Re: "J'ai reçu mes descriptifs d'EAF et... oh !" Le topic pour crier sa joie, partager ses surprises et vitupérer tranquille

Que ce n'est pas à vos collègues de vous faire découvrir des textes, sans doute. Ils ont assez à faire avec leurs élèves.

DesolationRow a écrit:Que ce n'est pas à vos collègues de vous faire découvrir des textes, sans doute. Ils ont assez à faire avec leurs élèves.

Merci pour cette leçon de vie, j'en sors grandie.

Toujours content d'aider.

Ben franchement, pour un enseignant, l'oral du bac n'est pas supposé présenter un intérêt. Tu es là pour évaluer le travail des élèves, point.
Si tu veux quelque chose qui présente un intérêt, rien ne t'empêche d'aller choisir chez un libraire ou dans une bibli un livre que tu n'as jamais lu.

Fabienne a écrit:

De mon point de vue, l'intérêt de l'oral côté examinateur, c'est de découvrir d'autres perspectives, d'autres textes, d'élargir un peu l'horizon. S'il s'agit d'aller année après année dans les mêmes établissements interroger sur les mêmes textes, poser les mêmes questions... C'est à mon sens routinier et ennuyeux.
Par exemple, j'ai découvert "La Route" de Gracq, "Souffles" de Birago Diop et même "Comment Wang-Fô fut sauvé" de Yourcenar en interrogeant à l'oral, il y a bien des années.
Écouter un 127ème candidat me parler de l'eldorado me barbe. Découvrir Un roi sans divertissement (que je n'avais jamais lu, à ma grande honte) m'enthousiasme. Voilà tout.

Humainement, je le comprends tout à fait. Entendre sans cesse les mêmes exposés sur les mêmes œuvres doit finir par être profondément lassant. Maintenant, il faut que nous soyons d'accord sur le fait que face à la nécessité de transmettre une culture patrimoniale aux élèves, le plaisir de l'examinateur est très secondaire, pour ne pas dire complètement négligeable.

Audrey a écrit:Ben franchement, pour un enseignant, l'oral du bac n'est pas supposé présenter un intérêt.

Permets-moi de ne pas être d'accord avec toi. J'aime trouver de l'intérêt à ce que je fais.

Ryuzaki a écrit:

Humainement, je le comprends tout à fait. Entendre sans cesse les mêmes exposés sur les mêmes œuvres doit finir par être profondément lassant. Maintenant, il faut que nous soyons d'accord sur le fait que face à la nécessité de transmettre une culture patrimoniale aux élèves, le plaisir de l'examinateur est très secondaire, pour ne pas dire complètement négligeable.

Ah mais là nous sommes tout à fait d'accord! Je n'ai jamais dit que mon intérêt passait avant celui des candidats (de la même manière que je n'ai jamais demandé aux collègues de présenter des textes différents pour me divertir, certains messages frisaient quand même la caricature).

Maintenant, je pense que le patrimoine littéraire que l'on peut transmettre à nos élèves ne se résume pas à trois ou quatre œuvres. Je suis par exemple surprise de ne presque jamais interroger sur Victor Hugo. Je n'ai vu qu'une seule fois Verlaine en œuvre intégrale (peut-être est-ce un coup de malchance?).

Maintenant, je pense que le patrimoine littéraire que l'on peut transmettre à nos élèves ne se résume pas à trois ou quatre œuvres. Je suis par exemple surprise de ne presque jamais interroger sur Victor Hugo. Je n'ai vu qu'une seule fois Verlaine en œuvre intégrale (peut-être est-ce un coup de malchance?).

ça c'est vrai.
Et ça procède selon moi de ces foutues entrées génériques : si tu "fais" Baudelaire, (comme on "fait" les Baléares au club Med) tu ne "fais" pas Hugo, ni Verlaine, ni Ronsard. Tu fais Gaudé, mais pas Racine, Voltaire mais pas Pascal, fromage mais pas dessert...
Entrée générique est de fait une appellation abusive puisqu'avec le niveau réel des élèves , faire une OI " ET un ou deux GT" est impossible sur les 4 entrées du programmes (ou alors "faire", ce n'est même plus comme au club med, c'est par google earth) : du coup, des pans entiers de notre patrimoine littéraire tombent à l'eau, et en plus pour chaque élève, ce ne sont pas les mêmes pans, ce qui fait que dans dix ans on s'apercevra qu'il n'y a plus de "culture française" commune.
Certains ignoreront Molière, d'autres Hugo, d'autres Camus, tous Pascal et Montaigne, Rabelais... Mais quelques uns connaîtront un Gaudé romancier, quelques autres un Gaudé dramaturge, certains un Hugo poète et auteur de comédies musicales.

Fabienne a écrit:

DesolationRow a écrit:Que ce n'est pas à vos collègues de vous faire découvrir des textes, sans doute. Ils ont assez à faire avec leurs élèves.

Merci pour cette leçon de vie, j'en sors grandie.

Cela ne me paraît pas incompatible. Si je fais avec mes élèves des textes un peu moins connus, ils découvrent des textes et l'examinateur peut aussi les découvrir. Je remercie les collègues inconnus qui m'ont fait lire Sylvie Germain , ou des textes de Maupassant que je ne connaissais pas, par exemple.
Et quand de mon côté je sors un peu des sentiers battus, j'enrage que me élèves ne soient parfois pas du tout interrogés sur des textes qui leur ont plu. .. un peu de curiosité ne nuit pas à un enseignant me semble-t-il.

Innovair a écrit:Personnellement, je me garde bien de juger les descriptifs. La plupart des enseignants de lettres que je connais sont des gens sérieux, qui font de leur mieux. Un descriptif paraît toujours sérieux, séduisant, mais ce n'est qu'une feuille de titres après tout. La première fois que j'ai établi une liste d'oral, j'avais mis très peu de documents complémentaires et n'y figuraient pas d'études d'ensemble. Tout simplement parce que c'était la première fois. Je n'avais pas photocopié les documents complémentaires parce que ma collègue coordonnatrice m'avait dit qu'elle ne les photocopiait jamais; par mimétisme, j'avais fait de même. C'est à force de recevoir des descriptifs, d'interroger tous les ans des candidats que j'ai étoffé mes listes et que je me suis efforcé de produire des descriptifs « standards ». Je n'attends pas un nombre déterminé de lectures analytiques, puisque le BO ou les consignes de l'inspection ne le stipulent pas. Il y a tellement d'imprévus (sorties, voyages pour lesquels nous ne sommes pas informés, maladie de l'enseignant), qu'il est hasardeux de se prononcer sur la qualité d'un enseignement à partir d'une simple liste. La chose la plus aberrante que j'ai pu voir cependant (il s'agissait d'un lycée privé mais peu importe), c'était des objets d'étude appartenant à un programme passé (« le biographique ») et une liste interminable et hétéroclite de LA et de documents complémentaires.

La rédaction du descriptif est quelque chose de capital. Quand j'interroge par exemple sur une étude d'ensemble dans l'entretien, certains candidats déclarent qu'ils ne l'ont pas abordée. Je sais que les élèves ont toujours tendance à dire qu'ils n'ont rien fait, mais lorsque cela se répète, je me pose des questions sur le façon dont ces études d'ensemble ont été abordées et je suis ennuyé pour savoir comment noter. La multiplication des études d'ensemble ou des documents complémentaires sur une liste me fait dire que tout cela a dû être survolé. Y a-t-il eu une trace écrite ? Où s'agit-il seulement de problématiques implicites qui se retrouvent d'une LA à l'autre ? J'ai aussi constaté que parfois les documents complémentaires sont donnés à lire la maison mais jamais étudiés avec le professeur. Ce constat de l'écart entre ce qu'il y d'écrit sur le descriptif et ce que savent les élèves sur les notions indiquées m'incite à clarifier moi-même mon enseignement : je ne mets rien sur le descriptif qui n'ait fait l'objet d'un cours explicite et d'une trace écrite.

+1 pour tout ce que tu écris. Je me garde bien de juger les descriptifs... Première année en lycée pour ma part en 15 ans de collège, j'ai fait de mon mieux, en écoutant les collègues aguerris et en essayant d'en faire mon miel. Je ne comprends pas bien que l'on discute de la présence de Dom Juan parce que ce n'est pas pour nous que nous travaillons mais pour nos élèves. C'est comme pour l'HDA : comment donner à nos élèves une culture générale ? Alors ce qui compte ce n'est pas NOUS mais nos élèves et ce que nous leur apportons. Je me garde bien de travailler en fonction de ce qui m'ennuie ou de ce qui ennuie les examinateurs. Pour ma part, je ne faisais pas cours à l'originalité. Tout cela mis à part, je n'ai pas fait Dom Juan mais j'ai fait Montaigne et bien contente car quand on voit les sujets tombés en Amérique du Nord notamment... C'est bateau, c'est le moins qu'on puisse dire ! Smile

Pour ce qui est du nb de LA, j'en ai 17 mais je sais que je les ai vues à fond : si les élèves ont travaillé, ils s'en sortiront. De même pour les documents complémentaires.

Alliance a écrit:Je ne comprends pas bien que l'on discute de la présence de Dom Juan parce que ce n'est pas pour nous que nous travaillons mais pour nos élèves. C'est comme pour l'HDA : comment donner à nos élèves une culture générale ? Alors ce qui compte ce n'est pas NOUS mais nos élèves et ce que nous leur apportons. Je me garde bien de travailler en fonction de ce qui m'ennuie ou de ce qui ennuie les examinateurs.

Voilà, les élèves ne font pas la différence entre une oeuvre très connue ou un truc plus rare puisque pour eux, rien n'est connu. Du coup, étudier les classiques leur permettra de comprendre certaines allusions dans la vie de tous les jours, certaines références. Je trouverais par ailleurs simplement dommage qu'un élève n'ait jamais lu Les Fleurs du mal parce que je trouve ça splendide : qu'un collègue les connaisse déjà est assez logique. De fait, plus le collègue sera érudit, plus il sera difficile de lui faire découvrir quelque chose de neuf, non? De là à se réjouir d'une supposée baisse de niveau au CAPES il n'y a qu'un pas Razz

Le problème aussi, ce sont les redites avec la seconde. J'ai une collègue (la Super-prof donc) qui fait les Fleurs du Mal en seconde , j'ai récupéré une dizaine de ses élèves, je ne l'ai pas fait donc. Mais effectivement, un certain nombre sortent du lycée sans les avoir étudiées.

D'accord avec ce que vous dites sur l'intérêt des textes du patrimoine mais c'est intéressant tout de même de panacher, et lorsque je mets sur mon descriptif des textes plus contemporains ou moins connus ce n'est pas par souci d'originalité,mais parce que cela me semble pertinent. Et ce n'est pas non plus dans le souci de faire plaisir aux futurs examinateurs ni à moi ( bon, là j'avoue, si tout de même: comme il en a été débattu ailleurs on défend mieux ce que l'on aime en général). Mais pour en revenir aux descriptifs et sachant que bien sûr la plupart des gens font au mieux: trouver des classes où on retrouve encore et toujours Candide ou le théâtre du XVIIème, sachant que c'est déjà le programme de seconde je trouve ça dommage. Et inversement constater assez souvent que mes élèves ne sont interrogés que sur les textes canoniques du descriptif est très frustrant: cela donne l'impression
1) d'avoir travaillé une partie de l'année pour rien (bon, bien sûr il y a la culture générale. ..)
2) que les examinateurs sont bien frileux ou peu curieux. .. Ce qui est dommage.

Écusette de Noireuil a écrit: Et ce n'est pas non plus dans le souci de faire plaisir aux futurs examinateurs ni à moi ( bon, là j'avoue, si tout de même: comme il en a été débattu ailleurs on défend mieux ce que l'on aime en général)

Oh mais ça, c'est mon critère de choix principal : si j'enseigne aujourd'hui, c'est principalement pour me faire plaisir en étudiant des oeuvres que j'aime. Comme tu le dis, ça passe bien mieux avec les élèves quand tu es enthousiaste.

Écusette de Noireuil a écrit:D'accord avec ce que vous dites sur l'intérêt des textes du patrimoine mais c'est intéressant tout de même de panacher, et lorsque je mets sur mon descriptif des textes plus contemporains ou moins connus ce n'est pas par souci d'originalité,mais parce que cela me semble pertinent. Et ce n'est pas non plus dans le souci de faire plaisir aux futurs examinateurs ni à moi ( bon, là j'avoue, si tout de même: comme il en a été débattu ailleurs on défend mieux ce que l'on aime en général). Mais pour en revenir aux descriptifs et sachant que bien sûr la plupart des gens font au mieux: trouver des classes où on retrouve encore et toujours Candide ou le théâtre du XVIIème, sachant que c'est déjà le programme de seconde je trouve ça dommage. Et inversement constater assez souvent que mes élèves ne sont interrogés que sur les textes canoniques du descriptif est très frustrant: cela donne l'impression
1) d'avoir travaillé une partie de l'année pour rien (bon, bien sûr il y a la culture générale. ..)
2) que les examinateurs sont bien frileux ou peu curieux. .. Ce qui est dommage.

C'est aussi au programme de première. Personne ne fait DJ en seconde, et c'est quand même une œuvre qui marche, où le travail sur la représentation est intéressante, ainsi que sur les registres. C'est sûr qu'en maths, ils ne se posent pas ce genre de questions : "Tiens, je fais les fractions cette année, pff, marre, pas très original quand même !"

Spoiler:

D'accord avec Roxanne...
A mon avis peu de collègues voient DJ en seconde...

Je pense qu'il vaut mieux éviter Candide en première car c'est vrai que ce conte est passé plutôt en seconde maintenant, mais pour ce qui est des classiques incontournables, c'est certes lassant pour nous, mais bon, les gamins les découvrent, eux, et ce serait bête qu'ils sortent du lycée en connaissant des oeuvres un peu rares et contemporaines mais pas des oeuvres du patrimoine... (Mais je crois que nous avons déjà eu mille fois ce débat... :lol: )

Écusette de Noireuil a écrit:D'accord avec ce que vous dites sur l'intérêt des textes du patrimoine mais c'est intéressant tout de même de panacher, et lorsque je mets sur mon descriptif des textes plus contemporains ou moins connus ce n'est pas par souci d'originalité,mais parce que cela me semble pertinent. Et ce n'est pas non plus dans le souci de faire plaisir aux futurs examinateurs ni à moi ( bon, là j'avoue, si tout de même: comme il en a été débattu ailleurs on défend mieux ce que l'on aime en général). Mais pour en revenir aux descriptifs et sachant que bien sûr la plupart des gens font au mieux: trouver des classes où on retrouve encore et toujours Candide ou le théâtre du XVIIème, sachant que c'est déjà le programme de seconde je trouve ça dommage. Et inversement constater assez souvent que mes élèves ne sont interrogés que sur les textes canoniques du descriptif est très frustrant: cela donne l'impression
1) d'avoir travaillé une partie de l'année pour rien (bon, bien sûr il y a la culture générale. ..)
2) que les examinateurs sont bien frileux ou peu curieux. .. Ce qui est dommage.

Je fais passer les oraux depuis trois ans, et par principe, je fais passer au moins une fois chaque texte que les élèves ont étudié en LA, parfois deux fois si j'interroge tous les élèves d'une même classe.

Tu interroges quelles sections, Hermione ?

Violet a écrit:

Je pense qu'il vaut mieux éviter Candide en première car c'est vrai que ce conte est passé plutôt en seconde maintenant, mais pour ce qui est des classiques incontournables, c'est certes lassant pour nous, mais bon, les gamins les découvrent, eux, et ce serait bête qu'ils sortent du lycée en connaissant des oeuvres un peu rares et contemporaines mais pas des oeuvres du patrimoine... (Mais je crois que nous avons déjà eu mille fois ce débat... :lol: )

Je vous lis de loin puisque je suis en collège mais cette discussion est en effet un marronnier du mois de juin (si j'ose m'exprimer ainsi Razz

).

Bon courage à vous. pompom

Hermione j'applique le même principe, comme beaucoup de collègues. Mais l'an dernier mes élèves ont eu les 5 mêmes textes en boucle furieux

(et pourtant j'avais des textes variés et pas que du contemporain! )
Les élèves qui mettaient sur le compte Facebook de la classe textes et questions s'en sont vite rendus compte. ..

Sauf qu'avec moi, les fainéants ne seraient pas déçus du voyage. 5 textes en boucle pendant deux jours (par exemple). Et puis hop d'un seul coup on change.

J'ai eu mes trois descriptifs : dans l'ensemble du classique, plus ou moins 20 LA par descriptif et une vingtaine de doc complémentaires. Une seule oeuvre que je n'ai pas encore lue (Rufin, Le Collier rouge). Contrairement à d'autres qui se sont exprimés ici, je suis content de retrouver Les Fleurs du mal, ça sera un plaisir d'en entendre à nouveau parler Razz

nlm76 a écrit:Sauf qu'avec moi, les fainéants ne seraient pas déçus du voyage. 5 textes en boucle pendant deux jours (par exemple). Et puis hop d'un seul coup on change.

5 textes en boucle je ne pourrais jamais, je mourrais (encore plus) d'ennui. D'ailleurs en l'occurrence, ce ne sont pas les élèves qui sont " fainéants". Ils étaient plutôt déçus pour la plupart car ils avaient sérieusement bossé. Ce qui ne semblait pas être le cas de cet examinateur .

Reçu le 2d descriptif de 1 Littéraire :
21 LA
1 seule OI : un roman de Nothomb (j'espère qu'ils le connaissent Smile

)
lectures cursives : 2 romans
et 79 documents complémentaires -certains très originaux, mais quand même je n'aurai pas le temps de tous les connaître...Le dossier total fait 100 pages pale

et j'ai surveillance de bac active professeur

jusqu'à la veille des oraux...

Fabienne a écrit:
Je dis juste que le collègue en question n'a pas dû changer ses cours depuis bien des années.

C'est intéressant de voir que tu te permets de porter de tels jugements. J'ai moi-même jugé très défavorablement la collègue qui utilise néo pour faire son marché en me disant que la préparation des cours ne devait pas être sa priorité. Mais je bats ma coulpe et fais preuve d'indulgence voire de bienveillance (pas seulement en ne citant que les messages de ce mois). Allez en paix.

"J'ai reçu mes descriptifs d'EAF et... oh !" Le topic pour crier sa joie, partager ses surprises et vitupérer tranquille - Page 26 1eveque

J'en appelle donc à votre bonne volonté. Auriez-vous dans vos tablettes:
- une fiche de synthèse sur le mouvement littéraire de l'humanisme?
- des exemples de textes pour qu'elle pourrait exploiter en dissert? En effet, elle cherche à approfondir: elle a lu "Des coches" et "Des cannibales" en OI, le Tiers Livre en lecture cursive, et Gargantua en lecture personnelle. Elle voudrait d'autres textes pour avoir des références pour la dissert. J'ai pensé au programme éducatif de Pantagruel, à Utopie de Thomas More, à Eloge de la folie d'Erasme. Vous voyez d'autres indispensables?

Merci de votre aide!

Auriez-vous un sujet sur l'objet d'étude "La Question de l'homme" que vous accepteriez de partager avec moi?
Merci d'avance.

D'ailleurs, quelqu'un aurait-il dans ses tablettes des consignes de correction, pour n'importe quel sujet de 1ère L, ou ES/S, de ces deux dernières années? Ca m'aiderait vraiment.

Je termine la méthode de la dissert avec mes 2ndes, et je voudrais leur montrer une dissertation entièrement rédigée sur un sujet simple (de préférence sur la littérature générale, mais tout sujet simple pourrait faire l'affaire).
Je n'ai matériellement pas le temps d'en taper un cette semaine. Est-ce que quelqu'un aurait ça sous le coude?
En échange, je peux proposer une dissert rédigée sur la représentation de la violence au théâtre, plutôt destinée à des premières.
Merci d'avance!
Fabienne

Euh, c'est "amusant " de taxer Fabienne "d'utiliser neo pour faire son marché" puisque c'est quand même elle qui l'a créé et qui je crois est (avec d'autres) à l'origine de la BDD qu'elle a largement contribué à enrichir(j'aime bien ses séances, c'est clair)...