Quelle suggestion de lecture cursive après l'étude intégrale de L'Ecole des femmes ?

Je cherche un titre d'oeuvre à proposer en lecture cursive puisque nous arrivons bientôt à la fin de la séquence consacrée à cette pièce de Molière...je voudrais faire le bon choix...
- une autre oeuvre de Molière?
- une tragédie?
- une pièce moderne?

J'ai fait Une maison de poupée d'Ibsen, les élèves ont bien accroché.

Je ne connais pas...tu peux me raconter...? me dire quels sont les points intéressants ?

Une tragédie , peut-être, pour faire le contrepoint ?

La Philosophie dans le boudoir ?
Il s'agit aussi de l'éducation d'une jeune fille… :diable:

en lycée, je dirais les liaisons dangereuses, où la question de l'éducation féminine est centrale (différence entre Cécile élevée au couvent et Merteuil qui ne l'est pas)

Abraxas a écrit:La Philosophie dans le boudoir ?
Il s'agit aussi de l'éducation d'une jeune fille… :diable:

En passant ,très bel bouvrage ! :diable:

Excellente idée Les Liaisons dangereuses....et j'aime bien aussi le fait de prolonger en m'éloignant du genre théâtral...

Poups a écrit:

Abraxas a écrit:La Philosophie dans le boudoir ?
Il s'agit aussi de l'éducation d'une jeune fille… :diable:

En passant ,très bel bouvrage ! :diable:

...hum...hum. Certes, pourquoi pas... :lol:

Sandyrina a écrit:

Poups a écrit:

Abraxas a écrit:La Philosophie dans le boudoir ?
Il s'agit aussi de l'éducation d'une jeune fille… :diable:

En passant ,très bel bouvrage ! :diable:

...hum...hum. Certes, pourquoi pas... :lol:

:lol!:

Abraxas a écrit:La Philosophie dans le boudoir ?
Il s'agit aussi de l'éducation d'une jeune fille…

faut que je garde l'idée !

Sandyrina a écrit:Je ne connais pas...tu peux me raconter...? me dire quels sont les points intéressants ?

Cela évoque à nouveau une femme innocente (Nora) comparée à une enfant par son mari et par sa meilleure amie. Mais au fur et à mesure de la pièce, Nora va prendre conscience qu'elle n'a été qu'une "poupée" aux yeux de son mari et de son père. Elle évoque son besoin de partir de cette société qui ne lui correspond pas (tout fonctionne sur les apparences et les conventions sociales). Je raconte la pièce très grossièrement, tout cela se passe sur des relations liées à l'argent également.
Les élèves ont bien aimé et bien compris le lien avec Molière, et puis Ibsen, lui, "il écrit pas en vieux français !". (mais ils ont au moins compris un truc, c'est que le sens d'une œuvre ne dépend pas forcément du niveau de langue employé).

Moi, j'aurais fait Le Barbier de Séville...

Mais je garde sur ma liste de choses à lire la proposition d'Edlihtma.