avis du conseil de classe.
C'est, à ma connaissance le seul texte réglementaire sur la question. Pour moi, les familles ont le dernier mot. Un refus d'affectation dans une des spécialités demandées qui serait contesté au TA serait très probablement gagnant ( je ne vois pas comment il pourrait en être autrement). Les TA, dont celui de Bordeaux, ont obligé les universités à inscrire des étudiants qui avaient été déboutés au tirage au sort (en STAPS de mémoire) au motif que le tirage au sort n'était pas prévu dans les textes, et cela sans prendre en compte le manque de place.
_________________
Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- BoubouleDoyen
ycombe a écrit:Cette lettre — qui, techniquement, n'est ni une loi ni un décret ni une circulaire — n'a rigoureusement aucune valeur juridique et ne pas pas être opposée aux familles.Simeon a écrit:Not a Panda a écrit:Simeon a écrit:
Il me semble relativement clair que c'est l'élève qui a le dernier mot sur ses spécialités sauf si des contraintes d'organisation ne permettent pas de lui accorder ses voeux.
Et c'est le proviseur qui décident ce qui constitue une contrainte d'organisation.
Ceci n'est envisagé que dans la lettre de la DGESCO. Tu penses donc que cette lettre a une valeur juridique importante face à un parent qui monterais au créneau ?
C'est une vraie question, je suis nul en droit.
Ce que je sais c'est que cette lettre ne définie pas la loi, mais en propose une interprétation.
Mes connaissances en droit ne vont pas vraiment plus loin et je ne sais pas si un tribunal validerait cette interprétation, mais cette question me parait très théorique, et je ne pense pas du tout qu'on ait à se soucier de ça.
Et avec le rythme de la justice..
L'article D331-38 du code de l'éducation, dons son premier alinéa, précise:
Le choix des enseignements optionnels, champs et spécialités d'une voie d'orientation incombe aux parents de l'élève ou à l'élève majeur, éclairés par le dialogue avec les membres de l'équipe éducative et par l'avis du conseil de classe.
C'est, à ma connaissance le seul texte réglementaire sur la question. Pour moi, les familles ont le dernier mot. Un refus d'affectation dans une des spécialités demandées qui serait contesté au TA serait très probablement gagnant ( je ne vois pas comment il pourrait en être autrement). Les TA, dont celui de Bordeaux, ont obligé les universités à inscrire des étudiants qui avaient été déboutés au tirage au sort (en STAPS de mémoire) au motif que le tirage au sort n'était pas prévu dans les textes, et cela sans prendre en compte le manque de place.
Et une fois que le TA se sera prononcé, on pourra en inscrire un 36è, 37è, 38è... dans la spécialité.
Mais qui sera condamné à inscrire : l'établissement (qui fait avec les moyens) ou l'IA (qui donne les moyens) ?
- ycombeMonarque
Le DASEN affecte les élèves, et exigera de l'établissement qu'il prenne en surnombre. Cela arrive déjà pour des élèves qui changent d'établissement en cours d'année.Bouboule a écrit:
Et une fois que le TA se sera prononcé, on pourra en inscrire un 36è, 37è, 38è... dans la spécialité.
Mais qui sera condamné à inscrire : l'établissement (qui fait avec les moyens) ou l'IA (qui donne les moyens) ?
S'il y a beaucoup de recours au TA, le ministère réécrira son décret. Parcoursup est la réponse du mnistère à ces décisions du T.A. Sans ça sa mise en place aurait pu attendre la réforme du lycée.
_________________
Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- kerangeloNiveau 7
Un minuscule petit point du décret sera peut-être réécrit. Mais la réforme va passer et ça va faire mal ! Aucune illusion à avoir sur une hypothétique remise en cause par d'hypothétiques recours massifs au TA. Le salut viendra par les œuvres, pas par la grâce.ycombe a écrit:Le DASEN affecte les élèves, et exigera de l'établissement qu'il prenne en surnombre. Cela arrive déjà pour des élèves qui changent d'établissement en cours d'année.Bouboule a écrit:
Et une fois que le TA se sera prononcé, on pourra en inscrire un 36è, 37è, 38è... dans la spécialité.
Mais qui sera condamné à inscrire : l'établissement (qui fait avec les moyens) ou l'IA (qui donne les moyens) ?
S'il y a beaucoup de recours au TA, le ministère réécrira son décret. Parcoursup est la réponse du mnistère à ces décisions du T.A. Sans ça sa mise en place aurait pu attendre la réforme du lycée.
Parcoursup a été mis en place avant la réforme du lycée, sous le prétexte en apparence louable de supprimer le tirage au sort, pour mettre en place les outils de la sélection avant leur utilisation effective. Mais les deux bouts de la chaines vont bientôt s'emboiter et nous aurons alors une vision globale du dispositif. Et ce sera trop tard.
_________________
Sapere aude
- SimeonNiveau 10
Je vous trouve très sur de l'avis des TA.
Si le chef d'établissement n'est pas bête, il me semble parfaitement possible de jouer là dessus, et de ne pas être en contradiction avec la loi:
Si le chef d'établissement n'est pas bête, il me semble parfaitement possible de jouer là dessus, et de ne pas être en contradiction avec la loi:
A titre exceptionnel, un élève peut suivre une partie des enseignements dans un établissement autre que celui dans lequel il est inscrit, lorsque ces enseignements ne peuvent être dispensés dans son établissement d'inscription et lorsqu'une convention existe à cet effet entre les deux établissements, ou changer d'établissement dans les conditions prévues à l'article D. 331-38 susvisé du code de l'éducation.
- BoubouleDoyen
Simeon a écrit:Je vous trouve très sur de l'avis des TA.
Si le chef d'établissement n'est pas bête, il me semble parfaitement possible de jouer là dessus, et de ne pas être en contradiction avec la loi:
A titre exceptionnel, un élève peut suivre une partie des enseignements dans un établissement autre que celui dans lequel il est inscrit, lorsque ces enseignements ne peuvent être dispensés dans son établissement d'inscription et lorsqu'une convention existe à cet effet entre les deux établissements, ou changer d'établissement dans les conditions prévues à l'article D. 331-38 susvisé du code de l'éducation.
Ce qui va être compliqué c'est de justifier qu'un tel a été pris et pas l'autre alors qu'ils sont dans deux classes différentes et que bref...
- Ingeborg B.Esprit éclairé
La procédure prévoit des commissions d'affectation comme pour les dérogations du système antérieur avec des priorités légales, pour éviter ce type de recours.Bouboule a écrit:Simeon a écrit:Je vous trouve très sur de l'avis des TA.
Si le chef d'établissement n'est pas bête, il me semble parfaitement possible de jouer là dessus, et de ne pas être en contradiction avec la loi:
A titre exceptionnel, un élève peut suivre une partie des enseignements dans un établissement autre que celui dans lequel il est inscrit, lorsque ces enseignements ne peuvent être dispensés dans son établissement d'inscription et lorsqu'une convention existe à cet effet entre les deux établissements, ou changer d'établissement dans les conditions prévues à l'article D. 331-38 susvisé du code de l'éducation.
Ce qui va être compliqué c'est de justifier qu'un tel a été pris et pas l'autre alors qu'ils sont dans deux classes différentes et que bref...
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