- RoninMonarque
Nasopi a écrit:Moi je n'y crois plus du tout ; pour moi les psychanalystes sont les équivalents des médecins de Molière, c'est dire. :lol:
La vérité, c'est qu'on ne comprend rien au fonctionnement de notre cerveau, ou pas grand chose en tout cas, et que personne n'a jamais réussi à soigner une maladie psychique.
Ma tante était schizophrène et elle a souffert toute sa vie, mes enfants sont autistes et ils ne guériront jamais. C'est comme ça.
Vous êtes sûr de cela ? donc on peut supprimer les hôpitaux psy ça nous fera de belles économies. Parce que vous connaissez un cas de schizophrénie non soigné vous pouvez généraliser à toutes les pathologies ? quant à l'autisme je vous renvoie au fil sur l'enseignement spécialisé. Là vous y allez fort, cela fait dix ans que les associations de parents d'enfants autistes militent pour faire reconnaître que l'autisme n'est pas une maladie mentale ( à juste titre puisqu'il s'agit d'un trouble neuro-développemental ) mais un handicap, et vous reprochez que la psychanalyse ne puisse rien faire ? mais c'est la définition du handicap. L'autisme n'étant pas une maladie, on ne peut pas la guérir. A ce compte là pourquoi ne pas reprocher aux psychanalystes de ne rien faire pour guérir la trisomie 21 ?
J'avais bien quelques idées pour ce fil, mais il me semble que c'est inutile.
- gelsomina31Grand Maître
Sans ma cure psychanalyste, je serais morte (suicidée) après avoir tué mon père et quelques autres personnes (dentiste, profs,...). Et ce n'est pas la religion ou la morale qui m'aurait arrêtée.
La psychanalyse n'est pas peut être pas une science (exacte/molle/etc.) mais une escroquerie, je ne suis pas d'accord.
Après, je veux bien reconnaitre que la psychanalyse peut attirer les escrocs et produire des dommages considérables.
La psychanalyse n'est pas peut être pas une science (exacte/molle/etc.) mais une escroquerie, je ne suis pas d'accord.
Après, je veux bien reconnaitre que la psychanalyse peut attirer les escrocs et produire des dommages considérables.
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Fear buildswalls.Hope builds bridges !
« De chacun selon ses forces, à chacun selon ses besoins. »
- V.MarchaisEmpereur
Sur le sujet, je recommande la lecture du Livre Noir de la psychanalyse, qui montre touts les errements de Freud et la manière dont il a truqué ses travaux.
Quant à Lacan, c'est lui qui déclarait en substance : Je balance au public des conneries et on me paie très cher pour ça.
Au moins, c'est clair.
Il n'en demeure pas moins que la "talking cure" peut faire beaucoup de bien à certains, si tant est qu'on n'en fasse pas l'alpha et l’oméga du soin psychiatrique comme cela s'est produit en France au détriment de la recherche en psychiatrie. Cela nous vaut une beau retard dans bien des domaines.
Enfin, Freud n'est l'inventeur ni de la notion d'inconscient ni de la "talking cure". Il a juste systématisé et modélisé ces principes, sauf erreur de ma part.
Quant à Lacan, c'est lui qui déclarait en substance : Je balance au public des conneries et on me paie très cher pour ça.
Au moins, c'est clair.
Il n'en demeure pas moins que la "talking cure" peut faire beaucoup de bien à certains, si tant est qu'on n'en fasse pas l'alpha et l’oméga du soin psychiatrique comme cela s'est produit en France au détriment de la recherche en psychiatrie. Cela nous vaut une beau retard dans bien des domaines.
Enfin, Freud n'est l'inventeur ni de la notion d'inconscient ni de la "talking cure". Il a juste systématisé et modélisé ces principes, sauf erreur de ma part.
- RobinFidèle du forum
V.Marchais a écrit:Sur le sujet, je recommande la lecture du Livre Noir de la psychanalyse, qui montre touts les errements de Freud et la manière dont il a truqué ses travaux.
Quant à Lacan, c'est lui qui déclarait en substance : Je balance au public des conneries et on me paie très cher pour ça.
Au moins, c'est clair.
Il n'en demeure pas moins que la "talking cure" peut faire beaucoup de bien à certains, si tant est qu'on n'en fasse pas l'alpha et l’oméga du soin psychiatrique comme cela s'est produit en France au détriment de la recherche en psychiatrie. Cela nous vaut une beau retard dans bien des domaines.
Enfin, Freud n'est l'inventeur ni de la notion d'inconscient ni de la "talking cure". Il a juste systématisé et modélisé ces principes, sauf erreur de ma part.
Le Livre noir de la psychanalyse montre en effet que Freud a commis des trucages pour appuyer sa théorie (la plupart des exemples de la Psychopathologie de la vie quotidienne sur les actes manqués sont purement et simplement inventés et en particulier la fameuse histoire de la liquéfaction du sang de la chasse de saint Janvier à Naples).
L'expression "talking cure" a été trouvée par une patiente anglaise de Freud qui parle aussi de "chimney sweeping" (ramonage).
Les vertus du rêve et de la parole étaient déjà connus des Grecs et à l'honneur au temple d'Esculape dont les prêtres demandaient aux malades de raconter leurs rêves.
- V.MarchaisEmpereur
C'est bien ce qu'il me semblait. Merci pour ces rappels, Robin. Tout cela est un peu lointain et confus pour moi.
- RoninMonarque
V.Marchais a écrit:Sur le sujet, je recommande la lecture du Livre Noir de la psychanalyse, qui montre touts les errements de Freud et la manière dont il a truqué ses travaux.
Quant à Lacan, c'est lui qui déclarait en substance : Je balance au public des conneries et on me paie très cher pour ça.
Au moins, c'est clair.
Il n'en demeure pas moins que la "talking cure" peut faire beaucoup de bien à certains, si tant est qu'on n'en fasse pas l'alpha et l’oméga du soin psychiatrique comme cela s'est produit en France au détriment de la recherche en psychiatrie. Cela nous vaut une beau retard dans bien des domaines.
Enfin, Freud n'est l'inventeur ni de la notion d'inconscient ni de la "talking cure". Il a juste systématisé et modélisé ces principes, sauf erreur de ma part.
Je suis désolé de vous contredire mais c'est un peu plus complexe que cela. Je suis étonné de jugements aussi rapides et définitifs. J'ai un peu l'impression d'entendre des parents d'élèves parler pédagogie.
- V.MarchaisEmpereur
Je sais bien que c'est plus complexe, Ronin. Le problème, c'est qu'en France, Freud est LE dieu, Le Maître, La référence, que les psychanalystes ont bien verrouillé le système et que ça a fait des dégâts. Ça donne surtout envie d'inverser la vapeur, avec radicalité, donc.
- thrasybuleDevin
Véro, je ne vais pas te rappeler toute l'importance de la psychanalyse chez les écrivains: Jean-Jouve, Leiris, et le lien intime qu'elle tisse avec la création.
Pour ses capacités thérapeutiques, j'en sais rien , je ne suis pas un spécialiste, mais elle a offert( offre?) une alternative à la psychiatrie dont il faut aussi rappeler l'histoire( Ronin, de l'indulgence si je dis des conneries! ).
j'avais lu très jeune( je sais, c'est sûrement une connerie mais j'avais 13 ans) Les Mots pour le dire de Cardinale et j'ai encore gravé en lettres de feu dans mon ciboulot le moment où le psy dit à la narratrice, qui vient le voir à bout- après avoir été bourrée de médicaments pour des docteurs- avec des écoulements de sang irrépressibles: " Votre sang ne m'intéresse pas."
Pour ses capacités thérapeutiques, j'en sais rien , je ne suis pas un spécialiste, mais elle a offert( offre?) une alternative à la psychiatrie dont il faut aussi rappeler l'histoire( Ronin, de l'indulgence si je dis des conneries! ).
j'avais lu très jeune( je sais, c'est sûrement une connerie mais j'avais 13 ans) Les Mots pour le dire de Cardinale et j'ai encore gravé en lettres de feu dans mon ciboulot le moment où le psy dit à la narratrice, qui vient le voir à bout- après avoir été bourrée de médicaments pour des docteurs- avec des écoulements de sang irrépressibles: " Votre sang ne m'intéresse pas."
- V.MarchaisEmpereur
Mais Thrasy, je n'ai jamais dénié la grande capacité de la psychanalyse à soigner les gens qui vont bien...
Je suis acerbe, mais je l'admets bien volontiers, j'ai la haine contre un certain état de la psychiatrie en France. Il y a, tout proche de moi, un petit garçon autiste de 3 ans qui attend une prise en charge acceptable, et des soins efficaces. Les structures spécialisées ferment. Les méthodes type ABA restent méconnues. Enfin, il pourra toujours faire une psychanalyse.
Je suis acerbe, mais je l'admets bien volontiers, j'ai la haine contre un certain état de la psychiatrie en France. Il y a, tout proche de moi, un petit garçon autiste de 3 ans qui attend une prise en charge acceptable, et des soins efficaces. Les structures spécialisées ferment. Les méthodes type ABA restent méconnues. Enfin, il pourra toujours faire une psychanalyse.
- grandesvacancesNeoprof expérimenté
Ronin a écrit: Là vous y allez fort, cela fait dix ans que les associations de parents d'enfants autistes militent pour faire reconnaître que l'autisme n'est pas une maladie mentale ( à juste titre puisqu'il s'agit d'un trouble neuro-développemental ) mais un handicap, et vous reprochez que la psychanalyse ne puisse rien faire ? mais c'est la définition du handicap. L'autisme n'étant pas une maladie, on ne peut pas la guérir. A ce compte là pourquoi ne pas reprocher aux psychanalystes de ne rien faire pour guérir la trisomie 21 ?
J'avais bien quelques idées pour ce fil, mais il me semble que c'est inutile.
Je crois plutôt qu'on reproche à la psychanalyse d'avoir prétendu être la seule solution. Que de temps perdu !
- thrasybuleDevin
Qu'est-ce-que ça veut dire "aller bien"? Pardon pour la question frontale, c'est une vraie question( me voici forcé à employer cette expression qui m'agace )?
Je suis terriblement partagé sur la question...( de la psychanalyse!)
Je suis terriblement partagé sur la question...( de la psychanalyse!)
- V.MarchaisEmpereur
Oui. La psychanalyse a prétendu tout soigner, même l'autisme. On a avancé des thèses ignobles pour expliquer l'état de ces enfants. Et pendant ce temps-là, la recherche progressait aux Etats-Unis, et pas en France.
Que de temps perdu, c'est exactement ça.
Que de temps perdu, c'est exactement ça.
- V.MarchaisEmpereur
thrasybule a écrit:Qu'est-ce-que ça veut dire "aller bien"? Pardon pour la question frontale, c'est une vraie question( me voici forcé à employer cette expression qui m'agace )?
Je suis terriblement partagé sur la question...( de la psychanalyse!)
Pauv' philosophe, va ! On l'y dit des trucs simples et y répond des trucs compliqués !
Bon, si je devais hasarder une définition à la louche, ce serait un truc comme : pouvoir se conduire dans la vie (y compris dans sa dimension sociale, matérielle, affective...) (donc déjà en être capable) sans sentiment de souffrance limitant.
- thrasybuleDevin
Justement les témoignages, au moins littéraires, évoquent des infirmités réelles ( qui relèvent donc du pathologique) que la psychanalyse a guéries: Cardinale, Rey dans une Saison chez Lacan. Quand on neutralise le symptôme( comme le fait la psychiatrie ou la thérapie comportementaliste), il se déplace. Je ne parle pas des psychoses, terra incognita, mais des névroses borderline qui empêchent une personne de vivre.
- V.MarchaisEmpereur
Tu sais, j'ai tendance à penser que la littérature guérit, alors les témoignages littéraires... :lol:
Non, sérieusement, la psychanalyse fait certainement du bien pour les névroses, effectivement. Face à du lourd, je doute.
Non, sérieusement, la psychanalyse fait certainement du bien pour les névroses, effectivement. Face à du lourd, je doute.
- V.MarchaisEmpereur
Tiens, il y a un psy(... je ne sais plus la suite) dont le travail t'intéressera sûrement, c'est Tatossian. Il a travaillé notamment sur la notion d'événement, et la manière dont ces événements sont reliés en un tout cohérent et, surtout, significatif. En gros, l'événement n'existe pas absolument. Tel fait fera événement pour toi et pas pour moi en fonction de notre histoire, notre sensibilité. Il prendra une acuité particulière, une valeur positive ou négative. S'il n'y a pas d'événement en soi, il y a encore moins un sens des événements ou une valeur des événements en soi. Chacun tisse ce sens avec les moyens du bord. La thérapie verbale peut être un de ces moyens qui permet de discerner ce qui fait événement, de prendre conscience de la valeur qu'on accorde à cet événement et de la manière dont on les relie entre eux pour leur donner un sens, une logique.
Ben pour moi, écrire remplit la même fonction.
Ben pour moi, écrire remplit la même fonction.
- thrasybuleDevin
Suis d'accord Véro!
Je pense aussi au film de Bonnaire sur sa soeur, si vous voulez déprimer, bande de maso, il faut le voir. Des dangers de la psychiatrisation et du tout-pharmacologique. Quelqu'un l'a vu?
Je pense aussi au film de Bonnaire sur sa soeur, si vous voulez déprimer, bande de maso, il faut le voir. Des dangers de la psychiatrisation et du tout-pharmacologique. Quelqu'un l'a vu?
- thrasybuleDevin
Je ne le connais pas... ça m'intéresse beaucoup, je vais voir ça.
- V.MarchaisEmpereur
Je ne sais pas si je suis claire. La thérapie permet de réagencer, en quelque sorte, les événements et la lecture qu'on en fait.
Quand on écrit, c'est pareil, on crée du sens là où il n'y en a pas a priori, et en plus, on choisit une forme adéquate, on ajoute le plaisir du beau au plaisir du sens.
Quand on écrit, c'est pareil, on crée du sens là où il n'y en a pas a priori, et en plus, on choisit une forme adéquate, on ajoute le plaisir du beau au plaisir du sens.
- V.MarchaisEmpereur
thrasybule a écrit:Suis d'accord Véro!
Je pense aussi au film de Bonnaire sur sa soeur, si vous voulez déprimer, bande de maso, il faut le voir. Des dangers de la psychiatrisation et du tout-pharmacologique. Quelqu'un l'a vu?
Pas moi, mais d'accord quand même sur les dangers du tout médoc. Je sais que je suis excessive, parce que le sujet me touche. En fait, il faudrait un juste milieu. J'espère que nous n'avons pas fait fuir Ronin qui a certainement un autre point de vue et des compétences appréciables à apporter sur le sujet.
- V.MarchaisEmpereur
Je suis frustrée, je n'ai pas de son sur mon ordi et je ne peux pas écouter vos vidéos.
J'vais me faire une névrose, pour la peine !
J'vais me faire une névrose, pour la peine !
- V.MarchaisEmpereur
Tu comprends même quand on explique pas bien : t'es fort, toi !
- RoninMonarque
Pour ce qui est de l'autisme et de la place prépondérante de la psychanalyse je vous renvoie au fil sur l'enseignement spécialisé, j'ai longuement expliqué le pourquoi du comment.
Que la psychanalyse ne guérisse pas tout nous sommes bien d'accord. Mais il ne faudrait quand même pas commettre d'anachronisme. Qui avait il avant la psychanalyse ? pas grand chose : les salles d'asile, les électrochocs et le bromure. Tout était perçu par le versant biologique et uniquement biologique.
Et vers nous dirigeons nous maintenant que la psychanalyse disparaît à vitesse grand V ? ce qui se passe aux USA avec le DSM-V : des traitements chimiques pour faire disparaître les symptômes et retour à la maison. Je vois au quotidien la différence de prise en charge avec les TCC et le tout neurologique qui est en train de se mettre en place depuis dix ans. Et bien je vous fiche mon billet que la psychanalyse aura quasiment disparu dans vingt maximum et que dans cinquante ans on y reviendra, sous une forme modernisée, devant l'échec du tout chimique.
Enfin, pour ce qui est de l'autisme je vous renvoie à ce que j'ai mis ici :
https://www.neoprofs.org/t59155p80-l-enseignement-specialise-questions-et-debats
Je suis convaincu que pour les psychoses, effectivement, la psychanalyse n'est de presque aucune utilité, en revanche pour les états-limites et les névroses je ne vois rien de mieux.
Un certain nombre de critiques sont justifiées mais pour faire court j'ose un raccourci volontairement provocateur : la psychanalyse c'est l'école des connaissances, les tcc c'est l'école du socle...
Que la psychanalyse ne guérisse pas tout nous sommes bien d'accord. Mais il ne faudrait quand même pas commettre d'anachronisme. Qui avait il avant la psychanalyse ? pas grand chose : les salles d'asile, les électrochocs et le bromure. Tout était perçu par le versant biologique et uniquement biologique.
Et vers nous dirigeons nous maintenant que la psychanalyse disparaît à vitesse grand V ? ce qui se passe aux USA avec le DSM-V : des traitements chimiques pour faire disparaître les symptômes et retour à la maison. Je vois au quotidien la différence de prise en charge avec les TCC et le tout neurologique qui est en train de se mettre en place depuis dix ans. Et bien je vous fiche mon billet que la psychanalyse aura quasiment disparu dans vingt maximum et que dans cinquante ans on y reviendra, sous une forme modernisée, devant l'échec du tout chimique.
Enfin, pour ce qui est de l'autisme je vous renvoie à ce que j'ai mis ici :
https://www.neoprofs.org/t59155p80-l-enseignement-specialise-questions-et-debats
Je suis convaincu que pour les psychoses, effectivement, la psychanalyse n'est de presque aucune utilité, en revanche pour les états-limites et les névroses je ne vois rien de mieux.
Un certain nombre de critiques sont justifiées mais pour faire court j'ose un raccourci volontairement provocateur : la psychanalyse c'est l'école des connaissances, les tcc c'est l'école du socle...
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- thrasybuleDevin
Ben si le texte est tissage, tissu, comme la recomposition qu'en fait l'analysé dans la fiction véridique qu'il construit à partir du journal de bord mental de son histoire . Il se fait démiurge à partir du chaos indifférencié du souvenir et de la conscience; il fait événement.
Enfin c'est comme ça que j'ai compris
Enfin c'est comme ça que j'ai compris
- thrasybuleDevin
J'ai lu un article effrayant dans le monde aujourd'hui sur les pratiques de neurochirurgiens mexicains. Ca fait peur.
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