- JennyMédiateur
Et pas les mêmes objectifs de fin de cycle.blanco a écrit:Je ne cloue pas au pilori mais je ne comprends pas (ou plus) la manière de travailler au LG. Certains pensent qu'un élève présentant des difficultés relèvent de classe adaptée... Ce n'est pas un peu facile une telle solution?? Et oui nous n'avons pas les mêmes attentes c'est un fait.
- illiziaEsprit éclairé
Oups, même erreur que Bouboule, je n'avais pas vu qu'on était en section H-G: je pense que ma réponse assez générale vaut pour un peu toutes les matières, mais je me retire sur fil, je risque d'être HS en développant.
- Isis39Enchanteur
blanco a écrit:Je ne cloue pas au pilori mais je ne comprends pas (ou plus) la manière de travailler au LG. Certains pensent qu'un élève présentant des difficultés relèvent de classe adaptée... Ce n'est pas un peu facile une telle solution?? Et oui nous n'avons pas les mêmes attentes c'est un fait.
Mais on a des élèves relevant de classes adaptées qui n'y sont pas car les parents refusent.
- Isis39Enchanteur
J'ai vu passer ce tweet, assez juste.
Quelqu'un aurait vu passer une formation au PAF intitulée "comment bien inclure les élèves à besoin particuliers dans une classe de 29 comprenant allophones, Ulis, refus d'orientation SEGPA, situations de handicap?" ?
— Prof de galipettes (@prof2galipettes) October 21, 2019
J'ai plusieurs collègues intéressé.e.s
Merci d'avance
- ElaïnaDevin
blanco a écrit:A aucun moment je n'ai dit que la DYS était un frein à la réussite. Mais 12 élèves présentant les 5 dys existantes, un en HP de nuit, un suicidaire, un autiste, avec les autres vous n'adaptez pas? Vous passez la pire année scolaire de votre vie!
(Je ne parle pas des fainéants pour qui l'adaptation revient à souffler en l'air)
Ben comme bien d'autres moi j'ai 36 élèves par classe. 36. Si l'institution a jugé bon de les envoyer en lycée général c'est qu'ils peuvent suivre. Pour ceux avec tiers temps je peux un peu aménager (coefficienter la note) mais pas plus. Ou alors qu'on me paie le temps délirant que ça va me prendre de différencier.
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It took me forty years to realize this. But for guys like us... our lives aren't really our own. There's always someone new to help. Someone we need to protect. These past few years, I fought that fate with all I had. But I'm done fighting. It's time I accept the hand I was dealt. Too many people depend on us. Their dreams depend on us.
Kiryu Kazuma inYakuza 4 Remastered
Ma page Facebook https://www.facebook.com/Lire-le-Japon-106902051582639
- henrietteMédiateur
Je dis et maintiens qu'un élève qui a besoin non de supports mais carrément d'un cours différent, pour reprendre tes termes, en effet, relève de l'enseignement spécialisé, qui seul sera à même de lui apporter ce dont il a besoin pour progresser.blanco a écrit:Je ne cloue pas au pilori mais je ne comprends pas (ou plus) la manière de travailler au LG. Certains pensent qu'un élève présentant des difficultés relèvent de classe adaptée... Ce n'est pas un peu facile une telle solution?? Et oui nous n'avons pas les mêmes attentes c'est un fait.
Après si tu penses que je suis un monstre de dire ça, tant pis, ça ne m'empêchera pas de dormir. Je refuse de servir de cataplasme sur une jambe de bois et d'être culpabilisée et rendue responsable d'un bazar organisé tout à fait délibérément pour faire des économies et en se fichant comme de l'an 40 de l'intérêt des enfants en question (et des autres aussi, qui devraient pouvoir bénéficier tous de la même attention de leurs enseignants et pas mis en "activité en autonomie" à tout bout de champ parce qu il faut prendre à part le pauvre gamin de 5e qui ne sait pas lire pour essayer de l'aider.)
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- JennyMédiateur
Et dans ce cas, adapter beaucoup ne leur rend pas service, car les parents insisteront pour un passage en 2ndeGT qu'on ne pourra pas leur refuser si les notes sont tout à fait correctes avec les adaptations. (Les enseignants spécialisés m'ont toujours demandé de bien faire apparaître que les évaluations étaient adaptées pour cette raison).Isis39 a écrit:blanco a écrit:Je ne cloue pas au pilori mais je ne comprends pas (ou plus) la manière de travailler au LG. Certains pensent qu'un élève présentant des difficultés relèvent de classe adaptée... Ce n'est pas un peu facile une telle solution?? Et oui nous n'avons pas les mêmes attentes c'est un fait.
Mais on a des élèves relevant de classes adaptées qui n'y sont pas car les parents refusent.
Pour les élèves d'UP2A et d'ULIS, je fais de mon mieux et en général, ça se passe bien. Ils ont le même cours que les autres, mais des fiches de révision et des évaluations adaptées, un peu plus d'aide quand je passe dans les rangs.
- liroxNiveau 6
blanco a écrit:Oui c'est vrai je l'avoue beaucoup de temps! Mais en cours du coup vous êtes plus tranquille (L'année passée pour 19h de cours 51h de préparation, nous avions compté par curiosité et ce n'est pas moi qui avait le plus d'heures)
Si vous trouvez que vous êtes assez payés pour ce travail, tant mieux pour vous. Si vous trouvez le temps et l'énergie pour ça tout en vous occupant un minimum de votre famille si vous en avez une, tant mieux pour vous. Ce n'est pas le cas de tous les pauvres mortels qui officient dans d'autres établissements que le vôtre...
- liroxNiveau 6
Vous travaillez où pour avoir 80% des élèves de LP qui ont choisi d'y être?? Parce que c'est loin d'être le cas dans beaucoup d'établissements.
blanco a écrit:Henriette je n'ai pas dit que tu étais un monstre loin de moi cette idée! Pendant longtemps j'ai pensé pareil et un jour j'ai décidé de bosser autrement car je ne me reconnaissais plus dans ce fonctionnement (la vieillesse???).
Je suis passée au LP où 80% des gamins sont là parce qu’ils l'ont réellement choisi (et pas papa ou maman). Ils ont de grosses difficultés, nous avons des classes adaptées, un boulot de dingue c'est vrai mais c'est une autre manière de travailler où nous essayons de considérer l'élève en part entière : problème de santé, difficultés scolaires et sociales même à 28 par classes! Ils sont beaucoup plus reconnaissants et sont extrêmement demandeurs d'attention en réalité. La pédagogie différenciée est leur intérêt.
- LemmyKHabitué du forum
Vous avez beaucoup de chance.blanco a écrit:Ne venez pas en LP, vous allez pleurer! Nous travaillons en grande majorité avec ce type de public. Oui c'est chronophage mais quel plaisir d'entendre les élèves dire ça y est j'ai compris! De toute façon nous n'avons pas le choix pour certains diplôme: Apprentis (absents tous les 15 jours pendant 15 jours) et scolaires mélangés... Ils ont la même épreuve au bac!
Les classes dites adaptées sont les CAP (accueil des SEGPA, et des EREA) et nous nous adaptons au mieux.
De plus l'instruction est obligatoire en France jusqu'à 16 ans (18 ans à partir de septembre 2020, je vous souhaite beaucoup de patience...) donc nous les accueillons. Parfois en étant au départ un peu perdu, mais ils sont tellement demandeurs en cours
Félicitations. Vous avez toute mon admiration.blanco a écrit:que nous trouvons vite les solutions dans la pédagogie différenciée.
- ProvenceEnchanteur
Il faut adapter les cours pour les élèves suicidaires?blanco a écrit:A aucun moment je n'ai dit que la DYS était un frein à la réussite. Mais 12 élèves présentant les 5 dys existantes, un en HP de nuit, un suicidaire, un autiste, avec les autres vous n'adaptez pas? Vous passez la pire année scolaire de votre vie!
- henrietteMédiateur
Tu as donc des élèves motivés, et "sélectionnés" pour être en adéquation avec la filière.
En collège, on n'a ni l'un ni l'autre bien souvent.
Je ne vois pas trop l'intérêt de comparer ce qui n'est pas comparable.
En collège, on n'a ni l'un ni l'autre bien souvent.
Je ne vois pas trop l'intérêt de comparer ce qui n'est pas comparable.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- amalricuNeoprof expérimenté
blanco a écrit:Nous avons des sections pour lesquelles nous avons un taux de pression important : 3 dossiers pour une place. Je suis dans un LP industriel. Il y a deux sections plus délicates mais qui sont gérables (qui sont remplies par les troisièmes vœux)
Il est à mon avis plus aisé d'intégrer une seconde GT que certaines filières professionnelles au vu du taux de pression. A titre personnel, je ne prive jamais de le dire à mes 3ème pour bien casser la représentation.
- ProvenceEnchanteur
blanco a écrit:Lirox : oui j'ai une famille et mon mari travaille aussi mais dans le privé (ne compte pas ses heures non plus pour ne pas pleurer). De plus, je précise : ce n'est pas moi qui en fait le plus!
Tu ne comptes pas tes heures. Tu en as le droit et ce choix t'appartient. Cela ne signifie pas qu'il faille suivre ton exemple. Heureusement.
- ElyasEsprit sacré
Je suis troublé par pas mal de choses que je lis.
Dès qu'on traite de la différenciation pédagogique, la situation des élèves en situation de handicap surgit et dévore le débat. Or, techniquement, on ne fait pas de différenciation mais des adaptations.
La différenciation, c'est faire en sorte que les élèves comprennent et rattrapent à la fin leur retard. C'est très difficile et cela pose des dilemmes sur lesquels il faut trancher (tout comme ne pas le faire conduit, en fait, à trancher vers un choix).
Ce qui me cause le plus de souci est qu'en réalité, l'enjeu fondamental de l'école actuellement, ce sont les enfants des classes populaires. Le livre de Lahire Enfance de classe et le récent documentaire Gosses de France témoignent clairement que l'école ne remplit plus son rôle. Trop souvent, l'école en tant qu'institution agit comme si les enfants devaient être déjà scolaires pour pouvoir réussir en son sein. C'est une trahison de l'école contre une large partie de la population parce que cela touche par extension les classes moyennes qui enclenchent toute une série de stratégies pour faire réussir leurs enfants malgré l'institution scolaire.
La différenciation a été proposée dès les années 80 par des gens sincères qui voulaient résoudre ce problème. Le problème est que pendant longtemps, sous le terme différenciation, on mélangeait beaucoup de choses pendant que l'institution muselait les tenants de l'éducation populaire en son sein au profit de stars (La Garanderie puis Meirieu).
Depuis quelques années, cela commence à devenir un peu plus sérieux et on voit (re?)émerger les trois courants explicites et les courants des pédagogies coopératives se structurer et se répandre. Souci : les tenants de la différenciation pédagogique courant historique ont du mal avec ces "nouvelles" pistes qui les bousculent.
Quand je vois ce que font des collègues en différenciation, ils travaillent beaucoup et ils suivent les injonctions de l'institution. Le problème est que ça n'aboutit pas à grand chose dans 90% des pratiques. Voir le cours final être un texte à trou, ça m'ébahit toujours. Voir qu'on propose trois questionnaires différents, je me demande où est la différence d'opération intellectuelle chez l'élève. Parfois, on voit de la diversification par la production mais, déjà, on est dans un autre monde et, techniquement, ce n'est pas de la différenciation. Oui, je sais, cela paraît byzantin voire sibyllin mais c'est la situation des débats actuels.
Adaptation, différenciation, diversification (et amusons-nous personnalisation) sont trois (quatre) choses différentes.
Dès qu'on traite de la différenciation pédagogique, la situation des élèves en situation de handicap surgit et dévore le débat. Or, techniquement, on ne fait pas de différenciation mais des adaptations.
La différenciation, c'est faire en sorte que les élèves comprennent et rattrapent à la fin leur retard. C'est très difficile et cela pose des dilemmes sur lesquels il faut trancher (tout comme ne pas le faire conduit, en fait, à trancher vers un choix).
Ce qui me cause le plus de souci est qu'en réalité, l'enjeu fondamental de l'école actuellement, ce sont les enfants des classes populaires. Le livre de Lahire Enfance de classe et le récent documentaire Gosses de France témoignent clairement que l'école ne remplit plus son rôle. Trop souvent, l'école en tant qu'institution agit comme si les enfants devaient être déjà scolaires pour pouvoir réussir en son sein. C'est une trahison de l'école contre une large partie de la population parce que cela touche par extension les classes moyennes qui enclenchent toute une série de stratégies pour faire réussir leurs enfants malgré l'institution scolaire.
La différenciation a été proposée dès les années 80 par des gens sincères qui voulaient résoudre ce problème. Le problème est que pendant longtemps, sous le terme différenciation, on mélangeait beaucoup de choses pendant que l'institution muselait les tenants de l'éducation populaire en son sein au profit de stars (La Garanderie puis Meirieu).
Depuis quelques années, cela commence à devenir un peu plus sérieux et on voit (re?)émerger les trois courants explicites et les courants des pédagogies coopératives se structurer et se répandre. Souci : les tenants de la différenciation pédagogique courant historique ont du mal avec ces "nouvelles" pistes qui les bousculent.
Quand je vois ce que font des collègues en différenciation, ils travaillent beaucoup et ils suivent les injonctions de l'institution. Le problème est que ça n'aboutit pas à grand chose dans 90% des pratiques. Voir le cours final être un texte à trou, ça m'ébahit toujours. Voir qu'on propose trois questionnaires différents, je me demande où est la différence d'opération intellectuelle chez l'élève. Parfois, on voit de la diversification par la production mais, déjà, on est dans un autre monde et, techniquement, ce n'est pas de la différenciation. Oui, je sais, cela paraît byzantin voire sibyllin mais c'est la situation des débats actuels.
Adaptation, différenciation, diversification (et amusons-nous personnalisation) sont trois (quatre) choses différentes.
- ZagaraGuide spirituel
Et du coup c'est quoi concrètement la différenciation ?
- JennyMédiateur
Elyas a écrit:Quand je vois ce que font des collègues en différenciation, ils travaillent beaucoup et ils suivent les injonctions de l'institution. Le problème est que ça n'aboutit pas à grand chose dans 90% des pratiques. Voir le cours final être un texte à trou, ça m'ébahit toujours. Voir qu'on propose trois questionnaires différents, je me demande où est la différence d'opération intellectuelle chez l'élève.
Je trouve aussi que ça ne sert pas à grand chose.
Ce serait quoi une différenciation efficace du coup ?
- ElyasEsprit sacré
Je pense que la définition la plus pragmatique de la différenciation, c'est de la qualifier par un ensemble de pratiques comme le travail de groupe, la proposition d'un travail avec plusieurs possibilités de consignes/questionnaires possibles, la proposition de travaux différents sur un même thème.
Le souci est que très vite, dans les formations que je connais à ce sujet, on va très vite vers la diversification par la production, la tâche complexe et la progression entre le début et la fin de l'année avec l'entraînement, le plan de travail, le tutorat, l'explicitation et ses techniques.
Bref, j'ai surtout l'impression d'un vide théorique/politique/philosophique tangible et que la différenciation sortie du "faire un travail différent" et "faire du travail de groupe" a besoin des autres positionnements pédagogiques pour exister.
Après, je connais des collègues qui font des trucs géniaux en différenciation (j'ai déjà présenté ces éléments sur le forum) mais ils vont in fine vers les outils empruntés aux pédagogies explicites ou coopératives. En gros, j'ai l'impression que l'impérieuse nécessité de faire réussir ceux qui ont le plus besoin de l'école a permis à des gens avec des trucs de prendre des postes mais sans l'assise pédagogique, didactique, politique ou philosophique des tenants des courants explicites ou coopératifs.
Le souci est que très vite, dans les formations que je connais à ce sujet, on va très vite vers la diversification par la production, la tâche complexe et la progression entre le début et la fin de l'année avec l'entraînement, le plan de travail, le tutorat, l'explicitation et ses techniques.
Bref, j'ai surtout l'impression d'un vide théorique/politique/philosophique tangible et que la différenciation sortie du "faire un travail différent" et "faire du travail de groupe" a besoin des autres positionnements pédagogiques pour exister.
Après, je connais des collègues qui font des trucs géniaux en différenciation (j'ai déjà présenté ces éléments sur le forum) mais ils vont in fine vers les outils empruntés aux pédagogies explicites ou coopératives. En gros, j'ai l'impression que l'impérieuse nécessité de faire réussir ceux qui ont le plus besoin de l'école a permis à des gens avec des trucs de prendre des postes mais sans l'assise pédagogique, didactique, politique ou philosophique des tenants des courants explicites ou coopératifs.
- Isis39Enchanteur
Je ne sais pas dans les autres académies, mais ici il n'y a aucune formation à la différenciation, que ce soit en formation initiale, disciplinaire ou transversale.
Par contre on nous sort à toutes les sauces l'injonction à différencier (stages réforme, inspections...) mais jamais sans nous avoir formés sur le sujet.
Alors j'avoue que j'en ai un peu ras-le-bol de ces injonctions. Différencier pour aider les élèves en difficulté, ça peut se faire. Par contre pour les refus d'orientation en section spécialisée, je ne sais pas faire. Et le "conseil" de l'inspecteur du primaire ("pour lui faites le programme de CE2") je m'en passe bien.
Par contre on nous sort à toutes les sauces l'injonction à différencier (stages réforme, inspections...) mais jamais sans nous avoir formés sur le sujet.
Alors j'avoue que j'en ai un peu ras-le-bol de ces injonctions. Différencier pour aider les élèves en difficulté, ça peut se faire. Par contre pour les refus d'orientation en section spécialisée, je ne sais pas faire. Et le "conseil" de l'inspecteur du primaire ("pour lui faites le programme de CE2") je m'en passe bien.
- JennyMédiateur
C'est plus proche de ce que je fais quand j'ai le temps ou des UP2A.Elyas a écrit:Je pense que la définition la plus pragmatique de la différenciation, c'est de la qualifier par un ensemble de pratiques comme le travail de groupe, la proposition d'un travail avec plusieurs possibilités de consignes/questionnaires possibles, la proposition de travaux différents sur un même thème.
Merci pour ta réponse.
Isis : Je trouve aussi qu'on est assez livrés à nous mêmes sur le sujet. On nous demande de différencier mais sans nous former et sans nous donner le temps. Je travaille déjà beaucoup, je ne peux pas faire plus (sinon, je ne dors plus ou je sacrifie mon unique jour de repos).
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