Topic agreg interne histoire-géo : on se motive !

Ton plan est pas mal du tout, simple et pas trop mal articulé. Mais c'est clair qu'il faut faire quelque chose pour la problématique.

Je vais essayer de proposer un truc la semaine prochaine...

Je ne sais pas si la première partie colle avec le sujet

Karine B. a écrit:Je ne sais pas si la première partie colle avec le sujet

Je pense comme Karine pour la première partie :à défaut, peut-être la transférer en III comme conséquence de la circulation des savoirs.
Pour la pbq, il faudrait la cibler sur la notion de circulation. Comment les savoirs circulent-ils dans l'Europe des 17°-18° ? Sur quelles dynamiques circulatoires la création d'une Europe savante repose-t-elle entre 1650 et 1750 ?
Ceci dit, je trouve très courageux de travailler sur un sujet en période de vacances.

Karine B. a écrit:Je ne sais pas si la première partie colle avec le sujet

Je pense la même chose...  
Toutefois, je pense qu'il faut bien aborder à un moment donné le fait que la période est marquée par une révolution des savoirs, savoirs à diffuser. Certes, le sujet porte sur la circulation des savoirs, mais si à aucun moment, on ne dit clairement de quoi on cause... Faudrait peut-être axer davantage dans la 1ère partie sur les pôles à l'origine des savoirs nouveaux au XVIIIème siècle, plutôt que sur les contenus mêmes non? Cela cadrerait mieux avec le sujet, qu'en pensez-vous?

kiwi a écrit:

Karine B. a écrit:Je ne sais pas si la première partie colle avec le sujet

Je pense la même chose...    
Toutefois, je pense qu'il faut bien aborder à un moment donné le fait que la période est marquée par une révolution des savoirs, savoirs à diffuser. Certes, le sujet porte sur la circulation des savoirs, mais si à aucun moment, on ne dit clairement de quoi on cause... Faudrait peut-être axer davantage dans la 1ère partie sur les pôles à l'origine des savoirs nouveaux au XVIIIème siècle, plutôt que sur les contenus mêmes non? Cela cadrerait mieux avec le sujet, qu'en pensez-vous?

Tu peux en parler, mais dans le cadre des universités qui attirent de toute l'Europe, de la correspondance médicale ou savante, du Grand Tour ... sans oublier que l'intro sert à définir les termes du sujet, donc il faut expliciter les savoirs (qui pour moi ne sont pas que "savants", il y a aussi les techniques (espionnage industriel y compris au plus haut niveau, tel le Tsar qui se fait embaucher sur les chantiers navals incognito) et même certaines pratiques qui sont ramenées de la ville)

Karine B. a écrit:

kiwi a écrit:

Karine B. a écrit:Je ne sais pas si la première partie colle avec le sujet

Je pense la même chose...    
Toutefois, je pense qu'il faut bien aborder à un moment donné le fait que la période est marquée par une révolution des savoirs, savoirs à diffuser. Certes, le sujet porte sur la circulation des savoirs, mais si à aucun moment, on ne dit clairement de quoi on cause... Faudrait peut-être axer davantage dans la 1ère partie sur les pôles à l'origine des savoirs nouveaux au XVIIIème siècle, plutôt que sur les contenus mêmes non? Cela cadrerait mieux avec le sujet, qu'en pensez-vous?

Tu peux en parler, mais dans le cadre des universités qui attirent de toute l'Europe, de la correspondance médicale ou savante, du Grand Tour ... sans oublier que l'intro sert à définir les termes du sujet, donc il faut expliciter les savoirs (qui pour moi ne sont pas que "savants", il y a aussi les techniques (espionnage industriel y compris au plus haut niveau, tel le Tsar qui se fait embaucher sur les chantiers navals incognito) et même certaines pratiques qui sont ramenées de la ville)

Bon, j'y réfléchis à nouveau demain pour sortir autre chose.

Il y aurait aussi un sujet à traiter sur les circulations économiques. Beaucoup de choses à aborder.

Gallia a écrit:

Karine B. a écrit:Je ne sais pas si la première partie colle avec le sujet

Je pense comme Karine pour la première partie :à défaut, peut-être la transférer en III comme conséquence de la circulation des savoirs.
Pour la pbq, il faudrait la cibler sur la notion de circulation. Comment les savoirs circulent-ils dans l'Europe des 17°-18° ? Sur quelles dynamiques circulatoires la création d'une Europe savante repose-t-elle entre 1650 et 1750 ?
Ceci dit, je trouve très courageux de travailler sur un sujet en période de vacances.

Je pense à une problématique un peu ambitieuse du style "dans quelle mesure les circulations savantes donne-t-elle consistance ou non à la République des lettres, voire carrément à une ébauche de civilisation européenne". Bon après il faut assumer derrière... 

=> Dans quelle mesure peut-on parler d'une République de gens de lettres au XVIIIème siècle (déjà rien que la problématique, j'ai honte...).

Ah oui! Là, ce n'est pas du tout le sujet, tu vas te faire taper sur les doigts...  

Ma proposition: Comment les savoirs se diffusent-ils, dans un contexte d'oppositions politiques et religieuses fortes entre pays européens? Quel poids pèsent les politiques de répression des idées et de censure étant donné les progrès de l'imprimé au XVIIIe siècle?

pour mes problématiques, je ne m'éloigne jamais bcp du sujet, j'essaie juste de lui donner de l'ampleur en contextualisant.

Kiwi, je tique un peu sur ton I. qui présenté comme ça me semble... HS.  Toute sous-partie, toute partie doit répondre directement au sujet.

Le I. A. 1. -Radicalité des nouvelles idées à l'encontre... tu peux le réutiliser dans une sous-partie sur les freins ou les raisons de la circulation importante de certaines idées: car elles sont nouvelles, audacieuses, donc on se passe les oeuvres sous le manteau, leurs noms circulent dans les salons, etc.

Le I. A. 2. Face aux attaques, défense de l'ordre... est à mon avis à rapprocher dans l'ordre du plan avec le III. B. Mais peut-être que ces deux éléments (à fusionner ou pas, à voir) sont à mettre ailleurs.

Le B- Un siècle de recherches et de découvertes scientifiques est à reformuler totalement, peut-être à éclater, dit comme ça, il est totalement HS je pense.

Ce que je proposerais (sans avoir bossé la question, juste pour le plaisir de la dissert)

I/ Une circulation intense des savoirs, portée par le goût du XVIIIe siècle pour les sciences

(commencer par qqchose de positif)
A. Une "Révolution des idées" (Paul Hazard) L'engouement du public pour les sciences
= Un développement ancien des sciences, mais porté à la fin du 17e s. par l'engouement du public cultivé

- élargissement des domaines scientifiques dans de nouveaux publics. Nouvelles thématiques : moins religieuse. Plus d'ouvrages scientifiques, de romans etc. Ex : le Journal des savant; le Mercure galant... Livres de vulgarisation scientifiques à l'égard des femmes nobles lettrées.

- diffusion géographique: ex d'oeuvres à trouver, qui ont eu du succès sans créer la polémique: on lit telle et telle oeuvre à tel endroit et tel endroit en Europe

- diffusion sociale: les hommes de sciences accueillis par les élites nobles et bourgeoises, par les despotes éclairés

B. Le goût du prince, instrument de diffusion ou limite à la diffusion des sciences:

- diffusion des savoirs portée par les souverains dans perspective de politique de prestige: Louis XIV et les académies royales

- le goût du prince: XVIIIe siècle: Louis XV porté vers lettres et arts / despotes éclairés amateurs de sciences

- cas de Louis XVI: goût pour les sciences net mais tardif. Encouragement à la diffusion des sciences mais arrive tardivement, quand les philosophes, qui portent la diffusion des sciences au XVIIIe siècle, ont déjà cristallisé une forte critique du système monarchique. Entrecroisement entre diffusion des savoirs et crispations politiques.

Bon, exemples trop franco-français. Trouver des exemples dans les autres pays. Mais je n'ai pas les billes pour ça.

C. Circulations de savoirs multiples et opposés

- des exemples de savoirs qui se diffusent sans créer la polémique? Ou qui ne circulent pas, faute de polémique?

- Une circulation des savoirs freinée par l'audace même des savoirs en question: radicalité des nouvelles idées à l'encontre du pouvoir, de l'Eglise, de la société, sur la place de l'Homme...
Ex : un oeuvre de Voltaire (Dictionnaire philosophique? Lettres Philosophiques?)
Ex : le projet encyclopédique avec commentaire de la préface de d'Alembert sur la place de l'Homme dans la quête des savoirs.
Ex : la Hashkala juive avec Moïse Mendelssohn.

- Circulation des savoirs philosophiques et circulation de contre-savoirs philosophiques
- Face aux attaques, défense de l'ordre monarchique et religieux. D'autres formes de savoirs que ceux portés et diffusés par les philosophes
Ex: rôle du mauriste Dom Mabillon (à creuser car j'ai quasi rien dessus) ou des Jésuites.


II. Les vecteurs de la circulation des savoirs

A- La circulation des hommes de savoir

-Les académies. Déf. Rappel du modèle français diffusé à toute l'Europe. Ex: la Royal Society de Londres et son fonctionnement.
-Les salons. Déf. Ex: Mme Geoffrin ou Mlle de Lespinasse. Lieu de traduction et de vulgarisation des savoirs scientifiques aussi.+ les cabinets de lecture
- Correspondances et voyages: ex : Réseau d'Euler ou de Voltaire; voyages : Grand tour, voyages savants (ex : le voyage en Laponie de Maupertuis pour vérifier les théories de Newton), exils politiques (ex : Voltaire).

B. Le rôle de l'imprimé - II./ A. "Le triomphe de l'imprimé" (Roger Chartier)

- mettre ici tout ce qui est positif en matière de multiplication des supports imprimés: chiffres des impressions.

-Accessibilité plus grande de l'imprimé par le colportage, abonnement, baisse du prix grâce à la baisse du coût du transport postal

-Accessibilité grâce aux cabinets de lecture avec prêts d'ouvrages...

C. La censure à l'oeuvre: inégalité de la diffusion du livre en Europe.

Différence de permissivité en Europe
Ex : en Europe du Nord protestante, plus permissive. Ex : Copyright Act anglais, PU avec des imprimeurs et libraires comme Prosper Marchand...
Ex : circulation du livre plus limitée en France et en Espagne où la censure est plus forte.
---> la circulation des savoirs est marquée par des oppositions politiques ou des partis pris de "liberté" de publication liés à des diffé religieuses

Les censures :
Ex : cas espagnol.
Ex : cas français.
Des censures en réalité limitées: cas de la France. N'empêche pas la circulation.

III. Une circulation des savoirs techniques intensifiée par politiques de persécutions (religieuse et politique)

A- Les transferts techniques dans le cadre des politiques mercantilistes
-espionnage industriel.
-Ex: Colbert et Saint-Gobain.

B- Les savoirs techniques circulent grâce aux flux de réfugiés
-Edit de Fontainebleau et ses conséquences : augmentation des mobilités. Vers où?
-rôle des protestants dans la circulation des savoirs et des techniques. Ex : P. Bayle, les ouvriers qualifiés qui transmettent leur savoir-faire...

C. Censure et persécutions fabriquent des relais à la diffusion aux savoirs scientiques hors des frontières
organisés à l'étranger grâce aux réfugiés français (effet pervers de la persécution royale en France)
Ex de contournement ou de publication à l'étranger (STN de Neûchatel, Encyclopédie). Ouvrages à succès. Donc accélérateur de mobilité des savoirs.


---> on voit là qu'il s'agit surtout de reformuler les connaissances, tout est question de tournure, d'adapter les connaissances au sujet

Qu'en penses-tu? (qu'en pensez-vous?)

Bon, qui a encore cédé aux charmes de la dissert et n'est toujours pas à la BnF à bosser sur le plan de sa thèse?  

Karine B. a écrit:

comment les motivations et les conditions ont évolué... vague. Les motivations de quoi, de qui? Les conditions de quoi?

Familles aristocratiques et pas aristocrates. Sûre que ce n'est pas "noble"?

Pour tenter de répondre à la problématique: genre de formule à bannir. Au fait! Au fait! "Nous verrons dans un premier temps..." (bon même si certains correcteurs sont allergiques à une présentation de plan aussi explicite, m'enfin on ne peut pas plaire à tout le monde).

Présentation du plan en trois phrases, resserrées en un 5e paragraphe bien marqué. Une intro c'est 5 § où le passage entre chaque § est juste marqué par un retour à la ligne..: amorce / présentation du sujet et déf des termes / problématique / présentation des sources / présentation du plan

Karine B. a écrit:

 

 

Bon, j'ai bossé un nouveau plan (merci ML pour l'inspiration;) ). C'est déjà plus dans le sujet. Ma dernière partie ne me convainc toutefois pas vraiment : beaucoup plus légère que les deux autres car moins de contenu. Si vous avez des idées pour la remplir...!

=> Comment, face aux contraintes matérielles et politico-religieuses, assiste-t-on à une multiplication et une diversification des modes de circulation des savoirs? Ces circulations amènent-elles à la constitution d'un vaste espace culturel européen, comme le laisse à penser le modèle de la République des Lettres?

I/ Une circulation accrue des savoirs face à l'engouement d'un public de plus en plus éclairé

A- Les élites à l'origine de nouvelles pratiques qui contribuent à diffuser les savoirs

-"triomphe de l'imprimé" (Chartier) : livres et périodiques. Sécularisation des thèmes face à la demande du lectorat, et aux nouveaux modes de pensée : 1/3 religion en 1730 ; 1/10 à la veille de la RF. Développement du roman (ex : Restif de la Bretonne, Abbé Prévost...), de la littérature scientifique. Ex: Libraires spécialisés comme Antoine Briasson à Paris. Périodiques comme le Journal des savants ou le Mercure Galant pour l'actualité littéraire.
Le succès de l'Encyclopédie atteste aussi de cet engouement pour le livre. 25 000 souscriptions, y compris à l'étranger comme en Italie à partir des imprimerie de Livourne et Lucques.

-les salons : Ex Mme Geoffrin, Mlle de Lespinasse. Lieux de sociabilité pour les élites intellectuelles, politiques et sociales. Lecture, traductions, vulgarisation...

-les correspondances : XVIIIème siècle comme âge d'or de l'épistolaire en littérature mais aussi dans la vie quotidienne. Ex : réseau du mathématicien Euler ou de Voltaire à partir de Ferney.

-les voyages : savants (pour suivre les théorie de Bacon sur l'expérience. Ex : en Laponie, en Italie...); Grand tour : voyages formatifs pour acquérir de nouveaux savoirs et en diffuser.

B- Des savoirs de plus en plus accessibles au public

-l'imprimé : baisse des prix des livres et des revues. Hausse des tirages avec ex chiffré. Pratique de l'abonnement aux périodiques ; pratique des prêts dans des bibliothèques ou des cabinets de lecture attenants aux librairies. Dans les campagnes : colportage.

-traduction et vulgarisation : latin décline. Nécessite de traduire en langues vernaculaires pour les autres savants mais surtout pour le public éclairé. Ex : Voltaire et Mme du Châtelet pour les Principia de Newton. Toute une littérature de vulgarisation scientifique à destination des nobles lettrées des salons.

II/ Les autorités politiques et religieuses : freins ou accélérateurs de la circulation des savoirs?

A- La censure et son contournement

-des politiques différentes en Europe : cas hollandais et anglais plus permissifs ; cas espagnol avec la censure ecclésiastique et le rôle de l'Inquisition ; cas français avec la censure préalable et la police du livre, à nuancer par exemple sous Malesherbes qui accorde le privilège pour l'Encyclopédie.

-MAIS : contournement. Ex : STN de Neûchatel pour l'édition des oeuvres de Voltaire et de l'Encyclopédie. L'interdit fait vendre ; ventes illégales.
Recours à la fiction : ex : Lettres persanes ; Les aventures de Télémaque de Fénelon...

B- Les politiques de persécution religieuse : l'exemple des huguenots français

-rappels brefs de la politique de Louis XIV amenant à l'Edit de Fontainebleau et ses conséquences : 200 000 départs de protestants.
-rôle des intellectuels protestants ex: P. Bayle et ses Nouvelles de la République des lettres.
-rôle des ouvriers protestants dans la circulation des savoirs techniques. Ex : papetiers angoumoisins partis donner leur savoir-faire à l'Angleterre...

C- Le mécénat princier

-Les académies : rappel du modèle français, diffusé à toute l'Europe. Ex : Royal Sociéty de Londres.

-Protection des scientifiques et des philosophes: ex Voltaire et Frédéric II.

-Protection des entrepreneurs étrangers, débauchages : ex Van Robbais ou verriers de Murano avec Colbert.

III/ Les limites de la diffusion des savoirs : l'Europe devenue République des Lettres et des sciences?

A- Des savoirs polémiques, intrinsèquement freins à leur diffusion

-radicalité de la pensée des Lumières. Ex : Voltaire ; Ex : Hashkala juive longtemps restée à Berlin.

-radicalité des découvertes scientifiques qui remettent en question les connaissances admises par l'Eglise, et mettent du temps à circuler. Ex : Newton et l'évolution de Buffon.

B- La situation des transports dans l'Europe du XVIIIème siècle

-état catastrophique des routes : freine les circulations postales (donc correspondances) + les voyages.
-malgré des politiques étatiques. Ex : Orry en France.

C- L'inégale diffusion des savoirs en Europe

Europe du Nord : savoirs se diffusent plus facilement. Etats plus permissifs, vs France et surtout Europe méridionale.

[quote="kiwi"]Bon, j'ai bossé un nouveau plan (merci ML pour l'inspiration;) ). C'est déjà plus dans le sujet. Ma dernière partie ne me convainc toutefois pas vraiment : beaucoup plus légère que les deux autres car moins de contenu. Si vous avez des idées pour la remplir...!

=> Comment, face aux contraintes matérielles et politico-religieuses, assiste-t-on à une multiplication et une diversification des modes de circulation des savoirs? Ces circulations amènent-elles à la constitution d'un vaste espace culturel européen, comme le laisse à penser le modèle de la République des Lettres?


Il faudrait peut être t'en tenir à la seconde partie de ta problématique, en insistant sur la constitution d'un vaste espace culturel européen... Cet aspect me paraît très intéressant, et permet de rassembler les différents savoirs: culturels mais aussi savoir faire ou même savoir vivre...

Et la dimension matérielle des circulations... De toute façon, la deuxième partie de sa problématique induit inévitablement la première partie.

Instructeurpublic a écrit:Et la dimension matérielle des circulations... De toute façon, la deuxième partie de sa problématique induit inévitablement la première partie.

J'en parle avec les routes dans ma dernière partie. Sinon, je ne vois pas quoi mettre d'autre sur cet aspect matériel.

En effet, les deux questions sont complémentaires.

kiwi a écrit:

Instructeurpublic a écrit:Et la dimension matérielle des circulations... De toute façon, la deuxième partie de sa problématique induit inévitablement la première partie.

J'en parle avec les routes dans ma dernière partie. Sinon, je ne vois pas quoi mettre d'autre sur cet aspect matériel.

La poste aux lettres, le franchissement de la frontière, les tarifs, les contrats d'abonnement, l'évolution des frais de port ? Tu en as peut-être parlé ailleurs. L'essentiel étant de relier tout ça à la constitution d'un espace culturel européen.

Instructeurpublic a écrit:

kiwi a écrit:

Instructeurpublic a écrit:Et la dimension matérielle des circulations... De toute façon, la deuxième partie de sa problématique induit inévitablement la première partie.

J'en parle avec les routes dans ma dernière partie. Sinon, je ne vois pas quoi mettre d'autre sur cet aspect matériel.

La poste aux lettres, le franchissement de la frontière, les tarifs, les contrats d'abonnement, l'évolution des frais de port ? Tu en as peut-être parlé ailleurs. L'essentiel étant de relier tout ça à la constitution d'un espace culturel européen.

Oui ça j'en parle, sauf du franchissement de frontières (faut-il aborder la question des passeports pour les voyages? du contrôle d'identité? Je crois que là, on est vraiment à la marge du sujet).

kiwi a écrit:

Instructeurpublic a écrit:

kiwi a écrit:J'en parle avec les routes dans ma dernière partie. Sinon, je ne vois pas quoi mettre d'autre sur cet aspect matériel.

La poste aux lettres, le franchissement de la frontière, les tarifs, les contrats d'abonnement, l'évolution des frais de port ? Tu en as peut-être parlé ailleurs. L'essentiel étant de relier tout ça à la constitution d'un espace culturel européen.

Oui ça j'en parle, sauf du franchissement de frontières (faut-il aborder la question des passeports pour les voyages? du contrôle d'identité? Je crois que là, on est vraiment à la marge du sujet).

Non pas les voyages, juste les correspondances, périodiques, etc.

Instructeurpublic a écrit:Et la dimension matérielle des circulations... De toute façon, la deuxième partie de sa problématique induit inévitablement la première partie.

oui justement, d'où l'intérêt de la reformuler. un formateur nous a fait remarquer que la problématique, si elle est découpée en plusieurs aspects qui reviennent plus ou moins au même, doit être simplifiée, pour éviter les redondances ou une impression de lourdeur dans la formulation. Uniquement s'il y a répétition évidemment...

Normographe : je viens d'en commander un ici (http://geographie-muniga.org/ATTENTION_NORMOGRAPHE.html). Il y a quelques croquis utilisables sur le site

kiwi a écrit:

Instructeurpublic a écrit:

kiwi a écrit:J'en parle avec les routes dans ma dernière partie. Sinon, je ne vois pas quoi mettre d'autre sur cet aspect matériel.

La poste aux lettres, le franchissement de la frontière, les tarifs, les contrats d'abonnement, l'évolution des frais de port ? Tu en as peut-être parlé ailleurs. L'essentiel étant de relier tout ça à la constitution d'un espace culturel européen.

Oui ça j'en parle, sauf du franchissement de frontières (faut-il aborder la question des passeports pour les voyages? du contrôle d'identité? Je crois que là, on est vraiment à la marge du sujet).

Ton nouveau plan ne reprend pas les transferts de savoirs techniques? dans le domaine artisanal et industriel?

lionelk a écrit:

Instructeurpublic a écrit:Et la dimension matérielle des circulations... De toute façon, la deuxième partie de sa problématique induit inévitablement la première partie.

oui justement, d'où l'intérêt de la reformuler. un formateur nous a fait remarquer que la problématique, si elle est découpée en plusieurs aspects qui reviennent plus ou moins au même, doit être simplifiée, pour éviter les redondances ou une impression de lourdeur dans la formulation. Uniquement s'il y  a répétition évidemment...

Oui, enfin autant je ne suis pas fan des problématiques en 15 questions, autant la problématique à rallonge, où quand tu arrives à la fin, tu ne te souviens plus du début... C'est franchement pourri aussi. Là, je n'ai que deux questions, complémentaires. Je pense que c'est acceptable.

oui bien sur que c'est acceptable, je parlais uniquement de situation de redondance.... mais c'est vrai que deux questions en soi, c'est acceptable!

Sinon épreuve blanche de géo: mobilités et frontières

Karine B. a écrit:Normographe : je viens d'en commander un ici (http://geographie-muniga.org/ATTENTION_NORMOGRAPHE.html). Il y a quelques croquis utilisables sur le site

J'allais mettre le même lien que toi : j'ai trouvé ce site ce matin (puisque même la grande surface est en défaut de proposer un normographe en ce moment -> il faut, parait-il, y penser en septembre !)