- ar_angarNiveau 9
JDD a écrit:Les évaluations réalisées pour la seconde fois à la rentrée auprès des élèves de CP et de CE1 montrent des progrès en calcul et en lecture. De quoi transmettre aux parents et aux professeurs un "message de confiance", veut croire Jean-Michel Blanquer, le ministre de l'Education.
Article
Je retiens ceci :
JMB a écrit:Ça peut s'expliquer par la chute de connaissances durant les vacances. Je vais donc renforcer le soutien scolaire gratuit pendant l'été, notamment dans l'éducation prioritaire et les zones rurales. Au moins une semaine de soutien sera offerte à tout élève qui en a besoin. Une opération "Je rentre en sixième" sera proposée aux élèves de CM2 pour s'assurer que chacun entre au collège avec des savoirs fondamentaux consolidés.
Donc si on résume bien : vacances : -1, salaire : 0
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C'est en forgeant qu'on devient forgeron.. Vous allez rire, j'ai un marteau !
- Ramanujan974Érudit
En tous cas, les évaluations de 2de sont pires que l'an passé
- HermionyGuide spirituel
En une semaine de soutien?? Il croit aux miracles ou quoi?
Pour ce qui est de nous sucrer une semaine de vacances, je connais des collègues qui accepteront sans sourciller (puisque que certains avaient déjà proposé l'idée dans mon bahut...).
Pour ce qui est de nous sucrer une semaine de vacances, je connais des collègues qui accepteront sans sourciller (puisque que certains avaient déjà proposé l'idée dans mon bahut...).
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"Soyons subversifs. Révoltons-nous contre l'ignorance, l'indifférence, la cruauté, qui d'ailleurs ne s'exerce si souvent contre l'homme que parce qu'elles se sont fait la main sur les animaux. Il y aurait moins d'enfants martyrs s'il y avait moins d'animaux torturés".
Marguerite Yourcenar
« La vraie bonté de l’homme ne peut se manifester en toute pureté et en toute liberté qu’à l’égard de ceux qui ne représentent aucune force. » «Le véritable test moral de l’humanité, ce sont ses relations avec ceux qui sont à sa merci : les animaux. » Kundera, L’Insoutenable Légèreté de l’être
- chmarmottineGuide spirituel
ar_angar a écrit:JDD a écrit:Les évaluations réalisées pour la seconde fois à la rentrée auprès des élèves de CP et de CE1 montrent des progrès en calcul et en lecture. De quoi transmettre aux parents et aux professeurs un "message de confiance", veut croire Jean-Michel Blanquer, le ministre de l'Education.
Article
Je retiens ceci :JMB a écrit:Ça peut s'expliquer par la chute de connaissances durant les vacances. Je vais donc renforcer le soutien scolaire gratuit pendant l'été, notamment dans l'éducation prioritaire et les zones rurales. Au moins une semaine de soutien sera offerte à tout élève qui en a besoin. Une opération "Je rentre en sixième" sera proposée aux élèves de CM2 pour s'assurer que chacun entre au collège avec des savoirs fondamentaux consolidés.
Donc si on résume bien : vacances : -1, salaire : 0
auront donc la prime de fidélité ceux qui se seront portés volontaires pour assurer la semaine de stage ?
- PointàlaligneExpert
Et on prévient la presse avant d'en discuter avec nos représentants. De quoi avoir confiance en notre institution.
- mamieprofEsprit éclairé
Ils fument quoi tes collègues ?Hermiony a écrit:En une semaine de soutien?? Il croit aux miracles ou quoi?
Pour ce qui est de nous sucrer une semaine de vacances, je connais des collègues qui accepteront sans sourciller (puisque que certains avaient déjà proposé l'idée dans mon bahut...).
- roxanneOracle
Il y en avait des stages dans mon collège. Un peu de soutien, beaucoup d'activités, peu de résultats probants. Mais sur le fond, pourquoi pas si ça reste du volontariat.
- CeladonDemi-dieu
On commence par une semaine, et quand on s'apercevra que les "connaissances" ne décollent pas beaucoup, on y adjoindra une seconde semaine... le tout gratos bien entendu. Et vogue la galère. Il n'a pas fini de la faire voguer avec ses galériens et toutes les avaries...
- CeladonDemi-dieu
Ne pense pas qu'ils soient isolés, il y en a beaucoup...mamieprof a écrit:Ils fument quoi tes collègues ?Hermiony a écrit:En une semaine de soutien?? Il croit aux miracles ou quoi?
Pour ce qui est de nous sucrer une semaine de vacances, je connais des collègues qui accepteront sans sourciller (puisque que certains avaient déjà proposé l'idée dans mon bahut...).
- CeladonDemi-dieu
Est-ce bien le but du jeu ?roxanne a écrit:Il y en avait des stages dans mon collège. Un peu de soutien, beaucoup d'activités, peu de résultats probants. Mais sur le fond, pourquoi pas si ça reste du volontariat.
- roxanneOracle
Enfin, ça existe depuis longtemps. Et allez, j'avoue que j'avais même participé à des stages de révision du Brevet pendant des vacances de pâques. Il faut reconnaître que c'était pas mal payé, c'était quelques heures. A l'époque, je n'avais pas d'enfants. Pourquoi pas. Personne ne parle de gratuité, il me semble.
- Elle aimeExpert
La chute de connaissances pendant les vacances ? C'est simple, aucune lecture, aucun jeu de société, pas de temps réel en famille. En primaire, c'est compensé par le centre de loisirs.
Nous ne sommes pas responsables de la faillite du système.
Nous ne sommes pas responsables de la faillite du système.
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"Moi, je crois que la grammaire, c’est une voie d’accès à la beauté. Quand on parle, quand on lit ou quand on écrit, on sent bien si on a fait une belle phrase ou si on est en train d’en lire une. On est capable de reconnaître une belle tournure ou un beau style. Mais quand on fait de la grammaire, on a accès à une autre dimension de la beauté de la langue. Faire de la grammaire, c’est la décortiquer, regarder comment elle est faite, la voir toute nue, en quelque sorte. Et c’est là que c’est merveilleux : parce qu’on se dit : « Comme c’est bien fait, qu’est-ce que c’est bien fichu ! », « Comme c’est solide, ingénieux, subtil ! ». Moi, rien que savoir qu’il y a plusieurs natures de mots et qu’on doit les connaître pour en conclure à leurs usages et à leurs compatibilités possibles, ça me transporte."
- VerduretteModérateur
Malgré "l'école de la confiance", je n'ai pas une confiance aveugle dans les propos ministériels, mais j'ai tout de même une remarque à faire.
Le temps éducatif est un temps long, on ne peut réellement apprécier le positif ou le négatif d'une réforme que des années après sa mise en œuvre. (ce que les ministres oublient, les uns après les autres, mais passons...) Donc, les évaluations de Seconde ne peuvent qu'attester de la descente vertigineuse que nous constatons tous depuis plusieurs décennies. Elle se précipite, ces temps derniers, d'où le gouffre observé.
Lorsqu'il s'agit des CP-CE1, c'est l'année de première analyse des effets, donc ça peut avoir une certaine pertinence.
Je le répète, je ne crois pas à un effet miraculeux JMB, je ne prends pas tout béatement pour argent comptant, mais je voudrais tout de même attirer l'attention sur le fait qu'il a bien secoué le cocotier concernant certaines méthodes hasardeuses que vous êtes les premiers à déplorer. C'est d'ailleurs assez paradoxal : on râle au nom de la liberté pédagogique, mais on ne peut pas à la fois se plaindre que les méthodes mixtes à hypothèses et devinettes et autres fantaisies pédagogiques en tous genres aient fait des dégâts considérables (qui obèrent vos résultats de Seconde, justement) , et condamner par principe, parce que c'est JMB qui les a faits, les petits livres orange et rouge qui proposent des méthodes sans doute pas parfaites (la perfection existe t-elle ? ) mais tout de même structurées. En tout cas des méthodes propres à aider dans le bon sens des PE mal formatés à l'ESPE.
Je ne tresse pas des lauriers à notre ministre pour tout ce qu'il fait (ou ne fait pas, d'ailleurs !), mais j'essaie d'être objective. J'attends toujours des progrès dans la considération qu'on nous promet et dont nous sommes fort loin, mais en tant que PE de petite classe, je trouve que la reprise en main de ce niveau peut améliorer les choses. Mais on ne le verra que dans dix ans, au bas mot. Cinq ans minimum pour le collège.
Le temps éducatif est un temps long, on ne peut réellement apprécier le positif ou le négatif d'une réforme que des années après sa mise en œuvre. (ce que les ministres oublient, les uns après les autres, mais passons...) Donc, les évaluations de Seconde ne peuvent qu'attester de la descente vertigineuse que nous constatons tous depuis plusieurs décennies. Elle se précipite, ces temps derniers, d'où le gouffre observé.
Lorsqu'il s'agit des CP-CE1, c'est l'année de première analyse des effets, donc ça peut avoir une certaine pertinence.
Je le répète, je ne crois pas à un effet miraculeux JMB, je ne prends pas tout béatement pour argent comptant, mais je voudrais tout de même attirer l'attention sur le fait qu'il a bien secoué le cocotier concernant certaines méthodes hasardeuses que vous êtes les premiers à déplorer. C'est d'ailleurs assez paradoxal : on râle au nom de la liberté pédagogique, mais on ne peut pas à la fois se plaindre que les méthodes mixtes à hypothèses et devinettes et autres fantaisies pédagogiques en tous genres aient fait des dégâts considérables (qui obèrent vos résultats de Seconde, justement) , et condamner par principe, parce que c'est JMB qui les a faits, les petits livres orange et rouge qui proposent des méthodes sans doute pas parfaites (la perfection existe t-elle ? ) mais tout de même structurées. En tout cas des méthodes propres à aider dans le bon sens des PE mal formatés à l'ESPE.
Je ne tresse pas des lauriers à notre ministre pour tout ce qu'il fait (ou ne fait pas, d'ailleurs !), mais j'essaie d'être objective. J'attends toujours des progrès dans la considération qu'on nous promet et dont nous sommes fort loin, mais en tant que PE de petite classe, je trouve que la reprise en main de ce niveau peut améliorer les choses. Mais on ne le verra que dans dix ans, au bas mot. Cinq ans minimum pour le collège.
- CeladonDemi-dieu
Il ne pourrait pas s'intéresser à ce qui se passe dans les espe pendant qu'il y est ? Ou bien son entourage l'en empêche-t-il ?
- MaellerpÉrudit
L'école ouverte existe depuis des années. C'est du volontariat rémunéré. Tant que c'est sur cette base j'avoue que je n'y vois pas d'inconvénient, au contraire : je suis en REP+ et cela permet souvent d'apaiser des tensions, de raccrocher certains élèves, de travailler autrement. Je l'ai fait uniquement quand j'en avais l'énergie, on ne m'a jamais forcé la main. Le problème c'est qu'actuellement on arrive en vacances lessivés, et les volontaires se font rares. On propose de moins en moins de jours et de moins en moins d'activités, même si le budget est toujours là.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Celadon a écrit:Il ne pourrait pas s'intéresser à ce qui se passe dans les espe pendant qu'il y est ? Ou bien son entourage l'en empêche-t-il ?
Mais……… C'est en cours!
Et d'une les ESPE n'existent plus: elles sont remplacées par des Instituts Nationaux (INSPE) — dont ceux qui travaillent en ES/INSPE ne savent quasiment rien……
À part que la direction est désormais assumée par un directeur nommé conjointement par le président de l'U. concernée et le recteur. Ce qui, à mon avis, présage que les études seront commandées désormais par les corps d'inspection: je ne pense pas que ça soit une bonne nouvelle.
Et à part que circule un document “informel” indiquant un cadrage des études qui a) définit des % pointant des contenus (dans le sabir habituel de l'EN), mais que b) ça ne doit pas être des titres d'UE. Ce qui veut dire qu'il faut créer un diplôme universitaire en intégrant une commande normative du ministère, mais sans savoir exactement ce que ledit ministère veut (et sans quoi: pas d'habilitation du diplôme). C'est un stratagème désormais classique des “techniques de gouvernance”, consistant à exiger du gouverné qu'il produise lui-même la structure qui le gouverne en le plaçant dans un cadre de contraintes dont il doit devenir lui-même la nature et les prescriptions…
Pour ma part, la lecture que j'en fais est plutôt pessimiste. D'une part, c'est à mon sens une sorte de ballon d'essai: imposer à des universitaires de créer un diplôme sans leur donner la liberté de le créer. D'autre part, relégitimer l'intervention massive des rectorats (= le pouvoir exécutif) dans un milieu universitaire. La grande stratégie consistant à rendre les IUFM/ESPE/INSPE coupables des maux qu'on leur impose, de façon à mieux les désigner à la vindicte du public (lequel comprend… les enseignants eux-mêmes) ayant été efficace depuis 30 ans, il n'y a pas de raison de s'en priver.
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Si tu vales valeo.
- CleroliDoyen
Je ne peux m'empêcher de mettre en parallèle cette suggestion et celle-ci : "Il faut repenser la carrière. Il faut arriver à ce que la carrière progresse davantage. Comme on paye mieux on change le temps de travail (des enseignants) pour accompagner les jeunes différemment. On regarde les vacances. Et on valorise la carrière de directeur. On intègre qu'à des moments de la carrière on ne soit plus devant élèves" (source)roxanne a écrit:Enfin, ça existe depuis longtemps. Et allez, j'avoue que j'avais même participé à des stages de révision du Brevet pendant des vacances de pâques. Il faut reconnaître que c'était pas mal payé, c'était quelques heures. A l'époque, je n'avais pas d'enfants. Pourquoi pas. Personne ne parle de gratuité, il me semble.
La gratuité n'est pas évoquée, en effet, mais pour combien de temps ? Quant à la revalorisation de nos traitements, j'ai peur qu'elle soit ridicule, contrairement à remise à plat de notre temps de travail.
Je suis peut-être pessimiste de nature .... mais en 25 ans de carrière, je n'ai rien vu qui me donne confiance ....
- ZagaraGuide spirituel
Mélol. Le mec a un échantillon de 2 cas, et parce que le second est marginalement meilleur que le premier, il annonce que le "niveau remonte" et que c'est "historique". Jean-Michel, je te mets 2/20 en méthodologie.
Le JDD est toujours aussi lèche-pompe, en attendant.
Le JDD est toujours aussi lèche-pompe, en attendant.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Verdurette a écrit:Malgré "l'école de la confiance", je n'ai pas une confiance aveugle dans les propos ministériels, mais j'ai tout de même une remarque à faire.
Le temps éducatif est un temps long, on ne peut réellement apprécier le positif ou le négatif d'une réforme que des années après sa mise en œuvre.
N.B. c'est ce que j'explique depuis des années à mes stagiaires, donc je ne saurais dire mieux.
Mais: contrairement à l'idée reçue du “mammouth irréformable”, les réformes de programmes dans le primaire se succèdent — et de plus en plus rapidement:
- 1985: programmes Chevènement
- 1995: programmes Bayrou
- 2002: programmes Lang (même si passés sous le ministère suivant)
- 2007-2008: programmes Darcos
- 2012-2015: programmes Peillon/Vallaud Belkacem
- 2018: programmes Blanquer (certes, “partiels”)
Je veux bien que l'on puisse “tester” les résultats d'un programme de façon “expérimentale”, mais j'ai du mal à croire que l'on puisse “mesurer” ses résultats à longue échéance et en particulier ses effets sur le Collège et le Lycée avant même qu'une “cohorte” complète ait traversé les 8ans du primaire……
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Si tu vales valeo.
- SimeonNiveau 10
C'est vraiment servir la soupe...
Blanquer a fait créer ces évaluations en dehors de toute instance indépendante, en dehors de toute pratique scientifique décente, tout a été fait pour que les résultats soient faibles la première année. Dès le départ il était clair que ces évaluations étaient là pour servir la futur com' du ministre, tout ces problèmes ont été dénoncé de bout en bout, et le JDD vient acclamer Blanquer alors que les résultats ne sont même pas publiés...
Et quand dans un ou deux ans les études scientifiques sérieuses indépendantes (donc internationales ?) ne retrouveront en rien les résultats de ce thermomètre créé par et pour la gloire de la com' ministérielle, il n'y aura personne au JDD pour mettre ces résultats en parallèle.
Blanquer a fait créer ces évaluations en dehors de toute instance indépendante, en dehors de toute pratique scientifique décente, tout a été fait pour que les résultats soient faibles la première année. Dès le départ il était clair que ces évaluations étaient là pour servir la futur com' du ministre, tout ces problèmes ont été dénoncé de bout en bout, et le JDD vient acclamer Blanquer alors que les résultats ne sont même pas publiés...
Et quand dans un ou deux ans les études scientifiques sérieuses indépendantes (donc internationales ?) ne retrouveront en rien les résultats de ce thermomètre créé par et pour la gloire de la com' ministérielle, il n'y aura personne au JDD pour mettre ces résultats en parallèle.
- Volo'Neoprof expérimenté
Les élèves de 6ème de cette année ont dû passer entre les mailles de ce niveau qui remonte. (ah ! mais c'est que depuis que Blanquer est là de fait ? C'est pour cela !)
- acsyleNiveau 10
Notre ministre est une incitation à la violence.
- SVoroncaNiveau 7
Hermiony a écrit:En une semaine de soutien?? Il croit aux miracles ou quoi?
Pour ce qui est de nous sucrer une semaine de vacances, je connais des collègues qui accepteront sans sourciller (puisque que certains avaient déjà proposé l'idée dans mon bahut...).
Oui, le principe de l'école ouverte, à laquelle participent de nombreux collègues est à peu près le même : faire centre aéré (avec un peu de révisions) pendant une semaine de chaque vacances.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
La suppression du CNESCO et son remplacement par le CEE sont très clairs dans leur stratégie:
- 4 membres “EN”: directeur de l’évaluation, de la prospective et de la performance — directeur général de l’enseignement scolaire — deux représentants des IG
- 4 élus parlementaires — ou 2 (je ne suis pas sûr): désignés par les présidents des deux assemblées
- 4 ou 6 (même imprécision de ma part) “experts” choisis par une autre instance que le ministre……
Et si j'ai bien compris, le renouvellement suit la chronologie d'un quinquennat… Et présidé par un membre désigné par le président de la République.
Je ne suis pas sûr des chiffres, mais la logique est celle d'un commandement vertical par le pouvoir exécutif.
- 4 membres “EN”: directeur de l’évaluation, de la prospective et de la performance — directeur général de l’enseignement scolaire — deux représentants des IG
- 4 élus parlementaires — ou 2 (je ne suis pas sûr): désignés par les présidents des deux assemblées
- 4 ou 6 (même imprécision de ma part) “experts” choisis par une autre instance que le ministre……
Et si j'ai bien compris, le renouvellement suit la chronologie d'un quinquennat… Et présidé par un membre désigné par le président de la République.
Je ne suis pas sûr des chiffres, mais la logique est celle d'un commandement vertical par le pouvoir exécutif.
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Si tu vales valeo.
- SVoroncaNiveau 7
Et quand on s'apercevra que les enseignants peuvent le faire, puisque ce dispositif ne manque pas de volontaires, et qu'ils n'ont pas besoin de tant de vacances, on finira par l'imposer à tous.Celadon a écrit:On commence par une semaine, et quand on s'apercevra que les "connaissances" ne décollent pas beaucoup, on y adjoindra une seconde semaine... le tout gratos bien entendu. Et vogue la galère. Il n'a pas fini de la faire voguer avec ses galériens et toutes les avaries...
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