Comment lisez-vous ?

Thalia de G a écrit:Je n'écris jamais dans un livre

Lire suppose d'avoir un crayon à la main. Sinon je ne commence même pas la lecture.
Je souligne beaucoup, fais des va-et-vient constants entre la table des matières, l'introduction et le chapitre en cours, inscris les numéros des pages avec les citations particulièrement intéressantes au tout début. Ai une fâcheuse tendance à commencer par lire la bibliographie et la TDMat avant le reste.

Spoiler:

tiptop77 a écrit:

stench a écrit:J'apprends donc qu'il y a des gens qui se parfument avant d'aller dormir

Sinon, je lis partout, j'ai toujours un livre sur moi ou dans le sac à dos. L'idéal étant bien entendu de lire de la poésie seul en montagne dans un bivouac avant que le soleil ne se couche.

Comme Marilyn Monroe qui portait seulement une goutte de Chanel numéro 5 pour se blottir dans les bras de Morphée :etoilecoeur:

Eh ouais!
UN point commun avec Marilyn!

Le chat de ton avatar... Kennedy...

Gryphe, tu vas devenir le modèle exemplaire de Parménide. Quelle méthode! C'est un peu brouillon, certes, mais prometteur!

thrasybule a écrit:Gryphe, tu vas devenir le modèle exemplaire de Parménide. Quelle méthode! C'est un peu brouillon, certes, mais prometteur!

Ce qu'il n'a pas compris, c'est qu'au-delà d'un certain point, cette méthode peut devenir paralysante. Mais je lutte, je lutte.
A petites doses en revanche, cela marche bien. Mais c'est sûr que ce n'est pas comme ça qu'on lit plus de 50 livres par an. :lol:

Gryphe a écrit:

Thalia de G a écrit:Je n'écris jamais dans un livre

Lire suppose d'avoir un crayon à la main. Sinon je ne commence même pas la lecture.
Je souligne beaucoup, fais des va-et-vient constants entre la table des matières, l'introduction et le chapitre en cours, inscris les numéros des pages avec les citations particulièrement intéressantes au tout début. Ai une fâcheuse tendance à commencer par lire la bibliographie et la TDMat avant le reste.

Spoiler:

Pour le spoiler : Oh la vache ! :shock:

supersoso a écrit:Pour le spoiler : Oh la vache ! :shock:

Faut que j'achète et que je lise le Gorgias pour me faire pardonner.

Oui.

Bah moi ça dépend de ce que je lis. Philo, quasiment toujours assise à une table avec cahier et stylo.

Sinon, pour le reste (romans, essais, BD, revues etc) un peu n'importe où, assise, allongée, peu importe. Dans ma voiture quand j'attends ma fille à l'école, à la caisse du supermarché si c'est trop long (vive la liseuse !), etc. J'aime bien lire avant de m'endormir... Et au réveil quand j'ai le temps.

Je peux poser une question annexe? (pas la peine de créer un topic pour ça)?

Gryphe a écrit:

supersoso a écrit:Pour le spoiler : Oh la vache ! :shock:

Faut que j'achète et que je lise le Gorgias pour me faire pardonner.

Rhôoo tu fais bien comme tu veux. Mais tant pis pour toi, tu ne vivras jamais les énervements de Calliclès et c'est bien triste :lol: .

Ahh ! Moi aussi, je fais ça ! Le lieu, la date d'impression. J'imagine l'auteur (ou l'autrice   ) ému, prenant l'objet-livre entre ses mains au sortir de la presse. Je lis aussi les remerciements et les dédicaces. (Du coup, j'ai écrit une dédicace au début de mon mémoire de master, dédicace qui m'émeut toujours beaucoup lorsque je la relis.) (Ça va mal, hein... )

Dalathée2 a écrit:Je lis aussi les remerciements

Cela tombe sous le sens.
Dans mes bras Dalathée. :aav:

Dalathée2 a écrit:Ahh ! Moi aussi, je fais ça ! Le lieu, la date d'impression. J'imagine l'auteur (ou l'autrice   ) ému(e), prenant l'objet-livre entre ses mains au sortir de la presse. Je lis aussi les remerciements et les dédicaces. (Du coup, j'ai écrit une dédicace au début de mon mémoire de master, dédicace qui m'émeut toujours beaucoup lorsque je la relis.) (Ça va mal, hein... )

JPhMM a écrit:

Dalathée2 a écrit:Ahh ! Moi aussi, je fais ça ! Le lieu, la date d'impression. J'imagine l'auteur (ou l'autrice   ) ému(e), prenant l'objet-livre entre ses mains au sortir de la presse. Je lis aussi les remerciements et les dédicaces. (Du coup, j'ai écrit une dédicace au début de mon mémoire de master, dédicace qui m'émeut toujours beaucoup lorsque je la relis.) (Ça va mal, hein... )

Je l'ai écrit avec le "e" entre parenthèses... Et puis je me suis dit que j'allais me faire allumer, alors je l'ai retiré.

Gryphe a écrit:

Dalathée2 a écrit:Je lis aussi les remerciements

Cela tombe sous le sens.
Dans mes bras Dalathée. :aav:

Nom d'utilisateur a écrit:

Autrement dit : lire requiert une position corporelle qui m'est désagréable ;

Ca je le comprends très bien, pour moi c'est pareil. Sauf qu'une fois que je suis installée, si le livre me plaît, j'oublie tout l'environnement et l'inconfort... jusqu'à ce que les fourmis se fassent sentir.

Sinon, lire est mon premier et dernier geste de la journée: j'adore lire au petit déjeuner, quand tout dort encore, en pyj avec un café. Même les jours de boulot, je me prévois au moins une demi-heure de lecture matinale; et je ne peux pas m'endormir sans avoir lu quelques pages/lignes/chapitres, avec ma lampe de poche assise contre mon oreiller.

Je lis en voiture quand les trajets sont longs, en train aussi. Et quand je vais à la plage, c'est pas pour aller à l'eau, nan, c'est pour bouquiner trois heures durant au soleil!

thrasybule a écrit:Je peux poser une question annexe? (pas la peine de créer un topic pour ça)?

Bah on attend .

Souvent emmitouflée soit dans mon lit soit dans un plaid et sur le canapé. Longtemps j'ai lu les pieds au mur, tête en bas (? ), ça m'est passé.

Dalathée2 a écrit:

JPhMM a écrit:

Dalathée2 a écrit:Ahh ! Moi aussi, je fais ça ! Le lieu, la date d'impression. J'imagine l'auteur (ou l'autrice   ) ému(e), prenant l'objet-livre entre ses mains au sortir de la presse. Je lis aussi les remerciements et les dédicaces. (Du coup, j'ai écrit une dédicace au début de mon mémoire de master, dédicace qui m'émeut toujours beaucoup lorsque je la relis.) (Ça va mal, hein... )

Je l'ai écrit avec le "e" entre parenthèses... Et puis je me suis dit que j'allais me faire allumer, alors je l'ai retiré.

Meuh non...

Gryphe a écrit:

Lire suppose d'avoir un crayon à la main. Sinon je ne commence même pas la lecture.
Je souligne beaucoup, fais des va-et-vient constants entre la table des matières, l'introduction et le chapitre en cours, inscris les numéros des pages avec les citations particulièrement intéressantes au tout début. Ai une fâcheuse tendance à commencer par lire la bibliographie et la TDMat avant le reste.

C'est peut être faisable sur le Gorgias ou le Discours de la Méthode mais certainement pas pour la critique de la raison pure ou la phénoménologie de l'esprit.

Chaque livre exige un traitement particulier, qui en plus doit être adapté à la personne du lecteur.

Sessi a écrit:

Nom d'utilisateur a écrit:

Autrement dit : lire requiert une position corporelle qui m'est désagréable ;

Ca je le comprends très bien, pour moi c'est pareil. Sauf qu'une fois que je suis installée, si le livre me plaît, j'oublie tout l'environnement et l'inconfort... jusqu'à ce que les fourmis se fassent sentir.

Sinon, lire est mon premier et dernier geste de la journée: j'adore lire au petit déjeuner, quand tout dort encore, en pyj avec un café. Même les jours de boulot, je me prévois au moins une demi-heure de lecture matinale; et je ne peux pas m'endormir sans avoir lu quelques pages/lignes/chapitres, avec ma lampe de poche assise contre mon oreiller.

Je lis en voiture quand les trajets sont longs, en train aussi. Et quand je vais à la plage, c'est pas pour aller à l'eau, nan, c'est pour bouquiner trois heures durant au soleil!

Original!

Dans mon canapé avec mon plaid sur les genoux, dans mon lit bien calée avant d'aller me coucher, dans le train mais c'est assez rare (puisque je ne prends quasi jamais le train). J'ai une lecture silencieuse et passive: je n'écris pas dans mes bouquins, je ne les corne pas non plus. Des profs m'ont forcée à écrire, souligner, stabiloter mes livres et je n'ai pas du tout aimé ça, j'ai l'impression de commettre un crime ...

Parménide a écrit:Chaque livre exige un traitement particulier, qui en plus doit être adapté à la personne du lecteur.

Dès lors personne ne peut vous dire quel "traitement" vous devez appliquer comme lecteur, il vous appartient seul de le découvrir.

*Ouf*

JPhMM a écrit:

Parménide a écrit:Chaque livre exige un traitement particulier, qui en plus doit être adapté à la personne du lecteur.

Dès lors personne ne peut vous dire quel "traitement" vous devez appliquer comme lecteur, il vous appartient seul de le découvrir.

*Ouf*

C'est tout le problème, oui...

Parménide a écrit:

JPhMM a écrit:

Parménide a écrit:Chaque livre exige un traitement particulier, qui en plus doit être adapté à la personne du lecteur.

Dès lors personne ne peut vous dire quel "traitement" vous devez appliquer comme lecteur, il vous appartient seul de le découvrir.

*Ouf*

C'est tout le problème, oui...

Ce n'est en rien un problème.
Cela s'appelle une relation singulière. Un problème, c'est autre chose.

Parménide a écrit:

Gryphe a écrit:

Lire suppose d'avoir un crayon à la main. Sinon je ne commence même pas la lecture.
Je souligne beaucoup, fais des va-et-vient constants entre la table des matières, l'introduction et le chapitre en cours, inscris les numéros des pages avec les citations particulièrement intéressantes au tout début. Ai une fâcheuse tendance à commencer par lire la bibliographie et la TDMat avant le reste.

C'est peut être faisable sur le Gorgias ou le Discours de la Méthode mais certainement pas pour la critique de la raison pure ou la phénoménologie de l'esprit.

Chaque livre exige un traitement particulier, qui en plus doit être adapté à la personne du lecteur.

Et pourquoi ça ne serait pas faisable sur la Critique de la raison pure ou la Phéno ?