- DesolationRowEmpereur
JPhMM a écrit:Quand tu n'es pas inquiet, es-tu inquiet de ne pas l'être ?Parménide a écrit:Levincent a écrit:
En prenant l'habitude de lire des oeuvres.
Quand je compose je suis inquiet à l'idée de ne pas lire, et quand je lis je suis inquiet à l'idée de ne pas composer. C'est vraiment dur de sortir de cette spirale.
J'espère que c'est le cas. Sinon ce serait inquiétant.
- JPhMMDemi-dieu
Esprit synthétique ou analytique ?Parménide a écrit:Je continue d'avoir de grandes difficultés à me représenter concrètement quel doit être le degré de précision des connaissances d'un professeur de philosophie (du secondaire en l'occurrence).
Du particulier vers le global ou du global vers le particulier ?
Et si tu essayais d'avoir une vision d'ensemble.
Pourquoi ne pas tout poser, acheter L'histoire de la philosophie, de Bréhier, et la lire en entier, afin de te constituer une vision globale, avant de considérer les objets particuliers ?
(Ceci était un avis absolument non expert)
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- LevincentNiveau 9
Parménide a écrit:
J'ai décidé de reprendre le sujet, et je peine toujours autant. Je n'arrive pas à voir des cas de figure où la moralité serait inutile (voire nuisible) à la vie sociale.
Tu te moques de nous ?
- RendashBon génie
Parménide a écrit:
Je veux simplement dire que si je connaissais cet auteur (et d'autres) je ne peinerais pas comme ça sur le sujet. C'est vraiment un sujet qui exige des connaissances, je le vis ainsi.
Baway. Et après que tu as traité le sujet, et que tu t'es rendu compte de ce qui te manque en lisant le rapport, les annotations de ton correcteur, les copies de qualité, et les avis des Néos, tu n'as plus qu'à te faire une liste des auteurs et concepts dont ce sujet demandait la maîtrise, et à plancher dessus.
De la sorte, tu auras, enfin, progressé suite à un entraînement, au lieu de simplement perdre ton temps. Et tu pourras passer à un autre sujet. Usw.
C'est comme ça que les personnes qui ont quelque raison d'espérer avoir une chance de réussir ce concours - n'importe quel concours - procèdent, en général, m'est avis. Et c'est ainsi qu'Allah est grand.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- LevincentNiveau 9
Parménide a écrit:
Je veux simplement dire que si je connaissais cet auteur (et d'autres) je ne peinerais pas comme ça sur le sujet. C'est vraiment un sujet qui exige des connaissances, je le vis ainsi.
Ce que je trouve incroyable, c'est que tu as l'air de prendre ton manque de connaissance comme un fait donné avec lequel tu es obligé de composer. Tu en fais quasiment une excuse, alors que c'est plutôt une faute que tu devrais mettre toute ton énergie à corriger.
Maintenant que tu as fini ce devoir, vas-tu essayer de connaître les doctrines de Machiavel, Hume, Adam Smith, Bentham, qui ont été évoqués dans ce fil ? Es-tu allé lire la fable des abeilles (qui se lit en dix minutes) ? Vas-tu rechercher ce que peut bien être la doctrine libérale du droit qui, contrairement à ce que tu dis du droit en général dans ta dissertation, n'est pas fondé sur la morale ?
- JPhMMDemi-dieu
Oh ! le vénérable du sommet
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- LevincentNiveau 9
JPhMM a écrit:Oh ! le vénérable du sommet
- ParménideNeoprof expérimenté
Levincent: je pense que tu as raison, il faut coûte que coûte que je divise mon temps en deux: composition et lecture , sinon j'avancerai jamais
De 2008 à octobre dernier je n'ai fait que de la (très mauvaise) lecture, sans entraînement. Depuis octobre je ne fais quasi que des entraînements. Il faut vraiment que j'associe les deux
De 2008 à octobre dernier je n'ai fait que de la (très mauvaise) lecture, sans entraînement. Depuis octobre je ne fais quasi que des entraînements. Il faut vraiment que j'associe les deux
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- philopoussinNiveau 8
Un tout petit mot quant à la précision des références, et un tout petit mot quant à leur utilisation. Au risque de passer pour sophiste... le jour du concours, on est là pour montrer ce que l’on sait, ce que l’on maîtrise. Comme déjà dit mille fois, il n’y a pas "une bonne copie", mais divers traitements très pertinents à partir d’une mise en lumière du ou des problèmes dégagés.
Et il y a ce que l’on a en magasin. Principe de réalité (pour rassurer Parménide : non, je ne connais pas par coeur la Phéno. J’ai honte, mais c’est ainsi). A un moment - je vais faire hurler, j’en ai peur... - devant ma copie je me suis demandé comment non seulement utiliser mes références de façon pertinente, mais aussi comment, sans jamais pour autant pousser un aspect du problème sous le tapis, n’utiliser que celles là. J’ai des armes, je ne suis pas là pour montrer que le fusil à pompe est en panne à la cave - pardonnez la métaphore - donc je les affûte, et je les présente au mieux, au service du sujet.
Ensuite, je crois qu’aucun correcteur ne pénalisera un candidat s’il cite uniquement l’ouvrage et le chapitre. Pour autant, et cela fait écho à un message que j’ai écrit pour Parménide en lui demandant si ses lectures et dissertations étaient bien incarnées, prenons, disons pour moi, le Banquet, je peux le citer à la ligne près. Pour des raisons diverses, je sais parfaitement ce qu’il en est des paragraphes 43 et 48 de la Critique de la Faculté de Juger. Et je ne suis pas Wikipedia. Simplement, ces textes, ce sont, comment dire, presque des livres de chevet. J’ai pensé ou/et vécu avec, je les lis, relis, de façon soutenue. J’en ai besoin pour ma réflexion, je connais leur structure, leur limite. On est devenus "intimes". La copie notée 15, je crois que c’est la même chose : Mademoiselle nous montre que les références qu’elle utilise, ce ne sont pas de superficielles lectures. Elle a lu Smith, sous le coup de l'émotion, elle confond avec Mill, soit : mais elle a lu Smith (j’avais pour ma part confondu Veyne et Hadot) et le correcteur le saisit fort bien!
Et il y a ce que l’on a en magasin. Principe de réalité (pour rassurer Parménide : non, je ne connais pas par coeur la Phéno. J’ai honte, mais c’est ainsi). A un moment - je vais faire hurler, j’en ai peur... - devant ma copie je me suis demandé comment non seulement utiliser mes références de façon pertinente, mais aussi comment, sans jamais pour autant pousser un aspect du problème sous le tapis, n’utiliser que celles là. J’ai des armes, je ne suis pas là pour montrer que le fusil à pompe est en panne à la cave - pardonnez la métaphore - donc je les affûte, et je les présente au mieux, au service du sujet.
Ensuite, je crois qu’aucun correcteur ne pénalisera un candidat s’il cite uniquement l’ouvrage et le chapitre. Pour autant, et cela fait écho à un message que j’ai écrit pour Parménide en lui demandant si ses lectures et dissertations étaient bien incarnées, prenons, disons pour moi, le Banquet, je peux le citer à la ligne près. Pour des raisons diverses, je sais parfaitement ce qu’il en est des paragraphes 43 et 48 de la Critique de la Faculté de Juger. Et je ne suis pas Wikipedia. Simplement, ces textes, ce sont, comment dire, presque des livres de chevet. J’ai pensé ou/et vécu avec, je les lis, relis, de façon soutenue. J’en ai besoin pour ma réflexion, je connais leur structure, leur limite. On est devenus "intimes". La copie notée 15, je crois que c’est la même chose : Mademoiselle nous montre que les références qu’elle utilise, ce ne sont pas de superficielles lectures. Elle a lu Smith, sous le coup de l'émotion, elle confond avec Mill, soit : mais elle a lu Smith (j’avais pour ma part confondu Veyne et Hadot) et le correcteur le saisit fort bien!
- User17706Bon génie
philopoussin a écrit: je ne connais pas par coeur la Phéno
- philopoussinNiveau 8
PauvreYorick a écrit:philopoussin a écrit: je ne connais pas par coeur la Phéno
Merci PY. Moi aussi ça me
D’ailleurs je pensais ouvrir un fil à ce propos, il faudrait qu’on en parle. Je ne sais plus que faire.
Un club des philosophes anonymes avec projection d’images subliminales du texte, un MP3 diffusé la nuit,
- ParménideNeoprof expérimenté
Dans les dissertations que j'ai écrites récemment, mon correcteur ne m'a rien reproché concernant l'usage et la présentation des références. Il est donc possible que je m'inquiète pour rien.
S'il y a bien une chose que je dois retenir je crois c'est que les références et la culture philosophiques sont secondaires par rapport à la pensée. Elles n'ont qu'une valeur illustrative dans le produit fini. En revanche elles constituent de la matière à penser lors du travail au brouillon.
Le problème est de savoir jusqu'à quel degré de précision les choses doivent être connues. Et à partir du moment où en théorie une dissertation peut être totalement dépourvue de références, il faudrait que j'essaie de ne pas attacher trop d'importance à cette question.
Mais ce qui laisse subsister le problème c'est encore une fois l'absence de programme. Parce que quand on doit travailler toute la philosophie de l'Antiquité jusqu'à nos jours, on est forcé de faire des choix.
Dans tous les cas : j'espère que nul correcteur n'exigera que toute référence soit développée sur une page entière avec retranscription précise de l'argumentation de l'auteur, etc... Bref, j'espère qu'on n'attend pas de véritables séquences d'explication de texte en dissertation.
S'il y a bien une chose que je dois retenir je crois c'est que les références et la culture philosophiques sont secondaires par rapport à la pensée. Elles n'ont qu'une valeur illustrative dans le produit fini. En revanche elles constituent de la matière à penser lors du travail au brouillon.
Le problème est de savoir jusqu'à quel degré de précision les choses doivent être connues. Et à partir du moment où en théorie une dissertation peut être totalement dépourvue de références, il faudrait que j'essaie de ne pas attacher trop d'importance à cette question.
Mais ce qui laisse subsister le problème c'est encore une fois l'absence de programme. Parce que quand on doit travailler toute la philosophie de l'Antiquité jusqu'à nos jours, on est forcé de faire des choix.
Dans tous les cas : j'espère que nul correcteur n'exigera que toute référence soit développée sur une page entière avec retranscription précise de l'argumentation de l'auteur, etc... Bref, j'espère qu'on n'attend pas de véritables séquences d'explication de texte en dissertation.
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"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
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- philopoussinNiveau 8
Bon. Ça n’a donc encore servi à rien...
J’édite : j'écris un message en te disant que les textes, je les ai tellement aimé ou travaillé que malgré ma très mauvaise mémoire, je les connais par coeur ; qu’ils participent pleinement à l'élaboration de la pensée puisque je peux m’appuyer sur eux en confiance ; et tu retiens qu’ils sont secondaires dans l'élaboration de "la" pensée, expression que je soupçonne de voiler quelque chose comme "pensée si originale de Parménide"?
Je t’écris que je crois que nul ne reprochera à un candidat de préciser seulement l’ouvrage et le chapitre, et tu réponds à côté, sur le registre du "qu’on ne me demande pas de faire une explication en dissertation"...?
Jésus - Marie - Georgette, si la mauvaise foi était dans la charte...
J’édite : j'écris un message en te disant que les textes, je les ai tellement aimé ou travaillé que malgré ma très mauvaise mémoire, je les connais par coeur ; qu’ils participent pleinement à l'élaboration de la pensée puisque je peux m’appuyer sur eux en confiance ; et tu retiens qu’ils sont secondaires dans l'élaboration de "la" pensée, expression que je soupçonne de voiler quelque chose comme "pensée si originale de Parménide"?
Je t’écris que je crois que nul ne reprochera à un candidat de préciser seulement l’ouvrage et le chapitre, et tu réponds à côté, sur le registre du "qu’on ne me demande pas de faire une explication en dissertation"...?
Jésus - Marie - Georgette, si la mauvaise foi était dans la charte...
- ParménideNeoprof expérimenté
Je te remercie de ton message, mais il est probable qu'il n'existe pas de réponses aux questions que je me pose. Alors, je vis avec, en espérant que la pratique éclaircira les choses progressivement.philopoussin a écrit:Bon. Ça n’a donc encore servi à rien...
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- User17706Bon génie
Marrant, j'allais précisément te dire que tu avais tapé un message de plus pour que dalle. Mais je n'arrivais pas à me décider entre le dire de façon privée ou le dire sur le fil.philopoussin a écrit:Bon. Ça n’a donc encore servi à rien...
- User17706Bon génie
Si on lit le message de philopoussin, on comprend que lesdites questions ne se posent pas (ou plus) et on comprend pourquoi elles ne se posent pas (ou plus).Parménide a écrit:Je te remercie de ton message, mais il est probable qu'il n'existe pas de réponses aux questions que je me pose. Alors, je vis avec, en espérant que la pratique éclaircira les choses progressivement.philopoussin a écrit:Bon. Ça n’a donc encore servi à rien...
- JPhMMDemi-dieu
La matière à penser est donc secondaire par rapport à la pensée.Parménide a écrit:S'il y a bien une chose que je dois retenir je crois c'est que les références et la culture philosophiques sont secondaires par rapport à la pensée. Elles n'ont qu'une valeur illustrative dans le produit fini. En revanche elles constituent de la matière à penser lors du travail au brouillon.
Idée exotique.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User17706Bon génie
Bon, et comme d'hab, on parle de tout (enfin d'une seule chose, devinez laquelle) sauf du sujet... Il faut vraiment arrêter avec ce fonctionnement névrotique collectif. Et je m'accuse le premier.
- ParménideNeoprof expérimenté
Non, on peut parler du sujet il n'y a pas de problème.
Je continue de réfléchir au problème qu'il implique et je ne trouve pas grand chose pour l'instant.
Je continue de réfléchir au problème qu'il implique et je ne trouve pas grand chose pour l'instant.
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- User17706Bon génie
Tu es trop bon.Parménide a écrit:Non, on peut parler du sujet il n'y a pas de problème.
- philopoussinNiveau 8
PauvreYorick a écrit:Bon, et comme d'hab, on parle de tout (enfin d'une seule chose, devinez laquelle) sauf du sujet... Il faut vraiment arrêter avec ce fonctionnement névrotique collectif. Et je m'accuse le premier.
Juste.
Je crois qu’à un moment, il y a un peu d’épidermique, parce que c’est trop, de la part de quelqu'un qui se destine à la philosophie. Pardon Parménide, je ne veux pas être désagréable, mais quand je lis que tu sépares, par exemple, "pensée" et "culture philosophique", pour moi c’est un non sens, et puis je répète à mes élèves depuis des mois qu’on ne pense jamais seul. Ce n’est qu’un exemple entre mille.
Bon, je vais m'abstenir à l’avenir.
Parménide, je te souhaite de devenir, rapidement, un ruminant.
- User17706Bon génie
Ouais, et moi je vais me verser une chartreuse, ça fera du bien par ouske ça passera.
- ParménideNeoprof expérimenté
philopoussin a écrit:
je répète à mes élèves depuis des mois qu’on ne pense jamais seul.
Je suis d'accord avec ça. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle je ne m'en sors pas sur ce sujet : à cause du manque de connaissances.
Mais ça n'enlève rien au fait qu'une dissertation peut être dépourvue de référence.
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- ShajarVénérable
STOOOOOOOOP. Je supprime tout message après ce post qui parle encore de Parménide, et non du sujet, à savoir la relation entre moralité et vie sociale.
- ParménideNeoprof expérimenté
Est ce que le problème soulevé par le sujet est celui-ci ? :
Comment la moralité, théoriquement désintéressée, peut-elle être mise à profit par la vie sociale?
D'ailleurs ce sujet tolère-t-il plusieurs problématiques ou seulement une?
Comment la moralité, théoriquement désintéressée, peut-elle être mise à profit par la vie sociale?
D'ailleurs ce sujet tolère-t-il plusieurs problématiques ou seulement une?
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