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- Clecle78Bon génie
Une de mes copines se met au dernier rang et se débrouille pour qu'on ne la voie pas en se penchant ou en se cachant derrière un ou une grande au moment crucial.
- DanskaProphète
Clecle78 a écrit:Une de mes copines se met au dernier rang et se débrouille pour qu'on ne la voie pas en se penchant ou en se cachant derrière un ou une grande au moment crucial.
Ce n'est pas plus simple d'assumer en allant voir ailleurs le temps de la photo ?
Personnellement j'ai toujours profité de ce moment pour aller faire mes premières photocopies de l'année, c'est pratique, il n'y a personne. Il ne manquerait plus qu'on me fasse une remarque à ce sujet !
- Clecle78Bon génie
J'imagine qu'elle trouve plus simple de faire comme ça. C'est extrêmement efficace car on ne la voit jamais sur la photo.
- melyanNiveau 6
Alors, j'ai déjà essayé mais le photographe me replace quasi à chaque fois devant.
- DanskaProphète
Mais on est adultes, non ? Si on n'a pas encore d'être pris en photo on refuse ou on ne se présente pas, point. Je ne comprends pas quel est l'intérêt d'essayer de ruser ou de finasser, comme si c'était une obligation à laquelle on tentait de se soustraire avec plus ou moins de dignité
- eliamEsprit éclairé
Je ne mes suis jamais cachée au moment de la photo. Moi aussi, je fais des photocopies ou je discute avec ceux qui ne font pas la photo.
- Clecle78Bon génie
Il faut croire que c'est le cas pour certains collègues. La maturité n'est pas forcément le propre de tous les enseignants. Je ne fais que constater. Je n'ai jamais eu de problème avec la photo de groupe pour ma part et c'est un souvenir que j'apprécie de revoir des années plus tard.Danska a écrit:Mais on est adultes, non ? Si on n'a pas encore d'être pris en photo on refuse ou on ne se présente pas, point. Je ne comprends pas quel est l'intérêt d'essayer de ruser ou de finasser, comme si c'était une obligation à laquelle on tentait de se soustraire avec plus ou moins de dignité
- LyraSilvertongueNiveau 1
Clecle78 a écrit:Il faut croire que c'est le cas pour certains collègues. La maturité n'est pas forcément le propre de tous les enseignants. Je ne fais que constater. Je n'ai jamais eu de problème avec la photo de groupe pour ma part et c'est un souvenir que j'apprécie de revoir des années plus tard.Danska a écrit:Mais on est adultes, non ? Si on n'a pas encore d'être pris en photo on refuse ou on ne se présente pas, point. Je ne comprends pas quel est l'intérêt d'essayer de ruser ou de finasser, comme si c'était une obligation à laquelle on tentait de se soustraire avec plus ou moins de dignité
A priori le contexte présenté ici est particulier et ne permet pas au collègue de simplement ne pas se présenter. Évidemment, autrement, nul besoin de ruser et c'est triste de devoir en arriver là car ça ne devrait pas être imposé.
- lene75Prophète
MmeEnseignante a écrit:Clecle78 a écrit:Il faut croire que c'est le cas pour certains collègues. La maturité n'est pas forcément le propre de tous les enseignants. Je ne fais que constater. Je n'ai jamais eu de problème avec la photo de groupe pour ma part et c'est un souvenir que j'apprécie de revoir des années plus tard.Danska a écrit:Mais on est adultes, non ? Si on n'a pas encore d'être pris en photo on refuse ou on ne se présente pas, point. Je ne comprends pas quel est l'intérêt d'essayer de ruser ou de finasser, comme si c'était une obligation à laquelle on tentait de se soustraire avec plus ou moins de dignité
A priori le contexte présenté ici est particulier et ne permet pas au collègue de simplement ne pas se présenter. Évidemment, autrement, nul besoin de ruser et c'est triste de devoir en arriver là car ça ne devrait pas être imposé.
En effet, je crois que l'immaturité est plus du côté du CDE qui n'a rien de mieux à faire que d'accuser un enseignant de faute professionnelle parce qu'il ne souhaite pas figurer sur la photo de rentrée, comme si cette dernière était une obligation.
- MoyenCrocoNiveau 10
Si les personnels de direction ne prenaient pas les enseignants pour des enfants, ça se saurait ! (A ne pas généraliser à tous, évidemment)Danska a écrit:Mais on est adultes, non ? Si on n'a pas encore d'être pris en photo on refuse ou on ne se présente pas, point. Je ne comprends pas quel est l'intérêt d'essayer de ruser ou de finasser, comme si c'était une obligation à laquelle on tentait de se soustraire avec plus ou moins de dignité
- DanskaProphète
MoyenCroco a écrit:Si les personnels de direction ne prenaient pas les enseignants pour des enfants, ça se saurait ! (A ne pas généraliser à tous, évidemment)Danska a écrit:Mais on est adultes, non ? Si on n'a pas encore d'être pris en photo on refuse ou on ne se présente pas, point. Je ne comprends pas quel est l'intérêt d'essayer de ruser ou de finasser, comme si c'était une obligation à laquelle on tentait de se soustraire avec plus ou moins de dignité
Ça ne nous oblige pas à accepter d'être traités comme des gamins, surtout pour un détail aussi trivial que la photo de début d'année. Et je ne parle pas du cas évoqué précisément au début de ce fil mais de façon générale : quand j'en suis à lire que des enseignants se cachent derrière des élèves pour ne pas apparaître sur la photo, j'ai bien du mal à ne pas trouver ça hautement ridicule.
- Vieux_MongolFidèle du forum
C'est effectivement ridicule. Et si on ne veut pas être traité comme un gamin il faut commencer par ne pas agir comme tel.
- lene75Prophète
Le problème est que la collègue a déjà refusé clairement et que ça lui vaut des menaces. Si elle ne peut pas choisir la ruse, par exemple, oups, en étant trop occupée à faire ses photocopies à l'heure de la photo, que lui suggèrez-vous ? Je ne suis pas sûre qu'aller au conflit ouvert avec son CDE visiblement pas très net pour une simple histoire de photo soit la meilleure des solutions. D'autant que si j'ai bien compris ce que dit que ce fil, d'un point de vue légal, elle n'est même pas sûre de gagner. S'éclipser pendant la photo, comme le font un certain nombre de collègues, me paraît être la solution la plus sage, même si ça fait un peu jeu de cache cache. Je crois qu'il faut choisir ses combats.
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- DanskaProphète
Ben oui, c'est bien ce qu'on dit : si on ne veut pas être sur la photo on s'éclipse pendant ce temps (c'est exactement ce que je fais avec mes photocopies), on ne se planque pas derrière un élève parce qu'on n'ose pas assumer de ne pas être là. Je n'ai d'ailleurs jamais eu l'impression de "ruser" en m'absentant le temps de cette fameuse photo : ce n'est pas une obligation et ça ne m'intéresse pas donc je n'y vais pas et au lieu de ça je rentabilise mon temps sur place, point.
Et encore une fois je parle de façon générale, pas précisément de la collègue qui a soulevé ce problème.
Et encore une fois je parle de façon générale, pas précisément de la collègue qui a soulevé ce problème.
- jonjon71Fidèle du forum
Bonjour,
1. Par rapport au titre, ce n'est pas forcément le PP qui accompagne la classe pour faire la photo, ça peut être n'importe quel prof qui a la classe selon le planning de passage établi par le CPE ou le chef adjoint.
2. Non on ne peut pas aller boire un café, faire ses photocopies, ranger sa salle pendant ce temps. Les élèves sont sous notre responsabilité à ce moment là .
3. Si le photographe ou les élèves nous sollicitent pour être sur la photo on décline et on se place hors du champ.
1. Par rapport au titre, ce n'est pas forcément le PP qui accompagne la classe pour faire la photo, ça peut être n'importe quel prof qui a la classe selon le planning de passage établi par le CPE ou le chef adjoint.
2. Non on ne peut pas aller boire un café, faire ses photocopies, ranger sa salle pendant ce temps. Les élèves sont sous notre responsabilité à ce moment là .
3. Si le photographe ou les élèves nous sollicitent pour être sur la photo on décline et on se place hors du champ.
- lene75Prophète
Danska a écrit:Ben oui, c'est bien ce qu'on dit : si on ne veut pas être sur la photo on s'éclipse pendant ce temps (c'est exactement ce que je fais avec mes photocopies), on ne se planque pas derrière un élève parce qu'on n'ose pas assumer de ne pas être là.
J'ai du mal à voir la différence : dans les deux cas c'est se planquer. La seule différence c'est que pendant la photo de classe, contrairement à la photo des personnels dont il est ici question, les élèves sont sous notre responsabilité, donc il est impossible de partir. Dans un établissement normal on dit simplement qu'on ne veut pas être sur la photo et tout se passe bien. Je n'ai jamais eu besoin de me planquer à la photocopieuse pour ne pas être sur les photos de classe des élèves. Je dis non, tout simplement, et jamais je n'ai eu de problème avec l'administration pour ça. Je ne pensais même pas que c'était possible, pour tout dire. Mais dans le cas de la collègue c'est différent puisque ce refus donne lieu à des menaces.
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- DanskaProphète
jonjon71 a écrit:Bonjour,
1. Par rapport au titre, ce n'est pas forcément le PP qui accompagne la classe pour faire la photo, ça peut être n'importe quel prof qui a la classe selon le planning de passage établi par le CPE ou le chef adjoint.
2. Non on ne peut pas aller boire un café, faire ses photocopies, ranger sa salle pendant ce temps. Les élèves sont sous notre responsabilité à ce moment là .
3. Si le photographe ou les élèves nous sollicitent pour être sur la photo on décline et on se place hors du champ.
Personne n'a jamais dit ça. La discussion actuelle porte sur la photo de rentrée, depuis plus de deux pages.
- lene75Prophète
Danska a écrit:jonjon71 a écrit:Bonjour,
1. Par rapport au titre, ce n'est pas forcément le PP qui accompagne la classe pour faire la photo, ça peut être n'importe quel prof qui a la classe selon le planning de passage établi par le CPE ou le chef adjoint.
2. Non on ne peut pas aller boire un café, faire ses photocopies, ranger sa salle pendant ce temps. Les élèves sont sous notre responsabilité à ce moment là .
3. Si le photographe ou les élèves nous sollicitent pour être sur la photo on décline et on se place hors du champ.
Personne n'a jamais dit ça. La discussion actuelle porte sur la photo de rentrée, depuis plus de deux pages.
Il me semble qu'il y a deux sujets qui se télescopent, parce que je ne vois pas comment on pourrait se cacher derrière un élève pendant la photo de rentrée. Raison pour laquelle d'ailleurs au départ j'ai cru que vous critiquiez le fait d'être à la photocopieuse, l'autre cas n'étant pas possible lors de la photo de rentrée.
- DanskaProphète
lene75 a écrit:Danska a écrit:Ben oui, c'est bien ce qu'on dit : si on ne veut pas être sur la photo on s'éclipse pendant ce temps (c'est exactement ce que je fais avec mes photocopies), on ne se planque pas derrière un élève parce qu'on n'ose pas assumer de ne pas être là.
J'ai du mal à voir la différence : dans les deux cas c'est se planquer. La seule différence c'est que pendant la photo de classe, contrairement à la photo des personnels dont il est ici question, les élèves sont sous notre responsabilité, donc il est impossible de partir. Dans un établissement normal on dit simplement qu'on ne veut pas être sur la photo et tout se passe bien. Je n'ai jamais eu besoin de me planquer à la photocopieuse pour ne pas être sur les photos de classe des élèves. Je dis non, tout simplement, et jamais je n'ai eu de problème avec l'administration pour ça. Je ne pensais même pas que c'était possible, pour tout dire. Mais dans le cas de la collègue c'est différent puisque ce refus donne lieu à des menaces.
Ça devient difficile à suivre, cette discussion, personne n'y parle de la même chose. La collègue à laquelle tu fais référence, c'est @melyan ? Si oui elle ne parle que de la photo de rentrée, pas de la photo de classe. Dans le cas d'une photo de classe il paraît évident qu'on n'en profite pas pour se barrer en salle des profs, mais comme ce n'est pas le sujet...
Dans le cas de la photo de rentrée en revanche on fait ce qu'on veut de son temps : si on veut être sur la photo très bien, si on ne veut pas très bien aussi. Et dans le cas où on ne veut pas on peut perdre son temps à regarder les autres être pris en photo, ou on peut profiter de ce temps pour aller boire un café ou faire des photocopies (j'avoue que je n'avais jamais imaginé que je me "planquais derrière la photocopieuse" en allant préparer mes outils de travail plutôt que de faire le pied de grue à côté du photographe, j'y songerai à la prochaine pré-rentrée).
La seule attitude que je trouve absurde, c'est de ne pas vouloir être sur la photo mais d'y aller quand même parce qu'on n'ose pas ne pas être là, en se cachant au fond derrière un collègue ou un élève plus grand pour ne pas être vu. Ça, c'est un comportement ridicule pour un adulte.
Édit : initialement Clecle ne précise pas si sa collègue s'est planquée derrière un autre collègue ou un élève, j'ai parlé d'élèves à tort dans un message.
- OudemiaBon génie
Ce terme me fait penser que tu es dans l'enseignement privé, où les rapports avec le chef d'établissement sont parfois plus délicats.melyan a écrit:Bonjour
Je pense que c'est ce que je vais faire, m'éclipser discrètement le temps de la photo. C'est d'ailleurs ce que j'aurais dû faire l'année dernière plutôt que de prévenir innocemment le directeur que je ne serais pas sur la photo. Je sais que ça peut paraître idiot, mais sachez que je rêverais d'être à l'aise comme beaucoup de personnes avec la prise et la diffusion de photos. Merci pour tous vos commentaires et profitez bien de vos vacances.
Bon courage pour affronter le personnage à le rentrée, et bonnes vacances jusque là.
- jonjon71Fidèle du forum
lene75 a écrit:Danska a écrit:jonjon71 a écrit:Bonjour,
1. Par rapport au titre, ce n'est pas forcément le PP qui accompagne la classe pour faire la photo, ça peut être n'importe quel prof qui a la classe selon le planning de passage établi par le CPE ou le chef adjoint.
2. Non on ne peut pas aller boire un café, faire ses photocopies, ranger sa salle pendant ce temps. Les élèves sont sous notre responsabilité à ce moment là .
3. Si le photographe ou les élèves nous sollicitent pour être sur la photo on décline et on se place hors du champ.
Personne n'a jamais dit ça. La discussion actuelle porte sur la photo de rentrée, depuis plus de deux pages.
Il me semble qu'il y a deux sujets qui se télescopent, parce que je ne vois pas comment on pourrait se cacher derrière un élève pendant la photo de rentrée. Raison pour laquelle d'ailleurs au départ j'ai cru que vous critiquiez le fait d'être à la photocopieuse, l'autre cas n'étant pas possible lors de la photo de rentrée.
Au temps pour moi alors, je n'ai pas lu les derniers messages du fil.
- Clecle78Bon génie
Oui je parle de la photo de groupe des collègues à la rentrée. On était plus de 200 profs et c'était facile de se planquer au fond. Pour les photos de classe je n'ai jamais vu personne être obligé d'y figurer.
- ProvenceEnchanteur
Danska a écrit:MoyenCroco a écrit:Si les personnels de direction ne prenaient pas les enseignants pour des enfants, ça se saurait ! (A ne pas généraliser à tous, évidemment)Danska a écrit:Mais on est adultes, non ? Si on n'a pas encore d'être pris en photo on refuse ou on ne se présente pas, point. Je ne comprends pas quel est l'intérêt d'essayer de ruser ou de finasser, comme si c'était une obligation à laquelle on tentait de se soustraire avec plus ou moins de dignité
Ça ne nous oblige pas à accepter d'être traités comme des gamins, surtout pour un détail aussi trivial que la photo de début d'année. Et je ne parle pas du cas évoqué précisément au début de ce fil mais de façon générale : quand j'en suis à lire que des enseignants se cachent derrière des élèves pour ne pas apparaître sur la photo, j'ai bien du mal à ne pas trouver ça hautement ridicule.
Je refuse, par principe, d’apparaître sur la photo de début d’année. Il est hors de question pour moi de me cacher.
- mistinguetteFidèle du forum
sans malice aucune, pour quel principe? la photo des personnels marque juste un temps de l'année, quelqu'un parlait de plaisir à revoir les époques passées et parfois des collègues qu'on aimait bien qui nous quittent (parfois tristement l'établissement). J'ai une petite fierté aussi de partager ce moment avec mes compagnons tout beaux et tout souriants des vacances qd on sait les galères qui ne manqueront pas d'arriver. Cette photo va ensuite rejoindre des archives et je ne l'ai jamais vu ailleurs qu'au bahut. Il n'y a guère d'exploitation possible. Alors pourquoi est-ce que cette pratique déchaine autant de passion?. Je ne parle pas de la photo avec une classe, mais bien de la photo des personnels qui s'est invitée dans cette discussion de déjà 4 pages. Et je précise que je ne suis ni adepte du selfie, ni des photos sur les réseaux et que je me trouve horrible sur toutes les photos.
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.'..Texte sur les l'oies' commentaires du prof hg que j’adorais sur ma copie de 6e : loi/ l'oie Vous en êtes une!. J'ai évolué depuis mais mon complexe orthographique m'accompagnera toujours. Il semble qu'aujourd’hui on parle de dyslexie pour l'étourdie éternelle que j'étais...alors si c'est la science des ânes, merci de pas charger la mule.
- AmauryNiveau 5
Dans l'absolu, je me moque d'être prise ou non en photo. Si je suis disponible au moment où est prise la photo des personnels, j'y figure, sinon non. En revanche, je refuse de figurer sur celle des élèves, même si cela en déçoit toujours certains, mais tant pis. Je sais trop bien, pour l'avoir déjà expérimenté une fois à mes débuts, ce que peuvent devenir ces images d'enseignants entre les mains de certains élèves qui ne les apprécient pas.
J'ai eu une situation plus délicate une année : une principale nous a demandé d'accepter que nos photos de trombinoscope Pronote soient faites et visibles par nos élèves (autorisation à cocher), de façon à ce que l'un de nos élèves autiste, "qui a besoin d'avoir des repères", puisse nous identifier. Je crois que certains d'entre vous ne seront pas d'accord, mais je n'ai pas approuvé le fait que le handicap d'un élève soit utilisé pour nous mettre la pression sur cette question-là, et je me suis empressée par principe de vérifier que mon autorisation n'était pas cochée.
J'ai eu une situation plus délicate une année : une principale nous a demandé d'accepter que nos photos de trombinoscope Pronote soient faites et visibles par nos élèves (autorisation à cocher), de façon à ce que l'un de nos élèves autiste, "qui a besoin d'avoir des repères", puisse nous identifier. Je crois que certains d'entre vous ne seront pas d'accord, mais je n'ai pas approuvé le fait que le handicap d'un élève soit utilisé pour nous mettre la pression sur cette question-là, et je me suis empressée par principe de vérifier que mon autorisation n'était pas cochée.
- Clecle78Bon génie
Ça me fait plaisir de lire ce messagemistinguette a écrit:sans malice aucune, pour quel principe? la photo des personnels marque juste un temps de l'année, quelqu'un parlait de plaisir à revoir les époques passées et parfois des collègues qu'on aimait bien qui nous quittent (parfois tristement l'établissement). J'ai une petite fierté aussi de partager ce moment avec mes compagnons tout beaux et tout souriants des vacances qd on sait les galères qui ne manqueront pas d'arriver. Cette photo va ensuite rejoindre des archives et je ne l'ai jamais vu ailleurs qu'au bahut. Il n'y a guère d'exploitation possible. Alors pourquoi est-ce que cette pratique déchaine autant de passion?. Je ne parle pas de la photo avec une classe, mais bien de la photo des personnels qui s'est invitée dans cette discussion de déjà 4 pages. Et je précise que je ne suis ni adepte du selfie, ni des photos sur les réseaux et que je me trouve horrible sur toutes les photos.
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