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- NLM76Grand Maître
Vraiment, on est mieux sans ces f... registres. Pour ma part, j'avais compris que les registres référaient aux genres, et n'étaient pas directement liés à l'effet produit. "tragique" = ce qui est le propre de la tragédie, dans la tragédie ou ailleurs ; "épique" = ce qui est le propre de l'épopée, dans l'épopée ou ailleurs.
Si registre = effet, alors pourquoi ne pas dire "effet" ?!?
Si registre = effet, alors pourquoi ne pas dire "effet" ?!?
- doctor whoDoyen
nlm76 a écrit:Vraiment, on est mieux sans ces f... registres. Pour ma part, j'avais compris que les registres référaient aux genres, et n'étaient pas directement liés à l'effet produit. "tragique" = ce qui est le propre de la tragédie, dans la tragédie ou ailleurs ; "épique" = ce qui est le propre de l'épopée, dans l'épopée ou ailleurs.
Si registre = effet, alors pourquoi ne pas dire "effet" ?!?
Tout pareil, mais j'essaye au moins de garder un mini-minimum de cohérence, s'il faut vraiment parler de registre.
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- ysabelDevin
nlm76 a écrit:Vraiment, on est mieux sans ces f... registres. Pour ma part, j'avais compris que les registres référaient aux genres, et n'étaient pas directement liés à l'effet produit. "tragique" = ce qui est le propre de la tragédie, dans la tragédie ou ailleurs ; "épique" = ce qui est le propre de l'épopée, dans l'épopée ou ailleurs.
Si registre = effet, alors pourquoi ne pas dire "effet" ?!?
C'était bien quand on disait tonalité... je réintroduis d'ailleurs puisque maintenant on a mis les programme Viala à la poubelle.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- User5899Demi-dieu
Y'a le registre d'état civil, aussi, pour BalzacLo a écrit:Je trouve dans tous les manuels "registre polémique", "registre épidictique"...
Ça m'éneeerve... Bon, au moins ils ont des trucs à dire sur le texte... mais moi je ne sais pas ce que je DOIS leur apprendre. Y a-t-il une bible à lire?
- User5899Demi-dieu
Article premier. Pour être à l'aise devant sa classe, un enseignant doit être sûr de lui.Serge a écrit:Tu en diras forcément.
Depuis qu'un champ lexical est un réseau de mots, que le conditionnel devient un temps de l'indicatif, que l'épithète détaché devient une apposition, que les séquences "hors desquelles point de salut" ne sont plus obligatoires, peu importe ce que tu racontes de juste, on le déclarera faux quelque part ... et la plus belle ânerie qu'on pourrait sortir sera bien tôt ou tard auréolée de gloire.
Je plaisante, mais j'avoue que tout ce flou est fatigant. En tout cas, il n'y aura pas mort d'homme s'ils ignorent des choses sur lesquelles les éminences grises qui pondent les notions au programme n'arrivent pas à se mettre d'accord
Article deux. Les récentes évolutions taxinomiques dans la discipline "lettres" ont sinon pour but du moins pour effet d'introduire partout le doute dont l'absence a permis aux concepteurs desdites évolutions d'occuper le haut siège d'où l'on voit mieux leur cul.
Article trois. Pour retrouver la sérénité, le bon professeur lira ces évolutions d'une fesse distraite et s'en retournera enseigner les fondamentaux dans la langue et avec les mots usuels.
- JohnMédiateur
Depuis qu'un champ lexical est un réseau de mots, que le conditionnel devient un temps de l'indicatif, que l'épithète détaché devient une apposition, que les séquences "hors desquelles point de salut" ne sont plus obligatoires, peu importe ce que tu racontes de juste, on le déclarera faux quelque part ... et la plus belle ânerie qu'on pourrait sortir sera bien tôt ou tard auréolée de gloire.
Je plaisante, mais j'avoue que tout ce flou est fatigant. En tout cas, il n'y aura pas mort d'homme s'ils ignorent des choses sur lesquelles les éminences grises qui pondent les notions au programme n'arrivent pas à se mettre d'accord
Oh que c'est bien dit !
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- JohnMédiateur
Lo, tout est résumé ici :
Voilà, ta liste de registres est faite si tu y tiens, mais ne te sens pas obligée d'enseigner cela puisque ce n'est plus au programme.
Le comique constitue bel et bien un registre : l’effet à produire est explicite, les thèmes (situations / fonction du langage) apparaissent aisés à recenser, les procédés bien connus, le genre premier (la comédie) où il s’incarne s’avère facile à définir en seconde.
Le tragique, l’épique obéissent sans difficulté à ces critères de classification, ainsi que le fantastique, le pathétique, le lyrique et l’élégiaque. Avons-nous besoin en classe de plus de sept registres, pléiade pertinente pour aider à définir les tonalités et les effets des textes
littéraires ? On pourrait y ajouter le burlesque
Voilà, ta liste de registres est faite si tu y tiens, mais ne te sens pas obligée d'enseigner cela puisque ce n'est plus au programme.
Oui : elle porte le doux nom de programme Hors de là, il n'y a pas d'Evangile, non, mis à part peut-être les lettres régulières qu'envoient aux enseignants tes IA-IPR.je ne sais pas ce que je DOIS leur apprendre. Y a-t-il une bible à lire?
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- frankensteinVénérable
Peut-être devriez-vous profiter de la diversité des registres de langue pour affiner les compétences que l'on peut acquérir dans ce domaine !John a écrit:Lo, tout est résumé ici :
Le comique constitue bel et bien un registre : l’effet à produire est explicite, les thèmes (situations / fonction du langage) apparaissent aisés à recenser, les procédés bien connus, le genre premier (la comédie) où il s’incarne s’avère facile à définir en seconde.
Le tragique, l’épique obéissent sans difficulté à ces critères de classification, ainsi que le fantastique, le pathétique, le lyrique et l’élégiaque. Avons-nous besoin en classe de plus de sept registres, pléiade pertinente pour aider à définir les tonalités et les effets des textes
littéraires ? On pourrait y ajouter le burlesque
Voilà, ta liste de registres est faite si tu y tiens, mais ne te sens pas obligée d'enseigner cela puisque ce n'est plus au programme.
Oui : elle porte le doux nom de programme Hors de là, il n'y a pas d'Evangile, non, mis à part peut-être les lettres régulières qu'envoient aux enseignants tes IA-IPR.je ne sais pas ce que je DOIS leur apprendre. Y a-t-il une bible à lire?
- Spoiler:
- :Lool: :pas vrai: Euh, c'était une plaisanterie !
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Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- LoEsprit sacré
Bon, voilà ce que j'ai fait.
Je compte préciser que le terme "registre" est à réserver aux termes en gras. Pour les autres, parler d'"accents", de "portée" ou simplement de texte polémique, satirique...
Je compte préciser que le terme "registre" est à réserver aux termes en gras. Pour les autres, parler d'"accents", de "portée" ou simplement de texte polémique, satirique...
- NLM76Grand Maître
Je relis l'origine de la discussion... et retrouve le seul argument sur lequel on finit par retomber quand on défend les registres "Au moins ils ont quelque chose à dire".
Ils n'arrivent pas à expliquer un texte... qu'à cela ne tienne, on va leur faire faire autre chose !
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- User5899Demi-dieu
Ce n'est pas si évident, d'ailleurs.nlm76 a écrit:Je relis l'origine de la discussion... et retrouve le seul argument sur lequel on finit par retomber quand on défend les registres "Au moins ils ont quelque chose à dire".
Ils n'arrivent pas à expliquer un texte... qu'à cela ne tienne, on va leur faire faire autre chose !
- ysabelDevin
Cripure a écrit:Ce n'est pas si évident, d'ailleurs.nlm76 a écrit:Je relis l'origine de la discussion... et retrouve le seul argument sur lequel on finit par retomber quand on défend les registres "Au moins ils ont quelque chose à dire".
Ils n'arrivent pas à expliquer un texte... qu'à cela ne tienne, on va leur faire faire autre chose !
tout a fait car quand pour la majorité le lyrisme c'est l'expression des sentiments personnels... on va loin
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- SergeMédiateur
"A mon époque" ( :lol: ) l'apposition était utilisée uniquement pour désigner les GN apportant une sorte de définition ...
Ex : Mars, le dieu de la guerre, s'éprit de Rhéa Silvia, une jeune et pure vestale.
Quant aux adjectifs, on les disait détachés. D'autant qu'ils pouvaient être déplacés loin du nom, contrairement au GN apposé. (Et on nous disait qu'on pouvait mettre le signe égal à la place de la virgule)
Bref, peu importe. Tout ça pour dire que le changement de terminologie change en fonction des époques, des lieux, et souvent même des collègues ...
Pour en revenir au sujet, dans le fond qu'il existe ou non une tonalité dramatique, ironique, etc. est-ce bien là l'essentiel. L'idée de tonalité/registre est en elle-même tellement floue pour beaucoup ...
En revanche, savoir que ces adjectifs peuvent qualifier un texte, c'est déjà plus intéressant (que ces adjectifs puissent qualifier un registre ou pas)
C'est dans cette idée que je travaille avec les 3èmes. En fait, je travaille surtout dans l'optique écriture de textes en réinvestissant les caractéristiques d'un texte épique, tragique, comique, etc.
Je les fais chaque année travailler à la manière de Queneau en fait.
On choisit un thème (l'incendie du collège, une rencontre sportive, etc.)
Et ils déclinent le même texte de façon comique, puis lyrique, épique, ironique, polémique, etc.
Les travaux sont généralement truculents et un vrai bonheur à lire !
Ex : Mars, le dieu de la guerre, s'éprit de Rhéa Silvia, une jeune et pure vestale.
Quant aux adjectifs, on les disait détachés. D'autant qu'ils pouvaient être déplacés loin du nom, contrairement au GN apposé. (Et on nous disait qu'on pouvait mettre le signe égal à la place de la virgule)
Bref, peu importe. Tout ça pour dire que le changement de terminologie change en fonction des époques, des lieux, et souvent même des collègues ...
Pour en revenir au sujet, dans le fond qu'il existe ou non une tonalité dramatique, ironique, etc. est-ce bien là l'essentiel. L'idée de tonalité/registre est en elle-même tellement floue pour beaucoup ...
En revanche, savoir que ces adjectifs peuvent qualifier un texte, c'est déjà plus intéressant (que ces adjectifs puissent qualifier un registre ou pas)
C'est dans cette idée que je travaille avec les 3èmes. En fait, je travaille surtout dans l'optique écriture de textes en réinvestissant les caractéristiques d'un texte épique, tragique, comique, etc.
Je les fais chaque année travailler à la manière de Queneau en fait.
On choisit un thème (l'incendie du collège, une rencontre sportive, etc.)
Et ils déclinent le même texte de façon comique, puis lyrique, épique, ironique, polémique, etc.
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- Thalia de GMédiateur
Tu es tout jeune, alors :lol:"A mon époque" ( :lol: ) l'apposition était utilisée uniquement pour désigner les GN apportant une sorte de définition ...
Je les fais chaque année travailler à la manière de Queneau en fait.
On choisit un thème (l'incendie du collège, une rencontre sportive, etc.)
Et ils déclinent le même texte de façon comique, puis lyrique, épique, ironique, polémique, etc.
Les travaux sont généralement truculents et un vrai bonheur à lire !
Ce doit être sympa !
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- NLM76Grand Maître
ysabel a écrit:
tout a fait car quand pour la majorité le lyrisme c'est l'expression des sentiments personnels... on va loin
C'est bien la définition qu'on trouve, quand on la cherche, chez les universitaires les plus estimés... "Le lyrisme désigne plutôt en poésie une subjectivité vibrante et une émotion personnelle." (Michèle Aquien, Lexique des termes littéraires) !
- IphigénieProphète
tiens Thalia, Michèle Aquiem née Juranville, tu dois connaître aussi! le sieur Aquiem était dans ma promo :lol: ...
(la minute GALA HK)
(la minute GALA HK)
- ysabelDevin
nlm76 a écrit:ysabel a écrit:
tout a fait car quand pour la majorité le lyrisme c'est l'expression des sentiments personnels... on va loin
C'est bien la définition qu'on trouve, quand on la cherche, chez les universitaires les plus estimés... "Le lyrisme désigne plutôt en poésie une subjectivité vibrante et une émotion personnelle." (Michèle Aquien, Lexique des termes littéraires) !
enfin, ce n'est pas toute à fait la même chose... "sujectivité" "émotions". Et puis l'universitaire va aller dans le détail, l'élève...
d'ailleurs je dis souvent aux élèves : quand je suis furieuse, est-ce lyrique ?
- non
- pourtant j'exprime un sentiment personnel...
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- NLM76Grand Maître
Je discute pour le plaisir de discuter:
Quand je suis ému, est-ce lyrique ? niet.
Quand je suis triste, est-ce lyrique ? nenni.
Quand je suis amoureux, est-ce lyrique ? nein.
Quand je transporte le lecteur en disant ma fureur, mon émotion, ma tristesse, mon amour, est-ce lyrique ? pitêtbinkwi.
Mais, pour répondre à votre remarque : oui c'est la même chose, mais ce qui manque dans leur définition, c'est vibrante, ce qui évoque l'effet produit sur le lecteur.
Quand je suis ému, est-ce lyrique ? niet.
Quand je suis triste, est-ce lyrique ? nenni.
Quand je suis amoureux, est-ce lyrique ? nein.
Quand je transporte le lecteur en disant ma fureur, mon émotion, ma tristesse, mon amour, est-ce lyrique ? pitêtbinkwi.
Mais, pour répondre à votre remarque : oui c'est la même chose, mais ce qui manque dans leur définition, c'est vibrante, ce qui évoque l'effet produit sur le lecteur.
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- IphigénieProphète
"vibrante" c'est pas en référence au chant de la lyre?
- NLM76Grand Maître
Ouais !iphigénie a écrit:"vibrante" c'est pas en référence au chant de la lyre?
Bonus d'un point dans la moyenne !
- doctor whoDoyen
Pour moi, le mot "expression" suffit à évoquer cette "vibration musicale" du lyrisme. On n'a jamais dit que la poésie lyrique consistait à "parler de ses sentiments personnels"...
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- Thalia de GMédiateur
Ce serait terriblement réducteur.On n'a jamais dit que la poésie lyrique consistait à "parler de ses sentiments personnels"...
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- ysabelDevin
Thalia de G a écrit:Ce serait terriblement réducteur.On n'a jamais dit que la poésie lyrique consistait à "parler de ses sentiments personnels"...
mais les gamins comprennent de cette manière, pour la plupart.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- User5899Demi-dieu
Déjà, c'est une caractéristique possible d'une expression et pas d'un individu, ou alors par métonymie.Thalia de G a écrit:J'attends avec impatience votre définition du lyrique
- HannibalHabitué du forum
Ce qui me semble important dans le lyrisme :
- la subjectivité, tournée vers soi, vers autrui ou vers le monde.
- la recherche d'une poéticité dans l'expression, plus ou moins exaltée, qui s'y rapproche du chant.
- des thèmes privilégiés : sentiments, nature, temps, relation au divin, relation au langage, mort...
Me gouré-je ?
- la subjectivité, tournée vers soi, vers autrui ou vers le monde.
- la recherche d'une poéticité dans l'expression, plus ou moins exaltée, qui s'y rapproche du chant.
- des thèmes privilégiés : sentiments, nature, temps, relation au divin, relation au langage, mort...
Me gouré-je ?
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