- nightowlNiveau 7
Rendash a écrit:Ouais, les harceleurs justifient toujours leurs actes.
Accessoirement, je n'aimerais pas être une victime dans ta classe. T'es pas à la sortie, toi, pour voir quand les autres se vengent sur leur victime de l'humiliation que tu leur as fait subir.
Rassures toi, les élèves savent très qu'ils ne vaut mieux pas essayer.
Quand un élève se fait harceler, je le précise bien à tous mes collègues (que je sois PP ou non) , enseignants ou pas, et on veillent que cela s'arrête net.
Je me vois mal ne rien faire par peur des représailles envers autrui "Attends que cela passe".
Personnellement, cette attitude me choque. Je l'ai vécu étant élève.
- RendashBon génie
Tu ne vois donc pas la différence abyssale entre ne rien faire et agir comme ceux que tu prétends stopper.
"Les élèves savent qu'il vaut mieux ne pas essayer'. Devant toi, ouais. Encore heureux. Par contre, quand t'es plus là, double tarot, c'est ce que je disais plus haut.
"Les élèves savent qu'il vaut mieux ne pas essayer'. Devant toi, ouais. Encore heureux. Par contre, quand t'es plus là, double tarot, c'est ce que je disais plus haut.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- nightowlNiveau 7
Rendash a écrit:Tu ne vois donc pas la différence abyssale entre ne rien faire et agir comme ceux que tu prétends stopper.
N'abusons pas non plus. Ca reste exeptionnel, limité dans le temps et dans les propos. Suivi d'une discussion en fin de cours sur le harcèlement avec l'intéressé en fin de cours. Autant que ce soit éducatif. Dire que ca fait mal et le ressentir, même un peu, peut faire la différence.
- RendashBon génie
nightowl a écrit:Rendash a écrit:Tu ne vois donc pas la différence abyssale entre ne rien faire et agir comme ceux que tu prétends stopper.
N'abusons pas non plus. Ca reste exeptionnel, limité dans le temps et dans les propos. Suivi d'une discussion en fin de cours sur le harcèlement avec l'intéressé en fin de cours. Autant que ce soit éducatif. Dire que ca fait mal et le ressentir, même un peu, peut faire la différence.
Oui, je répète, les harceleurs justifient toujours leurs actes. "C'est temporaire", "c'est pour leur faire comprendre", "ils l'ont mérité".
C'est d'autant plus absurde, que tu as vécu la même situation, d'après ce que tu dis.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- nightowlNiveau 7
Je crois que la discussion va s'arrêter là parce que cela devient un dialogue de sourds.Rendash a écrit:nightowl a écrit:Rendash a écrit:Tu ne vois donc pas la différence abyssale entre ne rien faire et agir comme ceux que tu prétends stopper.
N'abusons pas non plus. Ca reste exeptionnel, limité dans le temps et dans les propos. Suivi d'une discussion en fin de cours sur le harcèlement avec l'intéressé en fin de cours. Autant que ce soit éducatif. Dire que ca fait mal et le ressentir, même un peu, peut faire la différence.
Oui, je répète, les harceleurs justifient toujours leurs actes. "C'est temporaire", "c'est pour leur faire comprendre", "ils l'ont mérité".
C'est d'autant plus absurde, que tu as vécu la même situation, d'après ce que tu dis.
Tu m'accuses d'harceler les gamins. Je te dis que je les remets en place. Une fois (si cela ne marche pas, cela ne sert à rien).
Si tu ne vois pas la différence. Mon but est qu'on arrête d'harceler le petit môme sans défense. Quitte à employer "un peu la force". Ce n'est pas la meilleure des façons (j'en convient) mais elle a l'avantage d'être rapide (et parfois, quand on se rend compte des problèmes, il est trop tard).
- RendashBon génie
nightowl a écrit:
Je crois que la discussion va s'arrêter là parce que cela devient un dialogue de sourds.
Tu m'accuses d'harceler les gamins. Je te dis que je les remets en place. Une fois (si cela ne marche pas, cela ne sert à rien).
Si tu ne vois pas la différence. Mon but est qu'on arrête d'harceler le petit môme sans défense. Quitte à employer "un peu la force". Ce n'est pas la meilleure des façons (j'en convient) mais elle a l'avantage d'être rapide (et parfois, quand on se rend compte des problèmes, il est trop tard).
Tu auras beau justifier ça de toutes les manières que tu voudras, il n'en reste pas moins que tu fais ce que eux font. Ce sont tes propos, hein, je n'invente rien.
Ce que tu ne comprends pas, apparemment, c'est que :
- soit le harceleur ne se rend pas bien compte de ce qu'il fait, auquel cas la discussion dont tu parles suffit. Elle peut être dosée, bien sûr : entre la simple explication de texte et le détail des sanctions prévues pr la loi, il y a tout un éventail de choix possibles, selon le cas.
- soit le harceleur a tout à fait conscience de ce qu'il fait, et dans ce cas ta petite "démonstration" aura le résultat opposé à ton but initial : il fera trinquer sa victime, sauf que cette fois il le fera discrètement, voilà tout.
Le coup de la bonne leçon, le "il l'a mérité", "il a cherché", "c'est pour lui montrer", c'est du discours typique de harceleur, ça. La Fontaine n'a rien inventé, le loup explique en long et en large pourquoi le vilain agneau a bien mérité ce qui lui arrive. C'est valable aussi pour une hyène.
Sauf que toi, t'es prof.
ET, bon sang de bois, le fait que tu aies, selon tes dires, été dans la situation de la victime, rend cette situation encore plus absurde -_-'
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- nightowlNiveau 7
Rendash a écrit:nightowl a écrit:
Je crois que la discussion va s'arrêter là parce que cela devient un dialogue de sourds.
Tu m'accuses d'harceler les gamins. Je te dis que je les remets en place. Une fois (si cela ne marche pas, cela ne sert à rien).
Si tu ne vois pas la différence. Mon but est qu'on arrête d'harceler le petit môme sans défense. Quitte à employer "un peu la force". Ce n'est pas la meilleure des façons (j'en convient) mais elle a l'avantage d'être rapide (et parfois, quand on se rend compte des problèmes, il est trop tard).
Tu auras beau justifier ça de toutes les manières que tu voudras, il n'en reste pas moins que tu fais ce que eux font. Ce sont tes propos, hein, je n'invente rien.
Ce que tu ne comprends pas, apparemment, c'est que :
- soit le harceleur ne se rend pas bien compte de ce qu'il fait, auquel cas la discussion dont tu parles suffit. Elle peut être dosée, bien sûr : entre la simple explication de texte et le détail des sanctions prévues pr la loi, il y a tout un éventail de choix possibles, selon le cas.
- soit le harceleur a tout à fait conscience de ce qu'il fait, et dans ce cas ta petite "démonstration" aura le résultat opposé à ton but initial : il fera trinquer sa victime, sauf que cette fois il le fera discrètement, voilà tout.
Le coup de la bonne leçon, le "il l'a mérité", "il a cherché", "c'est pour lui montrer", c'est du discours typique de harceleur, ça. La Fontaine n'a rien inventé, le loup explique en long et en large pourquoi le vilain agneau a bien mérité ce qui lui arrive. C'est valable aussi pour une hyène.
Sauf que toi, t'es prof.
ET, bon sang de bois, le fait que tu aies, selon tes dires, été dans la situation de la victime, rend cette situation encore plus absurde -_-'
C'est là où ne ne sommes pas d'accord. A situation urgente (un gamin en train de craquer), réaction rapide. Je me vois mal me regarder si un gamin fait une tentavie de suicide (c'est arrivé l'an passé) parce que l'on n'a pas réagi assez vite. Les heures de colle qui pleuvent à la moindre remarque, ca peut aussi être une 'humiliation' pour certains (j'en ai mis une pour ce motif dès la pré-rentrée).
Pour le gamin qui ne sait pas ce qu'il fait, évidemment que j'en reste à la discussion !!
- RendashBon génie
On peut très bien réagir vite et fort, sans tomber soi-même dans le harcèlement. Tu le dis toi-même dans ton post, hein : "Pour les gros cas, je ne sors pas du bureau du chef sans avoir eu une sanction lourde.".
Un gamin en train de craquer? Donc, si tu vois ça, ta réaction urgente c'est de harceler ses harceleurs, et de les humilier, dis-tu.
Ben, d'une part je reste sur l'idée selon laquelle c'est risquer que la victime mange encore plus après, hors de portée de tes oreilles ; d'autre part, je ne suis pas persuadé que ça aide le môme victime (moralement, s'entend). Mais alors vraiment pas.
Sans même parler de ce côté "bonne leçon", "bien mérité", "lui apprendra", qui m'a hérissé et me hérisse encore.
"Si cela ne ME suffit pas". Je commente, ou pas?
Dans le cas que tu cites, la "rapide réaction" s’est limitée à des heures de colle en pagaille et à une "remise en place" des harceleurs?!
Donc, bien évidemment que la réaction doit être rapide et forte. Bien sûr qu'on est d'accord là-dessus. Là où on ne l'est plus, c'est qu'à mon avis, il est inimaginable que cette réaction soit celle que tu décris. J'espérais que tes mots avaient dépassé ta pensée, mais visiblement ce n'est pas le cas. OK.
Permets-moi d'être choqué de voir un collègue se comporter sciemment comme les petits salopards dont il est question.
Un gamin en train de craquer? Donc, si tu vois ça, ta réaction urgente c'est de harceler ses harceleurs, et de les humilier, dis-tu.
Ben, d'une part je reste sur l'idée selon laquelle c'est risquer que la victime mange encore plus après, hors de portée de tes oreilles ; d'autre part, je ne suis pas persuadé que ça aide le môme victime (moralement, s'entend). Mais alors vraiment pas.
Sans même parler de ce côté "bonne leçon", "bien mérité", "lui apprendra", qui m'a hérissé et me hérisse encore.
nightowl a écrit:Personnellement, j'harcèle les harceleurs au moins toute l'heure. Si cela ne me suffit pas, je les humilie devant leur victime. Ca rétablit les choses.
Pour les gros cas, je ne sors pas du bureau du chef sans avoir eu une sanction lourde.
"Si cela ne ME suffit pas". Je commente, ou pas?
Dans le cas que tu cites, la "rapide réaction" s’est limitée à des heures de colle en pagaille et à une "remise en place" des harceleurs?!
Donc, bien évidemment que la réaction doit être rapide et forte. Bien sûr qu'on est d'accord là-dessus. Là où on ne l'est plus, c'est qu'à mon avis, il est inimaginable que cette réaction soit celle que tu décris. J'espérais que tes mots avaient dépassé ta pensée, mais visiblement ce n'est pas le cas. OK.
Permets-moi d'être choqué de voir un collègue se comporter sciemment comme les petits salopards dont il est question.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Thalia de GMédiateur
Non, tu n'es pas seul. Il me mettait mal à l'aise sans que je sache vraiment pourquoi.Rendash a écrit:nightowl a écrit:Personnellement, j'harcèle les harceleurs au moins toute l'heure. Si cela ne me suffit pas, je les humilie devant leur victime. Ca rétablit les choses.
Baway, après tout ils l'ont bien cherché, n'est-ce pas?
Sérieusement, les gens, je suis le seul à être choqué par ce post?
J'ai de la chance d'avoir eu des cde attentifs à ce problème qui recevaient les harcelés et nous écoutaient quand nous avions des certitudes ou simplement des soupçons.
Le plus compliqué reste quand une classe entière prend pour victime un seul élève. Les leçons de morale collective ne servent alors à rien. Je ne sais pas quelle action pourrait être efficace : un entretien individuel avec chacun des élèves consciemment ou pas harceleur ? Pourquoi pas. Quand la direction et le cpe ont les reins solides, pourquoi pas ?
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- nightowlNiveau 7
Je me suis expliqué (en espérant qu'on ait compris que je ne brise pas les harceleurs).Thalia de G a écrit:Non, tu n'es pas seul. Il me mettait mal à l'aise sans que je sache vraiment pourquoi.Rendash a écrit:nightowl a écrit:Personnellement, j'harcèle les harceleurs au moins toute l'heure. Si cela ne me suffit pas, je les humilie devant leur victime. Ca rétablit les choses.
Baway, après tout ils l'ont bien cherché, n'est-ce pas?
Sérieusement, les gens, je suis le seul à être choqué par ce post?
J'ai de la chance d'avoir eu des cde attentifs à ce problème qui recevaient les harcelés et nous écoutaient quand nous avions des certitudes ou simplement des soupçons.
Le plus compliqué reste quand une classe entière prend pour victime un seul élève. Les leçons de morale collective ne servent alors à rien. Je ne sais pas quelle action pourrait être efficace : un entretien individuel avec chacun des élèves consciemment ou pas harceleur ? Pourquoi pas. Quand la direction et le cpe ont les reins solides, pourquoi pas ?
Pour les classes à souffre-douleur, c'est en effet compliqué...
- RendashBon génie
Merci, Thalia, tu me rassures.
Je dirais qu'il y a plusieurs étapes :
- chercher les meneurs
- entendre leurs justifications
- taper fort
D'après ce que j'ai vu comme élève, quand il y a une tête de Turc, c'est souvent un élève qui s'est pris le chou avec un ou des meneurs, le reste suit. Stoppe les meneurs, le reste s'arrêtera aussi.
J'en ai vu trois, des cas comme ça, comme élève (contexte d'internat en plus, donc x2). Sur l'un de ces cas, c'est la classe elle-même qui a tapé du poing sur la table (...et de la table sur le nez du meneur, accessoirement), ce qui a mis fin à l'histoire. Sur les deux autres, c'est l'encadrement de l'internat qui a mis les points sur les i.
edit : l'élève qui se prend le chou, ça ne suffit pas, à mon avis. Y'a aussi le côté "il est bizarre", ou, comme dans le cas de la pauvre gamine dont il est question ici, "c'est une boloss". 'fin, tu vois, quoi. De ce que j'ai vu, il faut ces deux ingrédients pour que ça en arrive là.
Thalia de G a écrit:
Le plus compliqué reste quand une classe entière prend pour victime un seul élève. Les leçons de morale collective ne servent alors à rien. Je ne sais pas quelle action pourrait être efficace : un entretien individuel avec chacun des élèves consciemment ou pas harceleur ?
Je dirais qu'il y a plusieurs étapes :
- chercher les meneurs
- entendre leurs justifications
- taper fort
D'après ce que j'ai vu comme élève, quand il y a une tête de Turc, c'est souvent un élève qui s'est pris le chou avec un ou des meneurs, le reste suit. Stoppe les meneurs, le reste s'arrêtera aussi.
J'en ai vu trois, des cas comme ça, comme élève (contexte d'internat en plus, donc x2). Sur l'un de ces cas, c'est la classe elle-même qui a tapé du poing sur la table (...et de la table sur le nez du meneur, accessoirement), ce qui a mis fin à l'histoire. Sur les deux autres, c'est l'encadrement de l'internat qui a mis les points sur les i.
edit : l'élève qui se prend le chou, ça ne suffit pas, à mon avis. Y'a aussi le côté "il est bizarre", ou, comme dans le cas de la pauvre gamine dont il est question ici, "c'est une boloss". 'fin, tu vois, quoi. De ce que j'ai vu, il faut ces deux ingrédients pour que ça en arrive là.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- nightowlNiveau 7
On est d'accord sur l'ordre des étapes.Rendash a écrit:Merci, Thalia, tu me rassures.Thalia de G a écrit:
Le plus compliqué reste quand une classe entière prend pour victime un seul élève. Les leçons de morale collective ne servent alors à rien. Je ne sais pas quelle action pourrait être efficace : un entretien individuel avec chacun des élèves consciemment ou pas harceleur ?
Je dirais qu'il y a plusieurs étapes :
- chercher les meneurs
- entendre leurs justifications
- taper fort
D'après ce que j'ai vu comme élève, quand il y a une tête de Turc, c'est souvent un élève qui s'est pris le chou avec un ou des meneurs, le reste suit. Stoppe les meneurs, le reste s'arrêtera aussi.
J'en ai vu trois, des cas comme ça, comme élève (contexte d'internat en plus, donc x2). Sur l'un de ces cas, c'est la classe elle-même qui a tapé du poing sur la table (...et de la table sur le nez du meneur, accessoirement), ce qui a mis fin à l'histoire. Sur les deux autres, c'est l'encadrement de l'internat qui a mis les points sur les i.
Si jamais c'est compliqué de calmer les meneurs, je rajouterai : S'en prendre aux seconds couteaux. Ca isole le meneur ensuite dans le groupe.
Après, il n'y a jamais une unique solution. C'est un peu du feeling.
- RendashBon génie
nightowl a écrit:
Si jamais c'est compliqué de calmer les meneurs, je rajouterai : S'en prendre aux seconds couteaux. Ca isole le meneur ensuite dans le groupe.
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+1.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Thalia de GMédiateur
Et quand il n'y a pas de meneur et que la victime a la malchance d'être autiste Asperger et tête de classe , tu fais quoi ?Rendash a écrit:Merci, Thalia, tu me rassures.Thalia de G a écrit:
Le plus compliqué reste quand une classe entière prend pour victime un seul élève. Les leçons de morale collective ne servent alors à rien. Je ne sais pas quelle action pourrait être efficace : un entretien individuel avec chacun des élèves consciemment ou pas harceleur ?
Je dirais qu'il y a plusieurs étapes :
- chercher les meneurs
- entendre leurs justifications
- taper fort
D'après ce que j'ai vu comme élève, quand il y a une tête de Turc, c'est souvent un élève qui s'est pris le chou avec un ou des meneurs, le reste suit. Stoppe les meneurs, le reste s'arrêtera aussi.
J'en ai vu trois, des cas comme ça, comme élève (contexte d'internat en plus, donc x2). Sur l'un de ces cas, c'est la classe elle-même qui a tapé du poing sur la table (...et de la table sur le nez du meneur, accessoirement), ce qui a mis fin à l'histoire. Sur les deux autres, c'est l'encadrement de l'internat qui a mis les points sur les i.
Elle est partie dans un autre collège et la mère cde d'un autre étab comprenait bien ce qui se passait.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- nightowlNiveau 7
Incroyable, nous sommes d'accord. Ca marche aussi pour de la gestion de classe basique. Comme je dit "Il faut mettre des heures aux petits casse-pieds. Avec eux ca marche"Rendash a écrit:nightowl a écrit:
Si jamais c'est compliqué de calmer les meneurs, je rajouterai : S'en prendre aux seconds couteaux. Ca isole le meneur ensuite dans le groupe.
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+1.
J'avoue que j'ai parfois tendance à caricaturer à l'écrit. Désolé si je vous ai fait peur.
- RendashBon génie
Thalia de G a écrit:
Et quand il n'y a pas de meneur et que la victime a la malchance d'être autiste Asperger et tête de classe , tu fais quoi ?
Elle est partie dans un autre collège et la mère cde d'un autre étab comprenait bien ce qui se passait.
Sur un cas de harcèlement de tout une classe, j'aurais tendance à dire qu'il y en a toujours. Un élève qui est juste laissé de côté et ignoré par les autres, OK, c'est vraiment collectif.
Un élève qui est constamment moqué (je suppose que c'est de ça dont tu parles), voire pire, ça part toujours de quelques-uns. Les clowns de la classe, par exemple, ceux toujours à l'affût d'une occasion de faire rire, fût-ce au détriment d'autres. Moi, en l'occurrence. Ceux-là, suffit de leur faire comprendre à quel point ils sont minables dans ce qu'ils font. Quand ils comprennent, ça les marque, voire ils se placent dans la position du défenseur de la veuve et de l'orphelin, et comme ça ils se sentent trop des gens bien tavu, et en plus les filles, enfin bref, t'as compris.
Je pense que c'est ce que je ferais, moi. Rester à l'affût de la p'tite vanne s'il s'agit de moqueries, et taper fort. Mais on ne le voit pas toujours =/
edit : un élève avec des traits autistiques et à l'écart de la classe, j'en ai un, d'ailleurs, tiens. C'est pas toujours évident. On n'entend pas toujours. Et les élèves ne sont pas toujours assez bêtes pour se payer sa fiole ouvertement devant nous =/
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- RendashBon génie
nightowl a écrit:Incroyable, nous sommes d'accord. Ca marche aussi pour de la gestion de classe basique. Comme je dit "Il faut mettre des heures aux petits casse-pieds. Avec eux ca marche"Rendash a écrit:nightowl a écrit:
Si jamais c'est compliqué de calmer les meneurs, je rajouterai : S'en prendre aux seconds couteaux. Ca isole le meneur ensuite dans le groupe.
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+1.
J'avoue que j'ai parfois tendance à caricaturer à l'écrit. Désolé si je vous ai fait peur.
Oui, comme je le disais, j'espère que les propos ont dépassé la pensée, je pense qu'on parle de la même chose au final.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- InvitéInvité
J'ai aussi eu un élève qui trouvait très drôle de se mettre derrière une autre élève, dont le prénom était Claire, et de répéter à voix basse et toute l'heure : "C'est clair, Claire ?"
:| :|
Impossible de le faire cesser vu qu'il se trouvait drôle et était bien le seul. Je l'ai donc exclu de cours avec rapport.
Parfois, ça ne vole pas haut.
:| :|
Impossible de le faire cesser vu qu'il se trouvait drôle et était bien le seul. Je l'ai donc exclu de cours avec rapport.
Parfois, ça ne vole pas haut.
- Bonnie BlueNiveau 9
Thalia de G a écrit:Non, tu n'es pas seul. Il me mettait mal à l'aise sans que je sache vraiment pourquoi.Rendash a écrit:nightowl a écrit:Personnellement, j'harcèle les harceleurs au moins toute l'heure. Si cela ne me suffit pas, je les humilie devant leur victime. Ca rétablit les choses.
Baway, après tout ils l'ont bien cherché, n'est-ce pas?
Sérieusement, les gens, je suis le seul à être choqué par ce post?
J'ai de la chance d'avoir eu des cde attentifs à ce problème qui recevaient les harcelés et nous écoutaient quand nous avions des certitudes ou simplement des soupçons.
Le plus compliqué reste quand une classe entière prend pour victime un seul élève. Les leçons de morale collective ne servent alors à rien. Je ne sais pas quelle action pourrait être efficace : un entretien individuel avec chacun des élèves consciemment ou pas harceleur ? Pourquoi pas. Quand la direction et le cpe ont les reins solides, pourquoi pas ?
Ben déjà, quand une classe entière prend pour victime un seul élève, on ne punit pas la victime à la première occasion sous prétexte qu'elle dérange les autres, histoire de conforter la classe dans l'idée qu'ils ont raison de faire ce qu'ils font. C'est ce que j'ai vécu : harcèlement de toute une classe, doublé par celui de ma PP qui me punissait dès que j'osais réagir, puisque j'étais "capable de me contrôler".
Le principal, l'année suivante, m'a changée de classe et mise avec les élèves du conservatoire. Au moins, le harcèlement a cessé et pour le coup, si je n'y avais pas d'amis, les deux fois où j'ai eu des problèmes, les mêmes que l'année passée hein, les coupables ont été punis... parce que mes camarades avaient dénoncé ces agissements ! Première fois, trois pestes inconnues de moi me courent après, me frappent et me mettent à genoux dans les toilettes. Deuxièmes fois, mes anciennes amies me tendent un papier sur lequel elles ont dessiné ma tombe et une guillotine à la légende "Bonnie à la guillotine". Pour le coup, voilà le truc : quand on est victime de harcèlement, surtout, se laisser faire et attendre que ça choque assez un camarade pour qu'il aille en parler à notre place, sinon, on nous envoie paître/ on se fait punir.
- RoninMonarque
Le harcèlement est clairement très sous-estimé en France. On a pas mal de retard sur les anglais à ce sujet ( or les dégâts à long terme peuvent être très. lourd )
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- Thalia de GMédiateur
Bonnie, c'est terrible ce que tu racontes.
En l'occurrence, pour l'élève que j'évoque, elle n'était pas réellement harcelée, mais visiblement mise à l'écart. Je l'avais eue en 6e et contrairement à mes habitudes, je la laissais discuter avec son voisin, isolé lui aussi parce que l'intello de la classe.
En l'occurrence, pour l'élève que j'évoque, elle n'était pas réellement harcelée, mais visiblement mise à l'écart. Je l'avais eue en 6e et contrairement à mes habitudes, je la laissais discuter avec son voisin, isolé lui aussi parce que l'intello de la classe.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- Bonnie BlueNiveau 9
Thalia de G a écrit:Bonnie, c'est terrible ce que tu racontes.
En l'occurrence, pour l'élève que j'évoque, elle n'était pas réellement harcelée, mais visiblement mise à l'écart. Je l'avais eue en 6e et contrairement à mes habitudes, je la laissais discuter avec son voisin, isolé lui aussi parce que l'intello de la classe.
La mise à l'écart est bien moins douloureuse que le harcèlement, du moins, quand on a vécu les deux.
J'espère qu'aucun élève n'aura à vivre la même chose que moi. En tout cas, je ne m'en suis jamais remise. Mais au moins, je ne suis pas morte, d'autres gamins n'ont pas eu cette chance.
- HonchampDoyen
Bonsoir Je viens sur ce sujet car une petite de ma famille est harcelée. C'est dans un collège de l'académie de Lyon..
Rural mais intégré, pas rural profond. Elle est en 5ème. Bonne élève, parents assez aisés. Mais il y en a d'autres du même profil dans ce collège.
Harcelée par ses ex-copines, qui l'ont éjectée de leur groupe. Mais ne s'en sont pas contentée. Des moqueries, des menaces (la faire tomber en EPS), bousculer son plateau au self. Stupides car 50 SMS un après-midi où elle n'avait pas cours, et où sa mère était là, et s'est rendu compte que quelque chose clochait.
CPE avertie, prof principal compatissant : "si j'avais su cela avant , elles (les harceleuses) n'auraient pas eu les félicitations". Cela s'est réglé en interne, de la morale, pas de punitions, les parents des harceleuses n'ont pas été prévenues. Pourquoi pas, si cela en était resté là. C'était mi-décembre.
Mais cela a recommencé. Des garçons de la classe sont entrés dans la danse. Ils l'interpellent à voix basse, "***", et même des gamins jusque là gentils, à côté de qui elle est assise, lui susurrent "***, t'es nulle". Les harceleuses font en sorte que elle ne réussisse pas à retrouver des copines. Elle n'a guère que 2 filles avec qui être , en classe et à la cantine, 2 filles que les autres méprisent aussi (Milieux très modestes, voire moins).
Elle a craqué mercredi dernier. Mais en s'accusant "c'est de ma faute". Sa famille est allé sur le site de l'Ed Nat, il y a un petit film sur le harcèlement moral. Pour lui redonner un peu de moral et lui montrer que l'Ed Nat prenait ça au sérieux.
Hélas, pas dans son collège.
Jeudi matin, sa mère a demandé à être reçue au collège." La principale ne suit pas cette classe-là". La principale-adjoint devait rappeler la famille. C'est la mère qui a dû le faire vendredi après-midi. Elle sera reçue au collège...ce mardi. 4 jours ouvrables après.
La petite en a parlé à son prof principal, qui lui a dit "mais non, ils sont gentils, tu es trop sensible".
L'adjointe l'a entendue, a entendu les harceleurs, elle les a confrontés (jeudi). Les harceleurs lui ont fait leurs excuses et un bisou de réconciliation dans le bureau de l'adjointe. Il n'y a pas d'autre mesure de prévue pour l'instant. Le vendredi, cela recommençait....
La famille verra mardi soir...
Pour les faire patienter, on leur a dit qu'il y avait demain matin lundi une réunion avec la CPE, l'ass sociale, l'infirmière.
La petite veut changer de collège...mais encore faut-il qu'un autre collège l'accepte, et il n'y a pas de ramassage prévu. Son père parle de la mettre dans le privé.
Bref, on verra mardi.
Je trouve l'adjointe en dessous de tout. La principale encore plus. Le PP , qu'elle adorait, semble sous-estimer le problème.
Le papa s'étonne que cela soit si peu pris au sérieux. Il veut porter plainte. Je le pousse à le faire si rien de plus n'est fait. Et d'écrire à l'IA. Voire plus haut.
Dans mon collège, la CPE est super, cela n'aurait pas traîné, elle aurait vite confronté et reçu les parents des différents protagonistes.Elle aurait sensibilisé les profs de la classe. Je ne dis pas que cela aurait tout résolu, mais au moins, les élèves gardent une certaine confiance dans les adulets. Le CPE est vraiment décisif dans un établissement...
Bref, on est atterrés et inquiets. On attend mardi...
Rural mais intégré, pas rural profond. Elle est en 5ème. Bonne élève, parents assez aisés. Mais il y en a d'autres du même profil dans ce collège.
Harcelée par ses ex-copines, qui l'ont éjectée de leur groupe. Mais ne s'en sont pas contentée. Des moqueries, des menaces (la faire tomber en EPS), bousculer son plateau au self. Stupides car 50 SMS un après-midi où elle n'avait pas cours, et où sa mère était là, et s'est rendu compte que quelque chose clochait.
CPE avertie, prof principal compatissant : "si j'avais su cela avant , elles (les harceleuses) n'auraient pas eu les félicitations". Cela s'est réglé en interne, de la morale, pas de punitions, les parents des harceleuses n'ont pas été prévenues. Pourquoi pas, si cela en était resté là. C'était mi-décembre.
Mais cela a recommencé. Des garçons de la classe sont entrés dans la danse. Ils l'interpellent à voix basse, "***", et même des gamins jusque là gentils, à côté de qui elle est assise, lui susurrent "***, t'es nulle". Les harceleuses font en sorte que elle ne réussisse pas à retrouver des copines. Elle n'a guère que 2 filles avec qui être , en classe et à la cantine, 2 filles que les autres méprisent aussi (Milieux très modestes, voire moins).
Elle a craqué mercredi dernier. Mais en s'accusant "c'est de ma faute". Sa famille est allé sur le site de l'Ed Nat, il y a un petit film sur le harcèlement moral. Pour lui redonner un peu de moral et lui montrer que l'Ed Nat prenait ça au sérieux.
Hélas, pas dans son collège.
Jeudi matin, sa mère a demandé à être reçue au collège." La principale ne suit pas cette classe-là". La principale-adjoint devait rappeler la famille. C'est la mère qui a dû le faire vendredi après-midi. Elle sera reçue au collège...ce mardi. 4 jours ouvrables après.
La petite en a parlé à son prof principal, qui lui a dit "mais non, ils sont gentils, tu es trop sensible".
L'adjointe l'a entendue, a entendu les harceleurs, elle les a confrontés (jeudi). Les harceleurs lui ont fait leurs excuses et un bisou de réconciliation dans le bureau de l'adjointe. Il n'y a pas d'autre mesure de prévue pour l'instant. Le vendredi, cela recommençait....
La famille verra mardi soir...
Pour les faire patienter, on leur a dit qu'il y avait demain matin lundi une réunion avec la CPE, l'ass sociale, l'infirmière.
La petite veut changer de collège...mais encore faut-il qu'un autre collège l'accepte, et il n'y a pas de ramassage prévu. Son père parle de la mettre dans le privé.
Bref, on verra mardi.
Je trouve l'adjointe en dessous de tout. La principale encore plus. Le PP , qu'elle adorait, semble sous-estimer le problème.
Le papa s'étonne que cela soit si peu pris au sérieux. Il veut porter plainte. Je le pousse à le faire si rien de plus n'est fait. Et d'écrire à l'IA. Voire plus haut.
Dans mon collège, la CPE est super, cela n'aurait pas traîné, elle aurait vite confronté et reçu les parents des différents protagonistes.Elle aurait sensibilisé les profs de la classe. Je ne dis pas que cela aurait tout résolu, mais au moins, les élèves gardent une certaine confiance dans les adulets. Le CPE est vraiment décisif dans un établissement...
Bref, on est atterrés et inquiets. On attend mardi...
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- Bonnie BlueNiveau 9
Si je peux me permettre, je vous conseille, en attendant, de ne pas lui infliger la cantine.
- Reine MargotDemi-dieu
oui, là ça sent le déni à plein nez...
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Thalia de GMédiateur
Mais quels *** et quels *** ! (*** = respect de la charte)Honchamp a écrit:Il veut porter plainte. Je le pousse à le faire si rien de plus n'est fait. Et d'écrire à l'IA. Voire plus haut.
Oui, il faut faire cela et que la direction en soit informée.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
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