Enseigner en 2016

En rien, une foule d'imbéciles en tous cas. Mais peut-être davantage en réponse à enseignant; en saignant posté plus haut.

aerosol a écrit:En rien, une foule d'imbéciles en tous cas. Mais peut-être davantage en réponse à enseignant; en saignant posté plus haut.

J'ai besoin d'une analyse grammaticale.

Tu peux rejoindre le fil suivant :
"pensez-vous enseigner jusqu'à la retraite?"

Je pense que l'on vous parle de la virgule mal placée.

...J'ai fais l'effort dans placer une...
Il s'agit du fil :" pensez-vous exercer ce métier jusqu'à la retraite".
Exercer ce métier se distingue d'enseigner, à méditer o!

elpenor08 a écrit:Je pense que l'on vous parle de la virgule mal placée.  

S'il n'y avait que ça...

aerosol a écrit:...J'ai fais l'effort dans placer une...

C'est de la provocation, ma parole !

Je ne suis pas sur que la provocation vienne de moi... On est tous sur le même navire, non?

aerosol a écrit:Je ne suis pas sur que la provocation vienne de moi... On est tous sur le même navire, non?

Revoyez vos participes passés. Quand Dalva parle de provocation, c'est à cause des fautes d'orthographe immondes dont vos messages sont émaillés. Les professeurs de lettres qui vous entourent sur ce forum se sentent blessés par ce qui vous semblera être un détail.

aerosol a écrit:On est tous sur le même navire, non?

Où est le quai ?

Non, c'est pas un détail! il est vrai, que j'en ai toujours un peu en reste...

aerosol a écrit:On est tous sur le même navire, non?

Certes : "on est tous assis sur une grande galère, on rame tous à tour de bras, tu peux pas venir me dire le contraire ! ... Assis sur des clous même à tirer tout nous autres ! Et qu'est-ce qu'on en a ? Rien ! Des coups de trique seulement, des misères, des bobards et puis des vacheries encore. On travaille ! qu'ils disent. C'est ça encore qu'est plus infect que tout le reste, leur travail. On est en bas dans les cales à souffler de la gueule, puant, suintant des rouspignolles, et puis voilà ! En haut sur le pont, au frais, il y a les maîtres et qui s'en font pas, avec de belles femmes roses et gonflées de parfum sur les genoux. On nous fait monter sur le pont. Alors ils mettent leurs chapeaux haut de forme et puis ils nous en mettent un bon coup de la gueule comme ça : « Bandes de charognes, c'est la guerre ! qu'ils font. On va les aborder les saligauds qui sont sur la patrie n°2 et on va leur faire sauter la caisse ! Allez ! Allez ! y a de tout ce qu'il faut à bord ! Tous en chœur ! Gueulez voir un bon coup et que ça tremble : Vive la patrie n°1 ! Qu'on vous entende de loin ! Celui qui gueulera le plus fort, il aura la médaille et la dragée du bon Jésus ! Nom de Dieu !"(Céline, Voyage au bout de la Nuit, p.9).