- LefterisEsprit sacré
De toute manière, les enseignants se faisaient déjà en @#@// avant tout ça. J'ai connu l'époque où les catégories A pouvaient intégrer le stage ou l'école sous condition d'avoir la licence au moment de l'entrée comme stagiaire. Donc ils passaient le concours pendant la licence, chose tout à fait possible avec des préparations bien plus adaptées que les diplômes seuls , un peu comme les IPAG maintenant. Les enseignants devaient déjà faire un an de plus. Ca paraissait moins, parce que les enseignants n'avaient pas encore décroché complètement. Ils pouvaient même être gagnants , vu que la HC était plus fluide et sans mutation. Maintenant qu'ils sont calculés pour représenter un coût moyen de catégorie B, ça saute plus aux yeux.Ha@_x a écrit:Lefteris a écrit:Ca ne changera rien parce que tout simplement les enseignants n'ont jamais été recrutés à bac + 5. C'est le diplôme exigible au moment du concours ( ou de l'intégration comme stagiaire, selon les corps de la FP) qui compte. Donc bac + 3.
Certes, et tu me l'a appris hier, mais on pourrait (dans un monde idéal) revenir à la situation ante (les titulaires d'une licence peuvent passer le concours du CAPES). Pour faire partie de la génération des "masterisés" je ne compte pas les étudiants issus de milieux populaires qui ont lâché l'affaire quand ils ont su qu'ils devraient faire deux années de plus pour devenir profs...
Je ne reviens pas sur les projets débiles actuels de pré-recrutement, et de pré-constitution de viviers sous payés qui seront sous la férule espéesque pendant 3 ans voire plus...
(ah ça , ça va faire fuir tout le monde)
Il y a une solution très simple : on remonte le traitement de base tout en augmentant le niveau réel des concours (on balance les capes actuels, on remet au moins le niveau antérieur). Immédiatement, ça redevient
Mais quelque chose me dit que Bercy , et l'UE ou Bercy prend ses consignes, ne l'entendent pas ainsi.
- User20159Esprit éclairé
Ergo a écrit:Si, Caspar se moquait, je pense.
moui, je m'en doute bien, même si ce soir, à réception de certains chiffres de stagiaires menacés de redoublement, voire de licenciement, je ne trouve pas le sujet particulièrement rigolo...mais bon, oui, il est préférable d'en rire...
- HonchampDoyen
Peut-être cela a-t-il déja été évoqué, mais quand j'ai passé le bac, on pouvait passer la même année le concours de l'école normale d'instituteurs, et être formé ensuite pendant plusieurs années. Je ne pense pas que les instits de l'époque aient été plus mal formés que les professeurs des écoles actuels ?
J'ai des copains qui ont été recrutés à bac + 2 avec un BTS technique, ont été payés comme élèves profs la 3ème année et ont passé ensuite le CAPET (Exemple: fabrication mécanique) : bref, pré-recrutés à bac + 2 !
D'autres ont passé le concours de PEG de LEP comme on disait à l'époque à bac + 3, et ont eu ensuite une très bonne formation de 2 ans dans une ENNA, que ce soit en lettres-histoire, en gestion, etc..
Bref, être recruté à bac + 3 ne me semble pas idiot. Cela dépend de ce qui suit ! Effectivement des c......... ESPéesques, ce serait moche !
J'ai lu quelque part (ici ? Café Péda ? -pas taper-) , qu'il serait envisagé une licence à dominante lettres et une mineure maths, et une licence dominante maths et mineure lettres, dans le but de recruter des prof des écoles.
Est-ce stupide ?
J'ai des copains qui ont été recrutés à bac + 2 avec un BTS technique, ont été payés comme élèves profs la 3ème année et ont passé ensuite le CAPET (Exemple: fabrication mécanique) : bref, pré-recrutés à bac + 2 !
D'autres ont passé le concours de PEG de LEP comme on disait à l'époque à bac + 3, et ont eu ensuite une très bonne formation de 2 ans dans une ENNA, que ce soit en lettres-histoire, en gestion, etc..
Bref, être recruté à bac + 3 ne me semble pas idiot. Cela dépend de ce qui suit ! Effectivement des c......... ESPéesques, ce serait moche !
J'ai lu quelque part (ici ? Café Péda ? -pas taper-) , qu'il serait envisagé une licence à dominante lettres et une mineure maths, et une licence dominante maths et mineure lettres, dans le but de recruter des prof des écoles.
Est-ce stupide ?
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- User20159Esprit éclairé
Lefteris a écrit:Il y a une solution très simple : on remonte le traitement de base tout en augmentant le niveau réel des concours (on balance les capes actuels, on remet au moins le niveau antérieur). Immédiatement, ça redevient attractif attrayant, les bons étudiants n'hésitent plus à se lancer y compris dans les sous -matières (littéraires) désertées car cul-de-sac, les facs peuvent donc recommencer à être exigeantes, et on a des enseignants bien formés.
+ 1000
Lefteris a écrit:Mais quelque chose me dit que Bercy , et l'UE ou Bercy prend ses consignes, ne l'entendent pas ainsi.
Enfin ! Voyons ! Il faut
- User20159Esprit éclairé
Honchamp a écrit:J'ai lu quelque part (ici ? Café Péda ? -pas taper-) , qu'il serait envisagé une licence à dominante lettres et une mineure maths, et une licence dominante maths et mineure lettres, dans le but de recruter des prof des écoles.
S'ils pouvaient déja commencer par revaloriser le salaire des PE et améliorer leur mobilité (et un concours national éventuellement ???)....
Quand je vois le niveau de beaucoup d'instits' dans le 93, je flippe....
- PseudoDemi-dieu
Faire, refaire, défaire, c'est toujours faire.
_________________
"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- CasparProphète
Ha@_x a écrit:Ergo a écrit:Si, Caspar se moquait, je pense.
moui, je m'en doute bien, même si ce soir, à réception de certains chiffres de stagiaires menacés de redoublement, voire de licenciement, je ne trouve pas le sujet particulièrement rigolo...mais bon, oui, il est préférable d'en rire...
Moi non plus je ne trouve pas ça rigolo crois-moi mais le sarcasme est mon mécanisme de défense contre les absurdités toujours renouvelées de notre hiérarchie.
- celitianSage
J'ai aussi été recruté à bac +2 (+1 an non reconnu) avec un an de stage + IUFM (déjà totalement inutile) mais en 20 ans le niveau a fortement évolué, et pas dans le bon sens.Honchamp a écrit:Peut-être cela a-t-il déja été évoqué, mais quand j'ai passé le bac, on pouvait passer la même année le concours de l'école normale d'instituteurs, et être formé ensuite pendant plusieurs années. Je ne pense pas que les instits de l'époque aient été plus mal formés que les professeurs des écoles actuels ?
J'ai des copains qui ont été recrutés à bac + 2 avec un BTS technique, ont été payés comme élèves profs la 3ème année et ont passé ensuite le CAPET (Exemple: fabrication mécanique) : bref, pré-recrutés à bac + 2 !
D'autres ont passé le concours de PEG de LEP comme on disait à l'époque à bac + 3, et ont eu ensuite une très bonne formation de 2 ans dans une ENNA, que ce soit en lettres-histoire, en gestion, etc..
Bref, être recruté à bac + 3 ne me semble pas idiot. Cela dépend de ce qui suit ! Effectivement des c......... ESPéesques, ce serait moche !
J'ai lu quelque part (ici ? Café Péda ? -pas taper-) , qu'il serait envisagé une licence à dominante lettres et une mineure maths, et une licence dominante maths et mineure lettres, dans le but de recruter des prof des écoles.
Est-ce stupide ?
Lorsque je vois mes BTS, les imaginer en train d'enseigner l'année prochaine....
- GaliNéoFidèle du forum
Il faudrait rappeler au ministère que des milliers de contractuels, avec parfois des années de métier, peuvent être titularisés à tout moment : ça leur rendra service en leur fixant un vrai cadre de travail sans la précarité et cela peut être fait très rapidement !
_________________
¡ Hermano ! Dale gracias a Dios, que lo que tienes en la mano, no lo tienes por todo el año...
- julien34970Niveau 5
GaliNéo a écrit:Il faudrait rappeler au ministère que des milliers de contractuels, avec parfois des années de métier, peuvent être titularisés à tout moment : ça leur rendra service en leur fixant un vrai cadre de travail sans la précarité et cela peut être fait t6rès rapidement !
C est pour ça que le concours réservé existe ...
- GaliNéoFidèle du forum
julien34970 a écrit:GaliNéo a écrit:Il faudrait rappeler au ministère que des milliers de contractuels, avec parfois des années de métier, peuvent être titularisés à tout moment : ça leur rendra service en leur fixant un vrai cadre de travail sans la précarité et cela peut être fait t6rès rapidement !
C est pour ça que le concours réservé existe ...
Encore faut-il remplir les modalités d'accès et bien sûr réussir la première phase. Dans mon cas, je n'ai jamais eu de retour, je ne sais même pas si je pouvais le passer ou non.
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¡ Hermano ! Dale gracias a Dios, que lo que tienes en la mano, no lo tienes por todo el año...
- pseudo-intelloSage
Ha@_x a écrit:Honchamp a écrit:J'ai lu quelque part (ici ? Café Péda ? -pas taper-) , qu'il serait envisagé une licence à dominante lettres et une mineure maths, et une licence dominante maths et mineure lettres, dans le but de recruter des prof des écoles.
S'ils pouvaient déja commencer par revaloriser le salaire des PE et améliorer leur mobilité (et un concours national éventuellement ???)....
Quand je vois le niveau de beaucoup d'instits' dans le 93, je flippe....
honnêtement, je ne pense pas. Les académies ou le concours reste exigeant (grâce à un vivier important) sont les académies attrayantes en général (Bretagne...) ; si tu enlèves aux PE la garantie de pouvoir rester dans leur académie de recrutement, je pense qu'il y aura nettement moins de candidats.
- LeclochardEmpereur
pseudo-intello a écrit:Ha@_x a écrit:Honchamp a écrit:J'ai lu quelque part (ici ? Café Péda ? -pas taper-) , qu'il serait envisagé une licence à dominante lettres et une mineure maths, et une licence dominante maths et mineure lettres, dans le but de recruter des prof des écoles.
S'ils pouvaient déja commencer par revaloriser le salaire des PE et améliorer leur mobilité (et un concours national éventuellement ???)....
Quand je vois le niveau de beaucoup d'instits' dans le 93, je flippe....
honnêtement, je ne pense pas. Les académies ou le concours reste exigeant (grâce à un vivier important) sont les académies attrayantes en général (Bretagne...) ; si tu enlèves aux PE la garantie de pouvoir rester dans leur académie de recrutement, je pense qu'il y aura nettement moins de candidats.
Dans les faits, quelques académies seulement ont de si gros problèmes de recrutement (Versailles, Créteil, - la Guyane ?) qu'elles sont obligées de recourir à des personnes qui ont des lacunes.
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- New ZealandNiveau 9
Vu la baisse du niveau et les problèmes de recrutement, le plus simple serait de revenir à ce qui se faisait à mon époque : inscription au CAPES une fois la Licence en poche. On pourrait le préparer soit en présentiel, soit à distance, soit en solo. Niveau de connaissances exigées élevé. Pratique pour les reconversions et, pour les redoublant, possibilité de travailler tout en le préparant à distance. Par contre, il faudrait de vrais cours de didactique dans la matière à enseigner, des cas concrets. L'année suivante, stage, mémoire et formation pratique en pédagogie, gestion de classe, gestion de la violence, psychologie adaptée (notamment les cas d'élèves qui souffrent de troubles DYS), etc. Des cours pas trop théoriques, même si on devrait être formé à faire des recherches sur la didactique et la pédagogie, histoire de pouvoir se former tout au long de sa carrière (oui, je rêve).
Franchement, le plus simple serait de faire comme pour le CAPES (y compris en didactique, ce qui leur permettrait de savoir enseigner dès l'année de stage), mais lors de l'année de stage, remise à niveau dans les matières où les stagiaires ont des faiblesses. Je pense notamment en grammaire/orthographe et en maths.
Honchamp a écrit:
J'ai lu quelque part (ici ? Café Péda ? -pas taper-) , qu'il serait envisagé une licence à dominante lettres et une mineure maths, et une licence dominante maths et mineure lettres, dans le but de recruter des prof des écoles.
Est-ce stupide ?
Franchement, le plus simple serait de faire comme pour le CAPES (y compris en didactique, ce qui leur permettrait de savoir enseigner dès l'année de stage), mais lors de l'année de stage, remise à niveau dans les matières où les stagiaires ont des faiblesses. Je pense notamment en grammaire/orthographe et en maths.
- pseudo-intelloSage
Je sais.
Il manque des candidats sur le niveau national, mais pour l'instant, la pénurie est très inégalement répartie.
Si le concours devient national, la pénurie sera mieux répartie, mais elle risque d'être surtout beaucoup plus conséquente à l'échelle du pays... (les Bretons ou Alsaciens s'inscrivent plus facilement s'ils savent qu'ils ne se trouveront pas dans le 93, ni à des tas d'heures de route de leur famille).
Si on veut recruter, il faut le salaire et les conditions de travail. Dans les faits, surtout les conditions de travail (le salaire est le même à Brest ou à Stains, pas les conditions de travail)... je pense qu'l faut donc réfléchir aux possibilités de faciliter le quotidien des enseignants des académies déficitaires (voire des autres) qu'il faut réfléchir.
Il manque des candidats sur le niveau national, mais pour l'instant, la pénurie est très inégalement répartie.
Si le concours devient national, la pénurie sera mieux répartie, mais elle risque d'être surtout beaucoup plus conséquente à l'échelle du pays... (les Bretons ou Alsaciens s'inscrivent plus facilement s'ils savent qu'ils ne se trouveront pas dans le 93, ni à des tas d'heures de route de leur famille).
Si on veut recruter, il faut le salaire et les conditions de travail. Dans les faits, surtout les conditions de travail (le salaire est le même à Brest ou à Stains, pas les conditions de travail)... je pense qu'l faut donc réfléchir aux possibilités de faciliter le quotidien des enseignants des académies déficitaires (voire des autres) qu'il faut réfléchir.
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- alanneFidèle du forum
Et si on embauchait les masters MEEF ? Vous savez ceux qui ont un diplôme universitaire dans l'enseignement mais qui n'ont pas le concours ?
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Wait and see
- New ZealandNiveau 9
pseudo-intello a écrit:
Si on veut recruter, il faut le salaire et les conditions de travail. Dans les faits, surtout les conditions de travail (le salaire est le même à Brest ou à Stains, pas les conditions de travail)... je pense qu'l faut donc réfléchir aux possibilités de faciliter le quotidien des enseignants des académies déficitaires (voire des autres) qu'il faut réfléchir.
A Créteil, ils vont revaloriser à la rentrée le salaire des PE et profs ... contractuels. C'est une bonne initiative, mais ils devraient aussi y penser pour les titulaires.
- CathEnchanteur
Honchamp a écrit:Peut-être cela a-t-il déja été évoqué, mais quand j'ai passé le bac, on pouvait passer la même année le concours de l'école normale d'instituteurs, et être formé ensuite pendant plusieurs années. Je ne pense pas que les instits de l'époque aient été plus mal formés que les professeurs des écoles actuels ?
J'ai des copains qui ont été recrutés à bac + 2 avec un BTS technique, ont été payés comme élèves profs la 3ème année et ont passé ensuite le CAPET (Exemple: fabrication mécanique) : bref, pré-recrutés à bac + 2 !
D'autres ont passé le concours de PEG de LEP comme on disait à l'époque à bac + 3, et ont eu ensuite une très bonne formation de 2 ans dans une ENNA, que ce soit en lettres-histoire, en gestion, etc..
Bref, être recruté à bac + 3 ne me semble pas idiot. Cela dépend de ce qui suit !
Quand les concours étaient à bac+3, la licence était acquise l'année précédent le concours.
Là, on parle de recruter pendant la L3.
Donc avec une qualif moindre.
- IphigénieProphète
le niveau bac n'était peut-être pas tout à fait le même non plus...Pour la génération encore avant, les instits étaient même recrutés en troisième pour enseigner à bac +1, mais voilà, voilà ...Cath a écrit:Honchamp a écrit:Peut-être cela a-t-il déja été évoqué, mais quand j'ai passé le bac, on pouvait passer la même année le concours de l'école normale d'instituteurs, et être formé ensuite pendant plusieurs années. Je ne pense pas que les instits de l'époque aient été plus mal formés que les professeurs des écoles actuels ?
J'ai des copains qui ont été recrutés à bac + 2 avec un BTS technique, ont été payés comme élèves profs la 3ème année et ont passé ensuite le CAPET (Exemple: fabrication mécanique) : bref, pré-recrutés à bac + 2 !
D'autres ont passé le concours de PEG de LEP comme on disait à l'époque à bac + 3, et ont eu ensuite une très bonne formation de 2 ans dans une ENNA, que ce soit en lettres-histoire, en gestion, etc..
Bref, être recruté à bac + 3 ne me semble pas idiot. Cela dépend de ce qui suit !
Quand les concours étaient à bac+3, la licence était acquise l'année précédent le concours.
Là, on parle de recruter pendant la L3.
Donc avec une qualif moindre.
- CathEnchanteur
Oh sinon, j'ai bien une idée : augmenter tous les salaires des enseignants de 500 à 1000 euros.
Je m'étonne qu'aucun politique n'y ait pensé.
Je m'étonne qu'aucun politique n'y ait pensé.
- IphigénieProphète
Trop simple
Cela dit si on calculait sur le long terme, ça ferait sûrement faire beaucoup d'économies , car les errances de l'EN mises bout à bout, ça doit rudement chiffrer.
Cela dit si on calculait sur le long terme, ça ferait sûrement faire beaucoup d'économies , car les errances de l'EN mises bout à bout, ça doit rudement chiffrer.
- LaMaisonQuiRendFouFidèle du forum
Cath a écrit:Oh sinon, j'ai bien une idée : augmenter tous les salaires des enseignants de 500 à 1000 euros.
Je m'étonne qu'aucun politique n'y ait pensé.
Iphigénie a écrit:Trop simple
Cela dit si on calculait sur le long terme, ça ferait sûrement faire beaucoup d'économies , car les errances de l'EN mises bout à bout, ça doit rudement chiffrer.
J'en doute, si l'on augmentait immédiatement la rémunération de tous les enseignants de 500€ à 1000€ par mois, cela reviendrait à 5 à 10 milliards par an. Et encore je fais le calcul grosso merdo sans prise en compte de l'ensemble du coin fiscal.
Cela représente une hausse du déficit de 8% à 16%...
- CathEnchanteur
LaMaisonQuiRendFou a écrit:Cath a écrit:Oh sinon, j'ai bien une idée : augmenter tous les salaires des enseignants de 500 à 1000 euros.
Je m'étonne qu'aucun politique n'y ait pensé.Iphigénie a écrit:Trop simple
Cela dit si on calculait sur le long terme, ça ferait sûrement faire beaucoup d'économies , car les errances de l'EN mises bout à bout, ça doit rudement chiffrer.
J'en doute, si l'on augmentait immédiatement la rémunération de tous les enseignants de 500€ à 1000€ par mois, cela reviendrait à 5 à 10 milliards par an. Et encore je fais le calcul grosso merdo sans prise en compte de l'ensemble du coin fiscal.
Cela représente une hausse du déficit de 8% à 16%...
Ah oui, au regard des 80 milliards d'euros d'évasion fiscale, je comprends qu'on ne puisse pas.
- LaMaisonQuiRendFouFidèle du forum
Cath a écrit:LaMaisonQuiRendFou a écrit:Cath a écrit:Oh sinon, j'ai bien une idée : augmenter tous les salaires des enseignants de 500 à 1000 euros.
Je m'étonne qu'aucun politique n'y ait pensé.Iphigénie a écrit:Trop simple
Cela dit si on calculait sur le long terme, ça ferait sûrement faire beaucoup d'économies , car les errances de l'EN mises bout à bout, ça doit rudement chiffrer.
J'en doute, si l'on augmentait immédiatement la rémunération de tous les enseignants de 500€ à 1000€ par mois, cela reviendrait à 5 à 10 milliards par an. Et encore je fais le calcul grosso merdo sans prise en compte de l'ensemble du coin fiscal.
Cela représente une hausse du déficit de 8% à 16%...
Ah oui, au regard des 80 milliards d'euros d'évasion fiscale, je comprends qu'on ne puisse pas.
Hélas, ce n'est pas aussi simple que cela. Le "yaka fokon" très peu pour moi. Par ailleurs, il n'existe aucun chiffre fiable sur l'évasion fiscale en France.
- pseudo-intelloSage
Un peu moins, je pense, car on paierait davantage d'impôts.LaMaisonQuiRendFou a écrit:Cath a écrit:Oh sinon, j'ai bien une idée : augmenter tous les salaires des enseignants de 500 à 1000 euros.
Je m'étonne qu'aucun politique n'y ait pensé.Iphigénie a écrit:Trop simple
Cela dit si on calculait sur le long terme, ça ferait sûrement faire beaucoup d'économies , car les errances de l'EN mises bout à bout, ça doit rudement chiffrer.
J'en doute, si l'on augmentait immédiatement la rémunération de tous les enseignants de 500€ à 1000€ par mois, cela reviendrait à 5 à 10 milliards par an. Et encore je fais le calcul grosso merdo sans prise en compte de l'ensemble du coin fiscal.
Cela représente une hausse du déficit de 8% à 16%...
- CathEnchanteur
LaMaisonQuiRendFou a écrit:Cath a écrit:LaMaisonQuiRendFou a écrit:Cath a écrit:Oh sinon, j'ai bien une idée : augmenter tous les salaires des enseignants de 500 à 1000 euros.
Je m'étonne qu'aucun politique n'y ait pensé.Iphigénie a écrit:Trop simple
Cela dit si on calculait sur le long terme, ça ferait sûrement faire beaucoup d'économies , car les errances de l'EN mises bout à bout, ça doit rudement chiffrer.
J'en doute, si l'on augmentait immédiatement la rémunération de tous les enseignants de 500€ à 1000€ par mois, cela reviendrait à 5 à 10 milliards par an. Et encore je fais le calcul grosso merdo sans prise en compte de l'ensemble du coin fiscal.
Cela représente une hausse du déficit de 8% à 16%...
Ah oui, au regard des 80 milliards d'euros d'évasion fiscale, je comprends qu'on ne puisse pas.
Hélas, ce n'est pas aussi simple que cela. . Par ailleurs, il n'existe aucun chiffre fiable sur l'évasion fiscale en France.
Bien alors je n'y connais rien en économie (ni en évasion fiscale) alors je veux bien que tu m’expliques pourquoi ce n'est pas si simple et ce que signifie "Le "yaka fokon" très peu pour moi" dans ce contexte.
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