- supersosoSage
Euh sérieusement Parménide, d'après ce que tu nous as dit, tu as eu de très mauvaises notes lors de ton premier passage du CAPES. Comment as-tu, ne serait-ce qu'une seconde, pu penser que donc tout allait bien et tu n'avais pas de souci méthodologique ?
- supersosoSage
Rendash a écrit:Parménide a écrit: qualité et quantité des connaissances, quantité des entrainements réguliers, diversifier mes références philosophiques, me concentrer sur des classiques...
Pour ce qui est des connaissances, six ans de préparation devraient t'assurer un fonds solide, à tout le moins, même avec des problèmes de méthode pour l'exploiter. C'est ça que j'ai du mal à comprendre, dans ton histoire.
AH ben c'est que tu n'as pas tout lu alors : Parménide n'a lu que 4 livres de philosophie complètement pendant ses études. Donc il n'a à sa disposition aucune œuvre de Platon, ni d'Aristote ou Descartes, encore moins de Kant, etc. Mais visiblement, il maîtrise bien un manuel de terminale. A partir de là, réussir les concours de philo devient quand même vraiment difficile...
- ProvençalLeGauloisExpert
Parménide a écrit:
NON. Je ne peux en aucun cas laisser dire ça.
Ce qui devait être fait a été fait. En 5 ans j'ai fait les 7-8 devoirs écrits prévus, ainsi que les deux entraînements oraux. Ce n'est tout de même pas ma faute s'il n'y a jamais eu de correction, jamais eu de bibliographie distribuée, et jamais eu de cours de méthodologie sur les deux exercices à maitriser pour le concours.
Il fut un temps où j'ai quand même fait des démarches à la fac pour avoir de l'aide et ça n'a jamais abouti ! Et aujourd'hui je dois devoir payer pour cela!
ça fait 6 ans que je déambule dans ce labyrinthe. Je veux en sortir le plus vite possible, car ce n'est plus supportable! Je vais faire tout ce qui est dans mon pouvoir pour ça, avec désormais une aide bien plus efficace, mais ça va quand même être très dur.
Moi qui pensait au moment où je suis rentré en L3 que passer le capes de philosophie ne serait qu'une promenade de santé, et bien je peux dire que ça a été plutôt le grand voyage de la mort
Non mais vous plaisantez ? 7 ou 8 devoirs écrits en 5 ans, vous appelez ça avoir suffisamment travaillé ? En 5 ans d'études à la fac et autant en "préparation concours", vous ne vous êtes pas dit qu'il faudrait lire des œuvres intégrales ? Que vous n'ayez même pas eu envie d'en lire devrait quand même vous éclairer sur votre intérêt pour la philosophie !
Vous dites vous-mêmes que vous aurez peu de chances de réussir le concours cette année mais vous ne cherchez pas d'alternatives, d'autres centres d'intérêts, d'autres voies professionnelles qui vous permettraient de "sortir de ce labyrinthe", vous ne voulez même pas faire de remplacements et ne connaissez visiblement pas la réalité du métier d'enseignant (notamment vos approximations sur la titularisation), si vous n'aviez passé le concours qu'une fois en dilettante, cela pourrait se comprendre mais là j'avoue ça me laisse pantoise... Réussir ce concours n'est pas une fin en soi, le but c'est d'enseigner, et j'ai l'impression que vous occultez complètement ce fait.
- NitaEmpereur
Parménide a écrit:Caspar Goodwood a écrit:Promenade de santé? Tu avais consulté les rapports de concours et leurs statistiques? Tu étais au courant qu'il s'agissait d'un concours et pas d'un examen?
Mais bien sur !
Mais comme je l'ai raconté, mon relatif succès aux épreuves de philo de l'ENS (8 et 13) m'a fait croire que je n'avais plus de problèmes de méthode, du moins en dissertation. Et puis j'ai complètement sous-estimé la difficulté de l'exercice d'explication de texte (ce n'est que dans un récent rapport de jury que j'ai vu ce dernier mentionner à quel point cet exercice était exigeant !), car j'en avais fait une ou deux en prépa à l'oral, et je m'en étais bien tiré, mais je me suis rendu compte qu'à l'écrit c'était différent.
Bref , au fur et à mesure de mes échecs aux capes je me suis rendu compte que :
1) Je n'avais finalement pas réglé mes problèmes de méthode en dissertation.
2) Encore moins avec l'explication de texte.
3) Que j'étais incapable de gérer le "programme" dans sa dimension quantitative.
C'est ça aussi qui est très dur, je dois constamment jouer sur plusieurs tableaux : qualité et quantité des connaissances, quantité des entraînements réguliers, diversifier mes références philosophiques, me concentrer sur des classiques...
Et puis il faut dire aussi que je suis... l'anarchie organisée en matière de méthode de travail... Enfin ça va mieux là, mais c'est pas encore l'idéal !
Mais les autres aussi !
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A clean house is a sign of a broken computer.
- RendashBon génie
Si, justement, j'ai lu...j'avais compris qu'il n'avait lu aucune oeuvre complète, seulement des anthologies, et qu'il avait tenté d'apprendre par cœur un manuel de terminale. C'est ça que je ne comprends pas : OK, un échec, voire deux, avec cette "préparation", pourquoi pas. Le temps d'ouvrir les yeux, quoi.
...mais six? La première fois, on croit à l'accident, la deuxième fois à la limite, on espère un coup de pas d'bol...et la troisième fois on se pied-au-cute, non? On change de façon d'aborder le problème?
Là, il crie au complot (tout en reconnaissant des failles éventuelles de son côté, hein, j'ai lu ce passage là aussi).
Mais le "cétocilafautozot' ", c'est moyen convaincant, je trouve.
'fin ça cloche, quoi
...mais six? La première fois, on croit à l'accident, la deuxième fois à la limite, on espère un coup de pas d'bol...et la troisième fois on se pied-au-cute, non? On change de façon d'aborder le problème?
Là, il crie au complot (tout en reconnaissant des failles éventuelles de son côté, hein, j'ai lu ce passage là aussi).
Mais le "cétocilafautozot' ", c'est moyen convaincant, je trouve.
'fin ça cloche, quoi
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- JPhMMDemi-dieu
C'est le point qui me semble le plus ahurissant. J'en connais qui, ne préparant ni concours ni examen d'études de philosophie ont lu les intégrales* des quatre philosophes cités par supersoso par simple goût de la discipline, et certains livres plusieurs fois...ProvençalLeGaulois a écrit:vous ne vous êtes pas dit qu'il faudrait lire des œuvres intégrales ? Que vous n'ayez même pas eu envie d'en lire devrait quand même vous éclairer sur votre intérêt pour la philosophie !
*sauf Histoire des Animaux, je le concède honteusement...
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- RobinFidèle du forum
Rendash a écrit:Robin a écrit:
Je suis d'accord avec vous qu'il y a un problème : la fac ne prépare pas correctement aux concours, c'est vrai. Mais c'est quelque chose que l'on constate très vite. Et si on veut vraiment enseigner, donc passer les concours, il faut s'y préparer soi-même, autrement.
C'est spécifique à la philo? Ou de manière générale?
Si c'est général, la mienne est une exception alors, notre préparation a été exceptionnelle, grâce à un investissement monstrueux des enseignants, et tout particulièrement des deux directeurs du Master MEEF.
Si c'est spécifique à la philo... je n'ai rien dit
Je ne peux parler que de la philo., à la Sorbonne, en 78. Comme le dit à juste titre PauvreYorick, mon expérience date un peu
Je me souviens très bien qu'Yvon Belaval nous expliquait que les études de philo ne conduisaient à rien. Il n'avait pas tort. La philo, c'est une sorte de passion un peu bizarre, mais qu'on ne peut pas monnayer, surtout dans le monde actuel, bien que la lecture des grands textes et la fréquentation de grandes pointures comme Conche, Janké, Belaval, Lévinas, Ricoeur, Dufresne... m'ait énormément apporté et beaucoup "servi" dans la vie.
C'est une des raisons pour lesquelles j'ai finalement opté pour le CAPES de Lettres modernes, mais j'ai enseigné la Philo (et le Français) avec une maîtrise pendant plusieurs années en tant que Maître aux. dans des établissements privés sous contrat.
- RendashBon génie
Robin a écrit:
Je ne peux parler que de la philo., à la Sorbonne, en 78. Comme le dit à juste titre Yorick, mon expérience date un peu
...c'était pas trop difficile, les dissert' au burin sur des plaques de marbre?
- supersosoSage
Nita a écrit:Parménide a écrit:Caspar Goodwood a écrit:Promenade de santé? Tu avais consulté les rapports de concours et leurs statistiques? Tu étais au courant qu'il s'agissait d'un concours et pas d'un examen?
Mais bien sur !
Mais comme je l'ai raconté, mon relatif succès aux épreuves de philo de l'ENS (8 et 13) m'a fait croire que je n'avais plus de problèmes de méthode, du moins en dissertation. Et puis j'ai complètement sous-estimé la difficulté de l'exercice d'explication de texte (ce n'est que dans un récent rapport de jury que j'ai vu ce dernier mentionner à quel point cet exercice était exigeant !), car j'en avais fait une ou deux en prépa à l'oral, et je m'en étais bien tiré, mais je me suis rendu compte qu'à l'écrit c'était différent.
Bref , au fur et à mesure de mes échecs aux capes je me suis rendu compte que :
1) Je n'avais finalement pas réglé mes problèmes de méthode en dissertation.
2) Encore moins avec l'explication de texte.
3) Que j'étais incapable de gérer le "programme" dans sa dimension quantitative.
C'est ça aussi qui est très dur, je dois constamment jouer sur plusieurs tableaux : qualité et quantité des connaissances, quantité des entraînements réguliers, diversifier mes références philosophiques, me concentrer sur des classiques...
Et puis il faut dire aussi que je suis... l'anarchie organisée en matière de méthode de travail... Enfin ça va mieux là, mais c'est pas encore l'idéal !
Mais les autres aussi !
Mais non, t'as rien compris : les autres ils ont des aides gratuites !
- ParménideNeoprof expérimenté
Bref, je préfère renoncer à argumenter, c'est trop épuisant, et vaut mieux que je m'economise pour la suite de mon travail. En fait ma situation est trop complexe pour être exposée clairement ici.
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"Les paroles essentielles sont des actions qui se produisent en ces instants décisifs où l'éclair d'une illumination splendide traverse la totalité d'un monde", Martin Heidegger, "Schelling", (semestre d'été 1936)
"Et d'une brûlure d'ail naitra peut-être un soir l'étincelle du génie", Saint-John Perse, "Sécheresse" (1974)
"Il avait dit cela d'un air fatigué et royal", Franz-Olivier Giesbert, "Le vieil homme et la mort" (1996)
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https://www.babelio.com/monprofil.php
- RobinFidèle du forum
Rendash a écrit:Robin a écrit:
Je ne peux parler que de la philo., à la Sorbonne, en 78. Comme le dit à juste titre Yorick, mon expérience date un peu
...c'était pas trop difficile, les dissert' au burin sur des plaques de marbre?
Jeune chenapan !
- User17706Bon génie
Le burin oblige à aller à l'essentiel.
- SphinxProphète
Non mais c'est juste que tu ne peux pas dire avoir bien travaillé en ayant fait 7-8 devoirs d'entraînement et lu aucun livre, c'est tout. Travailler, en philo comme en lettres, c'est lire des livres (et comprendre ce qu'ils racontent, mais c'est une autre question). Je n'ai jamais plus fait de philo après les oraux d'Ulm et j'ai quand même lu plus de bouquins en entier que toi.
Par ailleurs, je me demande encore pourquoi tu présentes comme de bons résultats tes 8 et 13 obtenus à l'ENS. 13, passe encore, mais 8, ce n'est pas bon
Par ailleurs, je me demande encore pourquoi tu présentes comme de bons résultats tes 8 et 13 obtenus à l'ENS. 13, passe encore, mais 8, ce n'est pas bon
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- supersosoSage
PauvreYorick a écrit:Le burin oblige à aller à l'essentiel.
Et l'essentiel est dans LACTEL (bon ok, je sors )
- JPhMMDemi-dieu
Vésicolanternomanie.Sphinx a écrit:Par ailleurs, je me demande encore pourquoi tu présentes comme de bons résultats tes 8 et 13 obtenus à l'ENS. 13, passe encore, mais 8, ce n'est pas bon
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- RobinFidèle du forum
PauvreYorick a écrit:Le burin oblige à aller à l'essentiel.
C'est vrai, mais de mon temps, le marbre et le burin, c'était dépassé, on avait le calame et le parchemin. J'vais finir par me vexer à la fin !
- RendashBon génie
Robin a écrit:
Jeune chenapan !
Sphinx a écrit:Travailler, en philo comme en lettres, c'est lire des livres (et comprendre ce qu'ils racontent, mais c'est une autre question)
A la limite...une année de préparation, c'est vraiment très court, donc il vaut parfois mieux lire des articles que des livres. Plus courts, ils permettent d'aborder beaucoup plus de sujets. En tout cas c'est valable pour l'histoire-géo Connaître l'épistémologie de sa discipline aide évidemment beaucoup à choisir lesdits articles.
S'il aimait réellement la philo, il aurait déjà lu bon nombre d’œuvres, pour le simple plaisir. Bord d'ailes, je me suis fadé Le Normal et le Pathologique cet été, juste histoire de voir si j'y entravais davantage de choses qu'à l'époque où on me l'avait imposé! Alors un amoureux de la philo ...(un philomane? ô_0 )
Parménide, que ta situation soit complexe, je n'en doute pas ^^ Elle l'est pour chacun d'entre nous. On a tous passé (en majorité, en tout cas) une année de prépa concours difficile. Beaucoup travaillaient en parallèle pour gagner leur croûte. Beaucoup en ont cagué des bulles carrées, comme on dit en Savonnie. Mais je ne comprends toujours pas pourquoi, en six ans, tu n'as réussi à lire un maximum de choses, pour régler au moins le problème des connaissances.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- HélipsProphète
à défaut d'être philomane, il pourrait au moins être philophile !
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- SphinxProphète
JPhMM a écrit:Vésicolanternomanie.Sphinx a écrit:Par ailleurs, je me demande encore pourquoi tu présentes comme de bons résultats tes 8 et 13 obtenus à l'ENS. 13, passe encore, mais 8, ce n'est pas bon
C'est-à-dire, qu'il les prend, ou veut nous les faire prendre, ou les deux à la fois... ?
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- JPhMMDemi-dieu
J'ai l'impression de lire quelqu'un qui serait prisonnier d'une stase inchoative.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ClodoaldNeoprof expérimenté
JPhMM a écrit:une stase inchoative.
:Gné:
- LizdarcyFidèle du forum
Oh, de suite les gros mots!
- NitaEmpereur
crntl a écrit:− GRAMM. Qui indique le déclenchement ou la progression graduelle d'une action. Aspect, suffixe, verbe inchoatif; conjugaison, valeur inchoative. La syllabe intercalaire « -iss- » provient du latin « -esc- » qui se trouve dans des verbes inchoatifs, comme « floresco », devenu « florisco : je fleuris » (Grev.1969).
− Emploi subst.
♦ Verbe inchoatif. Des inchoatifs (Ac.1835-1935).
♦ Aspect inchoatif. L'inchoatif est traduit en français par un préfixe (en-) dans s'endormir (...) ou par un suffixe dans verdir (...) ou encore par un auxiliaire modal (commencer à suivi de l'infinitif) (Ling.1972).
B. − PHILOS. Qui est à ses débuts. L'inachèvement de la phénoménologie et son allure inchoative ne sont pas le signe d'un échec (Merleau-Ponty, Phénoménol. perception,1945, p. XVI).Je suis une conscience inchoative qui n'a point encore adopté sa sphère de responsabilité (Ricœur, Philos. volonté,1949, p. 134).
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- JPhMMDemi-dieu
De même que l'endormissement est l'instant limite entre l'état d'éveil et l'état de sommeil... qu'il serait suspendu dans l'instant limite entre le moment où l'on n'a pas encore commencé une action, et le moment où on l'a commencée, si vous préférez.
Mon usage du mot est peut-être impropre, pardon, je ne sais pas comment dire autrement cet état suspendu.
PS : merci Nita, oui voilà, un terme de grammairien il me semble en effet.
Mon usage du mot est peut-être impropre, pardon, je ne sais pas comment dire autrement cet état suspendu.
PS : merci Nita, oui voilà, un terme de grammairien il me semble en effet.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User5899Demi-dieu
Et voilà. Je viens de réveiller mon mari et de faire peur au chat en explosant de rireParménide a écrit:Bon, j'ai du nouveau. Peut être le début de la libération :
1) J'ai trouvé quelqu'un de compétent pouvant corriger mes entrainements.
Seul ombre au tableau : je vais devoir rémunérer le correcteur à chaque fois, mais tant pis, je n'ai pas le choix.
2) Conséquence de cela : je ne sais pas trop quel mode de paiement je vais adopter. Je tiens absolument à éviter le chèque pour des raisons personnelles.
Donc ma question est la suivante : est ce OUI ou NON autorisé d'envoyer des espèces dans un courrier. Quelqu'un d'entre vous l'a t il déjà fait? Je cherche partout l'information depuis tout à l'heure, je n'entends que des choses contradictoires. Certains parlent d'une amende en cas d'envoi d'espèces
- User5899Demi-dieu
Parménide, mon petit, vous êtes-vous demandé s'il est légal d'envoyer de l'aluminium par courrier ? Et si ça allait faire exploser les scanners de billets, hein ?Parménide a écrit:Non mais même , glissé dans une copie, c'est pas évident que ce soit détecté. Sur internet ils parlent de papier-bulles ou de feuilles d'aluminium. Mais je n'ai pas assez d'informations pour pouvoir prendre ce risque...
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Je m'étonne moi-même en me relisant. L'alcool, c'est terribleClint a écrit:Pour les amateurs de surréalisme qui auraient raté ce fil (dérivé d'un autre...) pourtant récent :Caspar Goodwood a écrit:Un ancien membre?
https://www.neoprofs.org/t77830-debat-sur-l-enseignement-et-sur-les-competences-des-candidats-au-capes
Avec un Cripure au meilleur de sa forme
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Caspar Goodwood a écrit:Même le Capes d'anglais doit être bossé, c'est te dire! :lol:
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Hé, ami Parménide...
- Spoiler:
- A R S L O N G A, V I T A B R E V I SF E S T I N A L E N T E, S E D F E S T I N A
- Je retente le capes de philosophie pour la sixième fois.
- Philosophie : Pourquoi mes copies de Capes ne m'ont-elles pas valu une bonne note ? Sénèque (capes 2012) et "L'art est-il un langage ?" (capes 2014)
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