- ElyasEsprit sacré
Luigi_B a écrit:On n'aura jamais vue liberté si contrainte, en somme.Elyas a écrit:Luigi_B a écrit:Un fait, en revanche : comme pour les EPI, il s'agit bien d'imposer une pratique pédagogique, en violation de la liberté pédagogique des enseignants.
Appeler AP l'AP de la réforme du collège est une idiotie sans nom. Ensuite, les EPI sont un cadre, pas une pratique. Il y a des dizaines de façons de faire les EPI. Les gens sont libres de choisir celle qui leur semble la plus pertinente par rapport à leurs élèves et leurs objectifs.
C'est une façon de voir.
- RendashBon génie
Elyas a écrit:Luigi_B a écrit:On n'aura jamais vue liberté si contrainte, en somme.Elyas a écrit:Luigi_B a écrit:Un fait, en revanche : comme pour les EPI, il s'agit bien d'imposer une pratique pédagogique, en violation de la liberté pédagogique des enseignants.
Appeler AP l'AP de la réforme du collège est une idiotie sans nom. Ensuite, les EPI sont un cadre, pas une pratique. Il y a des dizaines de façons de faire les EPI. Les gens sont libres de choisir celle qui leur semble la plus pertinente par rapport à leurs élèves et leurs objectifs.
C'est une façon de voir.
Que je partage. "Obliger les enseignants à se saisir de leur liberté pédagogique", en imposant les contraintes que sont les EPI, c'est un sujet de thèse de philo sur le paradoxe, ça.
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- ArmideNeoprof expérimenté
Un collègue m a expliqué ( sans rire ) que la liberté pédagogique se devait d être partagée. C est dans les textes semble-t-il. Il comprend partagée comme un synonyme de contrainte : selon lui on doit être le répétiteur des décisions prises et choix faits par le conseil pédagogique. EPI comme AP comme progression dans chaque cycle. Enthousiasmant, non ?
- ElyasEsprit sacré
Rendash a écrit:Elyas a écrit:Luigi_B a écrit:On n'aura jamais vue liberté si contrainte, en somme.Elyas a écrit:
Appeler AP l'AP de la réforme du collège est une idiotie sans nom. Ensuite, les EPI sont un cadre, pas une pratique. Il y a des dizaines de façons de faire les EPI. Les gens sont libres de choisir celle qui leur semble la plus pertinente par rapport à leurs élèves et leurs objectifs.
C'est une façon de voir.
Que je partage. "Obliger les enseignants à se saisir de leur liberté pédagogique", en imposant les contraintes que sont les EPI, c'est un sujet de thèse de philo sur le paradoxe, ça.
Alors, pourquoi les professeurs ne s'insurgent pas des autres contraintes ? La liberté est limitée par la loi démocratique et les contraintes sont parfois un sol fertile d'imagination et de liberté.
- RendashBon génie
Elyas a écrit:
Alors, pourquoi les professeurs ne s'insurgent pas des autres contraintes ? La liberté est limitée par la loi démocratique et les contraintes sont parfois un sol fertile d'imagination et de liberté.
Oui, mais les contraintes doivent être appelées contraintes, et non liberté. Cette hypocrisie est navrante. Et tu le sais fort bien, toi qui as expliqué que, justement, tu trouvais intéressant de contraindre les collègues à enseigner de la bonne façon. Je regrette que la couleur ne soit pas annoncée aussi clairement par les thuriféraires de la réforme.
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- bruno09Niveau 10
Rendash a écrit:Elyas a écrit:
Après, en HG, cette réforme ne pose aucun souci (sauf ces screugneugneux de programmes ultra-lourds) comparable aux autres disciplines.
C'est vrai, et on pourra s'accommoder de l'AP (pour lesquels je partage ton avis), et donc refuser ces conneries d'EPI. Nous sommes plutôt protégés, pour le moment du moins. Dommage que les collègues qui morflent à cause de cette réforme n'aient pas cette chance. mais le grand public considère que l'histoire, c'est une discipline fondamentale, tandis que le latin, c'est élitiste, bouh, beurk, prrrt.
(Je connais ton opinion à ce sujet.)
(Je déplore simplement que cette opinion ne te conduise pas à refuser la réforme telle qu'appliquée actuellement.)
(Chacun voit midi à sa porte.)
(Tant pis pour les collègues en souffrance.)
J'ai lu quelque part sur le forum (sais plus où) qu'en gros les sms c'était bien pour aider à la future employabilité des livreurs et préparateurs de commande. Le temps n'est pas loin où l'on pourra considérer avec bonheur que l'Histoire géo est inutile pour lesdits livreurs et préparateurs de commande...
_________________
Pour les Italophiles et les Italolâtres: http://www.viaggio-italia.fr
- ElyasEsprit sacré
Rendash a écrit:Elyas a écrit:
Alors, pourquoi les professeurs ne s'insurgent pas des autres contraintes ? La liberté est limitée par la loi démocratique et les contraintes sont parfois un sol fertile d'imagination et de liberté.
Oui, mais les contraintes doivent être appelées contraintes, et non liberté. Cette hypocrisie est navrante. Et tu le sais fort bien, toi qui as expliqué que, justement, tu trouvais intéressant de contraindre les collègues à enseigner de la bonne façon. Je regrette que la couleur ne soit pas annoncée aussi clairement par les thuriféraires de la réforme.
Disons que je ne pense pas qu'il y ait une bonne façon mais qu'il y a de façon certaine de mauvaises façons ou des façons à l'efficacité faible.
Personnellement, je le dis depuis le début sur ce forum, pour moi, cette réforme vise à obliger les enseignants à varier leurs approches pédagogiques en multipliant les démarches et les outils pédagogiques. J'ai aussi dit que je comprenais qu'on n'apprécie pas.
Par exemple, dans nos programmes de 2008, les pourcentages horaires étaient ce qu'il y avait de pire comme contrainte, totalement contraire à la liberté pédagogique. Pires que l'AP et les EPI de mon point de vue. Va enseigner l'Empire romain en 5 x 55 mn en 6e, évaluation et bobologie appliquée comprises.
- RendashBon génie
Elyas a écrit:
Disons que je ne pense pas qu'il y ait une bonne façon mais qu'il y a de façon certaine de mauvaises façons ou des façons à l'efficacité faible.
Personnellement, je le dis depuis le début sur ce forum, pour moi, cette réforme vise à obliger les enseignants à varier leurs approches pédagogiques en multipliant les démarches et les outils pédagogiques. J'ai aussi dit que je comprenais qu'on n'apprécie pas.
Par exemple, dans nos programmes de 2008, les pourcentages horaires étaient ce qu'il y avait de pire comme contrainte, totalement contraire à la liberté pédagogique. Pires que l'AP et les EPI de mon point de vue. Va enseigner l'Empire romain en 5 x 55 mn en 6e, évaluation et bobologie appliquée comprises.
M'en parle pas, j'ai beuglé comme un veau avant de décider d'un commun accord avec moi-même de m'asseoir sur ces contraintes horaires J'ai passé 18h sur la Révolution et l'Empire avec mes 4e l'an dernier.
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- HonchampDoyen
Rendash a écrit:Elyas a écrit:
Disons que je ne pense pas qu'il y ait une bonne façon mais qu'il y a de façon certaine de mauvaises façons ou des façons à l'efficacité faible.
Personnellement, je le dis depuis le début sur ce forum, pour moi, cette réforme vise à obliger les enseignants à varier leurs approches pédagogiques en multipliant les démarches et les outils pédagogiques. J'ai aussi dit que je comprenais qu'on n'apprécie pas.
Par exemple, dans nos programmes de 2008, les pourcentages horaires étaient ce qu'il y avait de pire comme contrainte, totalement contraire à la liberté pédagogique. Pires que l'AP et les EPI de mon point de vue. Va enseigner l'Empire romain en 5 x 55 mn en 6e, évaluation et bobologie appliquée comprises.
M'en parle pas, j'ai beuglé comme un veau avant de décider d'un commun accord avec moi-même de m'asseoir sur ces contraintes horaires J'ai passé 18h sur la Révolution et l'Empire avec mes 4e l'an dernier.
Moi, ce qui me gave, ce sont les études de cas obligatoires...Surtout celles de 3èmes, les autres,je m'en suis affranchies.
Donc, effectivement, on va avoir davantage de liberté d'action avec les nouveaux programmes.
Et on survivra aux EPIs si on y fait du solide et pas du Youkaïdi/Youkaïda.
Et à l'AP si on travaille avec nos élèves.
Là-dessus, on est d'accord. On s'en sort bien.
Mais si on parle boutique, on va faire dévier le fil !
_________________
"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- barègesÉrudit
Pardon, mais...
Je prends parfois conscience en plein dialogue avec des collègues de ce qu'on est en train de dire, et c'est assez étonnant.
va rentrer dans ma banque personnelle des perles liées à cette réforme. L'institution irait peut-être un peu moins mal si une grande partie de son énergie ne s'épuisait pas dans une création lexicale débridée aux résultats éphémères, en sigles et jargon...Elyas a écrit: les programmes sont soclés.
Je prends parfois conscience en plein dialogue avec des collègues de ce qu'on est en train de dire, et c'est assez étonnant.
- RendashBon génie
barèges a écrit:Pardon, mais...va rentrer dans ma banque personnelle des perles liées à cette réforme. L'institution irait peut-être un peu moins mal si une grande partie de son énergie ne s'épuisait pas dans une création lexicale débridée aux résultats éphémères, en sigles et jargon...Elyas a écrit: les programmes sont soclés.
Je prends parfois conscience en plein dialogue avec des collègues de ce qu'on est en train de dire, et c'est assez étonnant.
C'est très vrai, mais je crois que c'est valable pour toutes les professions
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Bottom-of-my-heartNiveau 5
Ce mardi 15 décembre, la CDE organise à l'arrache un Conseil pédagogique de 16h à 18h:
Voici le post mis sur l'ENT:
Ordre du jour :
- Point sur les progressions disciplinaires du cycle 4
- Premières propositions de thématiques d'EPI
Bien que ce conseil pédagogique était dans les tuyaux fin novembre, on attendait la modification promise des emplois du temps suite aux stages des 3ème afin de savoir à quelle heure ce conseil allait avoir lieu.
Un collègue apprend lundi 14 via "Radio-Trottoir" (une info lâchée dans 1 couloir) que la CDE veut faire un conseil pédagogique le lendemain.
Résultats: aucune annonce officielle faite en amont, le message sur l'ENT a été posté par la CDE le mardi même à 11h38 !!!!!!
Techniquement: impossible de libérer les élèves pour ceux qui ont cours ! Parents et VieSco non prévenus !
Ce qui est hallucinant: certains collègues sont allés à ce conseil, il s'agirait plutôt de Pro-EPI...certains avaient cours, d'autres pas...
Diviser les profs pour mieux régner ?
Utiliser la "manne vive" pour concocter les documents pro-réforme dans la salle des profs pour tenter d'avoir l'esprit tranquille ?
Les 3/4 d'entre nous souhaitons rendre nos clés et nos vigiks (ainsi récupérer nos cautions, jamais encaissées par l'établissement !) pour marquer notre mécontentement, parmi d'autres problèmes que nous connaissons dans notre collège, et avons dû mal à rédiger en commun une lettre à faire remonter au niveau hiérarchique (permettez-moi d'oublier le nom du service appropriée qui commence par la lettre D...)
Bonnes vacances
Voici le post mis sur l'ENT:
Ordre du jour :
- Point sur les progressions disciplinaires du cycle 4
- Premières propositions de thématiques d'EPI
Bien que ce conseil pédagogique était dans les tuyaux fin novembre, on attendait la modification promise des emplois du temps suite aux stages des 3ème afin de savoir à quelle heure ce conseil allait avoir lieu.
Un collègue apprend lundi 14 via "Radio-Trottoir" (une info lâchée dans 1 couloir) que la CDE veut faire un conseil pédagogique le lendemain.
Résultats: aucune annonce officielle faite en amont, le message sur l'ENT a été posté par la CDE le mardi même à 11h38 !!!!!!
Techniquement: impossible de libérer les élèves pour ceux qui ont cours ! Parents et VieSco non prévenus !
Ce qui est hallucinant: certains collègues sont allés à ce conseil, il s'agirait plutôt de Pro-EPI...certains avaient cours, d'autres pas...
Diviser les profs pour mieux régner ?
Utiliser la "manne vive" pour concocter les documents pro-réforme dans la salle des profs pour tenter d'avoir l'esprit tranquille ?
Les 3/4 d'entre nous souhaitons rendre nos clés et nos vigiks (ainsi récupérer nos cautions, jamais encaissées par l'établissement !) pour marquer notre mécontentement, parmi d'autres problèmes que nous connaissons dans notre collège, et avons dû mal à rédiger en commun une lettre à faire remonter au niveau hiérarchique (permettez-moi d'oublier le nom du service appropriée qui commence par la lettre D...)
Bonnes vacances
- Manu7Expert spécialisé
Dans mon collège, on fait marche arrière sur les EPI en barrettes depuis la toute dernière formation des profs désignés...
C'est marrant j'avais fait part de cette possibilités de rester en classe entière sans barrette, et ma remarque semblait incongrue, si bien que je m'étais fait à l'idée du travail en barrettes et maintenant mes collègues m'expliquent la nouvelle version et je m'amuse à faire l'étonné en disant que cela ressemble à ma remarque lors de la journée pédagogique...
On va gagner en simplicité pour les EDT, mais les élèves vont perdre en visibilité... On y gagnera surtout pour les réservations des salles info...
C'est marrant j'avais fait part de cette possibilités de rester en classe entière sans barrette, et ma remarque semblait incongrue, si bien que je m'étais fait à l'idée du travail en barrettes et maintenant mes collègues m'expliquent la nouvelle version et je m'amuse à faire l'étonné en disant que cela ressemble à ma remarque lors de la journée pédagogique...
On va gagner en simplicité pour les EDT, mais les élèves vont perdre en visibilité... On y gagnera surtout pour les réservations des salles info...
- tangenteNiveau 5
Formation mercredi pour nos gentils profs-relais. Ils ont osé poser une question qui fâche (bon quand vous allez lire la question vous allez vous dire :shock: mais je vous assure que j'étais la première surprise qu'ils osent poser une question !!!) : "pourquoi nous impose-t-on de tout changer les 4 années du collège en une seule fois, pourquoi on n'a pas fait comme d'habitude, une année à la fois ?"
Réponse du formateur : "parce que vous les professeurs, si on vous avait dit de faire une année à la fois, vous ne vous y seriez jamais mis"
Réaction des gens : néant...
J'ai demandé pourquoi à ce moment-là, devant tant de mépris, pourquoi ils ne sont pas partis. Ils m'ont répondu que ça n'aurait eu aucun intérêt...
Voilà pourquoi face à ce genre de réaction, je suis épuisée... épuisée d'essayer de faire comprendre le drame qu'est cette réforme sans que ça ne les révolte plus que ça. Ils disent que oui j'ai raison mais c'est tout (j'en viens à me dire qu'ils me disent ça pour me faire plaisir )
Réponse du formateur : "parce que vous les professeurs, si on vous avait dit de faire une année à la fois, vous ne vous y seriez jamais mis"
Réaction des gens : néant...
J'ai demandé pourquoi à ce moment-là, devant tant de mépris, pourquoi ils ne sont pas partis. Ils m'ont répondu que ça n'aurait eu aucun intérêt...
Voilà pourquoi face à ce genre de réaction, je suis épuisée... épuisée d'essayer de faire comprendre le drame qu'est cette réforme sans que ça ne les révolte plus que ça. Ils disent que oui j'ai raison mais c'est tout (j'en viens à me dire qu'ils me disent ça pour me faire plaisir )
- gauvain31Empereur
tangente a écrit:Formation mercredi pour nos gentils profs-relais. Ils ont osé poser une question qui fâche (bon quand vous allez lire la question vous allez vous dire :shock: mais je vous assure que j'étais la première surprise qu'ils osent poser une question !!!) : "pourquoi nous impose-t-on de tout changer les 4 années du collège en une seule fois, pourquoi on n'a pas fait comme d'habitude, une année à la fois ?"
Réponse du formateur : "parce que vous les professeurs, si on vous avait dit de faire une année à la fois, vous ne vous y seriez jamais mis"
Réaction des gens : néant...
J'ai demandé pourquoi à ce moment-là, devant tant de mépris, pourquoi ils ne sont pas partis. Ils m'ont répondu que ça n'aurait eu aucun intérêt...
Voilà pourquoi face à ce genre de réaction, je suis épuisée... épuisée d'essayer de faire comprendre le drame qu'est cette réforme sans que ça ne les révolte plus que ça. Ils disent que oui j'ai raison mais c'est tout (j'en viens à me dire qu'ils me disent ça pour me faire plaisir )
Ben je me demande si il y en n'a pas qui aime vraiment ça .....(se faire humilier)
- Lalie-FloreNiveau 5
Bonjour,
A priori, je n'avais rien contre la réforme... Je me disais que ça permettrait de travailler en interdisciplinarité et que ça enrichirait donc mes pratiques. Je pensais proposer un travail qu'un professeur d'une autre matière viendrait compléter, en proposant une étude sur le même sujet mais sous un autre angle.
Mais j'ai déchanté à la réunion disciplinaire. On nous avait demandé de soumettre des propositions (projets-titres- matières concernées-tâche finale des élèves etc.). J'ai proposé, pour le niveau 5ème, une EPI titrée "L'étranger doit-il être craint, combattu ou respecté" qui pourrait s'inscrire dans le thème LCE, en partenariat avec l'histoire-géo et les langues vivantes (je suis en lettres modernes) et rentrer dans le cadre de l'étude de l'aventure (Robinson Crusoé, Vendredi...).
N'étant pas une formidable commerciale, j'ai vendu plus ou moins bien mon projet...
Ma collègue (issu des lettres classiques), plus charismatique, a très bien vendu le sien LCA (Langues et cultures de l'Antiquité). Son projet présente un intérêt certain mais évoque avec insistance l'Antiquité. Elle propose un glossaire et une initiation au latin...
Les collègues de lettres ont donc décidé qu'il y aurait cet EPI en 5ème (le chef d'établissement doit encore donner son accord, mais ça semble bien parti).
Le hic, c'est que j'ai demandé à avoir ce niveau-là et que je vais donc devoir, bien malgré moi, mener ce projet-là et non celui auquel j'avais pensé.
Je le trouve bien le projet de ma collègue... pour les enfants et pour elle ! Je n'ai jamais étudié le latin (j'ai passé le Capes après une autre formation) et je ne me vois pas du tout utiliser ses documents et supports.
Je ne suis pas enseignante de lettres classiques, ni de latin, ni spécialiste de l'Antiquité au point d'en parler 1H par semaine toute l'année. Je veux bien me former mais il faudrait le faire dès maintenant, alors ! Et surtout, il est hors de question pour moi d'apprendre un quelconque glossaire de latin et de (mal) le régurgiter aux gamins.
Du coup, je me demande de quelle liberté pédagogique je dispose encore...et je ne suis pas très motivée pour m'investir dans cet EPI au contenu imposé...
A priori, je n'avais rien contre la réforme... Je me disais que ça permettrait de travailler en interdisciplinarité et que ça enrichirait donc mes pratiques. Je pensais proposer un travail qu'un professeur d'une autre matière viendrait compléter, en proposant une étude sur le même sujet mais sous un autre angle.
Mais j'ai déchanté à la réunion disciplinaire. On nous avait demandé de soumettre des propositions (projets-titres- matières concernées-tâche finale des élèves etc.). J'ai proposé, pour le niveau 5ème, une EPI titrée "L'étranger doit-il être craint, combattu ou respecté" qui pourrait s'inscrire dans le thème LCE, en partenariat avec l'histoire-géo et les langues vivantes (je suis en lettres modernes) et rentrer dans le cadre de l'étude de l'aventure (Robinson Crusoé, Vendredi...).
N'étant pas une formidable commerciale, j'ai vendu plus ou moins bien mon projet...
Ma collègue (issu des lettres classiques), plus charismatique, a très bien vendu le sien LCA (Langues et cultures de l'Antiquité). Son projet présente un intérêt certain mais évoque avec insistance l'Antiquité. Elle propose un glossaire et une initiation au latin...
Les collègues de lettres ont donc décidé qu'il y aurait cet EPI en 5ème (le chef d'établissement doit encore donner son accord, mais ça semble bien parti).
Le hic, c'est que j'ai demandé à avoir ce niveau-là et que je vais donc devoir, bien malgré moi, mener ce projet-là et non celui auquel j'avais pensé.
Je le trouve bien le projet de ma collègue... pour les enfants et pour elle ! Je n'ai jamais étudié le latin (j'ai passé le Capes après une autre formation) et je ne me vois pas du tout utiliser ses documents et supports.
Je ne suis pas enseignante de lettres classiques, ni de latin, ni spécialiste de l'Antiquité au point d'en parler 1H par semaine toute l'année. Je veux bien me former mais il faudrait le faire dès maintenant, alors ! Et surtout, il est hors de question pour moi d'apprendre un quelconque glossaire de latin et de (mal) le régurgiter aux gamins.
Du coup, je me demande de quelle liberté pédagogique je dispose encore...et je ne suis pas très motivée pour m'investir dans cet EPI au contenu imposé...
- GrypheMédiateur
Et donc, ils ont réussi à mettre en concurrence Lettres classiques et Lettres modernes dans ton établissement, alors même que tu étais plutôt favorable à la réforme au départ.
Cette réforme est formidable.
Cette réforme est formidable.
- RabelaisVénérable
Lalie-Flore a écrit:Bonjour,
A priori, je n'avais rien contre la réforme... Je me disais que ça permettrait de travailler en interdisciplinarité et que ça enrichirait donc mes pratiques. Je pensais proposer un travail qu'un professeur d'une autre matière viendrait compléter, en proposant une étude sur le même sujet mais sous un autre angle.
Mais j'ai déchanté à la réunion disciplinaire. On nous avait demandé de soumettre des propositions (projets-titres- matières concernées-tâche finale des élèves etc.). J'ai proposé, pour le niveau 5ème, une EPI titrée "L'étranger doit-il être craint, combattu ou respecté" qui pourrait s'inscrire dans le thème LCE, en partenariat avec l'histoire-géo et les langues vivantes (je suis en lettres modernes) et rentrer dans le cadre de l'étude de l'aventure (Robinson Crusoé, Vendredi...).
N'étant pas une formidable commerciale, j'ai vendu plus ou moins bien mon projet...
Ma collègue (issu des lettres classiques), plus charismatique, a très bien vendu le sien LCA (Langues et cultures de l'Antiquité). Son projet présente un intérêt certain mais évoque avec insistance l'Antiquité. Elle propose un glossaire et une initiation au latin...
Les collègues de lettres ont donc décidé qu'il y aurait cet EPI en 5ème (le chef d'établissement doit encore donner son accord, mais ça semble bien parti).
Le hic, c'est que j'ai demandé à avoir ce niveau-là et que je vais donc devoir, bien malgré moi, mener ce projet-là et non celui auquel j'avais pensé.
Je le trouve bien le projet de ma collègue... pour les enfants et pour elle ! Je n'ai jamais étudié le latin (j'ai passé le Capes après une autre formation) et je ne me vois pas du tout utiliser ses documents et supports.
Je ne suis pas enseignante de lettres classiques, ni de latin, ni spécialiste de l'Antiquité au point d'en parler 1H par semaine toute l'année. Je veux bien me former mais il faudrait le faire dès maintenant, alors ! Et surtout, il est hors de question pour moi d'apprendre un quelconque glossaire de latin et de (mal) le régurgiter aux gamins.
Du coup, je me demande de quelle liberté pédagogique je dispose encore...et je ne suis pas très motivée pour m'investir dans cet EPI au contenu imposé...
Ce que j'ai retenu: chaque niveau va devoir traiter un thème ( pré -décidé ) mais à l'intérieur de ce thème , il peut y avoir plusieurs projets et c'est une donnée qu'il faut absolument diffuser si nous ne voulons pas être obligé de bosser des EPI que nous ne voulons pas.
Si ton projet rentre dans ce thème, tu peux trouver des collègues partant pour ton projet et le mener: les élèves auront vu le thème , le CDE n'aura rien à redire , c'est bien une des seules libertés qu'il nous reste.
Dans notre etb, nous avons ( ils ont) presque décidé quels thèmes seront imposés par niveau.
Quand ce sera fait, étant donné le nombre impressionnant d'EPI proposés, nous choisirons celui que nous faisons, et avec qui.
Je vais bosser en quatrieme avec un prof d'HG et les trois autres préfèrent bosser avec les maths sur un autre projet mais du même thème.
Regarde sur Eduscol, trouve les thèmes et explique ça aux collègues. Nul ne m'obligera à bosser avec une séquence que je n'ai pas choisie ou créée .
Ceci dit, si j'ai les cinquièmes, je prendrai sûrement l'EPI LCA car le latin étant conservé dans notre etb, cet EPI n'incluera pas de latin pur ( je n'ai pas pris cette option au capes ) mais un traitement sympa de la figure du héros ( au programme): ce sera comme faire une séquence et nous ne perdrons pas de temps.
De plus, ouf, un EPI ne devrait pas durer un an !!!
_________________
Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- arumNiveau 5
Vous avez bien travaillé.....
Et bien, chez nous, personne n'est favorable à cette odieuse réforme, alors nous ne proposons RIEN.
Nous ne sommes pas allés aux formations" formatage" et nous allons préparer une proposition de répartition de la DHG avec le doc du SNALC.
Comment peut on etre oppose à la réforme et proposer autant d'EPI....
Et bien, chez nous, personne n'est favorable à cette odieuse réforme, alors nous ne proposons RIEN.
Nous ne sommes pas allés aux formations" formatage" et nous allons préparer une proposition de répartition de la DHG avec le doc du SNALC.
Comment peut on etre oppose à la réforme et proposer autant d'EPI....
- F.LemoineÉrudit
Ca y est, ici, les trois collèges de la ville sont sur la même ligne, et adopteront la même attitude lors des "formations" : ne rien y faire.
_________________
"La vie est mêlée de traverses. Il est bon de s'y tenir sans cesse préparé." (Molière, Les Fourberies de Scapin).
- Lalie-FloreNiveau 5
Bravo Arum ! Rabelais, contente de te lire de nouveau.
Pour te répondre, si le thème de l'EPI n'est pas plus large que "l'Antiquité", je fais quoi? A la limite, la séquence que j'ai faite en 6ème. Ah mais non, car je risque de retomber sur ces mêmes élèves en 5ème ! Manque d'inspiration total.
Autre chose qui me dérange : les réunions plénières qui me donnent des maux de tête en 5 minutes. En clair, on nous dit "Si vous pondez des bonnes EPI, vous serez récompensés et on vous donnera peut-être des demi-groupes" (donc, pour décrocher la poule aux œufs d'or, même les réticents s'y mettent). Là-dessus, des chiffres nous tombent dessus et je décroche en 2 minutes, top chrono car je n'y comprends rien de rien (heures attribuées, répartitions...).
Résignée, j'en suis venue à me dire "On verra bien l'emploi du temps" l'année prochaine. Ca craint, non?
Y'a pas moyen d'éviter d'avoir à faire des EPI ou de l'AP, ça serait plus simple?!? Mais dans ma matière, je ne pense pas pouvoir y échapper.
Déjà qu'il va falloir construire plein de nouvelles séquences, pfff....
Pour te répondre, si le thème de l'EPI n'est pas plus large que "l'Antiquité", je fais quoi? A la limite, la séquence que j'ai faite en 6ème. Ah mais non, car je risque de retomber sur ces mêmes élèves en 5ème ! Manque d'inspiration total.
Autre chose qui me dérange : les réunions plénières qui me donnent des maux de tête en 5 minutes. En clair, on nous dit "Si vous pondez des bonnes EPI, vous serez récompensés et on vous donnera peut-être des demi-groupes" (donc, pour décrocher la poule aux œufs d'or, même les réticents s'y mettent). Là-dessus, des chiffres nous tombent dessus et je décroche en 2 minutes, top chrono car je n'y comprends rien de rien (heures attribuées, répartitions...).
Résignée, j'en suis venue à me dire "On verra bien l'emploi du temps" l'année prochaine. Ca craint, non?
Y'a pas moyen d'éviter d'avoir à faire des EPI ou de l'AP, ça serait plus simple?!? Mais dans ma matière, je ne pense pas pouvoir y échapper.
Déjà qu'il va falloir construire plein de nouvelles séquences, pfff....
- RabelaisVénérable
arum a écrit:Vous avez bien travaillé.....
Et bien, chez nous, personne n'est favorable à cette odieuse réforme, alors nous ne proposons RIEN.
Nous ne sommes pas allés aux formations" formatage" et nous allons préparer une proposition de répartition de la DHG avec le doc du SNALC.
Comment peut on etre oppose à la réforme et proposer autant d'EPI....
Tout simplement parce que le bahut où je viens d'être mutée est un etb pilote où on bosse déjà en projet, que nos représentants syndicaux sont nos formateurs réforme .
_________________
Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- Fesseur ProGuide spirituel
Eh ben !Rabelais a écrit:Ce que j'ai retenu: chaque niveau va devoir traiter un thème ( pré -décidé ) mais à l'intérieur de ce thème , il peut y avoir plusieurs projets et c'est une donnée qu'il faut absolument diffuser si nous ne voulons pas être obligé de bosser des EPI que nous ne voulons pas.
Si ton projet rentre dans ce thème, tu peux trouver des collègues partant pour ton projet et le mener: les élèves auront vu le thème , le CDE n'aura rien à redire , c'est bien une des seules libertés qu'il nous reste.
Dans notre etb, nous avons ( ils ont) presque décidé quels thèmes seront imposés par niveau.
Quand ce sera fait, étant donné le nombre impressionnant d'EPI proposés, nous choisirons celui que nous faisons, et avec qui.
Je vais bosser en quatrieme avec un prof d'HG et les trois autres préfèrent bosser avec les maths sur un autre projet mais du même thème.
Regarde sur Eduscol, trouve les thèmes et explique ça aux collègues. Nul ne m'obligera à bosser avec une séquence que je n'ai pas choisie ou créée .
Ceci dit, si j'ai les cinquièmes, je prendrai sûrement l'EPI LCA car le latin étant conservé dans notre etb, cet EPI n'incluera pas de latin pur ( je n'ai pas pris cette option au capes ) mais un traitement sympa de la figure du héros ( au programme): ce sera comme faire une séquence et nous ne perdrons pas de temps.
De plus, ouf, un EPI ne devrait pas durer un an !!!
Voilà des collègues motivés bien comme il faut !
_________________
Pourvu que ça dure...
- henrietteMédiateur
He ben, y'a pas à dire, ça donne envie, si c'est ça que ça doit devenir...Rabelais a écrit:arum a écrit:Vous avez bien travaillé.....
Et bien, chez nous, personne n'est favorable à cette odieuse réforme, alors nous ne proposons RIEN.
Nous ne sommes pas allés aux formations" formatage" et nous allons préparer une proposition de répartition de la DHG avec le doc du SNALC.
Comment peut on etre oppose à la réforme et proposer autant d'EPI....
Tout simplement parce que le bahut où je viens d'être mutée est un etb pilote où on bosse déjà en projet, que nos représentants syndicaux sont nos formateurs réforme .
_________________
"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- RabelaisVénérable
Lalie-Flore a écrit:Bravo Arum ! Rabelais, contente de te lire de nouveau.
Pour te répondre, si le thème de l'EPI n'est pas plus large que "l'Antiquité", je fais quoi? A la limite, la séquence que j'ai faite en 6ème. Ah mais non, car je risque de retomber sur ces mêmes élèves en 5ème ! Manque d'inspiration total.
Autre chose qui me dérange : les réunions plénières qui me donnent des maux de tête en 5 minutes. En clair, on nous dit "Si vous pondez des bonnes EPI, vous serez récompensés et on vous donnera peut-être des demi-groupes" (donc, pour décrocher la poule aux œufs d'or, même les réticents s'y mettent). Là-dessus, des chiffres nous tombent dessus et je décroche en 2 minutes, top chrono car je n'y comprends rien de rien (heures attribuées, répartitions...).
Résignée, j'en suis venue à me dire "On verra bien l'emploi du temps" l'année prochaine. Ca craint, non?
Y'a pas moyen d'éviter d'avoir à faire des EPI ou de l'AP, ça serait plus simple?!? Mais dans ma matière, je ne pense pas pouvoir y échapper.
Déjà qu'il va falloir construire plein de nouvelles séquences, pfff....
Oui, LCA est un thème... Courage.
Je suis comme toi, je n'ai pas envie d'être chargée de l'AP, pas envie de perdre 1 h de cours sur nos pauvres heures disciplinaires pour travailler des compétences en barrettes avec des élèves dont je ne connais pas les besoins et bâcler le programme à côté par manque de temps , même en demi-groupe.
J'essaie de suivre la répartition ... mais c'est volontairement obscur je pense, étant donné que ceux qui la présente sont plus que concernés et souhaitent prendre beaucoup d'heures marges.
Tu peux prendre le projet de ta collègue mais en précisant que , liberté pédagogique oblige, tu suivras ton déroulé perso ( bien sûr en rendant bien comme il faut ta production finale ).
J'ai précisé qu'en quatrième, je ne prendrai pas d'EPI sauf s'il me convient et que je peux en faire quelque chose + que ça tombe au bon moment dans ma prog ( en clair... ).
Pour les séquences en cinquième, je ne pourrai recycler que deux OE ( théâtre et roman d'aventure ) et une séquence sur le roman de chevalerie que je devrai redécouper et enrichir pour en faire un GT.
Tu as vu qu'ils nous obligeaient pratiquement à doubler chaque OE....:shock: avec moins d'heure, ça va être chaud.
_________________
Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- RabelaisVénérable
henriette a écrit:He ben, y'a pas à dire, ça donne envie, si c'est ça que ça doit devenir...Rabelais a écrit:arum a écrit:Vous avez bien travaillé.....
Et bien, chez nous, personne n'est favorable à cette odieuse réforme, alors nous ne proposons RIEN.
Nous ne sommes pas allés aux formations" formatage" et nous allons préparer une proposition de répartition de la DHG avec le doc du SNALC.
Comment peut on etre oppose à la réforme et proposer autant d'EPI....
Tout simplement parce que le bahut où je viens d'être mutée est un etb pilote où on bosse déjà en projet, que nos représentants syndicaux sont nos formateurs réforme .
Je devrais préciser que finalement, c'est comme partout il y a les fondus qui ne font presque plus que ça ( classes à thème, projets divers et variés, voyages, sorties) en pensant toujours être profs et les autres qui tirent leur épingle du jeu en intégrant un projet par ci par là à leur progression disciplinaire et qui continuent à mener leur barque et à tenter d'enseigner les fondamentaux ( parce que sans fondamentaux, hein, bah on ne peut pas " vivrensemble" ma bonne dame" ).
- Réforme : Comment ça se passe dans vos établissements (réunions, actions, etc) ?
- réforme STI : comment ça se passe dans vos lycées?
- Réforme: la J2 de la formation numérique. Comment ça se passe dans votre collège ?
- Constitution des classes, triplettes imposées... suite à la réforme du lycée : comment cela se passe-t-il dans vos lycées ?
- Projet jours carence, actions dans les établissements
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum