- supersosoSage
Parménide a écrit:Gryphe a écrit:
Lire suppose d'avoir un crayon à la main. Sinon je ne commence même pas la lecture.
Je souligne beaucoup, fais des va-et-vient constants entre la table des matières, l'introduction et le chapitre en cours, inscris les numéros des pages avec les citations particulièrement intéressantes au tout début. Ai une fâcheuse tendance à commencer par lire la bibliographie et la TDMat avant le reste.
C'est peut être faisable sur le Gorgias ou le Discours de la Méthode mais certainement pas pour la critique de la raison pure ou la phénoménologie de l'esprit.
Chaque livre exige un traitement particulier, qui en plus doit être adapté à la personne du lecteur.
Et pourquoi ça ne serait pas faisable sur la Critique de la raison pure ou la Phéno ?
- sansaraModérateur
Gryphe a écrit:
- Spoiler:
Z'allez me tuer. Quand j'étais ado, c'est-à-dire bien pire que maintenant, j'étais incollable sur les lieux de toutes les imprimeries de France. Parce que je lisais aussi la page, à la fin, vous savez, là où c'est écrit en tout petit "imprimerie Bussière à Saint-Amand-Montrond".
Mais je me suis calmée, promis.
Depuis que j'ai bossé dans l'édition, c'est aussi la première chose que je regarde !
Sinon, pour répondre à la question (et ne pas relancer de débat sur la couleur du surligneur ou la taille des marque-pages ) : je lis essentiellement le soir, allongée dans mon lit, mais aussi dans les transports. En revanche, j'ai du mal, sauf cas exceptionnel, à lire la journée, chez moi, dans mon canapé. Sûrement parce que j'ai trop de distractions extérieures (comme néoprofs... ). Peut-être aussi parce que je ne veux pas avancer trop vite dans mes lectures : chaque livre fini, c'est un article de plus à rédiger pour mon blog, et comme j'ai déjà deux mois de retard sur mes chroniques...
- arcencielGrand Maître
Ma préférence va à la position couchée avec de bons oreillers ou avachie dans un fauteuil ou canapé avec jambes surélevées sinon un peu partout sauf bus et voiture (malade).
- ParménideNeoprof expérimenté
supersoso a écrit:Parménide a écrit:Gryphe a écrit:
Lire suppose d'avoir un crayon à la main. Sinon je ne commence même pas la lecture.
Je souligne beaucoup, fais des va-et-vient constants entre la table des matières, l'introduction et le chapitre en cours, inscris les numéros des pages avec les citations particulièrement intéressantes au tout début. Ai une fâcheuse tendance à commencer par lire la bibliographie et la TDMat avant le reste.
C'est peut être faisable sur le Gorgias ou le Discours de la Méthode mais certainement pas pour la critique de la raison pure ou la phénoménologie de l'esprit.
Chaque livre exige un traitement particulier, qui en plus doit être adapté à la personne du lecteur.
Et pourquoi ça ne serait pas faisable sur la Critique de la raison pure ou la Phéno ?
Mais pour des raisons évidentes :
la difficulté du texte est telle, en plus il y a la longueur, tous les concepts dont il faut intégrer les définitions...
Il y a vraiment des ouvrages auxquels il faut un traitement à part. VRAIMENT. Parce que sinon c'est tout sauf gérable.
_________________
"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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https://www.babelio.com/monprofil.php
- User19866Expert
Mais si ! Va donc faire un tour sur le fil "Julien Trucmuche soutenu par 139JPhMM a écrit:Meuh non...Dalathée2 a écrit:Je l'ai écrit avec le "e" entre parenthèses... Et puis je me suis dit que j'allais me faire allumer, alors je l'ai retiré.JPhMM a écrit:
- SimgajulNeoprof expérimenté
plutôt au lit...
Mais ma plus grande tare, c'est que je lis 3/4 chapitres puis je lis la fin du livre (même dans un roman policier) et une fois que je sais, je lis le reste en tout tranquillité.
Mais ma plus grande tare, c'est que je lis 3/4 chapitres puis je lis la fin du livre (même dans un roman policier) et une fois que je sais, je lis le reste en tout tranquillité.
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When you doubt your power, you give power to your doubt.
- RendashBon génie
Reine Margot a écrit:Souvent emmitouflée soit dans mon lit soit dans un plaid et sur le canapé. Longtemps j'ai lu les pieds au mur, tête en bas (? ), ça m'est passé.
Je te rassure, j'aime beaucoup lire dans des positions bizarres. Généralement, je me retrouve à un moment ou un autre en travers du lit, la tête en bas, le livre par terre ; ou sur le dos, les pieds sur le dossier du canapé, le livre...eu peu comme je peux
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Blan6ineÉrudit
Justement, avec un crayon et du papier, comme le suggère Gryphe, on peut plus aisément lire ce genre d'ouvrage!Parmenide a écrit:
Mais pour des raisons évidentes :
la difficulté du texte est telle, en plus il y a la longueur, tous les concepts dont il faut intégrer les définitions...
Il y a vraiment des ouvrages auxquels il faut un traitement à part. VRAIMENT. Parce que sinon c'est tout sauf gérable.
- RendashBon génie
Parménide a écrit:
Chaque livre exige un traitement particulier, qui en plus doit être adapté à la personne du lecteur
Mais pour des raisons évidentes :
la difficulté du texte est telle, en plus il y a la longueur, tous les concepts dont il faut intégrer les définitions...
Il y a vraiment des ouvrages auxquels il faut un traitement à part. VRAIMENT. Parce que sinon c'est tout sauf gérable.
Un indice : la phrase en gras est la clef
ET puis, ce n'est pas la même chose selon si tu lis la Phéno pour le plaisir ( )(*smileySM* ) ou si tu la lis pour en extraire la substantifique moëlle en vue d'un concours
- sansaraModérateur
Rendash a écrit:Parménide a écrit:
Chaque livre exige un traitement particulier, qui en plus doit être adapté à la personne du lecteur
Mais pour des raisons évidentes :
la difficulté du texte est telle, en plus il y a la longueur, tous les concepts dont il faut intégrer les définitions...
Il y a vraiment des ouvrages auxquels il faut un traitement à part. VRAIMENT. Parce que sinon c'est tout sauf gérable.
Un indice : la phrase en gras est la clef
ET puis, ce n'est pas la même chose selon si tu lis la Phéno pour le plaisir ( )(*smileySM* ) ou si tu la lis pour en extraire la substantifique moëlle en vue d'un concours
Chuuuut, ne prononce pas le mot interdit !!
- ParménideNeoprof expérimenté
Blan6ine a écrit:Justement, avec un crayon et du papier, comme le suggère Gryphe, on peut plus aisément lire ce genre d'ouvrage!Parmenide a écrit:
Mais pour des raisons évidentes :
la difficulté du texte est telle, en plus il y a la longueur, tous les concepts dont il faut intégrer les définitions...
Il y a vraiment des ouvrages auxquels il faut un traitement à part. VRAIMENT. Parce que sinon c'est tout sauf gérable.
Comme je le disais au téléphone à quelqu'un tout à l'heure : c'est très facile de se mettre à sa table de travail avec des feuilles , un stylo, et la critique de la raison pure.
La suite est plus corsée...
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- supersosoSage
Parménide a écrit:supersoso a écrit:Parménide a écrit:
C'est peut être faisable sur le Gorgias ou le Discours de la Méthode mais certainement pas pour la critique de la raison pure ou la phénoménologie de l'esprit.
Chaque livre exige un traitement particulier, qui en plus doit être adapté à la personne du lecteur.
Et pourquoi ça ne serait pas faisable sur la Critique de la raison pure ou la Phéno ?
Mais pour des raisons évidentes :
la difficulté du texte est telle, en plus il y a la longueur, tous les concepts dont il faut intégrer les définitions...
Il y a vraiment des ouvrages auxquels il faut un traitement à part. VRAIMENT. Parce que sinon c'est tout sauf gérable.
Bah pour ma part, sans stylo et sans feuille, c'est clairement ingérable. Mais Platon tout autant. Mais chacun fait comme il l'entend et comme ça lui parle. Mais justement, plus c'est difficile, plus j'ai besoin d'écrire, de retour en arrière, de consulter la table des matières, etc...
- ParménideNeoprof expérimenté
Il existe des maniaques qui le font, en effet...Rendash a écrit:
ET puis, ce n'est pas la même chose selon si tu lis la Phéno pour le plaisir
Rendash a écrit:
la substantifique moëlle
A définir...
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
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- supersosoSage
Parménide a écrit:Blan6ine a écrit:Justement, avec un crayon et du papier, comme le suggère Gryphe, on peut plus aisément lire ce genre d'ouvrage!Parmenide a écrit:
Mais pour des raisons évidentes :
la difficulté du texte est telle, en plus il y a la longueur, tous les concepts dont il faut intégrer les définitions...
Il y a vraiment des ouvrages auxquels il faut un traitement à part. VRAIMENT. Parce que sinon c'est tout sauf gérable.
Comme je le disais au téléphone à quelqu'un tout à l'heure : c'est très facile de se mettre à sa table de travail avec des feuilles , un stylo, et la critique de la raison pure.
La suite est plus corsée...
Bah non il faut bien commencer. Etudiante, il m'a fallu plus d'un mois pour commencer à dompter l'objet (pas avoir tout compris, hein :lol: ). Et en un mois de travail assidu, je n'avais dû lire que préface, intro et l'esthétique transcendantale. Il faut parfois accepter d'avance à tout petit pas .
- RendashBon génie
sansara a écrit:
ET puis, ce n'est pas la même chose selon si tu lis la Phéno pour le plaisir ( )(*smileySM* ) ou si tu la lis pour en extraire la substantifique moëlle en vue d'un concours
Chuuuut, ne prononce pas le mot interdit !!
..plaisir?
Je te rassure, Parménide, je ne lis jamais une définition du Levy-Lussault sans une armée de crayons divers (et un bon Larousse) à côté de l'instrument de torture du dico
Mais avant de chercher à comprendre, et d'envisager de retenir, la définition, je la lis d'une traite, comme un bon roman.
- leyadeEsprit sacré
Tiens, je viens de découvrir la lecture de poèmes classiques au hasard :
http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/leon_dierx/prologue.html
et je clique nerveusement sur "Poème au hasard", 2ème ligne en haut.
http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/leon_dierx/prologue.html
et je clique nerveusement sur "Poème au hasard", 2ème ligne en haut.
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Maggi is my way, Melfor is my church and Picon is my soutien. Oui bon je sais pas dire soutien en anglais.
LSU AP ENT HDA PAI PAP PPMS PPRE ULIS TICE PAF
- ParménideNeoprof expérimenté
supersoso a écrit:Parménide a écrit:Blan6ine a écrit:
Justement, avec un crayon et du papier, comme le suggère Gryphe, on peut plus aisément lire ce genre d'ouvrage!
Comme je le disais au téléphone à quelqu'un tout à l'heure : c'est très facile de se mettre à sa table de travail avec des feuilles , un stylo, et la critique de la raison pure.
La suite est plus corsée...
Bah non il faut bien commencer. Etudiante, il m'a fallu plus d'un mois pour commencer à dompter l'objet (pas avoir tout compris, hein :lol: ). Et en un mois de travail assidu, je n'avais dû lire que préface, intro et l'esthétique transcendantale. Il faut parfois accepter d'avance à tout petit pas .
On peut pas commencer de cette manière là : c'est impossible. En tous cas pour ma part, je ne supporte pas de ne pas comprendre quand je lis (notamment la philo) ; s'il faut je reste bloqué 2 h mais faut que je comprenne. Parce que je fais aussitôt une fixation sur ce que je comprends pas.
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- RendashBon génie
Hé bien, décortique, chapitre par chapitre, paragraphe par paragraphe s'il le faut :o
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- User5899Demi-dieu
Brodard & TaupinGryphe a écrit:Lire suppose d'avoir un crayon à la main. Sinon je ne commence même pas la lecture.Thalia de G a écrit:Je n'écris jamais dans un livre
Je souligne beaucoup, fais des va-et-vient constants entre la table des matières, l'introduction et le chapitre en cours, inscris les numéros des pages avec les citations particulièrement intéressantes au tout début. Ai une fâcheuse tendance à commencer par lire la bibliographie et la TDMat avant le reste.
- Spoiler:
Z'allez me tuer. Quand j'étais ado, c'est-à-dire bien pire que maintenant, j'étais incollable sur les lieux de toutes les imprimeries de France. Parce que je lisais aussi la page, à la fin, vous savez, là où c'est écrit en tout petit "imprimerie Bussière à Saint-Amand-Montrond".
Mais je me suis calmée, promis.
- Spoiler:
Après on s'étonne que je ne sois pas efficace, bien que je me sois singulièrement améliorée. J'ai honte.
Moi, couché dans mon lit, à poil, les pieds enfoncés dans la housse de couette fraîche, sur le flanc gauche, la tête soutenue par ma main, un stylo bille pas loin. J'ouvre le livre en le cassant, en brisant la reliure le plus possible, je veux qu'il reste ouvert tout seul. Je note plein de choses, souvenirs d'autres lectures, remarques structurelles (échos avec d'autres passages, construction, imitation ou reprise, etc.), tout ce qui me permettra un jour de me pointer en classe, d'ouvrir au pif et de faire 2h ou 2 mois sur le livre. Je n'ai jamais fait de fiches, en revanche, et je n'ai jamais acheté un feutre ou un stabylo non plus.
- thrasybuleDevin
Tu devrais être, si je puis dire, plus napoléonien dans tes démarches, d'ailleurs.Parménide a écrit:Blan6ine a écrit:Justement, avec un crayon et du papier, comme le suggère Gryphe, on peut plus aisément lire ce genre d'ouvrage!Parmenide a écrit:
Mais pour des raisons évidentes :
la difficulté du texte est telle, en plus il y a la longueur, tous les concepts dont il faut intégrer les définitions...
Il y a vraiment des ouvrages auxquels il faut un traitement à part. VRAIMENT. Parce que sinon c'est tout sauf gérable.
Comme je le disais au téléphone à quelqu'un tout à l'heure : c'est très facile de se mettre à sa table de travail avec des feuilles , un stylo, et la critique de la raison pure.
La suite est plus corsée...
- ParménideNeoprof expérimenté
Rendash a écrit:Hé bien, décortique, chapitre par chapitre, paragraphe par paragraphe s'il le faut :o
Mais bien sur que non, c'est impossible sur certains textes. Et surtout dans le cadre d'un concours. Pour un travail de recherche peut être, mais sinon...
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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https://www.babelio.com/monprofil.php
- RendashBon génie
C'est impossible de le lire d'une traite.
C'est impossible de le décortiquer.
C'est donc impossible de le lire.
Et Socrate est un chat.
C'est impossible de le décortiquer.
C'est donc impossible de le lire.
Et Socrate est un chat.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- supersosoSage
Parménide il y a des choses qui se mettent en place petit à petit. Des fois je lisais 3 pages dans la journée avec des aller-retours pour voir si je comprenais bien. Mais au final tu avances quand même. Et puis tu ne peux pas t'attendre à tout comprendre à la première lecture de Kant. Là, je viens de commencer Le Capital de Marx. Bah forcément, le début c'est laborieux puisque je n'y connais rien. Mais je pense que je lirais plus vite à mesure que j'avancerais et que les concepts auront été mis en place.
- sansaraModérateur
Cripure a écrit:Groumf !
Ca va pas troller ici aussi ?
+1. Arrêtez de l'entretenir dans sa névrose ! En plus, ici on parle de lecture faite pour le plaisir, il me semble (ou alors j'ai mal lu ?).
- User19866Expert
Dis donc, Thrasybule, on attend toujours ta question subsidiaire. (Moi plus que les autres, puisque j'essaie d'échapper au reste de mes copies.)
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