- Hugo78Niveau 10
pogonophile a écrit:@Firesofpompeii
Evidemment, on peut difficilement désigner un enseignant comme seul responsable de l'échec (et donc de la réussite) d'un élève en particulier. Les facteurs de l'un ou de l'autre sont nombreux et ni l'enseignant individu, ni l'établissement, n'ont la maîtrise de tous.
Ils peuvent en revanche influer sur certains, comme le climat global d'une classe. L'appétence peut être favorisée ou au contraire découragée, et c'est là que l'équipe pédagogique peut agir.
Evidemment on parle là sans connaître la classe, donc c'est un peu oiseux, mais manifestement, s'il y a un tel échec, c'est un problème de climat. Renvoyer l'entière responsabilité aux élèves et à leurs choix individuels me semble un raccourci facile.
Je suis entièrement d'accord avec votre point de vue qui est frappé du coin du bon sens !
- Fires of PompeiiGuide spirituel
pogonophile a écrit:@Firesofpompeii
Evidemment, on peut difficilement désigner un enseignant comme seul responsable de l'échec (et donc de la réussite) d'un élève en particulier. Les facteurs de l'un ou de l'autre sont nombreux et ni l'enseignant individu, ni l'établissement, n'ont la maîtrise de tous.
Ils peuvent en revanche influer sur certains, comme le climat global d'une classe. L'appétence peut être favorisée ou au contraire découragée, et c'est là que l'équipe pédagogique peut agir.
Evidemment on parle là sans connaître la classe, donc c'est un peu oiseux, mais manifestement, s'il y a un tel échec, c'est un problème de climat. Renvoyer l'entière responsabilité aux élèves et à leurs choix individuels me semble un raccourci facile.
Mais comment peut-on dire que c'est si manifeste ???
Je suis bien désolée, mais dans certaines classes, vous pouvez avoir le meilleur "climat" du monde, avec des élèves qui font ce qu'on leur dit en classe, eh bien ces mêmes élèves ne font rien chez eux. C'est le cas dans un nombre grandissant d'endroits ! L'appétit vient en mangeant, parfois, parce que la littérature ça demande un minimum d'investissement et de volonté personnelle, et si l'élève n'est pas fichu de prendre sa fourchette, on n'arrivera à rien. Là on parle de lire, d'obéir au professeur et de lire. Mais punaise !
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Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- AnaxagoreGuide spirituel
pogonophile a écrit:@Firesofpompeii
Evidemment, on peut difficilement désigner un enseignant comme seul responsable de l'échec (et donc de la réussite) d'un élève en particulier. Les facteurs de l'un ou de l'autre sont nombreux et ni l'enseignant individu, ni l'établissement, n'ont la maîtrise de tous.
Ils peuvent en revanche influer sur certains, comme le climat global d'une classe. L'appétence peut être favorisée ou au contraire découragée, et c'est là que l'équipe pédagogique peut agir.
Evidemment on parle là sans connaître la classe, donc c'est un peu oiseux, mais manifestement, s'il y a un tel échec, c'est un problème de climat. Renvoyer l'entière responsabilité aux élèves et à leurs choix individuels me semble un raccourci facile.
Échec de quoi? Il faut lire le livre. C'est un préalable. C'est un travail à faire. On le fait. Qu'est-ce que c'est ce délire?
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"De même que notre esprit devient plus fort grâce à la communication avec les esprits vigoureux et raisonnables, de même on ne peut pas dire combien il s'abâtardit par le commerce continuel et la fréquentation que nous avons des esprits bas et maladifs." Montaigne
"Woland fit un signe de la main, et Jérusalem s'éteignit."
"On déclame contre les passions sans songer que c'est à leur flambeau que la philosophie allume le sien." Sade
- DesolationRowEmpereur
Hugo78 a écrit:pogonophile a écrit:@Firesofpompeii
Evidemment, on peut difficilement désigner un enseignant comme seul responsable de l'échec (et donc de la réussite) d'un élève en particulier. Les facteurs de l'un ou de l'autre sont nombreux et ni l'enseignant individu, ni l'établissement, n'ont la maîtrise de tous.
Ils peuvent en revanche influer sur certains, comme le climat global d'une classe. L'appétence peut être favorisée ou au contraire découragée, et c'est là que l'équipe pédagogique peut agir.
Evidemment on parle là sans connaître la classe, donc c'est un peu oiseux, mais manifestement, s'il y a un tel échec, c'est un problème de climat. Renvoyer l'entière responsabilité aux élèves et à leurs choix individuels me semble un raccourci facile.
Je suis entièrement d'accord avec votre point de vue qui est frappé du coin du bon sens !
Je pense effectivement que pour tenir ce genre de position, il faut probablement avoir été frappé au bon sens avec un gros coin.
- DesolationRowEmpereur
Anaxagore a écrit:pogonophile a écrit:@Firesofpompeii
Evidemment, on peut difficilement désigner un enseignant comme seul responsable de l'échec (et donc de la réussite) d'un élève en particulier. Les facteurs de l'un ou de l'autre sont nombreux et ni l'enseignant individu, ni l'établissement, n'ont la maîtrise de tous.
Ils peuvent en revanche influer sur certains, comme le climat global d'une classe. L'appétence peut être favorisée ou au contraire découragée, et c'est là que l'équipe pédagogique peut agir.
Evidemment on parle là sans connaître la classe, donc c'est un peu oiseux, mais manifestement, s'il y a un tel échec, c'est un problème de climat. Renvoyer l'entière responsabilité aux élèves et à leurs choix individuels me semble un raccourci facile.
Échec de quoi? Il faut lire le livre. C'est un préalable. C'est un travail à faire. On le fait. Qu'est-ce que c'est ce délire?
Mais c'est fatigant de travailler.
- RogerMartinBon génie
Anaxagore a écrit:pogonophile a écrit:@Firesofpompeii
Evidemment, on peut difficilement désigner un enseignant comme seul responsable de l'échec (et donc de la réussite) d'un élève en particulier. Les facteurs de l'un ou de l'autre sont nombreux et ni l'enseignant individu, ni l'établissement, n'ont la maîtrise de tous.
Ils peuvent en revanche influer sur certains, comme le climat global d'une classe. L'appétence peut être favorisée ou au contraire découragée, et c'est là que l'équipe pédagogique peut agir.
Evidemment on parle là sans connaître la classe, donc c'est un peu oiseux, mais manifestement, s'il y a un tel échec, c'est un problème de climat. Renvoyer l'entière responsabilité aux élèves et à leurs choix individuels me semble un raccourci facile.
Échec de quoi? Il faut lire le livre. C'est un préalable. C'est un travail à faire. On le fait. Qu'est-ce que c'est ce délire?
Oui, c'est exactement ça. On préfère délirer sur les enseignants que de se demander pourquoi une classe entière ne fait pas un devoir tout à fait faisable (malgré les ours qui parlent).
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Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
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- mafalda16Modérateur
On se calme, on arrête les critiques ad hominem.
Mafalda pour la modération.
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- ErgoDevin
Tout dépend de ce qui est mis en place, et de ce qui a été mis en place avant, pour susciter l'envie de travailler.DesolationRow a écrit:Anaxagore a écrit:
Échec de quoi? Il faut lire le livre. C'est un préalable. C'est un travail à faire. On le fait. Qu'est-ce que c'est ce délire?
Mais c'est fatigant de travailler.
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- DesolationRowEmpereur
C'est quand même rudement instructif de voir que, quand une classe ne fiche rien, le premier réflexe d'un perdir est de penser que la faute en incombe aux enseignants. Ça fait froid dans le dos mais c'est instructif. Cela dit, une telle soumission à la doctrine officielle assurera sans doute audit perdir une belle carrière.
- William FosterExpert
Anaxagore a écrit:pogonophile a écrit:@Firesofpompeii
Evidemment, on peut difficilement désigner un enseignant comme seul responsable de l'échec (et donc de la réussite) d'un élève en particulier. Les facteurs de l'un ou de l'autre sont nombreux et ni l'enseignant individu, ni l'établissement, n'ont la maîtrise de tous.
Ils peuvent en revanche influer sur certains, comme le climat global d'une classe. L'appétence peut être favorisée ou au contraire découragée, et c'est là que l'équipe pédagogique peut agir.
Evidemment on parle là sans connaître la classe, donc c'est un peu oiseux, mais manifestement, s'il y a un tel échec, c'est un problème de climat. Renvoyer l'entière responsabilité aux élèves et à leurs choix individuels me semble un raccourci facile.
Échec de quoi? Il faut lire le livre. C'est un préalable. C'est un travail à faire. On le fait. Qu'est-ce que c'est ce délire?
Ben oui : si la lecture n'est pas faite, c'est le contraire de lire. Dé-lire. Ça se tient.
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"Opinions are like orgasms : mine matters most and I really don't care if you have one." Sylvia Plath
Vérificateur de miroir est un métier que je me verrais bien faire, un jour.
- jaybeNiveau 9
Quand j'ai entendu parler de cette "affaire", on m'a dit que c'était drôle. Mais après beaucoup de pages et de réactions, je cherche toujours à quel moment je suis censé rire. En lisant qu'un professeur qui se donne du mal pour ses élèves voit que ses efforts ne sont en rien récompensés (et sans doute pour la énième fois) ? Qu'au lieu de recadrer ses élèves ou d'en informer leurs parents, il préfère utiliser une voie très ironique dont il était évident que sa diffusion publique passerait mal ? Qu'elle permette à des gens d'aller jusqu'à des insultes à peine voilées pour exprimer leur désaccord sur l'interprétation des faits ? Voilà, si vous avez trouvé le moment amusant, merci de m'éclairer.
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Les mathématiciens ne sont pas des gens qui trouvent les mathématiques faciles ; comme tout le monde, ils savent qu'elles sont difficiles, mais ça ne leur fait pas peur !
- LefterisEsprit sacré
Fires of Pompeii a écrit: Ensuite sur le fond : lire est un acte profondément personnel, hein, personne ne le fera à votre place. On peut introduire les élèves à la lecture de l'oeuvre, faire des activités intermédiaires, blablabla, mais la lecture c'est le boulot de l'élève.
Et je précise enfin que si c'est une lecture cursive, eh bien tout le principe est de ne pas la faire en classe. Voilà.
+1 . Et généralement c'st une lecture facile. Car pour bien lire, progresser en lecture, il faut lire, tout simplement. Ce qui veut dire mémoriser, savoir se repérer dans l'oeuvre, savoir synthétiser.
+ 2 . Les oeuvres patrimoniales sont patrimoniales avec ou sans l'approbation de monchéri, l'adjectif n'est d'ailleurs pas variable a priori en degré. Elles font parties de références culturelles, et le fameux j'aime/j'aime pas qui est l'argument massue de nos adeptes de l'argutie ne tient pas une minute. (Même nous, combien d'oeuvres nous semblant indigestes avons-nous dû avaler, mais dans l'intérêt d'une connaissance plus vaste de la littérature, des genres etc. ? )si le collège veut être ce qu'il devrait être, à savoir le lieu où l'on offre à l'élève des savoirs, des bases culturelles communes, etc, eh bien il faudra bien se faire à l'idée que c'est le seul lieu où certains élèves pourront entendre parler desdites oeuvres, même si a priori elles ne suscitent pas l'engouement.
Est-ce qu'on leur demande s'ils aiment la géométrie, et le fait que le cercle ne soit pas un carré ? Ou le fait que Louis XIV ait vécu au XVIIe ?
Je ne comprends pas, et ne comprendrai jamais, l'argument qui voudrait que le professeur leur donne ce qu'ils aime, alors que l'école a justement pour but de les décentrer de leur nombril.
P.S. : d'ailleurs, le fait de refuser de lire, auquel nombre de nous sont confrontés, est tout simplement un refus de l'effort, un rejet de principe de l'acte de lire, quel que soit le titre. Faites le test : "Je vais vous passer un film sur ...". Hourras dans la classe. "Ah non, finalement, vous allez le lire , vous allez voir, c'est la même histoire". Consternation, récriminations (et honte pour certains pris en flagrant délit de paresse).
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- User17095Érudit
Merci pour la remarque @mafalda16 mais il y a trop de venin dans l'air pour continuer à échanger ici. Quand il devient habituel de décrédibiliser un propos parce qu'il émane d'un auteur qui a telle fonction, ou d'attaquer quelqu'un qui dit être d'accord, ce n'est pas la peine.
- acsyleNiveau 10
Hugo78 a écrit:Peut-être que ce professeur n'a su donner à ses élèves l'envie de lire l'oeuvre et que ses sarcasmes sur les réseaux sociaux ne sont révélateurs que de son propre échec ! On ne peut pas toujours faire peser le poids des responsabilités sur les épaules des élèves. Quand cela ne fonctionne, l'échec est très souvent partagé !
Tu fais partie du DASEN ?
- gauvain31Empereur
pogonophile a écrit:@henriette
J'ai un mauvais a priori j'en conviens, parce que dépenser autant d'énergie pour faire son sujet sarcastique me gêne profondément : ce n'est pas une réponse au problème. Qu'il soit énervé, déçu, qu'il le partage c'est une chose ; qu'il passe du temps à le mettre en scène c'en est une autre.
Par ailleurs, il n'y a pas de raison de croire qu'une classe de 5e en particulier rassemble 20 feignasses irrécupérables sur 23. Les élèves sont des élèves, plus ou moins sérieux, en faisant tout ce qu'il dit avoir fait, il est stupéfiant que ça fasse un tel bide.
Donc mon premier réflexe est de chercher du côté de ce qui a été mis en place, plutôt que du public, ce n'est peut-être pas le bon mais je le justifie.
Enfin, je n'ai pas dans mes souvenirs de collégien d'engouement délirant des classes où j'ai été élève pour une oeuvre au programme - ni dans mes souvenirs de lycéen d'ailleurs. Avant internet, on trouvait au moment des examens des collections entières de "l'oeuvre résumée" en librairie, ce n'est pas nouveau.
Je pense Pogonophile qu'il faudrait que tu montres un peu plus de clairvoyance; :.
-Tu sous entends donc qu'il y a de la littérature pour certains "publics" et pas d'autres : peux-tu donner des exemples stp?
-Peux-tu intégrer dans ton logiciel de pensée qu'il peut y avoir des conditions de travail à la maison non propices à la lecture et que la responsabilité des parents pourrait-elle être dans certains cas mise en jeu ? Pourrais-tu convoquer les parents à cet effet?
-Peux-tu intégrer dans ton logiciel de pensée que certains élèves ont un poil dans la main et qu'il est aussi du rôle des adultes de les contraindre..... en supposant que l'importance de la lecture leur a déjà été formulée par l'enseignant
Ta façon de raisonner Pogonophile est biaisée car tu sembles considérer que si un élève ne fait pas le travail , c'est forcément à cause du professeur. Je me trompe peut-être. C'est juste que je n'aime pas les sous-entendus, je voudrais y avoir clair
- DanskaProphète
Objectivement, je suis généralement plutôt en accord avec tes messages sur ce forum ; mais ici, j'ai du mal à considérer l'enseignant comme responsable de l'absence de travail de ses élèves. On ne parle pas d'un travail trop long qui n'aurait pas pu être fini : à en croire l'article, 18 élèves sur 23 n'ont même pas fait l'effort d'ouvrir le livre !pogonophile a écrit:Merci pour la remarque @mafalda16 mais il y a trop de venin dans l'air pour continuer à échanger ici. Quand il devient habituel de décrédibiliser un propos parce qu'il émane d'un auteur qui a telle fonction, ou d'attaquer quelqu'un qui dit être d'accord, ce n'est pas la peine.
Quant à la réaction de l'enseignant, on peut effectivement en débattre : mais ironiser pour prendre du recul me paraît être une réaction tout à fait compréhensible, passé un certain seuil. Car mettre des stratégies en place pour que les élèves travaillent, c'est une chose ; mais quand les élèves, de leur côté, ne font strictement aucun effort, je ne vois pas ce qu'un enseignant peut faire - à part lire le livre à leur place, ce qui n'est pas le but de l'exercice !
- Hugo78Niveau 10
Merci @mafalda16, mais je préfère arrêter de participer à cette discussion car on ne peut pas donner son avis sans se faire insulter. Quel dommage !
- acsyleNiveau 10
jaybe a écrit:Quand j'ai entendu parler de cette "affaire", on m'a dit que c'était drôle. Mais après beaucoup de pages et de réactions, je cherche toujours à quel moment je suis censé rire. En lisant qu'un professeur qui se donne du mal pour ses élèves voit que ses efforts ne sont en rien récompensés (et sans doute pour la énième fois) ? Qu'au lieu de recadrer ses élèves ou d'en informer leurs parents, il préfère utiliser une voie très ironique dont il était évident que sa diffusion publique passerait mal ? Qu'elle permette à des gens d'aller jusqu'à des insultes à peine voilées pour exprimer leur désaccord sur l'interprétation des faits ? Voilà, si vous avez trouvé le moment amusant, merci de m'éclairer.
Le devoir sur Oui-Oui excessivement caricaturé m'a fait rire. Il y a dans les questions du sujet une illustration de la bienveillance poussée à son extrême qui n'est pas sans rappeler certains faits réels.
- AnaxagoreGuide spirituel
Nous venons quand même de nous entendre répondre que travailler sur Oui-Oui en 5e serait tout à fait convenable.
Tout est dit mes frères. Il nous reste à rire. Très fort.
Tout est dit mes frères. Il nous reste à rire. Très fort.
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"De même que notre esprit devient plus fort grâce à la communication avec les esprits vigoureux et raisonnables, de même on ne peut pas dire combien il s'abâtardit par le commerce continuel et la fréquentation que nous avons des esprits bas et maladifs." Montaigne
"Woland fit un signe de la main, et Jérusalem s'éteignit."
"On déclame contre les passions sans songer que c'est à leur flambeau que la philosophie allume le sien." Sade
- RogerMartinBon génie
Anaxagore a écrit:Nous venons quand même de nous entendre répondre que travailler sur Oui-Oui en 5e serait tout à fait convenable.
Tout est dit mes frères. Il nous reste à rire. Très fort.
Oui, rire dans les pleurs tout de même...
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Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- Fesseur ProGuide spirituel
Un bon fil de we !
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Pourvu que ça dure...
- PoupoutchModérateur
Bon, je sais que je date de 3 pages, mais quelqu'un l'a lu, l'article que Pognophile a posté de "Klaire", autrice de BD qui nous explique comment aborder Céline à partir de Oui-Oui? Non parce que c'est bien de vouloir défendre les élèves qui se sentiraient blessés, mais moi je me sens un brin irritée par cet article... (vous me direz, chuis prof, j'ai l'habitude)
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Lapin Émérite, celle qui Nage en Lisant ou Inversement, Dompteuse du fauve affamé et matutinal.
"L'intelligence est une maladie qui peut se transmettre très facilement mais dont on peut guérir très rapidement et sans aucune séquelle"
- MaellerpÉrudit
Personne n'est "choqué" qu'un professeur de français fasse deux fois la même faute d'orthographe dans les deux premières lignes de ses consignes ? C'est sans doute idiot de ma part, mais cela me met tout de suite mal à l'aise et je n'arrive plus du tout à apprécier "l'humour" de la suite... Je vieillis...
- Aphrodite63Niveau 3
Fires of Pompeii a écrit:Message supprimé par la modérationHugo78 a écrit:Je suis entièrement d'accord avec votre point de vue qui est frappé du coin du bon sens !
Fires of Pompeii a écrit:DesolationRow a écrit:
Je pense effectivement que pour tenir ce genre de position, il faut probablement avoir été frappé au bon sens avec un gros coin.
Message supprimé par la modération
Pardon d'intervenir, mais les deux messages susmentionnés me choquent profondément.
Je lis des remarques ironiques voire déplacées qui ne me semblent pas de bon aloi sur un forum de pairs où l'on est censés s'entraider. Moi qui m'étais inscrite dans l'espoir d'échanger sur ma vision du métier et de trouver de précieux conseils, je pense avoir un peu trop idéalisé ce forum.
A-t-on le droit d'échanger sur sa conception du métier de professeur sur un forum d'enseignant, sans pour autant être insulté de Insulte supprimée par la modération ?
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Maellerp a écrit:Personne n'est "choqué" qu'un professeur de français fasse deux fois la même faute d'orthographe dans les deux premières lignes de ses consignes ? C'est sans doute idiot de ma part, mais cela me met tout de suite mal à l'aise et je n'arrive plus du tout à apprécier "l'humour" de la suite... Je vieillis...
Si, si, j'ai relevé aussi, et en effet ça m'a paru assez incroyable.
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Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- Fesseur ProGuide spirituel
Aphrodite63 a écrit:
Pardon d'intervenir, mais les deux messages susmentionnés me choquent profondément.
Je lis des remarques ironiques voire déplacées qui ne me semblent pas de bon aloi sur un forum de pairs où l'on est censés s'entraider. Moi qui m'étais inscrite dans l'espoir d'échanger sur ma vision du métier et de trouver de précieux conseils, je pense avoir un peu trop idéalisé ce forum.
A-t-on le droit d'échanger sur sa conception du métier de professeur sur un forum d'enseignant, sans pour autant être insulté de insulte supprimée par la modération ?
Bienvenue.
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