- VioletEmpereur
Je suis en train de préparer une fifiche qui va bien pour mes premières sur les registres... et plus je regarde dans les manuels, plus je me noie.
Aucun manuel ne dit la même chose.
J'ai regardé les docs d'accompagnement, les posts précédents... tout le monde s'accorde pour dire que c'est n'importe quoi...certes, mais je fais comment, moi ?
Parce qu'il faut bien que ma fiche soit correcte...
voilà les registres que j'ai gardés pour l'instant.(pathétique / élégiaque / polémique / ironique/ épique/ tragique/comique/lyrique / didactique/délibératif / épidictique / fantastique / satirique) Je mets en gras ceux qui me gênent.
Qu'en pensez-vous ?
Faites-vous les mêmes ?
Aucun manuel ne dit la même chose.
J'ai regardé les docs d'accompagnement, les posts précédents... tout le monde s'accorde pour dire que c'est n'importe quoi...certes, mais je fais comment, moi ?
Parce qu'il faut bien que ma fiche soit correcte...
voilà les registres que j'ai gardés pour l'instant.(pathétique / élégiaque / polémique / ironique/ épique/ tragique/comique/lyrique / didactique/délibératif / épidictique / fantastique / satirique) Je mets en gras ceux qui me gênent.
Qu'en pensez-vous ?
Faites-vous les mêmes ?
- KilmenyEmpereur
Les mêmes avec en plus le réaliste, le burlesque, l'héroïcomique et l'humoristique ; et en moins: l'élégiaque.
_________________
Un petit clic pour les animaux : http://www.clicanimaux.com/catalog/accueil.php?sites_id=1
- JohnMédiateur
pathétique / élégiaque / polémique / ironique/ épique/ tragique/comique /lyrique / didactique /délibératif / épidictique / fantastique / satirique
ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/syst/igen/rapports/francais_seconde_03.pdf
Les registres. Une lecture attentive du programme 2001 (seconde et
première) permettrait peut-être d’en recenser six : le comique, le tragique, le polémique,
l’épique, le lyrique, l’élégiaque. La recension dans les manuels situerait le nombre du côté
de la douzaine. Tout y devient registre, l’ironie et le réalisme, l’élégiaque – qui en est
bien un - et l’épidictique, le polémique et l’oratoire. Le champ d’extension des registres
s’avère quasi infini. L’examen de cette même notion sur quelques sites internet signalés
par un moteur de recherche à l’entrée « registres littéraires » fait osciller le nombre entre
13 et … 33 : à côté des « registres » communs à tous, on trouve entre autres et par ordre
alphabétique l’absurde, le badinage, la diatribe, la dérision, la fantaisie verbale, la
réfutation et le sublime. En l’absence de recherche universitaire qui fasse le point, il faut
admettre que ce terme, fort commode, synonyme grosse modo de tonalités, n’est jamais
défini selon des critères convaincants : est- il même défini, autrement que par cet énoncé
emprunté aux documents d’accompagnement : les registres seraient ces « attitudes qui
correspondent à des façons fondamentales de ressentir »). Les enseignants sont perplexes,
désorientés et cherchent vainement une référence.
Sur le plan de la simplification didactique, quels sont les « registres » les plus
opératoires, les plus pragmatiquement utiles ? Il est très difficile, reconnaissons- le, de
cerner la notion de « registre ». Tout registre – nous semble-t- il - est lié à l’effet à
produire et se situe au croisement d’un genre premier privilégié, de thèmes qui lui sont
propres, souvent même de topoi, de procédés singuliers récurrents. Quatre critères
articulés donc : un effet visé, un genre « premier », des thèmes singuliers, des procédés
spécifiques. Le registre est atemporel : il parcourt la littérature et l’art universels et ne
saurait donc se confondre avec un mouvement. Le réalisme n’est pas un registre, comme
on le voit trop souvent dans les cahiers de textes, pas davantage le symbolisme. Le
comique en revanche constitue bel et bien un registre : l’effet à produire est explicite, les
thèmes (situations / fonction du langage) apparaissent aisés à recenser, les procédés bien
connus, le genre premier (la comédie) où il s’incarne s’avère facile à définir en seconde.
Le tragique, l’épique obéissent sans difficulté à ces critères de classification, ainsi que le
fantastique, le pathétique, le lyrique et l’élégiaque. Avons-nous besoin en classe de plus
de sept registres, pléiade pertinente pour aider à définir les tonalités et les effets des textes
littéraires ? On pourrait y ajouter le burlesque (le contre épique). Cette liste sera, parionsle,
remise en cause ; du moins permet-elle de limiter la notion et les dégâts, en
n’autorisant pas l’entrée de prétendus registres qui doivent tout à l’énonciation (l’ironie)
ou à l’histoire d’un genre (l’éloge, le pamphlet,) ou à un mouvement (le réalisme). On a lu
dans un cahier de textes qu’il y avait un « registre classique » dont on a attendu vainement
la définition. Et le programme ne clarifie pas les choses en évoquant à propos de
l’argumentation le registre « polémique ».
http://ens.perrinchassagne.net/registre.html
Les huit registres pertinents s’avèreraient ainsi :
* l’épique ;
* le comique ;
* le tragique ;
* le lyrique ;
* le pathétique ;
* l’élégiaque ;
* le fantastique.
* le burlesque (= le contre épique)
ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/syst/igen/rapports/francais_seconde_03.pdf
Les registres. Une lecture attentive du programme 2001 (seconde et
première) permettrait peut-être d’en recenser six : le comique, le tragique, le polémique,
l’épique, le lyrique, l’élégiaque. La recension dans les manuels situerait le nombre du côté
de la douzaine. Tout y devient registre, l’ironie et le réalisme, l’élégiaque – qui en est
bien un - et l’épidictique, le polémique et l’oratoire. Le champ d’extension des registres
s’avère quasi infini. L’examen de cette même notion sur quelques sites internet signalés
par un moteur de recherche à l’entrée « registres littéraires » fait osciller le nombre entre
13 et … 33 : à côté des « registres » communs à tous, on trouve entre autres et par ordre
alphabétique l’absurde, le badinage, la diatribe, la dérision, la fantaisie verbale, la
réfutation et le sublime. En l’absence de recherche universitaire qui fasse le point, il faut
admettre que ce terme, fort commode, synonyme grosse modo de tonalités, n’est jamais
défini selon des critères convaincants : est- il même défini, autrement que par cet énoncé
emprunté aux documents d’accompagnement : les registres seraient ces « attitudes qui
correspondent à des façons fondamentales de ressentir »). Les enseignants sont perplexes,
désorientés et cherchent vainement une référence.
Sur le plan de la simplification didactique, quels sont les « registres » les plus
opératoires, les plus pragmatiquement utiles ? Il est très difficile, reconnaissons- le, de
cerner la notion de « registre ». Tout registre – nous semble-t- il - est lié à l’effet à
produire et se situe au croisement d’un genre premier privilégié, de thèmes qui lui sont
propres, souvent même de topoi, de procédés singuliers récurrents. Quatre critères
articulés donc : un effet visé, un genre « premier », des thèmes singuliers, des procédés
spécifiques. Le registre est atemporel : il parcourt la littérature et l’art universels et ne
saurait donc se confondre avec un mouvement. Le réalisme n’est pas un registre, comme
on le voit trop souvent dans les cahiers de textes, pas davantage le symbolisme. Le
comique en revanche constitue bel et bien un registre : l’effet à produire est explicite, les
thèmes (situations / fonction du langage) apparaissent aisés à recenser, les procédés bien
connus, le genre premier (la comédie) où il s’incarne s’avère facile à définir en seconde.
Le tragique, l’épique obéissent sans difficulté à ces critères de classification, ainsi que le
fantastique, le pathétique, le lyrique et l’élégiaque. Avons-nous besoin en classe de plus
de sept registres, pléiade pertinente pour aider à définir les tonalités et les effets des textes
littéraires ? On pourrait y ajouter le burlesque (le contre épique). Cette liste sera, parionsle,
remise en cause ; du moins permet-elle de limiter la notion et les dégâts, en
n’autorisant pas l’entrée de prétendus registres qui doivent tout à l’énonciation (l’ironie)
ou à l’histoire d’un genre (l’éloge, le pamphlet,) ou à un mouvement (le réalisme). On a lu
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la définition. Et le programme ne clarifie pas les choses en évoquant à propos de
l’argumentation le registre « polémique ».
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* l’épique ;
* le comique ;
* le tragique ;
* le lyrique ;
* le pathétique ;
* l’élégiaque ;
* le fantastique.
* le burlesque (= le contre épique)
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- JohnMédiateur
Finalement, je préférais le droit canon. :|
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
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- KilmenyEmpereur
Mais l'élégiaque, c'est du lyrique-pathétique, non?
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- VioletEmpereur
Merci John ! Rassurée de ne pas être la seule à m'interroger...
- CircéExpert
Tant que cette histoire de registres ne sera pas claire - je préférais le terme de tonalité que j'ai apprise - je me contente de ceux mentionnés dans les programmes en étudiant l'élégiaque comme un "sous-registre lyrique" et en rajoutant le satirique.
Ce truc de tout saucisonner en registres me sort par les yeux, mais bon, ce n'est que mon point de vue.
Ce truc de tout saucisonner en registres me sort par les yeux, mais bon, ce n'est que mon point de vue.
- KilmenyEmpereur
Un élève récemment m'a répondu que le registre, c'était le niveau de langue.
Eh oui, les changements de terminologie...
Eh oui, les changements de terminologie...
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- CircéExpert
Kilmeny a écrit:Un élève récemment m'a répondu que le registre, c'était le niveau de langue.
Eh oui, les changements de terminologie...
Oui, changement de terminologie pas toujours appliqué !
Je comprends que les élèves soient perdus.
- JohnMédiateur
Faute d'harmonisation collège/lycée, il y a encore beaucoup de classes de collège qui apprennent qu'il y a 3 registres : soutenu, courant et familier.
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- KilmenyEmpereur
Circé a écrit:Kilmeny a écrit:Un élève récemment m'a répondu que le registre, c'était le niveau de langue.
Eh oui, les changements de terminologie...
Oui, changement de terminologie pas toujours appliqué !
Je comprends que les élèves soient perdus.
Mais il faut dire qu'il est de formation "ancienne école"
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- CircéExpert
Ben tu sais, je suis moi aussi de la "vieille école" et j'ai du réapprendre toute ma terminologie de grammaire, appeler les registres des niveaux et les tonalités des registres, me mettre au parfum de schémas narratifs et actanciels imbuvables...j'avoue que tout cela me semble bien compliqué!!
- VioletEmpereur
C'est vraiment n'importe quoi. si ce n'est pas clair pour nous et que nous n'arrivons pas à être d'accord, il ne faut pas s'étonner du carnage pour les élèves...
- totoroMonarque
J'ai une collègue qui fait étudier à ses élèves le registre dramatique??? Et je n'ai pas encore osé lui demander ce qu'elle entend par là. Si quelqu'un peut éclairer ma lanterne. Et Moi qui dit aux miens qu'ils doivent se méfier du terme "dramatique" qui n'a pas en littérature le même sens que l'usage courant...
(l'expression "fait étudier" est un peu forte mais je n'ai pas mieux en réserve ce soir)
(l'expression "fait étudier" est un peu forte mais je n'ai pas mieux en réserve ce soir)
- JohnMédiateur
Cesdeux-là n'existent pas :
Registreréaliste
Registredramatique
Registre
Registre
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"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- VioletEmpereur
Merci John pour le lien que tu as donné. Ce document a l'air très instructif !
- CathyFidèle du forum
J'utilise la liste que John a citée sauf que je supprime le burlesque et que je présente l'élégiaque comme un sous registre du lyrique. Et puis, je répète à mes élèves que dans le doute on évite le terme "registre"...
- krineNiveau 4
totoro a écrit:J'ai une collègue qui fait étudier à ses élèves le registre dramatique??? Et je n'ai pas encore osé lui demander ce qu'elle entend par là. Si quelqu'un peut éclairer ma lanterne. Et Moi qui dit aux miens qu'ils doivent se méfier du terme "dramatique" qui n'a pas en littérature le même sens que l'usage courant...
(l'expression "fait étudier" est un peu forte mais je n'ai pas mieux en réserve ce soir)
J'adopte la liste des IO (donnée plus haut), celle qui sera utilisée pour faire le barème du corrigé du Bac, seul moyen pour que mes élèves ne soit pas pénalisés.
Pour te répondre, dans une époque lointaine (avant 2000, avant la réforme), la tonalité dramatique, était définie par un enchaînement rapide d'actions. (drama = l'action)
Dans une explic, je parle du burlesque et de l'héroï-comique si besoin est, mais sans dire "registre" pour ne pas les embrouiller.
- syrinxxNiveau 7
Merci John pour le lien.Les registres. Une lecture attentive du programme 2001 (seconde et
première) permettrait peut-être d’en recenser six : le comique, le tragique, le polémique,
l’épique, le lyrique, l’élégiaque. La recension dans les manuels situerait le nombre du côté
de la douzaine. Tout y devient registre,
Une remarque tout de même, c'est quand même exagéré qu'un inspecteur (Jean Jordy est bien inspecteur?) affirme ça dans un rapport sur l'application des programmes quand dans les accompagnements des programmes de 2001 (officiel) sont donnés les registres suivants:
size=12]le tragique, le comique, le polémique, l’épique, le lyrique, le didactique, l’épidictique, le satirique (dont l’ironique), le pathétique, le fantastique et le délibératif. [/size]
p 48 des accompagnements des programmes (nvelle version)
et la liste est reprise à plusieurs reprises
La première fois que j'avais lu ça dans les accompagnements j'avais été très surprise que la liste soit aussi longue.
Alors faudrait savoir....
- krineNiveau 4
Il a le droit d'avoir un avis et de trouver que 6 registres pourraient être suffisants : "Cette liste sera, parions-le, remise en cause ; du moins permet-elle de limiter la notion et les dégâts, en n’autorisant pas l’entrée de prétendus registres qui doivent tout à l’énonciation (l’ironie) ou à l’histoire d’un genre (l’éloge, le pamphlet,) ou à un mouvement (le réalisme)."
Il n'empêche qu'on a des docs d'accompagnement qui donnent une liste de registres et que pour l'exam ce sera la référence.
Il n'empêche qu'on a des docs d'accompagnement qui donnent une liste de registres et que pour l'exam ce sera la référence.
La liste ci-dessus peut donc être reprise en distinguant,
entre la seconde et la première, mais sans
faire de frontières étanches entre les deux :
– en seconde, le tragique, le comique, l’épidictique (admiration ou blâme), l’épique, le fantastique, le didactique ;
– en première, le lyrique (et l’élégiaque), le polémique, le satirique (et l’ironique), le pathétique, le délibératif
- JohnMédiateur
J'adopte la liste des IO (donnée plus haut), celle qui sera utilisée pour faire le barème du corrigé du Bac, seul moyen pour que mes élèves ne soit pas pénalisés.
Il n'empêche qu'on a des docs d'accompagnement qui donnent une liste de registres et que pour l'exam ce sera la référence.
Eh non : les documents d'accompagnement n'ont strictement aucune valeur administrative ni officielle. Seuls font foi les programmes parus au B.O. La preuve, c'est que Jean Jordy, que je salue cordialement car je sais qu'il hante fréquemment les forums dédiés aux enseignants de lettres, n'y fait pas référence une seule seconde pour déterminer la liste des registres.
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"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- doctor whoDoyen
Dur, dur d'être un IG!
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- syrinxxNiveau 7
ah oui tout à fait. D'ailleurs je suis d'accord avec lui pour dire qu'il vaudrait mieux limiter la liste. Ce qu'il propose correspond à ce que j'avais appris au lycée (sous le terme de tonalité) . Bon gré mal gré j'avais fini par adopter la liste des accompagnements qui me paraissait assez officielle, puisque les programmes ne disent rien là dessus. Ses propos sur l'application des programmes m'ont donc déroutée.Il a le droit d'avoir un avis et de trouver que 6 registres pourraient être suffisants
oui c'est bien de le rappeler de temps en temps...Eh non : les documents d'accompagnement n'ont strictement aucune valeur administrative ni officielle.
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