- coindeparadisGuide spirituel
Et j'ajouterai qu'avoir réussi le concours ne fait pas le bon prof ! J'ai eu des inspections très positives (privé, public, primaire et secondaire), on pourrait donc dire que je ne suis pas une mauvaise prof. Je m’apprête à passer les concours , et m'entraîne donc à dire et écrire n'importe quoi pour le réussir.
- AlexlaféeNiveau 6
Il faut aussi dire que le privé se donne les moyens de recruter des remplaçants. Ceci tient à de l'organisation-même de l'enseignement privé sous contrat. C'est la tutelle diocésaine de chaque diocèse qui se dote d'une base de données de suppléants inscrits, et dont la disponibilité est mise à jour quasiment au jour le jour.
Depuis quelques années, pour être remplaçant dans le privé il faut être inscrit en master ou au CAFEP (CAPES privé externe ou CAER interne) et effectuer un stage de 2 à 3 semaines . Une fois la candidature acceptée, il faut passer devant une commission de chefs d'établissement car la candidature doit être motivée (le candidat aussi...) dans le but d'obtenir un pré-accord collégial puis une fois le concours obtenu, il faut de nouveau effectuer une formation et obtenir ainsi l'accord collégial. Seul l'accord collégial garantit une nomination sur un poste. Si on a le concours mais pas cet accord, on ne peut pas (en théorie être nommé sur un poste) .D'ailleurs face à ce protocole assez lourd, les candidatures aux suppléances fléchissent ce qui devient problématique.
Sur la question de la compétence d'un enseignant avec ou sans concours; un éminent agrégé peut être un excellent prof de fac et un bien piètre prof de collège; tout simplement parce qu’enseigner en collège et lycée requiert de nombreuses compétences et pas uniquement des connaissances. Ceci explique aussi certaines démission de collègues brillants avant l'issue du stage....
Depuis quelques années, pour être remplaçant dans le privé il faut être inscrit en master ou au CAFEP (CAPES privé externe ou CAER interne) et effectuer un stage de 2 à 3 semaines . Une fois la candidature acceptée, il faut passer devant une commission de chefs d'établissement car la candidature doit être motivée (le candidat aussi...) dans le but d'obtenir un pré-accord collégial puis une fois le concours obtenu, il faut de nouveau effectuer une formation et obtenir ainsi l'accord collégial. Seul l'accord collégial garantit une nomination sur un poste. Si on a le concours mais pas cet accord, on ne peut pas (en théorie être nommé sur un poste) .D'ailleurs face à ce protocole assez lourd, les candidatures aux suppléances fléchissent ce qui devient problématique.
Sur la question de la compétence d'un enseignant avec ou sans concours; un éminent agrégé peut être un excellent prof de fac et un bien piètre prof de collège; tout simplement parce qu’enseigner en collège et lycée requiert de nombreuses compétences et pas uniquement des connaissances. Ceci explique aussi certaines démission de collègues brillants avant l'issue du stage....
- coindeparadisGuide spirituel
Merci pour ce résumé Alexlafée.
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- Ingeborg B.Esprit éclairé
C'est faux. Ma nièce a été recrutée en Lettres l'an dernier dans le diocèse de Rennes. Elle a une licence de Lettres et un bts édition. Peut-être que son expérience professionnelle dans le monde de l'édition a joué. Elle a été inspectée et est désormais dans le circuit avec un excellent rapport d'inspection. Elle compte désormais suivre un Master pour ensuite passer les concours.Alexlafée a écrit:Il faut aussi dire que le privé se donne les moyens de recruter des remplaçants. Ceci tient à de l'organisation-même de l'enseignement privé sous contrat. C'est la tutelle diocésaine de chaque diocèse qui se dote d'une base de données de suppléants inscrits, et dont la disponibilité est mise à jour quasiment au jour le jour.
Depuis quelques années, pour être remplaçant dans le privé il faut être inscrit en master ou au CAFEP (CAPES privé externe ou CAER interne) et effectuer un stage de 2 à 3 semaines . Une fois la candidature acceptée, il faut passer devant une commission de chefs d'établissement car la candidature doit être motivée (le candidat aussi...) dans le but d'obtenir un pré-accord collégial puis une fois le concours obtenu, il faut de nouveau effectuer une formation et obtenir ainsi l'accord collégial. Seul l'accord collégial garantit une nomination sur un poste. Si on a le concours mais pas cet accord, on ne peut pas (en théorie être nommé sur un poste) .D'ailleurs face à ce protocole assez lourd, les candidatures aux suppléances fléchissent ce qui devient problématique.
Sur la question de la compétence d'un enseignant avec ou sans concours; un éminent agrégé peut être un excellent prof de fac et un bien piètre prof de collège; tout simplement parce qu’enseigner en collège et lycée requiert de nombreuses compétences et pas uniquement des connaissances. Ceci explique aussi certaines démission de collègues brillants avant l'issue du stage....
- coindeparadisGuide spirituel
Il y a toujours des exceptions...
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- AlexlaféeNiveau 6
Ingeborg,
Ne soyez pas si péremptoire s'il vous plaît et relisez mon message.
la lourdeur de ce protocole ET la pénurie de vocation entraînent une baisse des candidature à ces suppléances. Par conséquent, il arrive effectivement que certains diocèses peu pourvus , et dans l'urgence , recrutent rapidement un candidat de cette façon.
Toutefois, votre nièce devra passer son pré-accord collégial ainsi que l'accord, une fois le concours privé obtenu.
Ne soyez pas si péremptoire s'il vous plaît et relisez mon message.
la lourdeur de ce protocole ET la pénurie de vocation entraînent une baisse des candidature à ces suppléances. Par conséquent, il arrive effectivement que certains diocèses peu pourvus , et dans l'urgence , recrutent rapidement un candidat de cette façon.
Toutefois, votre nièce devra passer son pré-accord collégial ainsi que l'accord, une fois le concours privé obtenu.
- Ingeborg B.Esprit éclairé
C'est formidable, la région qui compte le plus d'établissements privés serait une exception :shock:Alexlafée a écrit:Ingeborg,
Ne soyez pas si péremptoire s'il vous plaît et relisez mon message.
la lourdeur de ce protocole ET la pénurie de vocation entraînent une baisse des candidature à ces suppléances. N Par conséquent, il arrive effectivement que certains diocèses peu pourvus , et dans l'urgence , recrutent rapidement un candidat de cette façon.
Toutefois, votre nièce devra passer son pré-accord collégial ainsi que l'accord, une fois le concours privé obtenu.
Vous avez mal lu mon message. Ma niéce a obtenu son accord pré-collégial après sa première année de suppléance. C'est donc possible. Par ailleurs, comme en témoignent mes amis qui enseignent dans le privé en région parisienne, de nombreux suppléants sont recrutés sans les conditions que vous mentionnez. Cela fait beaucoup d'exceptions
De toute façon, je ne comprends pas la nécessité que ressentent certains enseignants du privé de montrer qu'ils sont aussi qualifiés que ceux du public.
Dernière chose, j'ai passé l'âge oû d'autres personnes peuvent s'autoriser à me donner des leçons concernant le ton que j'emploie.
- ValivalouNiveau 6
Sur mes huit années d'enseignement, j'en ai effectué sept en tant que suppléante dans le privé. J'ai effectivement passé le pré-accord mais je n'ai jamais eu de formation ni de stage. Je me suis retrouvée du jour au lendemain devant une classe multi-niveaux sans aide quelconque.
Je ne pense pas qu'il y ait un problème de vocation. Plus le privé fera le choix d'embaucher des personnes au SMIC pour exercer le métier de professeur des écoles, moins il va y avoir de candidats.
Jusqu'à il y a deux ans, on pouvait être titularisée au bout d'un certain nombre d'années d'expérience, suite à une inspection de titularisation. Maintenant, ce n'est plus possible. Si le privé revient sur ce procédé, il aura peut-être de nouveaux candidats. Actuellement, le nombre de postes à pourvoir au CRPE privé est rédhibitoire...
Je ne pense pas qu'il y ait un problème de vocation. Plus le privé fera le choix d'embaucher des personnes au SMIC pour exercer le métier de professeur des écoles, moins il va y avoir de candidats.
Jusqu'à il y a deux ans, on pouvait être titularisée au bout d'un certain nombre d'années d'expérience, suite à une inspection de titularisation. Maintenant, ce n'est plus possible. Si le privé revient sur ce procédé, il aura peut-être de nouveaux candidats. Actuellement, le nombre de postes à pourvoir au CRPE privé est rédhibitoire...
- coindeparadisGuide spirituel
Le salaire est le même dans le public, il n'est ni fixé ni payé par le privé. Ce qui est indécent c'est qu'un contractuel du secondaire sera payé 300 euros de plus à niveau d'études identique. Quant à la formation elle est variable : quasi absente dans certains diocèses, elle peut être importante voire envahissante dans d'autres. J'ai consulté le nombre de poste au CRPE interne privé, il est tellement bas qu'il doit en dissuader plus d'un.
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- AlexlaféeNiveau 6
Ingeborg , la politesse et le respect s'apprennent à tout âge.
En ce qui concerne la titularisation par ancienneté au bout de deux ans, c'est méconnaître les textes. Celui des Accords nationaux sur l'emploi qui régit le recrutement des titulaires est disponible sur le net; allez-le lire.
Ensuite, si ce que vous souhaitez entendre c'est que les profs du privé sont recrutés sans savoir lire, sont plus payés que ceux du public et n'ont pas besoin du concours pour être titularisés parce qu' on entre dans le privé comme dans un moulin.... ALLEZ-Y, démissionnez du public et rejoignez le monde merveilleux de l'enseignement privé....
En ce qui concerne la titularisation par ancienneté au bout de deux ans, c'est méconnaître les textes. Celui des Accords nationaux sur l'emploi qui régit le recrutement des titulaires est disponible sur le net; allez-le lire.
Ensuite, si ce que vous souhaitez entendre c'est que les profs du privé sont recrutés sans savoir lire, sont plus payés que ceux du public et n'ont pas besoin du concours pour être titularisés parce qu' on entre dans le privé comme dans un moulin.... ALLEZ-Y, démissionnez du public et rejoignez le monde merveilleux de l'enseignement privé....
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Ai-je écrit cela ? Je signalais uniquement que vos informations étaient erronées. Quant à aller dans le privé, étant agrégée et enseignant dans un excellent lycée, cela ne m'intéresse pas.Alexlafée a écrit:Ingeborg , la politesse et le respect s'apprennent à tout âge.
En ce qui concerne la titularisation par ancienneté au bout de deux ans, c'est méconnaître les textes. Celui des Accords nationaux sur l'emploi qui régit le recrutement des titulaires est disponible sur le net; allez-le lire.
Ensuite, si ce que vous souhaitez entendre c'est que les profs du privé sont recrutés sans savoir lire, sont plus payés que ceux du public et n'ont pas besoin du concours pour être titularisés parce qu' on entre dans le privé comme dans un moulin.... ALLEZ-Y, démissionnez du public et rejoignez le monde merveilleux de l'enseignement privé....
Pour la politesse et le respect, je ne pense pas avoir dépassé les bornes.
- AlexlaféeNiveau 6
Mes informations ne sont pas erronées puisque j'ai été maître auxiliaire dans le privé pendant 5ans; et je suis maintenant titulaire dans le privé je sais donc de quoi je parle . Il se peut que l'accès aux suppléances diffèrent un tant soit peu entre les diocèses mais encore une fois, je m'en tiens à ce qui se pratique en règle générale.
"De toute façon, je ne comprends pas la nécessité que ressentent certains enseignants du privé de montrer qu'ils sont aussi qualifiés que ceux du public"
je ne me suis jamais avancée sur ce sujet, mais vous, enseignante d'un excellent lycée public en ressentez apparemment un besoin impérieux:
"Quant à aller dans le privé, étant agrégée et enseignant dans un excellent lycée, cela ne m'intéresse pas"
Cherchez l'erreur....
"De toute façon, je ne comprends pas la nécessité que ressentent certains enseignants du privé de montrer qu'ils sont aussi qualifiés que ceux du public"
je ne me suis jamais avancée sur ce sujet, mais vous, enseignante d'un excellent lycée public en ressentez apparemment un besoin impérieux:
"Quant à aller dans le privé, étant agrégée et enseignant dans un excellent lycée, cela ne m'intéresse pas"
Cherchez l'erreur....
- ValivalouNiveau 6
Alexlafée a écrit:Ingeborg , la politesse et le respect s'apprennent à tout âge.
En ce qui concerne la titularisation par ancienneté au bout de deux ans, c'est méconnaître les textes. Celui des Accords nationaux sur l'emploi qui régit le recrutement des titulaires est disponible sur le net; allez-le lire.
Ce n'est pas ce que j'ai dit. La titularisation par inspection au bout d'un certain nombre d'années d'ancienneté (six ans minimum) s'est arrêtée il y a deux ans. J'ai deux amies qui ont été titularisée dans le privé de cette manière, et non par le biais du concours.
Pour info: http://www.sundep-paris.org/spip.php?article410
Et je regrette que ce ne soit plus possible car ce serait un motif de motivation supplémentaire pour des candidats à la suppléance, étant donné le petit nombre de postes proposés au concours.
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Vous connaissez l'humour ? Sinon, vos propos sont contradictoires. Vous affirmez que la même procédure existe dans tous les diocèses pour ensuite évoquer des exceptions et enfin, finir par dire que la procédure n'est pas la même dans tous les diocèses. Nous sommes sur un forum de profs et certains sont à la recherche d'informations importantes. La moindre des choses est donc de donner des renseignements en étant sûre de ce que vous avancez. Mes messages n'étaient pas impolis mais visez justement à nuancer ce que vous faisiez passer pour des informations sûres.Alexlafée a écrit:Mes informations ne sont pas erronées puisque j'ai été maître auxiliaire dans le privé pendant 5ans; et je suis maintenant titulaire dans le privé je sais donc de quoi je parle . Il se peut que l'accès aux suppléances diffèrent un tant soit peu entre les diocèses mais encore une fois, je m'en tiens à ce qui se pratique en règle générale.
"De toute façon, je ne comprends pas la nécessité que ressentent certains enseignants du privé de montrer qu'ils sont aussi qualifiés que ceux du public"
je ne me suis jamais avancée sur ce sujet, mais vous, enseignante d'un excellent lycée public en ressentez apparemment un besoin impérieux:
"Quant à aller dans le privé, étant agrégée et enseignant dans un excellent lycée, cela ne m'intéresse pas"
Cherchez l'erreur....
Même avec une certaine expérience, on ne maîtrise pas forcément tout le système.
- incitatusNiveau 2
Il y a 5 ans, je suis arrivée dans le privé grâce à une petite annonce désespérée collée à l'UFR de latin, alors même que j'abandonnais mes études de Lettres classiques, licence en poche, pour une réorientation drastique.
"Cherche enseignant pour 6h de latin par semaine."
J'ai passé l'entretien d'embauche et le pré-accord collégial en étant claire : je ne voulais pas être prof, seulement faire du latin et payer mes études. J'ai tout obtenu, les heures et le pré-accord, suivi de l'accord quelques mois après. Je n'avais pas vraiment eu de formation, mais mes collègues m'ont beaucoup aidée, et mon travail a été apprécié. J'ai beaucoup appris en pratiquant, ce qui finalement est la meilleure des formations.
Résultat : je suis toujours suppléante, et passe les concours cette année ! Finalement, je serai prof ^^
"Cherche enseignant pour 6h de latin par semaine."
J'ai passé l'entretien d'embauche et le pré-accord collégial en étant claire : je ne voulais pas être prof, seulement faire du latin et payer mes études. J'ai tout obtenu, les heures et le pré-accord, suivi de l'accord quelques mois après. Je n'avais pas vraiment eu de formation, mais mes collègues m'ont beaucoup aidée, et mon travail a été apprécié. J'ai beaucoup appris en pratiquant, ce qui finalement est la meilleure des formations.
Résultat : je suis toujours suppléante, et passe les concours cette année ! Finalement, je serai prof ^^
Tout à fait ! Les diocèses font preuve d'une efficacité remarquable quand il s'agit de trouver des heures pour les suppléants. Ils sont très réactifs et à l'écoute.Alexlafée a écrit:Il faut aussi dire que le privé se donne les moyens de recruter des remplaçants. Ceci tient à de l'organisation-même de l'enseignement privé sous contrat. C'est la tutelle diocésaine de chaque diocèse qui se dote d'une base de données de suppléants inscrits, et dont la disponibilité est mise à jour quasiment au jour le jour.
Est-il même possible de le maîtriser, ce système ?Ingeborg B. a écrit:Même avec une certaine expérience, on ne maîtrise pas forcément tout le système.
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Cela confirme donc ce que je disais Je te souhaite plein de bonnes choses pour le concoursincitatus a écrit:Il y a 5 ans, je suis arrivée dans le privé grâce à une petite annonce désespérée collée à l'UFR de latin, alors même que j'abandonnais mes études de Lettres classiques, licence en poche, pour une réorientation drastique.
"Cherche enseignant pour 6h de latin par semaine."
J'ai passé l'entretien d'embauche et le pré-accord collégial en étant claire : je ne voulais pas être prof, seulement faire du latin et payer mes études. J'ai tout obtenu, les heures et le pré-accord, suivi de l'accord quelques mois après. Je n'avais pas vraiment eu de formation, mais mes collègues m'ont beaucoup aidée, et mon travail a été apprécié. J'ai beaucoup appris en pratiquant, ce qui finalement est la meilleure des formations.
Résultat : je suis toujours suppléante, et passe les concours cette année ! Finalement, je serai prof ^^Tout à fait ! Les diocèses font preuve d'une efficacité remarquable quand il s'agit de trouver des heures pour les suppléants. Ils sont très réactifs et à l'écoute.Alexlafée a écrit:Il faut aussi dire que le privé se donne les moyens de recruter des remplaçants. Ceci tient à de l'organisation-même de l'enseignement privé sous contrat. C'est la tutelle diocésaine de chaque diocèse qui se dote d'une base de données de suppléants inscrits, et dont la disponibilité est mise à jour quasiment au jour le jour.Est-il même possible de le maîtriser, ce système ?Ingeborg B. a écrit:Même avec une certaine expérience, on ne maîtrise pas forcément tout le système.
- coindeparadisGuide spirituel
La règle est ici :
http://eca.enseignement-catholique.fr/test/telechargements-hors-series/hs-preaccord-collegial.pdf
http://eca.enseignement-catholique.fr/test/telechargements-hors-series/hs-preaccord-collegial.pdf
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- NicolatsarNiveau 9
Dans certaines académies à forts besoin les suppléants (maîtres auxiliaires) sont recrutés avec une licence. Ils vont même à bac +2 pour le public.
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Quels enfants léguerons-nous à notre terre ?
- coindeparadisGuide spirituel
C'est un droit qu'on est en train de retirer (public et privé). Certains rectorat et diocèses exigent déjà le master.
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- NicolatsarNiveau 9
http://www.ac-lyon.fr/recrutement-academie-lyon.html
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Quels enfants léguerons-nous à notre terre ?
- coindeparadisGuide spirituel
Lyon est une académie déficitaire donc reporte à septembre 2015 le passage au master (contrairement à la Réunion par exemple).
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- AlexlaféeNiveau 6
Bonjour,
D'autres liens à consulter :
http://sitecoles.formiris.org/?WebZoneID=590&ArticleID=1539
un lien sur les idées fausses concernant le clivage public/privé puisque c'est justement le propos du post:
http://www.ifrap.org/10-idees-fausses-sur-l-enseignement-public-prive,11932.html
D'autres liens à consulter :
http://sitecoles.formiris.org/?WebZoneID=590&ArticleID=1539
un lien sur les idées fausses concernant le clivage public/privé puisque c'est justement le propos du post:
http://www.ifrap.org/10-idees-fausses-sur-l-enseignement-public-prive,11932.html
- NicolatsarNiveau 9
À mon humble avis on ne pourra recruter que peu de remplaçants à bac+5!
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- coindeparadisGuide spirituel
Les diocèses en sont conscients et "militent contre" depuis 4 ans déjà.
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- AlexlaféeNiveau 6
Oui tout à fait, c'est un réel problème qui touche le public aussi a priori dans quelques matières dont les lettres classiques, la licence reste de mise pour les remplaçants.
Mes collègues étudiants master acceptent uniquement des remplacements sur peu d'heures car ils ne parviennent pas à tout mener de front et on les comprend....
Mes collègues étudiants master acceptent uniquement des remplacements sur peu d'heures car ils ne parviennent pas à tout mener de front et on les comprend....
- Avec plus de 25% des élèves scolarisés dans le privé, l'attractivité de l'enseignement secondaire privé reste forte dans les académies de Rennes, Nantes, Paris, Lyon et Lille.
- [Privé] Appel à témoignages : quelles sont vos conditions de travail dans l'enseignement privé ?
- Enseignement Agricole Privé ou Enseignement Général Public ?
- passer de l'enseignement public à l'enseignement privé
- Enseignement privé : UNSA Enseignement.
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