- retraitéeDoyen
Moi, je suis retraitée, hein ! Sinon, Dalathée (et non dilatée, comme le voudrait mon non correcteur!) si tu es dans les parages bientôt, j'ai encore des manuels et des cours à donner, à toi ou à d'autres stagiaires de ta connaissance.
- retraitéeDoyen
Parménide, j'ai vraiment des ouvrages de philo à donner !
- JPhMMDemi-dieu
Si j'osais...retraitée a écrit:Parménide, j'ai vraiment des ouvrages de philo à donner !
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- RendashBon génie
Dalathée2 a écrit:
De ta déclaration d'impôts, Rendash, de ta déclaration d'impôts. Un fil lui est consacré, où des néos qui déclarent leurs frais réels expliquent aux néos qui conservent l'abattement forfaitaire de 10% en quoi cela peut être intéressant. File le lire avant de faire dériver le sujet initial et de donner des excuses aux adeptes de la procrastination.
OK, merci Dalathée2 =)
- User19866Expert
:lol:retraitée a écrit:Moi, je suis retraitée, hein ! Sinon, Dalathée (et non dilatée, comme le voudrait mon non correcteur !) si tu es dans les parages bientôt, j'ai encore des manuels et des cours à donner, à toi ou à d'autres stagiaires de ta connaissance.
Je ne suis pas dans les parages, mais ça peut s'arranger. Ce sont les vacances bientôt ( ) et je prendrai avec plaisir ce que tu as à me donner !
Ben ose. Qu'est-ce qui te retient ?JPhMM a écrit:Si j'osais...retraitée a écrit:Parménide, j'ai vraiment des ouvrages de philo à donner !
- supersosoSage
JPhMM a écrit:Si j'osais...retraitée a écrit:Parménide, j'ai vraiment des ouvrages de philo à donner !
moi aussi
- JPhMMDemi-dieu
La pudeur.Dalathée2 a écrit:Ben ose. Qu'est-ce qui te retient ?JPhMM a écrit:Si j'osais...retraitée a écrit:Parménide, j'ai vraiment des ouvrages de philo à donner !
Et aussi l'idée que quelqu'un pourrait en avoir davantage besoin que moi, qui ne lis de la philosophie que pour le plaisir.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User19866Expert
JPhMM a écrit:La pudeur.Dalathée2 a écrit:Ben ose. Qu'est-ce qui te retient ?JPhMM a écrit:
Si j'osais...
Et aussi l'idée que quelqu'un pourrait en avoir davantage besoin que moi, qui ne lis de la philosophie que pour le plaisir.
- PhilomèleNiveau 9
Dalathée2 a écrit:Etant donné que ce fil fait vingt-sept pages, Parménide est-il vraiment le seul qu'il faut aider à travailler ?
Disons que chez les autres, la procrastination me semble bien moins structurée que chez Parménide.
- JPhMMDemi-dieu
:lol:Dalathée2 a écrit:JPhMM a écrit:La pudeur.Dalathée2 a écrit:
Ben ose. Qu'est-ce qui te retient ?
Et aussi l'idée que quelqu'un pourrait en avoir davantage besoin que moi, qui ne lis de la philosophie que pour le plaisir.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JennyMédiateur
C'est une bonne résolution, Parménide.
JPhMM : Lance toi (Retraitée m'a bien envoyé un manuel de latin...)
JPhMM : Lance toi (Retraitée m'a bien envoyé un manuel de latin...)
- retraitéeDoyen
Je fais du tri et du vide. Cela ira de toutes façons chez Emmaüs ou ailleurs, alors, OSEZ !
- Thalia de GMédiateur
J'aime beaucoup ton dernier smiley. Ce fil est très instructif.Dalathée2 a écrit:JPhMM a écrit:La pudeur.Dalathée2 a écrit:
Ben ose. Qu'est-ce qui te retient ?
Et aussi l'idée que quelqu'un pourrait en avoir davantage besoin que moi, qui ne lis de la philosophie que pour le plaisir.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- ParménideNeoprof expérimenté
Je veux dire tout d'abord qu'il n'est nul besoin de fermer cette conversation : je peux avancer avec ou sans.
Et ça me semblait bien plus pratique (dans tous les sens du terme) de cibler des moments phares de la pensée au travers d'extraits plutot que de se perdre dans la critique de la raison pure ou la phénoménologie de l'esprit.
C'est logique ce qui se passe : soit on privilégie la qualité au détriment de la quantité. Soit on privilégie la quantité au détriment de la qualité. Je n'ai jamais réussi à trouver un équilibre satisfaisant.
Pour moi il est impossible de préparer ce concours sans faire des impasses gigantesques aussi bien pour la dissertation que pour le commentaire , surtout peut être pour ce dernier.
Mais je peux développer : il s'agit des réquisits exigés par le jury tant sur le fond que sur la forme, et auxquels il faut se plier.
Et j'ai toujours privilégié l'aspect préparation des examens et concours sur l'aspect gout personnel pour la discipline. On en arrive à cette situation surréaliste aujourd'hui. Ce que je voulais c'était satisfaire aux attendus institutionnels pour ensuite me livrer à une pratique plus personnelle de la philosophie, notamment la lecture des auteurs m'intéressant le plus.
L'ennui c'est que si je me laisse aller à lire uniquement les philosophes qui me plaisent je vais me retrouver à des décennies d'une bonne préparation au capes.
Mais ce qui a vraiment assassiné mon gout pour cette discipline c'est je crois juste l'aspect quantitatif de ce fameux "programme". ça fait 6 ans que j'ai l'impression d'avoir affaire à un musée d'archives intellectuelles complètement empoussiéré, et qui n'a au fond rien à voir avec la philosophie.
C'est surtout que je suis quelqu'un qui est, du point de vue des méthodes de travail, d'une inefficacité absolument prodigieuse. On peut me mettre entre les mains la meilleure bibliographie au monde , je n'en ferai rien vu que je ne sais pas comment lire.
C'est même pas la peine de parler de bibliographie, d'ailleurs, vu que rien qu'un seul ouvrage me pose problème : je n'ai jamais su comment exploiter efficacement une lecture. Alors ma façon extrêmement mauvaise de travailler a fonctionné jusqu'en master (même en prépa ça passait encore !) mais là avec cette histoire de capes, les problèmes ont littéralement explosé.
Je n'ai jamais cherché à me faire plaindre. Se donner les moyens : ça aussi je le sais par cœur, mais c'est fou tout ce qu'il me reste à régler pour atteindre le niveau du concours!
Comme je ne travaille pas, je suis la plupart du temps réquisitionné par ma famille pour diverses taches matérielles.
Je ne sais pas si c'est si normal que ça parce qu'une dissertation n'est jamais de la restitution de cours ou quoi que ce soit d'autre. Mais c'est vrai que c'est une question que je me pose beaucoup : jusqu'à quel point le traitement des sujets de philosophie est dépendant de connaissances extérieures? J'ai l'impression que ça dépend beaucoup des sujets en fait.
J'ai déjà essayé de mener de front préparation au capes et master durant 2 ans. Résultat : 2 de moyenne au capes la première année, 4 la deuxième année...
Après, il est certain qu'il va falloir que je m'organise mieux si je veux ET m'entrainer ET faire des lectures.
Ah ! lesquels ?
Mais je le sais par coeur ça ! C'est juste qu'il est évident qu'on ne peut pas réussir ce concours sans une bonne diversification des références, Tinland le dit dans son guide. Se cantonner à connaitre "à fond" 1 ou 2 philosophes, fussent ils Platon et Kant ne parait pas suffisant.PauvreYorick a écrit:
Rendash a raison : empiler des extraits n'est intéressant ni en soi, ni pour les concours, ni pour enseigner.
Et ça me semblait bien plus pratique (dans tous les sens du terme) de cibler des moments phares de la pensée au travers d'extraits plutot que de se perdre dans la critique de la raison pure ou la phénoménologie de l'esprit.
C'est logique ce qui se passe : soit on privilégie la qualité au détriment de la quantité. Soit on privilégie la quantité au détriment de la qualité. Je n'ai jamais réussi à trouver un équilibre satisfaisant.
Pour moi il est impossible de préparer ce concours sans faire des impasses gigantesques aussi bien pour la dissertation que pour le commentaire , surtout peut être pour ce dernier.
ça désigne ce qui est écrit , tout simplementPauvreYorick a écrit:
C'est pourquoi je me demande moi aussi ce qui est désigné exactement par « formatage académique et institutionnel relatif au concours »,
Mais je peux développer : il s'agit des réquisits exigés par le jury tant sur le fond que sur la forme, et auxquels il faut se plier.
Comme j'ai dit hier : j'ai toujours fait une dissociation excessive entre la philosophie pratiquée à des fins personnelles et la philosophie pratiquée à des fins institutionnelles. Malheureusement j'ai toujours travaillé la philosophie comme on va à l'usine !PauvreYorick a écrit:
mais aussi ce qu'est alors la discipline telle que Parménide la conçoit. D'autant que, JPhMM l'a dit, aimer (mais aussi et peut-être d'abord concevoir) en pratiquant en fin de compte si peu, ça fait lever un demi-sourcil un peu incrédule ou du moins circonspect, inévitablement : qu'est-ce au juste qui est là conçu et aimé sous l'étiquette, somme toute large, de « philosophie » ?
Et j'ai toujours privilégié l'aspect préparation des examens et concours sur l'aspect gout personnel pour la discipline. On en arrive à cette situation surréaliste aujourd'hui. Ce que je voulais c'était satisfaire aux attendus institutionnels pour ensuite me livrer à une pratique plus personnelle de la philosophie, notamment la lecture des auteurs m'intéressant le plus.
L'ennui c'est que si je me laisse aller à lire uniquement les philosophes qui me plaisent je vais me retrouver à des décennies d'une bonne préparation au capes.
Mais ce qui a vraiment assassiné mon gout pour cette discipline c'est je crois juste l'aspect quantitatif de ce fameux "programme". ça fait 6 ans que j'ai l'impression d'avoir affaire à un musée d'archives intellectuelles complètement empoussiéré, et qui n'a au fond rien à voir avec la philosophie.
Fanny Keats a écrit:
Je suis désolée parménide mais tu me donnes l'impression de n'être pas aussi passionné par ta matière que tu le dis... Tu peux manquer de confiance en toi, c'est un peu mon cas également, mais si tu le voulais vraiment ton concours, tu aurai DEJA changer ton approche du concours et compris les conseils qu'on te donne ici. Je te souhaite de trouver ta voie. Bonne continuation.
C'est surtout que je suis quelqu'un qui est, du point de vue des méthodes de travail, d'une inefficacité absolument prodigieuse. On peut me mettre entre les mains la meilleure bibliographie au monde , je n'en ferai rien vu que je ne sais pas comment lire.
C'est même pas la peine de parler de bibliographie, d'ailleurs, vu que rien qu'un seul ouvrage me pose problème : je n'ai jamais su comment exploiter efficacement une lecture. Alors ma façon extrêmement mauvaise de travailler a fonctionné jusqu'en master (même en prépa ça passait encore !) mais là avec cette histoire de capes, les problèmes ont littéralement explosé.
Fanny Keats a écrit:
Oui je suis désolée Parménide mais ce n'est pas auprès de certains comme moi, que tu trouveras une oreille compatissante. Si tu veux ton CAPES, donne-toi les moyens!
Je n'ai jamais cherché à me faire plaindre. Se donner les moyens : ça aussi je le sais par cœur, mais c'est fou tout ce qu'il me reste à régler pour atteindre le niveau du concours!
retraitée a écrit:
Parménide, tu n'exerces pas de métier, que fais-tu donc de ton temps libre ?
Comme je ne travaille pas, je suis la plupart du temps réquisitionné par ma famille pour diverses taches matérielles.
retraitée a écrit:
Faire un plan , c'est bien joli, mais il faut avoir des connaissances et des exemples pour en faire une dissert ! Tu dis manquer d'idées devant un sujet de dissertation, c'est normal !
Je ne sais pas si c'est si normal que ça parce qu'une dissertation n'est jamais de la restitution de cours ou quoi que ce soit d'autre. Mais c'est vrai que c'est une question que je me pose beaucoup : jusqu'à quel point le traitement des sujets de philosophie est dépendant de connaissances extérieures? J'ai l'impression que ça dépend beaucoup des sujets en fait.
retraitée a écrit: Et tu voudrais nous faire gober que tu n'as pas le temps de mener de front lectures des oeuvres et travail des épreuves !
J'ai déjà essayé de mener de front préparation au capes et master durant 2 ans. Résultat : 2 de moyenne au capes la première année, 4 la deuxième année...
Après, il est certain qu'il va falloir que je m'organise mieux si je veux ET m'entrainer ET faire des lectures.
retraitée a écrit:
Ps : si tu veux des bouquins, je peux t'en envoyer, tu payeras avec des timbres !
Ah ! lesquels ?
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- retraitéeDoyen
Ta famille ? Tes parents, ou ta femme et tes enfants ?
- Une passanteEsprit éclairé
A te lire, j'ai l'impression de me voir lors de mon année de terminale, quand je croyais que la philosophie cela signifiait "philosopher" et non pas savoir réfléchir à un problème donné en s'appuyant sur les pensées des philosophes....
C'est aussi à se demander ce que tu as bien pu faire pendant tes études, si la préparation du capes nécessite effectivement une vaste culture qui peut obliger à n'aller que vers des extraits, les années précédentes auraient dû permettre d'approfondir un certain nombre d'auteurs, non ?
On ne passe quand même pas le capes l'année qui suit celle du bac !
C'est aussi à se demander ce que tu as bien pu faire pendant tes études, si la préparation du capes nécessite effectivement une vaste culture qui peut obliger à n'aller que vers des extraits, les années précédentes auraient dû permettre d'approfondir un certain nombre d'auteurs, non ?
On ne passe quand même pas le capes l'année qui suit celle du bac !
- ParménideNeoprof expérimenté
@retraitée: parents, oui
J'ai toujours été dans une très mauvaise logique de préparation, et avec de très mauvaises méthodes de travail. Sans entraînements efficaces.Et avec une organisation catastrophique. Tout cela a été aggravé par l'attitude de la fac (je maintiens !) ainsi que celle de mon entourage.
Une passante a écrit:A te lire, j'ai l'impression de me voir lors de mon année de terminale, quand je croyais que la philosophie cela signifiait "philosopher" et non pas savoir réfléchir à un problème donné en s'appuyant sur les pensées des philosophes....
C'est aussi à se demander ce que tu as bien pu faire pendant tes études, si la préparation du capes nécessite effectivement une vaste culture qui peut obliger à n'aller que vers des extraits, les années précédentes auraient dû permettre d'approfondir un certain nombre d'auteurs, non ?
On ne passe quand même pas le capes l'année qui suit celle du bac !
J'ai toujours été dans une très mauvaise logique de préparation, et avec de très mauvaises méthodes de travail. Sans entraînements efficaces.Et avec une organisation catastrophique. Tout cela a été aggravé par l'attitude de la fac (je maintiens !) ainsi que celle de mon entourage.
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- Une passanteEsprit éclairé
mais quand tu étais à la fac, on t'a bien demandé de lire des auteurs, non ?
- GrypheMédiateur
Tu as 28 ans. Tu es adulte. Tu n'as plus besoin de la fac ni du soutien financier de ton entourage. Si ce n'est pas le cas, il faut que tu te sortes de là par tous les moyens et le plus vite possible.Parménide a écrit: Tout cela a été aggravé par l'attitude de la fac (je maintiens !) ainsi que celle de mon entourage.
Rappelons que devenir professeur suppose de savoir préparer soi-même ses propres cours. Cela demande d'être autonome.
Au fait, as-tu bien avancé dans ta dissert' cet aprèm ?
- ParménideNeoprof expérimenté
Oui, mais ce que je fais n'est pas bon de toute façon.Gryphe a écrit:
Au fait, as-tu bien avancé dans ta dissert' cet aprèm ?
Mais mon soulagement est immense de savoir que je suis en train de rater un entraînement (digne de ce nom) plutôt que le concours véritable, contrairement à ce qui se passe depuis 6 ans
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- ParménideNeoprof expérimenté
Une passante a écrit:mais quand tu étais à la fac, on t'a bien demandé de lire des auteurs, non ?
Oui mais on nous disait par exemple: Aristote, La politique, livre 1 et 2. Quasiment jamais il n'y a eu prescription d'oeuvres intégrales.
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"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- supersosoSage
Donc tu as lu les livres I et II ?
- User17706Bon génie
Il faudra aussi pour ton travail (qui consiste[ra] en partie à expliquer et à s'expliquer) que tu comprennes pourquoi donner une expression de sens proche, autrement dit se répéter en variant légèrement la formulation (voire, comme dans le second cas, sans même la modifier), ne constitue généralement pas une clarification (en tout cas si on s'adresse à quelqu'un qui parle ne serait-ce que moyennement le français, et je ne pense pas faire preuve d'un orgueil excessif si je dis que je ne suis pas complètement analphabète). Mais soit, la mention d'« auteurs t'intéressant davantage » que ceux [que tu supposes] jugés incontournables constitue quand même un élément de réponse.Parménide a écrit:[...]PauvreYorick a écrit:
C'est pourquoi je me demande moi aussi ce qui est désigné exactement par « formatage académique et institutionnel relatif au concours »,
Mais je peux développer : il s'agit des réquisits exigés par le jury tant sur le fond que sur la forme, et auxquels il faut se plier.Comme j'ai dit hier : j'ai toujours fait une dissociation excessive entre la philosophie pratiquée à des fins personnelles et la philosophie pratiquée à des fins institutionnelles. [...]PauvreYorick a écrit:
mais aussi ce qu'est alors la discipline telle que Parménide la conçoit. D'autant que, JPhMM l'a dit, aimer (mais aussi et peut-être d'abord concevoir) en pratiquant en fin de compte si peu, ça fait lever un demi-sourcil un peu incrédule ou du moins circonspect, inévitablement : qu'est-ce au juste qui est là conçu et aimé sous l'étiquette, somme toute large, de « philosophie » ?
[...] notamment la lecture des auteurs m'intéressant le plus.
- ParménideNeoprof expérimenté
supersoso a écrit:Donc tu as lu les livres I et II ?
Oui mais il ne m'en reste presque rien, tout comme la plupart de mes lectures. Ce qui fait qu'aujourd'hui, malgré un M2 validé depuis 5 ans, j'ai un niveau en philo au fond pas tellement supérieur à celui d'un élève de terminale. Et souvent ça me rend malade de devoir le constater.
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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- JPhMMDemi-dieu
Je vois mal de quoi tu parles en utilisant l'expression "philosophie pratiquée à des fins institutionnelles" pour évoquer les œuvres (par exemple) de Platon, Lucrèce, Tchouang-tseu, Montaigne, etc.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
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