- Elle aimeExpert
Provence a écrit:Lebeotien a écrit:
Justement, Je rebondis directement sur ton exemple Ciara, je me demande s'il n'y a pas des cas dans lesquels écrire "au temps pour moi" dans un CV fait pédant (!)
Mais qu'est-ce que ça viendrait faire dans un CV?
C'est moi qui ai grossi le trait, Provence.
Bien entendu que je n'entendais pas cela dans un CV, mais cet "au temps pour moi" est tant revenu dans la discussion que je me suis mal exprimée.
Edit : le titre du topic me choque. Je trouve cela blessant pour les candidats.
- User5899Demi-dieu
Je ne sais pas. Quand je surveille les maths au Bac, je suis surpris de voir des symboles dès la première ligne.Fafnir a écrit:Et à votre avis, Cripure, qu'en est-il aujourd'hui, du contenu du cours de mathématiques et des aptitudes autres que mathématiques qui y sont travaillées ?Cripure a écrit:Et quand j'étais élève, on écrivait énormément en maths, mais vraiment beaucoup beaucoup, il fallait tout expliquer dans le détail. On apprenait énormément, à côté des mathématiques stricto sensu.Ruthven a écrit:
C'est sûr que ce n'est pas gentil. Mes collègues les plus curieux de la philo. sont mes collègues de maths, c'est avec eux que j'échange le plus souvent sur ma discipline .
- CathEnchanteur
Ce que je retiens de la lecture de ce fil, c'est qu'il faut de toute urgence que j'aille vérifier la conjugaison au subjonctif et les règles de concordance des temps.
Bizarrement, d'un seul coup, je ne sais plus du tout comment on fait.
Bizarrement, d'un seul coup, je ne sais plus du tout comment on fait.
- User5899Demi-dieu
Et c'est vrai que sans l'invention d'un vocable inepte, personne n'aurait réussi ce tour de forceVivivava a écrit:C'est surtout pour éviter que les collégiens ne confondent déterminant et adjectif qualificatif.Lebeotien a écrit:Autre exemple, j'ai lu dans un rapport de jury que le déterminant possessif était devenu déterminant car il ne pouvait plus être adjectif, vu que l'on peut écrire en français "un mien ami".
- Elle aimeExpert
Cath a écrit:Ce que je retiens de la lecture de ce fil, c'est qu'il faut de toute urgence que j'aille vérifier la conjugaison au subjonctif et les règles de concordance des temps.
Bizarrement, d'un seul coup, je ne sais plus du tout comment on fait.
Toi aussi ?
M'sieur Cripure,
On peut travailler sur le subjonctif ?
- User5899Demi-dieu
Mais ouiCiara a écrit:Cath a écrit:Ce que je retiens de la lecture de ce fil, c'est qu'il faut de toute urgence que j'aille vérifier la conjugaison au subjonctif et les règles de concordance des temps.
Bizarrement, d'un seul coup, je ne sais plus du tout comment on fait.
Toi aussi ?
M'sieur Cripure,
On peut travailler sur le subjonctif ?
- Spoiler:
- CincinnataHabitué du forum
Je ne comprends pas grand chose à ce fil... Je ne vois pas le rapport entre vouloir enseigner à la fac et se torturer en se demandant si telle ou telle expression est démodée et comment il va falloir l'apprendre aux élèves.
_________________
" Je ne promettrai donc pas le plaisir, mais je donnerai comme fin la difficulté vaincue." Alain
" Ce n'est pas le mur que je trouerai avec mon front, si, réellement, je n'ai pas assez de force pour le trouer, mais le seul fait qu'il soit un mur de pierre et que je sois trop faible n'est pas une raison pour que je me soumette !" Les Carnets du sous-sol, Dostoïevski
Ceux qui pensent que c'est impossible sont priés de ne pas déranger ceux qui essaient.
- Elle aimeExpert
Cripure a écrit:Mais ouiCiara a écrit:Cath a écrit:Ce que je retiens de la lecture de ce fil, c'est qu'il faut de toute urgence que j'aille vérifier la conjugaison au subjonctif et les règles de concordance des temps.
Bizarrement, d'un seul coup, je ne sais plus du tout comment on fait.
Toi aussi ?
M'sieur Cripure,
On peut travailler sur le subjonctif ?
- Spoiler:
J'ai une préférence pour le Bled.
- henrietteMédiateur
Je ne suis pas sûre qu'il y en ait un.Cincinnata a écrit:Je ne comprends pas grand chose à ce fil... Je ne vois pas le rapport entre vouloir enseigner à la fac et se torturer en se demandant si telle ou telle expression est démodée et comment il va falloir l'apprendre aux élèves.
En fait, je crois que Lebeotien n'est pas du tout sûr de vouloir/pouvoir enseigner les Lettres en collège ou lycée, et du coup voit comme une issue possible le supérieur. Il expose donc ses doutes quant à l’enseignement de la langue ou de la littérature dans le secondaire, et ses aspirations (la fac comme lieu plus propice pour lui).
- User5899Demi-dieu
Oh, n'exagérons rienhenriette a écrit:je crois que Lebeotien n'est pas du tout sûr de vouloir/pouvoir enseigner les Lettres
- trompettemarineMonarque
pff...Vivivava a écrit:
C'est surtout pour éviter que les collégiens ne confondent déterminant et adjectif qualificatif.
vous dire ce que je pense du mot "déterminant"... et pourtant je suis agrégée de grammaire (option B : ouf !) [Je fuis donc avec une grande lâcheté les questions de grammaire moderne sur le forum. (mais je les lis)]
Dans un premier temps, il faut distinguer la linguistique de la grammaire, qui, pour le faire simple voire simpliste, transforme en règle ce qui est loi.
Ensuite, rien n'est simple en grammaire et ce n'est pas un mal que de dire aux élèves qu'effectivement la grammaire n'est pas évidente. C'est pourquoi, elle nécessite répétition, réflexion et beaucoup d'exercices.
Enfin, la pire erreur en grammaire est d'avoir pendant longtemps abandonné l'idée qu'il ne fallait pas faire de la grammaire pour de la grammaire. Or, comprendre que la langue est un système qui permet de créer du sens est primordial. Comprendre qu'elle est un système qui évolue aussi.
Comprendre que la grammaire fait elle-même partie d'une histoire l'est tout autant (pour le professeur sur ce dernier point.)
Je pense et repense toujours qu'il faudrait faire apprendre par cœur du début jusqu'à la fin les préliminaires des Eléments de Phonétique et de morphologie du latin de Pierre Monteil, qui sont une bible. (Le reste de l'ouvrage d'ailleurs aussi mais pour les latinistes férus de linguistique.)
- InvitéInvité
Ce fil est proprement hallucinant et le premier fil duquel il découle l'est tout autant. Je suis très choquée des propos de futurs ou fraîchement certifiés, dont je suis. Enseigner sans connaître ou très superficiellement, les classiques, songer à s'en passer et aller directement vers d'autres biais, c'est tout bonnement impossible selon moi. Se passer d'une excellente connaissance de la grammaire et discuter de la norme, des exceptions, c'est prendre le problème à l'envers. Et oui, les anciens qui ont réagi sur ce fil ont cent fois raison, d’abord parce qu'ils ont l'expérience pour eux et aussi parce qu’ils ont souvent reçu une meilleure formation que nous. Qu'on parle des ravages du collège unique, de la diminution des heures de français, des lubies pédagogiques, mais qu’on s’en prenne aux collègues plus expérimentés pour ensuite clamer son amour du français en citant trois lignes de Molière et compagnie, tout en avouant sans honte qu'on n'a pas lu Balzac, Flaubert ou autre, et qu'on s'en porte très bien... Je m'arrête là mais je trouve certaines idées développées ici très inquiétantes. Et j'en parle d'autant plus facilement que je sens chaque jour ma douleur d'avoir à rattraper voire acquérir, énormément de connaissances, pas ou mal acquises tout au long de mes études de lettres.
- Elle aimeExpert
henriette a écrit:Je ne suis pas sûre qu'il y en ait un.Cincinnata a écrit:Je ne comprends pas grand chose à ce fil... Je ne vois pas le rapport entre vouloir enseigner à la fac et se torturer en se demandant si telle ou telle expression est démodée et comment il va falloir l'apprendre aux élèves.
En fait, je crois que Lebeotien n'est pas du tout sûr de vouloir/pouvoir enseigner les Lettres en collège ou lycée, et du coup voit comme une issue possible le supérieur. Il expose donc ses doutes quant à l’enseignement de la langue ou de la littérature dans le secondaire, et ses aspirations (la fac comme lieu plus propice pour lui).
Tant mieux pour lui. Je me sens pour ma part incapable de passer l'agrégation (intellectuellement et physiquement) et donc de postuler en fac. Ce n'est pas la thèse qui me fait peur, pourtant.
- User5899Demi-dieu
Disons, ma chère, que quand je vous lis et que je vois sous votre avatar que vous êtes agrégative, je n'éprouve pas le sentiment d'être sur une autre planètecorailc a écrit:Ce fil est proprement hallucinant et le premier fil duquel il découle l'est tout autant. Je suis très choquée des propos de futurs ou fraîchement certifiés, dont je suis. Enseigner sans connaître ou très superficiellement, les classiques, songer à s'en passer et aller directement vers d'autres biais, c'est tout bonnement impossible selon moi. Se passer d'une excellente connaissance de la grammaire et discuter de la norme, des exceptions, c'est prendre le problème à l'envers. Et oui, les anciens qui ont réagi sur ce fil ont cent fois raison, d’abord parce qu'ils ont l'expérience pour eux et aussi parce qu’ils souvent reçu une meilleure formation que nous. Qu'on parle des ravages du collège unique, de la diminution des heures de français, des lubies pédagogiques, mais qu’on s’en prenne aux collègues plus expérimentés pour ensuite clamer son amour du français en citant trois lignes de Molière et compagnie, tout en avouant sans honte qu'on n'a pas lu Balzac, Flaubert ou autre, et qu'on s'en porte très bien... Je m'arrête là mais je trouve certaines idées développées ici très inquiétantes. Et j'en parle d'autant plus facilement que je sens chaque jour ma douleur d'avoir à rattraper voire acquérir, énormément de connaissances, pas ou mal acquises tout au long de mes études de lettres.
Vous avez grandement raison. Vous parlez de ce que vous devez apprendre, mais ma génération éprouve déjà chaque jour ce sentiment de n'être pas au point par rapport à la précédente. Lundi soir, j'ai passé une excellente soirée avec Abraxas et Palombella Rossa, de ce forum, et je peux vous dire que je me sentais tout petit dans la conversation...
Courage à vous, vous verrez, ça va marcher. On ne sait pas tout, mais on se donne de bonnes bases et ensuite, il est facile d'évoluer, quoi qu'on puisse penser au départ.
- User5899Demi-dieu
Trompettemarine, votre unique cordeau a fait résonner une bien forte vérité
- CathEnchanteur
Cripure a écrit:Mais ouiCiara a écrit:Cath a écrit:Ce que je retiens de la lecture de ce fil, c'est qu'il faut de toute urgence que j'aille vérifier la conjugaison au subjonctif et les règles de concordance des temps.
Bizarrement, d'un seul coup, je ne sais plus du tout comment on fait.
Toi aussi ?
M'sieur Cripure,
On peut travailler sur le subjonctif ?
- Spoiler:
Tss tss !
Mon Bescherelle est bien plus ancien...On y trouve les quatre temps du subjonctif.
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
corailc a écrit:Et j'en parle d'autant plus facilement que je sens chaque jour ma douleur d'avoir à rattraper voire acquérir, énormément de connaissances, pas ou mal acquises tout au long de mes études de lettres.
Itou.
- Elle aimeExpert
C'est hélas un sentiment que nous sommes nombreux à partager.
_________________
"Moi, je crois que la grammaire, c’est une voie d’accès à la beauté. Quand on parle, quand on lit ou quand on écrit, on sent bien si on a fait une belle phrase ou si on est en train d’en lire une. On est capable de reconnaître une belle tournure ou un beau style. Mais quand on fait de la grammaire, on a accès à une autre dimension de la beauté de la langue. Faire de la grammaire, c’est la décortiquer, regarder comment elle est faite, la voir toute nue, en quelque sorte. Et c’est là que c’est merveilleux : parce qu’on se dit : « Comme c’est bien fait, qu’est-ce que c’est bien fichu ! », « Comme c’est solide, ingénieux, subtil ! ». Moi, rien que savoir qu’il y a plusieurs natures de mots et qu’on doit les connaître pour en conclure à leurs usages et à leurs compatibilités possibles, ça me transporte."
- User5899Demi-dieu
On a dû avoir le même...Cath a écrit:Tss tss !Cripure a écrit:
- Spoiler:
Mon Bescherelle est bien plus ancien...On y trouve les quatre temps du subjonctif.
LUI
- Elle aimeExpert
N'oubliez pas le cinquième temps. Le "futur du subjonctif" (dans une copie de brevet).
_________________
"Moi, je crois que la grammaire, c’est une voie d’accès à la beauté. Quand on parle, quand on lit ou quand on écrit, on sent bien si on a fait une belle phrase ou si on est en train d’en lire une. On est capable de reconnaître une belle tournure ou un beau style. Mais quand on fait de la grammaire, on a accès à une autre dimension de la beauté de la langue. Faire de la grammaire, c’est la décortiquer, regarder comment elle est faite, la voir toute nue, en quelque sorte. Et c’est là que c’est merveilleux : parce qu’on se dit : « Comme c’est bien fait, qu’est-ce que c’est bien fichu ! », « Comme c’est solide, ingénieux, subtil ! ». Moi, rien que savoir qu’il y a plusieurs natures de mots et qu’on doit les connaître pour en conclure à leurs usages et à leurs compatibilités possibles, ça me transporte."
- LilypimsGrand sage
Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:corailc a écrit:Et j'en parle d'autant plus facilement que je sens chaque jour ma douleur d'avoir à rattraper voire acquérir, énormément de connaissances, pas ou mal acquises tout au long de mes études de lettres.
Itou.
Je vous rejoins.
_________________
...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- henrietteMédiateur
On en est tous là, je pense. Mais on ne s'y résigne pas, donc on avance, même si je doute qu'on puisse jamais penser avoir achevé le chemin - et tant mieux.
- CathEnchanteur
Cripure a écrit:On a dû avoir le même...Cath a écrit:Tss tss !Cripure a écrit:
- Spoiler:
Mon Bescherelle est bien plus ancien...On y trouve les quatre temps du subjonctif.
LUI
C'est lui !
- NitaEmpereur
Cripure a écrit:On a dû avoir le même...Cath a écrit:Tss tss !Cripure a écrit:
- Spoiler:
Mon Bescherelle est bien plus ancien...On y trouve les quatre temps du subjonctif.
LUI
Pfff... une bande de passéistes, voilà ce que vous êtes.
Moi, j'aime beaucoup ça : http://www.conjugaison.com/, les TICE, y a que ça de vrai.
En plus, quand je fais copier des conjugaisons à des zapprenants réfractaires, ils ne peuvent pas me dire qu'ils n'ont pas de bescherelle, na.
_________________
A clean house is a sign of a broken computer.
- InvitéInvité
@Cripure: Vos mots me font plaisir!
Du plus loin que l'on parte, je suis persuadée qu'avec du travail, régulier, de l'effort, on progresse. C'est en fait le manque d'humilité et l’affirmation que les savoirs seraient obsolètes, se modifieraient d'une génération à une autre qui m'effraie. Heureusement, de jeunes collègues qui interviennent régulièrement ici nous rappellent, souvent par la qualité de leurs interventions, qu’une formation de qualité, axée d'abord et surtout sur la discipline de la matière que l'on va enseigner, est essentielle. Et qu'un concours exigeant est le mode de sélection le plus juste pour devenir professeur. J'arrête là!
Du plus loin que l'on parte, je suis persuadée qu'avec du travail, régulier, de l'effort, on progresse. C'est en fait le manque d'humilité et l’affirmation que les savoirs seraient obsolètes, se modifieraient d'une génération à une autre qui m'effraie. Heureusement, de jeunes collègues qui interviennent régulièrement ici nous rappellent, souvent par la qualité de leurs interventions, qu’une formation de qualité, axée d'abord et surtout sur la discipline de la matière que l'on va enseigner, est essentielle. Et qu'un concours exigeant est le mode de sélection le plus juste pour devenir professeur. J'arrête là!
- BlackMailExpert
corailc a écrit:Ce fil est proprement hallucinant et le premier fil duquel il découle l'est tout autant. Je suis très choquée des propos de futurs ou fraîchement certifiés, dont je suis. Enseigner sans connaître ou très superficiellement, les classiques, songer à s'en passer et aller directement vers d'autres biais, c'est tout bonnement impossible selon moi. Se passer d'une excellente connaissance de la grammaire et discuter de la norme, des exceptions, c'est prendre le problème à l'envers. Et oui, les anciens qui ont réagi sur ce fil ont cent fois raison, d’abord parce qu'ils ont l'expérience pour eux et aussi parce qu’ils souvent reçu une meilleure formation que nous. Qu'on parle des ravages du collège unique, de la diminution des heures de français, des lubies pédagogiques, mais qu’on s’en prenne aux collègues plus expérimentés pour ensuite clamer son amour du français en citant trois lignes de Molière et compagnie, tout en avouant sans honte qu'on n'a pas lu Balzac, Flaubert ou autre, et qu'on s'en porte très bien... Je m'arrête là mais je trouve certaines idées développées ici très inquiétantes. Et j'en parle d'autant plus facilement que je sens chaque jour ma douleur d'avoir à rattraper voire acquérir, énormément de connaissances, pas ou mal acquises tout au long de mes études de lettres.
Tout est dit.
Merci à tous les professeurs expérimentés pour vos conseils, vos remarques et vos critiques envers vos futurs ou jeunes collègues. De nombreux débats sont très enrichissants pour nous, je pense par exemple aux problèmes engendrés par le traitement du conditionnel comme un temps: certains d'entre nous, dont moi, avons du mal à remettre en doute ce qu'on nous apprend, sûrement parce que nos bases de grammaire ne sont pas assez solides. Personnellement, les interventions des "anciens" sur le conditionnel m'ont permis de réfléchir et de remettre en question la sacro-sainte vérité des programmes.
Bref, nous savons tous que le niveau a énormément baissé durant ces dernières décennies, et il me semble important, voire primordial, d'écouter ceux qui ont plus de connaissances et de travailler pour acquérir des savoirs solides. Sans ces connaissances, notre enseignement ne sera que vacuité... et dans le meilleur des cas un bel emballage, mais vide.
Edit: Pour ce qui est du titre du sujet, ne nous voilons pas la face, la majorité des candidats au CAPES n'ont pas le même niveau que leurs prédécesseurs... Je pense à une personne de ma promotion qui est admissible alors qu'elle fait plein de fautes.
Ah, et une question qui me vient en survolant les pages: pourquoi diable devrions-nous abandonner la dénomination "adjectif" pour les adjectifs possessifs et démonstratifs ? :shock:
_________________
- Spoiler:
I'm watching you.
- Philosophie : Pourquoi mes copies de Capes ne m'ont-elles pas valu une bonne note ? Sénèque (capes 2012) et "L'art est-il un langage ?" (capes 2014)
- Capes anglais externe : questions Admissibilité/admission en cas de passage du capes 2014 exceptionnel et du capes 2014.
- Qui n'a pas son capes ? Demandez votre capes ! Il est frais mon capes !
- CAPES philo tout en ayant déjà un CAPES dans une autre matière
- Faire une pause après le CAPES : les conditions pour garder son CAPES
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum