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- User5899Demi-dieu
Si, si, c'est le bon temps, mais c'est "fît"Gryphe a écrit:Cripure a écrit:Il nous rendra tous fous.Gryphe a écrit:ce que l'on espérerait qu'il fisse.
Quoi, c'est pas comme ça qu'il fallait dire ? :lol:
- Spoiler:
J'ai jamais rien compris à la concordance des temps.
- ParménideNeoprof expérimenté
Si les choses ne sont pas claires dans mon esprit je vais à nouveau être bloqué. Et de toute façon le problème ressurgit : je ne sais pas vraiment ce que je dois connaître et jusqu'à quel degré de précision je dois le connaître non-seulement pour réussir le concours , mais aussi et surtout pour pratiquer le métier ...
J'ai quand même bien l'impression que cet instant , chez K. n'a d'instant que le nom...
Enfin, ça ne m'empêche pas de continuer cette lecture mais je ne supporte pas de ne pas comprendre
J'ai quand même bien l'impression que cet instant , chez K. n'a d'instant que le nom...
Enfin, ça ne m'empêche pas de continuer cette lecture mais je ne supporte pas de ne pas comprendre
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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https://www.babelio.com/monprofil.php
- GrypheMédiateur
Si, si, c'est le bon temps, mais c'est "fît"
Je n'y arriverai jamais. :lol!:
*fou-rire*
- User5899Demi-dieu
Comme le passé simple, mais avec le circonflexe.Gryphe a écrit:Si, si, c'est le bon temps, mais c'est "fît"
Je n'y arriverai jamais. :lol!:
*fou-rire*
Heu... Ca ne marche pas pour le 1er groupe
- DesolationRowEmpereur
Parménide a écrit:
Enfin, ça ne m'empêche pas de continuer cette lecture mais je ne supporte pas de ne pas comprendre
Ma vie s'est tellement éclaircie le jour où j'ai compris qu'il allait falloir que j'accepte de ne rien comprendre à plein de philosophes
- GrypheMédiateur
Oui, moi aussi j'aime bien comprendre, mais à un moment, un peu d'humilité ne fait pas de mal. Quand on n'y arrive pas, c'est mieux de passer à la suite plutôt que de bloquer...
- User17706Bon génie
Le jour où tu t'es dit à toi-même en ton for intérieur : « dorénavant, mon p'tit Desolation, mêle-toi de c'Kierkegaard » ?DesolationRow a écrit: Ma vie s'est tellement éclaircie le jour où j'ai compris qu'il allait falloir que j'accepte de ne rien comprendre à plein de philosophes
- User17706Bon génie
... flop
N'est pas Rendash qui veut...
N'est pas Rendash qui veut...
- User5899Demi-dieu
PauvreYorick a écrit:... flop
N'est pas Rendash qui veut...
- GrypheMédiateur
C'est qu'on est trop concentrés sur le défilé des pingouins...
- User5899Demi-dieu
Sont marrants les trois, là
- philopoussinNiveau 8
C'est lequel des trois, le stade éthique? :boulet:
- DesolationRowEmpereur
PauvreYorick a écrit:Le jour où tu t'es dit à toi-même en ton for intérieur : « dorénavant, mon p'tit Desolation, mêle-toi de c'Kierkegaard » ?DesolationRow a écrit: Ma vie s'est tellement éclaircie le jour où j'ai compris qu'il allait falloir que j'accepte de ne rien comprendre à plein de philosophes
- ParménideNeoprof expérimenté
L'instant c'est le "saut de la foi" pour Kierkegaard?
Comment l'instant est il vécu concrètement s'il ne relève pas du temps physique?
Je ne comprends pas...
Comment l'instant est il vécu concrètement s'il ne relève pas du temps physique?
Je ne comprends pas...
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
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- RobinFidèle du forum
PauvreYorick a écrit:Le jour où tu t'es dit à toi-même en ton for intérieur : « dorénavant, mon p'tit Desolation, mêle-toi de c'Kierkegaard » ?DesolationRow a écrit: Ma vie s'est tellement éclaircie le jour où j'ai compris qu'il allait falloir que j'accepte de ne rien comprendre à plein de philosophes
:lol!:
- RobinFidèle du forum
Parménide a écrit:L'instant c'est le "saut de la foi" pour Kierkegaard?
Comment l'instant est il vécu concrètement s'il ne relève pas du temps physique?
Je ne comprends pas...
Vous régressez là, Parménide. Vous teniez le bon bout hier quand vous expliquiez que vous aviez compris que l'instant relevait de la durée. Il faut aussi comprendre qu'il relève de l'intériorité et du vécu (l'instant n'est pas un simple point du temps physico-mathématique, mais une expérience de la conscience).
Il est de notre responsabilité soit nous contenter de le vivre d'instant en instant sur le mode de la jouissance pure (expérience du temps qui débouche sur l'ennui et la pire forme du désespoir chez K., le désespoir qui ne se sait pas désespéré et donc sans remède) ou bien ("ou bien... ou bien" est le titre d'un ouvrage de K.) de vivre le temps sur le mode de la promesse, de l'engagement moral.
Cette modalité donne du sérieux à la vie. On ne court pas comme un enfant qui chasse les papillons d'un objet à l'autre et le temps prend de la consistance et du même coup l'existence humaine, puisque la conscience se définit par son rapport au temps (et ça Herr Heidegger s'en souviendra dans Sein & Zeit où l'analyse de la temporalité du Dasein est entièrement pompée sur K.).
K. ne dit pas que c'est mieux de vivre au "stade éthique" : être un bon époux, un bon père de famille, etc. Il y a des risques pour la conscience, par exemple le pharisaïsme ("prenez exemple sur moi", "quelle décadence !" "Je plains ces gens-là", etc) qui s'enferme dans une image positive de soi et se ferme à l'altérité ou bien une autre forme d'ennui que l'ennui du plaisir punctiforme : la répétition (la même femme, la même vie, les mêmes soucis, les mêmes devoirs, etc.).
Le stade religieux ne consiste pas à se convertir à telle ou telle religion, mais à s'évader (j'aime bien cette expression de Lévinas) du fini (le plaisir, le devoir, le temps tel que nous le connaissons) pour accomplir le saut de la Foi... En somme pour "se faire la belle" comme un prisonnier qui s'évade.
Mais attention, il ne s'agit pas de changer le temps pour l'éternité, de se mettre à vivre dans l'éternité comme les anges (et encore, je me demande). K. nous met en garde contre la tentation du mysticisme. Il s'agit de s'évader pour revenir (Platon a très bien vu ce mouvement dans le Mythe de la Caverne). S'évader de soi pour revenir à soi, enrichi de l'expérience de l'éternité, pour vivre désormais le temps (le plaisir, le devoir) sur un autre mode.
- ParménideNeoprof expérimenté
Robin a écrit:Parménide a écrit:L'instant c'est le "saut de la foi" pour Kierkegaard?
Comment l'instant est il vécu concrètement s'il ne relève pas du temps physique?
Je ne comprends pas...
Vous régressez là, Parménide. Vous teniez le bon bout hier quand vous expliquiez que vous aviez compris que l'instant relevait de la durée. Il faut aussi comprendre qu'il relève de l'intériorité et du vécu (l'instant n'est pas un simple point du temps physico-mathématique, mais une expérience de la conscience). Il est de notre responsabilité soit nous contenter de le vivre d'instant en instant sur le mode de la jouissance pure (expérience du temps qui débouche sur l'ennui et la pire forme du désespoir chez K., le désespoir qui ne se sait pas désespéré et donc sans remède) ou bien ("ou bien... ou bien" est le titre d'un ouvrage de K.) de vivre le temps sur le mode de la promesse, de l'engagement moral. Cette modalité donne du sérieux à la vie. On ne court pas comme un enfant qui chasse les papillons d'un objet à l'autre et le temps prend de la consistance et du même coup l'existence humaine, puisque la conscience se définit par son rapport au temps (et ça Herr Heidegger s'en souviendra dans Sein & Zeit où l'analyse de la temporalité du Dasein est tout pompée sur K.). K. ne dit pas que c'est mieux de vivre au "stade éthique" : être un bon époux, un bon père de famille, etc. Il y a des risques pour la conscience, par exemple le pharisaïsme (prenez exemple sur moi, quelle décadence ! Je plains ces gens-là, etc) qui s'enferme dans une image positive de soi et se ferme à l'altérité ou bien une autre forme d'ennui que l'ennui du plaisir punctiforme : la répétition (la même femme, la même vie, les mêmes soucis, les mêmes devoirs, etc.)
Merci, je crois que c'est plus clair. Mais quand même, appeler instant quelque chose qui s'installe dans la durée, et qui dans le cadre d'une expérience subjective (saut de la foi), nous donne accès à l'éternité, c'est bizarre...
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"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
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- RobinFidèle du forum
Parménide a écrit:Robin a écrit:Parménide a écrit:L'instant c'est le "saut de la foi" pour Kierkegaard?
Comment l'instant est il vécu concrètement s'il ne relève pas du temps physique?
Je ne comprends pas...
Vous régressez là, Parménide. Vous teniez le bon bout hier quand vous expliquiez que vous aviez compris que l'instant relevait de la durée. Il faut aussi comprendre qu'il relève de l'intériorité et du vécu (l'instant n'est pas un simple point du temps physico-mathématique, mais une expérience de la conscience). Il est de notre responsabilité soit nous contenter de le vivre d'instant en instant sur le mode de la jouissance pure (expérience du temps qui débouche sur l'ennui et la pire forme du désespoir chez K., le désespoir qui ne se sait pas désespéré et donc sans remède) ou bien ("ou bien... ou bien" est le titre d'un ouvrage de K.) de vivre le temps sur le mode de la promesse, de l'engagement moral. Cette modalité donne du sérieux à la vie. On ne court pas comme un enfant qui chasse les papillons d'un objet à l'autre et le temps prend de la consistance et du même coup l'existence humaine, puisque la conscience se définit par son rapport au temps (et ça Herr Heidegger s'en souviendra dans Sein & Zeit où l'analyse de la temporalité du Dasein est tout pompée sur K.). K. ne dit pas que c'est mieux de vivre au "stade éthique" : être un bon époux, un bon père de famille, etc. Il y a des risques pour la conscience, par exemple le pharisaïsme (prenez exemple sur moi, quelle décadence ! Je plains ces gens-là, etc) qui s'enferme dans une image positive de soi et se ferme à l'altérité ou bien une autre forme d'ennui que l'ennui du plaisir punctiforme : la répétition (la même femme, la même vie, les mêmes soucis, les mêmes devoirs, etc.)
Merci, je crois que c'est plus clair. Mais quand même, appeler instant quelque chose qui s'installe dans la durée, et qui dans le cadre d'une expérience subjective (saut de la foi), nous donne accès à l'éternité, c'est bizarre...
Non, non, l'instant, ce n'est pas ce qui s'installe dans la durée. La durée est constituée d'instants qui s'évanouissent les uns après les autres dans le néant. Heidegger explique dans S&Z que l'expérience de la temporalité est une expérience spécifiquement humaine, une expérience liée à la constitution ontologique du Dasein. L'instant, c'est l'ex-stase de la conscience. Cette réalité qui est à la limite de l’Être et du Non-être (et donc pas du tout "Parménidienne !) est en quelque sorte, pour K. notre seule "chance". Nous ne pouvons pas changer le passé et nous ne savons pas, comme on dit, de quoi l'avenir sera fait. Mais nous tenons l'instant, nous avons le temps dans l'instant. C'est donc la conscience qui choisit de "s'installer" ou de ne pas s'installer dans la durée, de donner ou non de la consistance à la durée.
- ParménideNeoprof expérimenté
Je me sens perdu... je ne sais pas quoi lire, qui croire dans ce que je lis, ni rien...
Là justement, dans cette lecture, je me heurte à la même chose que ce à quoi je me heurte depuis 8 ans...
Là justement, dans cette lecture, je me heurte à la même chose que ce à quoi je me heurte depuis 8 ans...
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- DesolationRowEmpereur
L'agriculture manque de bras.
- RobinFidèle du forum
philopoussin a écrit:Oui Robin, pas d' "universalité solitaire" comme le disait Alquie. Le Qu'est ce que comprendre un philosophe? ne pourrait-il pas éclairer notre Parménide?
Et n'allez pas penser que je nourris Parménide parce que je ne donne plus de Kant à mes terminales
Je pense qu'il faut en choisir un et s'y tenir pendant un certain temps, s'il vous parle. S'il ne vous parle pas, en prendre un autre. Et essayer de vivre l'expérience qu'il nous propose (par exemple Platon dans le Mythe de la caverne, Descartes dans les Méditations métaphysiques).
Cette expérience, chez les plus grands, est une expérience de tout l'être, à la fois intellectuelle et existentielle.
L'éloignement par rapport à la philosophie de beaucoup de gens vient du fait qu'ils pensent que "ça n'a pas de rapport avec la vie". Je suis bien d'accord que "ça n'a pas de rapport" avec la vie comme elle va, avec une expérience passive de l'existence (l'opinion, la politique politicienne, la dernière mode, etc.) mais avec une vie digne d'être vécue par un "prise en main", une conversion de la pensée, du cœur, du regard (qui n'a rien de spécifiquement religieux).
Pour comprendre quelque chose à Kierkegaard, par exemple, un grand chagrin d'amour peut être un bon début. En ce moment, Parménide nage en plein scepticisme. Il ne sait plus où il en est et la philosophie se résume pour lui à des mots : "Words ! Words ! Words !", comme dit Hamlet. Et ça, c'est très bon aussi. C'est par là que Descartes a commencé.
- GrypheMédiateur
Pourtant les explications données par les collègues expérimentés ci-dessus sont lumineuses.Parménide a écrit:Je me sens perdu... je ne sais pas quoi lire, qui croire dans ce que je lis, ni rien...
Là justement, dans cette lecture, je me heurte à la même chose que ce à quoi je me heurte depuis 8 ans...
Si tu n'y arrives pas, sérieusement, fais autre chose. Ou alors c'est lié à une impossibilité passagère (troubles obsessionnels, dépression, etc.) sur laquelle nous ne pouvons nous prononcer et pour laquelle tu dois faire un gros travail. Mais en l'état, dire "je ne sais pas quoi lire" alors que tu as un livre en main et des éclaircissements donnés par les philosophes du forum qui prennent du temps pour t'aider, ce n'est pas acceptable. Et si tu te sens perdu... Je comprends ce sentiment, mais il faut faire un vrai travail dessus jusqu'à ce que tu trouves ta voie.
- Spoiler:
Les explications sur le temps données par Robin m'ont fait penser à ce passage de ma lettre de motivation pour le concours perdir, écrite en 2008 :- Spoiler:
- De plus en plus aujourd’hui se pose la question de l’adéquation entre les moyens mis en œuvre et les résultats. Je crois que le chef d’établissement y est particulièrement sensible. Oui, si l’école est obligatoire de six à seize ans, si la collectivité nationale fournit un effort énorme pour l’éducation, c’est pour que chaque heure compte. Il y a clairement une question d’efficacité. L’exigence de résultats est incontournable. Mais dans le même temps, le pilotage par les valeurs est tout aussi fondamental. Chaque heure compte, mais ce n’est pas qu’une question de comptabilité. Pour que chaque heure ait de la valeur, il faut susciter cette envie de venir travailler ensemble, la diffuser dans tout l’établissement. Ainsi, construire une école du respect, de l’égalité, de la solidarité, c’est tout à la fois avoir cette exigence de résultats et cette patience infinie face à chaque élève, chaque classe, vis-à-vis de chaque professeur, avec qui « tout ne marchera pas toujours du premier coup ». Je veux pouvoir tenir cet équilibre entre ces deux mouvements.
Le passage sur "que chaque heure ait de la valeur" était un peu plus long au départ, il y avait aussi "que chaque heure ait de la saveur", mais j'étais limitée en nombre de caractères.
- User5899Demi-dieu
"Qui croire" ? Mais ce n'est pas un acte de foi !Parménide a écrit:Je me sens perdu... je ne sais pas quoi lire, qui croire dans ce que je lis, ni rien...
Là justement, dans cette lecture, je me heurte à la même chose que ce à quoi je me heurte depuis 8 ans...
- ParménideNeoprof expérimenté
Non mais cette histoire d'instant qui n'en est pas tout en l'étant... je ne comprends pas du tout. Comment fait-on l'expérience de cet instant s'il n'est pas juste l'instant mathématique?
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- User5899Demi-dieu
Pensez aux instances : ces structures administratives qui se tiennent droit à l'endroit fixé par la constitution, le règlement. Le mot en latin peut à la fois être locatif (celui qui se tient à un endroit précis) et temporel.Parménide a écrit:Non mais cette histoire d'instant qui n'en est pas tout en l'étant... je ne comprends pas du tout. Comment fait-on l'expérience de cet instant s'il n'est pas juste l'instant mathématique?
- User5899Demi-dieu
Gryphe a écrit:Pourtant les explications données par les collègues expérimentés ci-dessus sont lumineuses.Parménide a écrit:Je me sens perdu... je ne sais pas quoi lire, qui croire dans ce que je lis, ni rien...
Là justement, dans cette lecture, je me heurte à la même chose que ce à quoi je me heurte depuis 8 ans...
Si tu n'y arrives pas, sérieusement, fais autre chose. Ou alors c'est lié à une impossibilité passagère (troubles obsessionnels, dépression, etc.) sur laquelle nous ne pouvons nous prononcer et pour laquelle tu dois faire un gros travail. Mais en l'état, dire "je ne sais pas quoi lire" alors que tu as un livre en main et des éclaircissements donnés par les philosophes du forum qui prennent du temps pour t'aider, ce n'est pas acceptable. Et si tu te sens perdu... Je comprends ce sentiment, mais il faut faire un vrai travail dessus jusqu'à ce que tu trouves ta voie.
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