HG Terminale ES/L

boris vassiliev a écrit:Si on résume, vous avez perdu une journée, quoi...
Il faut quand même le faire, une "conférence" sur le chapitre introductif au mois de novembre !
La bonne nouvelle, c'est qu'on n'est pas de gros vilains si on traite le programme dans un autre ordre...

Oui oui on a le droit d' "éclater" le programme...

qui te dit que tu es plus privilégiée que 80% de ces collègues là ??

Même pas en APV, population mixte mais plutôt privilégiée, pas de gros problèmes de violences dans l'établissement, fort soutien des CPE, pas d'heures sup. Je suis privilégiée, j'en ai bien conscience.
J'adore faire cours, j'adore transmettre, chercher la meilleure manière de passer un savoir, etc. J'aime faire des cours en fac, j'ai beaucoup aimé travailler avec des jeunes adultes en formation après un décrochage ou guider des visites en musée. Mais je déteste ce boulot où je dois m'imposer à des ados (ce que je n'arrive pas à faire) ; la relation d'autorité - dans un sens comme dans l'autre - m'est étrangère et douloureuse. C'est complètement débile et puérile.

Bon, on ne va pas ergoter, ou je vais encore pleurer à l'idée de retourner au bahut. Désolée.

Al-qalam a écrit:Même pas en APV, population mixte mais plutôt privilégiée, pas de gros problèmes de violences dans l'établissement, fort soutien des CPE, pas d'heures sup. Je suis privilégiée, j'en ai bien conscience.
J'adore faire cours, j'adore transmettre, chercher la meilleure manière de passer un savoir, etc. J'aime faire des cours en fac, j'ai beaucoup aimé travailler avec des jeunes adultes en formation après un décrochage ou guider des visites en musée. Mais je déteste ce boulot où je dois m'imposer à des ados (ce que je n'arrive pas à faire) ; la relation d'autorité - dans un sens comme dans l'autre - m'est étrangère et douloureuse. C'est complètement débile et puérile.

C'est plutôt pas étonnant quand on en est à sa 2e année, qui plus est avec des classes qu'on a jamais eu et à examen. A moins d'être une sorte de Lino Ventura, "l'autorité" est bien théorique tant qu'on n'est pas un peu sûr de faire ce qu'il faut. Tant aussi qu'on veut respecter à tout prix (normal, puisqu'on est consciencieux et qu'on a besoin d'appliquer quelque chose) les règles et les techniques des autres mais qui ne correspondent pas vraiment à sa personnalité et au personnage qu'on se crée peu à peu.

Ce qui m'énerve beaucoup dans les discussions avec collègues, c'est qu'il est très rare de voir quelqu'un reconnaître qu'il rencontre des difficultés ou est confronté à des doutes.

J'ai surtout remarqué cela dans les journées de formation alors que leur but serait justement de mettre les choses sur la table.

Sinon c'est vrai, on n'est pas obligé de traiter les cartes et le patrimoine en début de programme? C'est ce que j'avais fait spontanément mais en ayant mauvaise conscience et maintenant que j'ai finalement fait ce chapitre j'en suis bien content parce que les élèves ont vraiment ramé. Je n'imagine pas ce que cela aurait donné si cela avait été notre premier contact.

je ne trouve pas ça du tout débile Al Qalam, franchement tu as l'air d'avoir des classes chiantes... et puis je joue au tyran avec mes terminales mais ça me rend un peu malade parfois.

Suis parti avant la fin de la formation aujourd'hui... Al-Qalam racontera peut être en détail mais globalement je doute vraiment de l'intérêt de "formation" ou (comme cet après midi) on se contente de nous résumer un manuel, en l'occurrence le Daubresson sur l'Afrique.
Je vois pas ce qu'on y gagne...
Grosse déception pour ma part.

Nightcrawler1 a écrit:
Sinon c'est vrai, on n'est pas obligé de traiter les cartes et le patrimoine en début de programme? C'est ce que j'avais fait spontanément mais en ayant mauvaise conscience et maintenant que j'ai finalement fait ce chapitre j'en suis bien content parce que les élèves ont vraiment ramé. Je n'imagine pas ce que cela aurait donné si cela avait été notre premier contact.

Non, ce n'est pas autorisé dans les programmes. C'est la version des formateurs, mais ces formateurs n'ont pas demandé leurs avis aux IPR. Leur argument, c'est qu'il vaut mieux enfreindre les instructions des programmes et être intelligible par les élèves, et qu'on pourra argumenter cela face aux IPR lors d'une inspection. Ce qui n'est pas faux. Maintenant, est-ce qu'un IPR entendra cette argumentation ?

J'ai trouvé la formation d'aujourd'hui plus intéressante que celle d'hier. Une intervention fournie le matin sur le socialisme en Allemagne (un peu tard pour vous, malheureusement), une intervention l'après-midi sur l'Afrique et une sur le Sahara (par le même formateur que celui sur Jérusalem, mais un peu moins mauvais, si ce n'est que sa proposition pédagogique est à mon avis infaisable, beaucoup trop longue, mais lui-même reconnaît que traiter le sujet en 3h, c'est du suicide).

Collier de Barbe, je serais moins sévère que toi vis à vis de ces formations ; quand on n'a pas du tout travaillé les chapitres, comme c'est mon cas, ça débroussaille quand même pas mal les sujets. Certes, une lecture du Colin U et du manuel de Science Po sur l'Afrique serait aussi utile, mais :
- il faut savoir qu'ils existent et avoir la possibilité de les consulter
- il faut avoir le temps de le lire (en ce moment, je n'utilise presque que les manuels de secondaire pour préparer les cours)
Dans la course au temps qui est la nôtre vis à vis de ces nouveaux programmes, je trouve quand même pas mal que quelqu'un nous mâche un peu le travail avant. Est-ce que ce sera vraiment utile au moment de préparer ? Je pense, mais à vérifier... Maintenant c'est vrai que quand on a un peu de bouteille, et qu'on est un peu moins pris par le temps, ça peut être frustrant.
Ce que je regrette beaucoup dans cette formation, c'est l'absence de réels moment sur la mise en oeuvre pédagogique. Certes, montrer quelques documents sur power point, ça peut être intéressant, mais j'aurais aimé qu'on se penche davantage sur la manière de faire travailler les élèves. Avec un programme prévu à l'avance, qu'on aurait pu préparer, la "mise au point scientifique" devenait moins importante, et le travail sur la pédagogie aurait pu prendre plus d'ampleur.
Je retiens l'idée de faire faire aux élèves, avant le chapitre, une "fiche de cadrage" à la maison, avec quelques éléments de chronologie, quelques définitions, éventuellement une carte.

J'ai pris vraiment beaucoup, beaucoup de notes, donc je vais essayer de résumer dans un message suivant, si ça vous intéresse. Je ne mets pas tout, si vous voulez plus d'infos sur certains points, et si vous voulez le power point proposé sur Socialisme en Allemagne, n'hésitez pas à demander par mp (pour des questions de droit, je ne pense pas pouvoir le mettre sur la bdd. Déjà, diffuser mes notes viole le droit d'auteur, mais je ne pense pas que ça pose problème. Si c'est le cas, j'enlève, bien sûr.).

Désolée pour le petit craquage hier. Faut vraiment que j'arrête de me plaindre

Socialisme, communisme et syndicalisme en Allemagne 1875-nos jours
Pour la formatrice, un problème se pose à la lecture de la fiche éduscol : quelle place donner à l'Allemagne, quelle place donner à l'Europe ? Contradiction dans la fiche éduscol => il faut être pragmatique ; il n'y a pas de chance pour que le sujet au bac traite d'autre chose que l'Allemagne => traiter uniquement l'Allemagne, en recadrant de temps en temps par une carte européenne.

Plan chronologique en 3 parties qui s'impose :
I) Naissance et développement sous l'empire (2h).
A) Une naissance dans l'opposition
Un des mouvements ouvriers les plus développés en Europe en 1914, alors que régime autoritaire et industrialisation tardive. Naissance avant tout chez des ouvriers qualifiés urbains. S'éloigne rapidement du marxisme : revendications politiques concrètes.
Volonté d'interdiction sous Bismarck (loi en 1878), mais ne fonctionne pas et les lois sont supprimées dès 1890 (mouvement qui survit grâce aux associations culturelles et sportives ; participation libre aux élections).

B) La croissance du mouvement ouvrier
Parti social-démocrate (SPD) qui recrute surtout dans les grandes villes protestantes. Tout d'abord très corporatistes, puis à partir de 1890, organisations plus larges, centralisation. Fin XIXe, 22% de la population est syndiquée, contre 8% en France.
3 éléments majeurs dans le développement :
- l'assurance(système obligatoire dès 1881 par Bismarck (idée de faire reposer les fondements de la nation sur l'entraide communautaire), récupéré par le mouvement ouvrier (création de tribunaux pour les recours sociaux en 1900 à la demande des mouvements ouvriers, rôle croissant dans la gestion de l'assurance sociale).
- le droit protecteur du travail
- la négociation collective. Beaucoup plus développée en Allemagne qu'en France, mais cette opposition est mons culturelle que liée à des facteurs pratiques. L'opposition est à nuancer : mêmes catégories de métiers. La différence s'explique par l'attitude de l'état et des fonctionnaires, qui connaissent mieux le milieu syndical en Allemagne, alors qu'ils l'ignorent en France.

C) Les divisions du mouvement
Tensions à partir du congrès d'Erfurt en 1891. Division en 2 courants : révisionnistes (plutôt du Sud, majorité) et révolutionnaires (nord).
Bernstein théorise les thèses révisionnistes, mais récusé par les instances dirigeantes du parti ; par contre, ses thèses continuent à être développées en pratique.
Au congrès de Mannheim (1906), interdiction en pratique de la grèce générale et beaucoup de place est donné aux syndicats par le SPD.
Rôle important des associations culturelles.

II) Mouvement ouvrier entre 1914 et 1945)
Icono très abondante sur cette période, on peut partir d'affiches et d'images. Place de la caricature intéressante : outil de combat.
A) La division du mouvement ouvrier (1914-1919)
Division sur la question du vote des crédits de guerre.
SPD vote les crédits au début de la guerre pour deux raisons : patriotisme, russophobie. Mais fort débat en interne.
=> scission en 1916, création de l'USPD (Patrie social-démocrate indépendant). Réunit plusieurs tendances, une extrême (spartakistes, Rosa Luxembourg), une modérée, qui envisage une réconciliation avec le SPD après la guerre. => éclate également.
1918 : pour la première fois, le SPD exerce le pouvoir.
Les conseils d'ouvriers et de soldats élisent un conseil des représentants du peuple avec 3 SPD/3 USPD. Divisions internes => scission. Les révolutionnaires créent en janvier 1919 le parti communiste (KPD)Réprimé à partir de janvier 1919 après les élections qui donnent le pouvoir au SPD.

B) Les acquis de la république de Weimar
SPD rarement au pouvoir, alors qu'il est le premier parti : 1918-1920, 1928-1930.
Participe à la fondation de la république de Weimar.
- suffrage universel ouvert aux femmes
- élections à la proportionnelle.
- Jette les bases de l'état providence > accords Stinnes-Ligiers, nov 1918 : reconnaissance des syndicat dans l'élaboration des lois sociales, pas de nationalisation des entreprises privées). > chaque allemand a la possibilité de gagner sa vie par un travail, sinon, l'Etat doit l'entretenir (article 163 constitution de rep de Weimar) => assurance chômage, 1927

Retrait volontaire en 1920 : déception, car le SPD est forcé au compromis, et la participation au pouvoir est peu payante électoralement. Base électorale qui ne s'élargit pas (contrairement aux nazis). Après 1930, perd des électeurs au profit du KPD.

C) L'impuissance face à la montée du nazisme
Pas de stratégie cohérente et efficace => blocage politique du mouvement ouvrier.
* SPD choisit une politique de tolérance vis à vis du gouvernement de centre droit => contre-productif.
* Pas d'union avec le KPD, qui préfère s'allier, de temps à autres, aux nazis (idée que les nazis peuvent les débarrasser du SPD, sous-estiment le danger hitlérien)
=> 1933 : interdiction du KPD et du SPD. Reconstitution des partis dans la résistance : SPD (SOPAD) à Londres, KPD à Moscou. Même dans la résistance, restent séparés.
Pas de soulèvement ouvrier en 1933 pour 3 raisons
- répression hitlérienne rapide et brutale, qui surprend(théorie de Kershaw)
- base ouvrière détachée de la république de Weimar et des 2 partis, éloignés de ses préoccupations quotidiennes
- séduction d'une parti des ouvriers par le parti nazi.


III) Le mouvement ouvrier de 1945 à nos jours
Sur la RDA, lire le découverte/repères de Sandrine KOTT, sur l'histoire sociale de la RDA.
A) Le temps de la division
B) Deux Allemagne, deux socialismes
Partie qui se prête à une approche comparatiste, alors que les manuels font souvent 2 études de cas distinctes. Trois axes possibles : jeunesse, syndicats et idéologie (bon courage !).
Sur la RDA, 3 points :
- l'importance du travail dans la RDA. L'entreprise est une cellule d'encadrement
- l'importance de l'éducation et de la culture comme moyen de formation des personnalités socialistes
- décalages et résistances, violente, mais plus souvent rampante (dans les écoles, les élèves n'adhèrent pas au discours du prof). Population qui a une attitude consommatrice, et détourne les institutions pour bénéficier de leurs avantages sans forcément adhérer idéologiquement.

Sur la RFA
- parachèvement du dialogue social, notion de cogestion
- évolution interne du SPD : affranchissement de l'idéologie marxiste en 1959. Cela lui permet de revenir au pouvoir.

C) Le temps de la réunification
Echec pour le SPD, qui s'y opposait. => crise, forte érosion des voix dans les années 1990. Avec le retour au pouvoir de Schroeder, programme de réformes (réformes Hartz) très libéral.
Actuellement, concurrencé sur sa gauche par Die Linke.

La flemme de mettre les éléments sur l'Afrique. Ca sert à quelqu'un ou pas ?

Pas pour l'instant, en tout cas. Cela devrait même être mon dernier chapitre de l'année...
Pour la proposition sur l'Allemagne, cela me rassure, c'est à peu près ce que j'ai fais (sans l'approche comparatiste RDA/RFA, bien sûr : c'est peut-être bien, mais je ne m'y connais vraiment pas assez).

boris vassiliev a écrit:
Pour la proposition sur l'Allemagne, cela me rassure, c'est à peu près ce que j'ai fais (sans l'approche comparatiste RDA/RFA, bien sûr : c'est peut-être bien, mais je ne m'y connais vraiment pas assez).

Pareil Merci al Qalam pour la retranscription.
Je viens de voir que je n'ai pas mis mon cours sur la BDD ...je le ferai demain ,j'ai la flemme ce soir

Il est vrai que je ne suis pas dans l'urgence, n'ayant pas de terminale cette année. Mais
1. je crois qu'il faut pas se prendre le chou pour tordre le programme d'une manière qui nous semble logique. Le contrat c'est que les gamins aient vu ce qu'il y a dans le programme et soient capables de le montrer le jour de l'examen (une participante à cette formation était fâchée qu'on propose d' "éclater" les 3 questions du fameux thème terrible "opinion & démocratie" machin...) Les IPR ont bien des défauts, mais em*** un prof qui aurait modifié sa progression en Tle, là, quand même ce serait fort de café.
2. Sur la formation, s'il n'y a ni discussion, ni débat, ni vraie interaction et qu'on est simplement là pour écouter un résumé pas trop inspiré de 2, 3 manuels? Je suis quand même très sceptique. L'intervenante sur socialisme en Allemagne a quand même présenté une "mise en oeuvre" avec un II. "Weimar", A. 1914/1919 la rupture socialisme/communisme... C'est évidemment une simple maladresse, mais quand même, ça montre l'implication de ces gens dans ce qu'ils font et dans ce qu'ils nous font.
Quitte à se faire mal à la tête sur ces programmes, je pense que l'écoute attentive des épisodes de la Fabrique sur France Cul, c'est 1000 fois mieux.

Courage à vous qui essuyez les plâtres cette année. A vous lire, on voit que vous vous donnez sacrément du mal.

ça me donne vachement envie pour ma journée de mi février sur l'asie...

merci d'avoir pris le temps de nous faire ces compte rendus.

vous avez combien d'éval en term jusqu'ici ?

- 1 commentaire d'histoire en DM
- 1 en DS
- 1 commentaire de géo en passage à l'oral par groupes
- idem en DS
- 1 croquis noté dont la réalisation a été faite à la maison (légende en classe)

et pas de dissert encore... je me dis que ce n'est pas le plus dur, par rapport au commentaire.

Pour le trimestre, cela me fera 3DS : 1 compo, 1 croquis, 1 étude de doc histoire (+1 en DM) (+ divers exercices).

vous croyez que c'est une mauvaise stratégie d'avoir insisté sur les commentaires en 1er trimestre, avant de passer à la compo ? risquent ils de tout avoir oublié ? j'ai essayé d'en faire plusieurs pour qu'ils comprennent la méthode...

Il y a plus de méthode à acquérir pour les commentaires, effectivement, donc c'est pertinent, et au niveau de la mémorisation à long terme je ne pense pas que ça influe, le fait qu'ils aient eu des commentaires ou des compos comme premiers devoirs (de toute façon la majorité révise au dernier moment...)
Pour ma part, j'aime bien commencer par les compos pour qu'ils se rendent compte d'emblée qu'ils n'ont aucune chance de s'en sortir sans un apprentissage rigoureux. Mais c'est vrai qu'il serait nécessaire de faire plus d'études de docs.

je leur ai dit qu'il leur fallait plus de connaissances en réalité en commentaire qu'en compo, que le texte ne suffisait pas. J'espère qu'ils commencent à s'en rendre compte...

Oiseau phenix a écrit:vous croyez que c'est une mauvaise stratégie d'avoir insisté sur les commentaires en 1er trimestre, avant de passer à la compo ? risquent ils de tout avoir oublié ? j'ai essayé d'en faire plusieurs pour qu'ils comprennent la méthode...

Non ...chacun sa stratégie .
Pour moi ,pas de DM (marre de perdre mon temps à corriger des copiés collés)
4 évaluations
1 compo d'histoire sur ch 1
1analyse de doct sur Russie
1 analyse de doct sur mémoires
1 croquis (Russie)

pS cours sur l'All mis sur la BDD..j'avais oublié il ressemble aux votres
Pour les medias, je n'ai pas fini de le préparer;)J'ai 4 h qui sautent à cause d'oriaction et d'une réunion ...

Pour moi c'est deux disserts (une à la maison et une en classe). Un croquis en classe, 6 interros surprises.
Sachant que les DS sont organisés par le lycée et qu'ils vont avoir deux disserts à une semaine d'intervalle, une en histoire et une en géo (avec à chaque fois un croquis à la clef).
Le commentaire sera fait courant décembre. Il faut dire que connaissant mon collègue qui les avait en 1ère, ils maîtrisent certainement déjà l'exercice.

comment tu arrives à les caser Kalliste ? j'explose déjà le temps pour ma part, et sans DM je ne m'en sors pas... et je n'ai pas vraiment de copié coller, de toute façon en commentaire c'est plus dur déjà, faut bien qu'ils s'appuient sur le texte.

Oiseau phenix a écrit:comment tu arrives à les caser Kalliste ? j'explose déjà le temps pour ma part, et sans DM je ne m'en sors pas... et je n'ai pas vraiment de copié coller, de toute façon en commentaire c'est plus dur déjà, faut bien qu'ils s'appuient sur le texte.

J'ai 2 DS /trimestre organisés par le lycée et pour un ,on a eu 3 h => 2 épreuves courtes;)

kalliste54 a écrit:

Oiseau phenix a écrit:comment tu arrives à les caser Kalliste ? j'explose déjà le temps pour ma part, et sans DM je ne m'en sors pas... et je n'ai pas vraiment de copié coller, de toute façon en commentaire c'est plus dur déjà, faut bien qu'ils s'appuient sur le texte.

J'ai 2 DS /trimestre organisés par le lycée et pour un ,on a eu 3 h => 2 épreuves courtes;)

la chance !!!!

Nous on a six DS organisés sur l'année (plus deux bacs blancs) de quater heures.
Cela fait beaucoup de travail mais c'est confortable.

Oiseau phenix a écrit:vous avez combien d'éval en term jusqu'ici ?

- 1 commentaire d'histoire en DM
- 1 en DS
- 1 commentaire de géo en passage à l'oral par groupes
- idem en DS
- 1 croquis noté dont la réalisation a été faite à la maison (légende en classe)

et pas de dissert encore... je me dis que ce n'est pas le plus dur, par rapport au commentaire.

- 1 note /10 d'exposé oral pour certains élèves
- 1 DM sur /20
- 1 DST de 2 h /20
- 2 croquis /10
- et à terminer, un bac blanc /20 coef 2.