- mblondeNiveau 9
Bouboule a écrit:mblonde a écrit:Bouboule a écrit:
Je n'ai pas assez suivi le fil pour comprendre de quel animateur il s'agit et s'il l'est devenu avant la fin de ses dix années de contrat mais ça ne devrait pas être un problème financier pour lui de rembourser, même avec intérêts.
Alors c'est un peu moi qui ait lance le sujet. Pour la demande de remboursement je ne nie absolument pas le fait qu'un normalien ayant rolpu son engagement doive rembourser comme tout les Normaliens de mon entourage. Le problème c'est que ce n'est pas simple pour tout le monde car tousnles Normaliens en situation de rupture ne bossent pas dans le privé avec des salaires énormes. Il y en a qui bossent dans des associations, des artistes, d'autres qui sont en train de fonder des startup qui marcheront ou non. Parmi eux beaucoup ce sont aperçus qu'il n'y avaient pas de perspectives pour eux dans la recherche apees quelques annees de post-doc. Les demandes de remboursement sont tombées du jour au lendemain. En plus elles ont été faites n'importe comment et les mois de non respect calculés sont souvent faux (ex des'mois de congés mat' comptes comme non respect).
Plus grave, des décisions de rupture très contestables ont été prises par l'ENS comme, et c'est mon cas, par ex. dire que des fonctionnaires en disponibilité régulière (suivi de conjoint en l'occurrence) sont en situation de rupture. Bref apprendre qu'on a rompu son engagement décennal alors qu'on a passé le concours de la fonction publique et qu'on doit suivre son conjoint lui-même fonctionnaire muté à l'étranger, ça reste un peu en travers de la gorge.
Oui, tout ça j'ai bien compris. C'est du classique, les ENS n'arrivent même pas à pondre des sujets corrects pour leurs concours ni à organiser correctement ceux-ci donc rien d'étonnant à ce que le suivi administratif soit du même tonneau et qu'il y ait probablement des erreurs.
J'ai juste raté l'animateur de canal plus.
Pour les cas évoqués, voici ce que je pense :
- associations, artistes, start-up : si ce n'est pas "étatique" ou autorisé par le MENESR, remboursement ou proposition d'autre emploi
- dispos pour suivre le conjoint : quand on est fonctionnaire, une dispos non de droit peut être refusée, qu'en est-il ? Quelle est la proposition d'emploi ? Que donne la négociation ?
- après plusieurs post-docs, il ne reste plus grand chose à devoir, non ?
Actuellement, on cherche des profs et des sous alors il n'est pas étonnant qu'on tire sur l'élastique.
Pour les erreurs dans le MEN : c'est monnaie courante, et toujours aux désavantages du fonctionnaire. C'est une constante.
Si ce n'est pas encore corrigé, j'ai vu se reproduire les mêmes erreurs des dizaines et des dizaines de fois pour les annuités en vue de la retraite (SNA et services d'ENS ou d'IPES justement). On retrouve aussi plus près de nous les mêmes erreurs sur les VS tous les ans. Et là, c'est bien, on a refait les statuts, ce n'est donc pas près de s'arrêter. Etc.
La dispo de conjoint est de droit. Mais quand bien même ce n'est pas de droit ça change rien à partir du moment où la dispo est régulièrement accordée par le ministère d dont dépend le fonctionnaire. Pour la somme les montants vont de 19000 € pour 3 ans a je suppose 6500 € pour un an.
- mblondeNiveau 9
Sulfolobus a écrit:En effet.Bouboule a écrit:
- après plusieurs post-docs, il ne reste plus grand chose à devoir, non ?
10 années à travailler pour l'état dont :
- 4 années de scolarité
- 3 années de thèse (minimum, rien n'empêche de faire une quatrième année).
Bref, un normalien qui a fait 3 années de post-doc (en Europe) a rempli à 100% son engagement décennal. Sachant que la durée normale d'un post-doc c'est deux ans...après plusieurs post-docs un normalien a largement fait son quota.
Oui mais tout le monde ne veut pas forcément ou ne peut pas forcément en faire un. Pourquoi faire un post-doc quand on sait que derrière il n'y a rien en terme de poste. Pour beaucoup il faut partir à l'étranger ce qui n'est pas forcément possible avec un conjoint etc
- mblondeNiveau 9
Bouboule a écrit:Sulfolobus a écrit:En effet.Bouboule a écrit:
- après plusieurs post-docs, il ne reste plus grand chose à devoir, non ?
10 années à travailler pour l'état dont :
- 4 années de scolarité
- 3 années de thèse (minimum, rien n'empêche de faire une quatrième année).
Bref, un normalien qui a fait 3 années de post-doc (en Europe) a rempli à 100% son engagement décennal. Sachant que la durée normale d'un post-doc c'est deux ans...après plusieurs post-docs un normalien a largement fait son quota.
Et au XXè siècle, les hommes avaient le SNA pour faire un an de plus.
Le sna (si on parle bien du service militaire) ne rentrait pas dans le cadre de l'engagement décennal. Il ne comptait pas pour une année de respect, l'engagement était décalé d'un an.
- SulfolobusÉrudit
Parce qu'un post-doc bien choisi permet de trouver de supers postes dans le privé et de finir son engagement décennal ?mblonde a écrit:Sulfolobus a écrit:En effet.Bouboule a écrit:
- après plusieurs post-docs, il ne reste plus grand chose à devoir, non ?
10 années à travailler pour l'état dont :
- 4 années de scolarité
- 3 années de thèse (minimum, rien n'empêche de faire une quatrième année).
Bref, un normalien qui a fait 3 années de post-doc (en Europe) a rempli à 100% son engagement décennal. Sachant que la durée normale d'un post-doc c'est deux ans...après plusieurs post-docs un normalien a largement fait son quota.
Oui mais tout le monde ne veut pas forcément ou ne peut pas forcément en faire un. Pourquoi faire un post-doc quand on sait que derrière il n'y a rien en terme de poste. Pour beaucoup il faut partir à l'étranger ce qui n'est pas forcément possible avec un conjoint etc
Parce qu'une expérience à l'étranger est toujours très bien vue dans le privé comme dans le public ? (surtout que l'étranger, ça peut être Bruxelles ou Lausanne, ça n'a pas besoin d'être Los Angeles ou Hong-Kong) ?
- DesolationRowEmpereur
Oui enfin les post-docs en lettres, c'est pas encore très fréquent.
- BoubouleDoyen
mblonde a écrit:Bouboule a écrit:Sulfolobus a écrit:En effet.Bouboule a écrit:
- après plusieurs post-docs, il ne reste plus grand chose à devoir, non ?
10 années à travailler pour l'état dont :
- 4 années de scolarité
- 3 années de thèse (minimum, rien n'empêche de faire une quatrième année).
Bref, un normalien qui a fait 3 années de post-doc (en Europe) a rempli à 100% son engagement décennal. Sachant que la durée normale d'un post-doc c'est deux ans...après plusieurs post-docs un normalien a largement fait son quota.
Et au XXè siècle, les hommes avaient le SNA pour faire un an de plus.
Le sna (si on parle bien du service militaire) ne rentrait pas dans le cadre de l'engagement décennal. Il ne comptait pas pour une année de respect, l'engagement était décalé d'un an.
Ah désolé, j'ai dû étendre le bénéfice d'une annuité pour la retraite à l'engagement décennal.
- BoubouleDoyen
mblonde a écrit:Sulfolobus a écrit:En effet.Bouboule a écrit:
- après plusieurs post-docs, il ne reste plus grand chose à devoir, non ?
10 années à travailler pour l'état dont :
- 4 années de scolarité
- 3 années de thèse (minimum, rien n'empêche de faire une quatrième année).
Bref, un normalien qui a fait 3 années de post-doc (en Europe) a rempli à 100% son engagement décennal. Sachant que la durée normale d'un post-doc c'est deux ans...après plusieurs post-docs un normalien a largement fait son quota.
Oui mais tout le monde ne veut pas forcément ou ne peut pas forcément en faire un. Pourquoi faire un post-doc quand on sait que derrière il n'y a rien en terme de poste. Pour beaucoup il faut partir à l'étranger ce qui n'est pas forcément possible avec un conjoint etc
Oui, mais s'il s'agit d'un engagement décennal, il vaut peut-être mieux faire un post-doc même si son utilité apparente ne sert qu'à finir l'engagement.
- mblondeNiveau 9
Sulfolobus a écrit:Parce qu'un post-doc bien choisi permet de trouver de supers postes dans le privé et de finir son engagement décennal ?mblonde a écrit:Sulfolobus a écrit:En effet.Bouboule a écrit:
- après plusieurs post-docs, il ne reste plus grand chose à devoir, non ?
10 années à travailler pour l'état dont :
- 4 années de scolarité
- 3 années de thèse (minimum, rien n'empêche de faire une quatrième année).
Bref, un normalien qui a fait 3 années de post-doc (en Europe) a rempli à 100% son engagement décennal. Sachant que la durée normale d'un post-doc c'est deux ans...après plusieurs post-docs un normalien a largement fait son quota.
Oui mais tout le monde ne veut pas forcément ou ne peut pas forcément en faire un. Pourquoi faire un post-doc quand on sait que derrière il n'y a rien en terme de poste. Pour beaucoup il faut partir à l'étranger ce qui n'est pas forcément possible avec un conjoint etc
Parce qu'une expérience à l'étranger est toujours très bien vue dans le privé comme dans le public ? (surtout que l'étranger, ça peut être Bruxelles ou Lausanne, ça n'a pas besoin d'être Los Angeles ou Hong-Kong) ?
En France en général un doctorat est assez mal perçu par les employeurs et les docteurs sont souvent dévalorisés par rapport aux ingénieurs. Alors un doctorat avec de nombreuses années de post doc je ne suis pas sûre que ce soit la meilleure façon d'obtenir un poste dans le privé. Du moins en France,... Quand à la remarque sur l'étranger, oui ça peut être Bruxelles, Lausanne mais pas toujours. Ça peut aussi être très loin et le conjoint ne peut pas toujours suivre. La ou ça devient assez drôle et je sais qu'il va y avoir au moins un cas prochainement t c'est quand le conjoint est aussi normalien, agrégé (ou pas), obligé de se mettre en dispo ou au chômage pour suivre et que l'ENS demande un remboursement...
- BoubouleDoyen
mblonde a écrit:
La dispo de conjoint est de droit. Mais quand bien même ce n'est pas de droit ça change rien à partir du moment où la dispo est régulièrement accordée par le ministère d dont dépend le fonctionnaire. Pour la somme les montants vont de 19000 € pour 3 ans a je suppose 6500 € pour un an.
Donc il n'y aura pas de problème, c'est juste une injonction d'un administratif qui n'a pas bossé le droit.
Cependant, je suppose qu'à un moment il faut bien que la dispos se termine, ça ne doit pas être facile. Peut-on poursuivre la dispos jusqu'à la fin de sa vie pour caricaturer ?
- mblondeNiveau 9
Bouboule a écrit:mblonde a écrit:Sulfolobus a écrit:En effet.Bouboule a écrit:
- après plusieurs post-docs, il ne reste plus grand chose à devoir, non ?
10 années à travailler pour l'état dont :
- 4 années de scolarité
- 3 années de thèse (minimum, rien n'empêche de faire une quatrième année).
Bref, un normalien qui a fait 3 années de post-doc (en Europe) a rempli à 100% son engagement décennal. Sachant que la durée normale d'un post-doc c'est deux ans...après plusieurs post-docs un normalien a largement fait son quota.
Oui mais tout le monde ne veut pas forcément ou ne peut pas forcément en faire un. Pourquoi faire un post-doc quand on sait que derrière il n'y a rien en terme de poste. Pour beaucoup il faut partir à l'étranger ce qui n'est pas forcément possible avec un conjoint etc
Oui, mais s'il s'agit d'un engagement décennal, il vaut peut-être mieux faire un post-doc même si son utilité apparente ne sert qu'à finir l'engagement.
Sauf que 'l'ENS a laisse croire pendant des années qil n'y aurait pas de demande de remboursement (plus que laisser croire puisque l'ENS ulm décourageait les Normaliens qui voulaient rembourser de le faire)
- SulfolobusÉrudit
On parle de normaliens là, ie de gens qui ont été durement sélectionnés, ont eu une excellente formation pré-doctorale et tout pour faire leur thèse dans de très bonnes conditions. Donc normalement des gens qui ont de très solides arguments.mblonde a écrit:
En France en général un doctorat est assez mal perçu par les employeurs et les docteurs sont souvent dévalorisés par rapport aux ingénieurs.
C'est pourtant faux, enfin pas toujours vrai.Alors un doctorat avec de nombreuses années de post doc je ne suis pas sûre que ce soit la meilleure façon d'obtenir un poste dans le privé. Du moins en France,...
Ça dépend énormément du post-doc qui a été choisi. Mais il y a plein de domaines où ce genre de profils est très très valorisé.
Mais là aussi, ça demande de préparer son coup et de s'être renseigné en amont.
C'est malheureusement pareil partout, quelque soit le métier. Et encore une fois, un post-doc, même excellent, peut se faire en France.Quand à la remarque sur l'étranger, oui ça peut être Bruxelles, Lausanne mais pas toujours. Ça peut aussi être très loin et le conjoint ne peut pas toujours suivre. La ou ça devient assez drôle et je sais qu'il va y avoir au moins un cas prochainement t c'est quand le conjoint est aussi normalien, agrégé (ou pas), obligé de se mettre en dispo ou au chômage pour suivre et que l'ENS demande un remboursement...
- mblondeNiveau 9
Bouboule a écrit:mblonde a écrit:
La dispo de conjoint est de droit. Mais quand bien même ce n'est pas de droit ça change rien à partir du moment où la dispo est régulièrement accordée par le ministère d dont dépend le fonctionnaire. Pour la somme les montants vont de 19000 € pour 3 ans a je suppose 6500 € pour un an.
Donc il n'y aura pas de problème, c'est juste une injonction d'un administratif qui n'a pas bossé le droit.
Cependant, je suppose qu'à un moment il faut bien que la dispos se termine, ça ne doit pas être facile. Peut-on poursuivre la dispos jusqu'à la fin de sa vie pour caricaturer ?
Pour des dispo de suivi de conjoint oui théoriquement mais à mon avis seulement t dans le cas où le conjoint est à l'étranger définitivement (ce qui n'est pas mon cas). Pour les autres dispo de drpit il y a élever un enfant de moins de huit ans et ça doit être possible en enquillant les enfants jusqu'à la retraite. Ou s'occuper d'un conjoint/ascendant/enfant handicapé ou malade. Mais à mon avis dans tous ces cas, il est possible de plaider une dispense en arguant que les dispo sont indépendantes de la volonté de l'agent. Et puis de toute manière c'est le problème de l.administration dont dépend le fonctionnaire, pas de l'ENS
- BoubouleDoyen
mblonde a écrit:Bouboule a écrit:mblonde a écrit:Sulfolobus a écrit:
En effet.
10 années à travailler pour l'état dont :
- 4 années de scolarité
- 3 années de thèse (minimum, rien n'empêche de faire une quatrième année).
Bref, un normalien qui a fait 3 années de post-doc (en Europe) a rempli à 100% son engagement décennal. Sachant que la durée normale d'un post-doc c'est deux ans...après plusieurs post-docs un normalien a largement fait son quota.
Oui mais tout le monde ne veut pas forcément ou ne peut pas forcément en faire un. Pourquoi faire un post-doc quand on sait que derrière il n'y a rien en terme de poste. Pour beaucoup il faut partir à l'étranger ce qui n'est pas forcément possible avec un conjoint etc
Oui, mais s'il s'agit d'un engagement décennal, il vaut peut-être mieux faire un post-doc même si son utilité apparente ne sert qu'à finir l'engagement.
Sauf que 'l'ENS a laisse croire pendant des années qil n'y aurait pas de demande de remboursement (plus que laisser croire puisque l'ENS ulm décourageait les Normaliens qui voulaient rembourser de le faire)
Oui mais là c'est de la grosse naïveté et je crois que cela a déjà été souligné dans le fil de discussion.
- BoubouleDoyen
mblonde a écrit:Bouboule a écrit:mblonde a écrit:
La dispo de conjoint est de droit. Mais quand bien même ce n'est pas de droit ça change rien à partir du moment où la dispo est régulièrement accordée par le ministère d dont dépend le fonctionnaire. Pour la somme les montants vont de 19000 € pour 3 ans a je suppose 6500 € pour un an.
Donc il n'y aura pas de problème, c'est juste une injonction d'un administratif qui n'a pas bossé le droit.
Cependant, je suppose qu'à un moment il faut bien que la dispos se termine, ça ne doit pas être facile. Peut-on poursuivre la dispos jusqu'à la fin de sa vie pour caricaturer ?
Pour des dispo de suivi de conjoint oui théoriquement mais à mon avis seulement t dans le cas où le conjoint est à l'étranger définitivement (ce qui n'est pas mon cas). Pour les autres dispo de drpit il y a élever un enfant de moins de huit ans et ça doit être possible en enquillant les enfants jusqu'à la retraite. Ou s'occuper d'un conjoint/ascendant/enfant handicapé ou malade. Mais à mon avis dans tous ces cas, il est possible de plaider une dispense en arguant que les dispo sont indépendantes de la volonté de l'agent. Et puis de toute manière c'est le problème de l.administration dont dépend le fonctionnaire, pas de l'ENS
L'ENS est peut-être responsable du respect du contrat qu'elle a fait signer.
- mblondeNiveau 9
Bouboule a écrit:mblonde a écrit:Bouboule a écrit:mblonde a écrit:
Oui mais tout le monde ne veut pas forcément ou ne peut pas forcément en faire un. Pourquoi faire un post-doc quand on sait que derrière il n'y a rien en terme de poste. Pour beaucoup il faut partir à l'étranger ce qui n'est pas forcément possible avec un conjoint etc
Oui, mais s'il s'agit d'un engagement décennal, il vaut peut-être mieux faire un post-doc même si son utilité apparente ne sert qu'à finir l'engagement.
Sauf que 'l'ENS a laisse croire pendant des années qil n'y aurait pas de demande de remboursement (plus que laisser croire puisque l'ENS ulm décourageait les Normaliens qui voulaient rembourser de le faire)
Oui mais là c'est de la grosse naïveté et je crois que cela a déjà été souligné dans le fil de discussion.
Certes mais c'est quand même dur à avaler. Surtout pour ceux qui ont fait les démarches à un moment où une boite pouvaient les racheter et qui doivent maintenant payer de leur poche ou pour ceux que l'ENS a poussé vers le privé en balayant d'un revers de la main leurs inquiétudes sur ce point.
- mblondeNiveau 9
Bouboule a écrit:mblonde a écrit:Bouboule a écrit:mblonde a écrit:
La dispo de conjoint est de droit. Mais quand bien même ce n'est pas de droit ça change rien à partir du moment où la dispo est régulièrement accordée par le ministère d dont dépend le fonctionnaire. Pour la somme les montants vont de 19000 € pour 3 ans a je suppose 6500 € pour un an.
Donc il n'y aura pas de problème, c'est juste une injonction d'un administratif qui n'a pas bossé le droit.
Cependant, je suppose qu'à un moment il faut bien que la dispos se termine, ça ne doit pas être facile. Peut-on poursuivre la dispos jusqu'à la fin de sa vie pour caricaturer ?
Pour des dispo de suivi de conjoint oui théoriquement mais à mon avis seulement t dans le cas où le conjoint est à l'étranger définitivement (ce qui n'est pas mon cas). Pour les autres dispo de drpit il y a élever un enfant de moins de huit ans et ça doit être possible en enquillant les enfants jusqu'à la retraite. Ou s'occuper d'un conjoint/ascendant/enfant handicapé ou malade. Mais à mon avis dans tous ces cas, il est possible de plaider une dispense en arguant que les dispo sont indépendantes de la volonté de l'agent. Et puis de toute manière c'est le problème de l.administration dont dépend le fonctionnaire, pas de l'ENS
L'ENS est peut-être responsable du respect du contrat qu'elle a fait signer.
Depuis 2014 oui mais pas avant (et pas.pour les contrats signés avant cette date).
- BoubouleDoyen
mblonde a écrit:Bouboule a écrit:mblonde a écrit:Bouboule a écrit:
Oui, mais s'il s'agit d'un engagement décennal, il vaut peut-être mieux faire un post-doc même si son utilité apparente ne sert qu'à finir l'engagement.
Sauf que 'l'ENS a laisse croire pendant des années qil n'y aurait pas de demande de remboursement (plus que laisser croire puisque l'ENS ulm décourageait les Normaliens qui voulaient rembourser de le faire)
Oui mais là c'est de la grosse naïveté et je crois que cela a déjà été souligné dans le fil de discussion.
Certes mais c'est quand même dur à avaler. Surtout pour ceux qui ont fait les démarches à un moment où une boite pouvaient les racheter et qui doivent maintenant payer de leur poche ou pour ceux que l'ENS a poussé vers le privé en balayant d'un revers de la main leurs inquiétudes sur ce point.
Là, ça va être un noeud d'embrouilles sans fin.
- mblondeNiveau 9
Sur le forum? Oui je pense...
- mblondeNiveau 9
DesolationRow a écrit:Oui enfin les post-docs en lettres, c'est pas encore très fréquent.
Du coup ils deviennent quoi les Normaliens apres leur thèse en lettres ? Je suppose qu'il n'y a pas de place à la fac pour tout le monde. Je n'ai pas trop gardé le contact avec des littéraires.
- BoubouleDoyen
mblonde a écrit:Sur le forum? Oui je pense...
lol, oui sans doute, mais je pensais plus à la vraie vie
- AliceinwonderlandNeoprof expérimenté
Pour ma part je n'en connais pas énormément mais tous les cas que je connais ils ont décroché assez vite un poste en fac ; agreg + normale + doctorat ça ouvre encore pas mal de portes heureusement...
_________________
Comme chaque année à la même époque je fais preuve d'un optimisme aveugle en me disant que l'année à venir ne peut pas être pire que celle qui vient de s'écouler. En oubliant que l'année passée a été pire que la précédente... (je cite de mémoire Emmanuel Brouillard)
- mblondeNiveau 9
Aliceinwonderland a écrit:Pour ma part je n'en connais pas énormément mais tous les cas que je connais ils ont décroché assez vite un poste en fac ; agreg + normale + doctorat ça ouvre encore pas mal de portes heureusement...
Ce sont des cas récents? Parce que j'ai cru comprendre que la situation s'était beaucoup dégradée en seulement quelques années. En tout cas dans mes camarades, trois ans après la these il n'y en a pas beaucoup qui sont rentrés en France.
- pamplemousses4Expert
Aliceinwonderland a écrit:Pour ma part je n'en connais pas énormément mais tous les cas que je connais ils ont décroché assez vite un poste en fac ; agreg + normale + doctorat ça ouvre encore pas mal de portes heureusement...
En sciences humaines, singulièrement en philosophie, ce n'est absolument pas automatique.
- RogerMartinBon génie
mblonde a écrit:DesolationRow a écrit:Oui enfin les post-docs en lettres, c'est pas encore très fréquent.
Du coup ils deviennent quoi les Normaliens apres leur thèse en lettres ? Je suppose qu'il n'y a pas de place à la fac pour tout le monde. Je n'ai pas trop gardé le contact avec des littéraires.
Aliceinwonderland a écrit:Pour ma part je n'en connais pas énormément mais tous les cas que je connais ils ont décroché assez vite un poste en fac ; agreg + normale + doctorat ça ouvre encore pas mal de portes heureusement...
Je pense que les destinées sont très variables selon les matières, sinon l'ENS, non?
Pour les matières littéraires que je connais mieux, dans les années 80 Cachan par ex. forçait systématiquement les élèves à passer l'agrég, et soyons clairs se fichaient un peu qu'ils aient ou non un poste dans le supérieur/une bourse à la sortie, Fontenay triait à l'intérieur des promos par l'agrég et faisait le forcing pour obtenir des allocations pour certains de ses élèves, tandis qu'à Ulm on nous expliquait "tout va bien se passer" -- tandis que personne ne faisait concrètement quoi que ce soit
Sinon les post-docs en lettres et même plus largement SHS, je n'en ai jamais vu en France, alors que le système a l'air bien développé en Angleterre et en Suisse. Est-ce que quelqu'un a un contre-exemple?
_________________
Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- DesolationRowEmpereur
RogerMartin a écrit:mblonde a écrit:DesolationRow a écrit:Oui enfin les post-docs en lettres, c'est pas encore très fréquent.
Du coup ils deviennent quoi les Normaliens apres leur thèse en lettres ? Je suppose qu'il n'y a pas de place à la fac pour tout le monde. Je n'ai pas trop gardé le contact avec des littéraires.Aliceinwonderland a écrit:Pour ma part je n'en connais pas énormément mais tous les cas que je connais ils ont décroché assez vite un poste en fac ; agreg + normale + doctorat ça ouvre encore pas mal de portes heureusement...
Je pense que les destinées sont très variables selon les matières, sinon l'ENS, non?
Pour les matières littéraires que je connais mieux, dans les années 80 Cachan par ex. forçait systématiquement les élèves à passer l'agrég, et soyons clairs se fichaient un peu qu'ils aient ou non un poste dans le supérieur/une bourse à la sortie, Fontenay triait à l'intérieur des promos par l'agrég et faisait le forcing pour obtenir des allocations pour certains de ses élèves, tandis qu'à Ulm on nous expliquait "tout va bien se passer" -- tandis que personne ne faisait concrètement quoi que ce soit
Sinon les post-docs en lettres et même plus largement SHS, je n'en ai jamais vu en France, alors que le système a l'air bien développé en Angleterre et en Suisse. Est-ce que quelqu'un a un contre-exemple?
A la fin de mon doctorat je m'en suis vu proposer deux, un en Allemagne et un en Espagne ; j'ai refusé les deux pour des raisons familiales, en ayant conscience que ça risquait de m'envoyer tout droit dans le secondaire.
Pour les littéraires, ENS+agrégation+doctorat qui finissent leur thèse en ce moment, ou l'ont finie récemment (dans les cinq dernières années, disons) ce n'est absolument pas l'assurance d'un poste dans le supérieur en ce moment, et l'évolution est désespérante, pour la simple raison qu'il y a de moins en moins de postes dans le supérieur.
- ElaïnaDevin
Aliceinwonderland a écrit:Pour ma part je n'en connais pas énormément mais tous les cas que je connais ils ont décroché assez vite un poste en fac ; agreg + normale + doctorat ça ouvre encore pas mal de portes heureusement...
en tout cas, pour les chartistes, la situation n'est pas forcément très rose. Un bon nombre de chartistes agrégés enseignent en lycée. D'ailleurs parmi ceux-là un certain nombre finit par se reconvertir comme chargés d'études documentaires.
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