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- HansNiveau 7
gemshorn a écrit:Fabrice25 a écrit:
Je ne dis pas que je suis d'accord avec cela, c'est simplement un discours très répandu et mis en oeuvre par les rectorats quand il s'agit de pourvoyer un établissement en remplaçants (le rectorat place d'abord en urgence, les maths, le français et l'HG et ensuite les matières dîtes secondaires)
Anecdote en rapport avec le sujet du topic, dans mon académie, un prof de maths (deuxième carrière, la cinquantaine bien tassée) était connu pour passer et réussir l'agrégation externe de mathématiques chaque année et ce, durant au moins 5 ou 6 ans. Connu comme le loup blanc par l'inspection pédagogique, il savait d'avance que l'IPR ne validerait pas son année de stage et s'inscrivait systématiquement au concours. Il avait des enfants à nourrir... J'ignore en revanche ce qu'il donnait au quotidien devant des élèves (je ne sais même pas s'il était affecté en collège ou en lycée en tant que stagiaire).
Dans mon bahut, nous étions plusieurs dans la salle des profs à regarder sur "publinet" chaque année jusqu'au jour où nous n'avons plus vu son nom, ce qui nous a conduits à penser qu'il avait finalement fait valoir ses droits à la retraite.
Si il était vraiment "mauvais" et "dangereux" pour les élèves, un petit message au jury d'agrégation et donc cas était réglé. Cela ne devait pas être aussi simple que cela je pense.
- gemshornNiveau 10
Hans a écrit:
Si il était vraiment "mauvais" et "dangereux" pour les élèves, un petit message au jury d'agrégation et donc cas était réglé. Cela ne devait pas être aussi simple que cela je pense.
Aucune idée. Peut-être n'y avait-il pas de communication en ce sens entre l'inspection pédagogique et le jury d'agrégation. J'ignore tout du contexte, nous voyions juste passer son nom chaque année dans la liste des lauréats.
- A TuinVénérable
Je me suis excusée de ma formulation qui avait pu froisser et précisé ce que j'avais voulu dire, distinct des interprétations multiples que j'ai pu lire.gemshorn a écrit:Fabrice25 a écrit:Ce que veut dire @ATuin
Ce n'est sans doute pas ainsi que raisonnent les IPR de "matières non prépondérantes".
En dehors même de toute question de mise en danger des élèves, IPR et Institution ont vis à vis des professeurs de ces matières les mêmes attentes que pour les autres : sur le plan didactique, du point de vue du respect des programmes, de la maîtrise des savoirs disciplinaires, de la gestion de classe ; attentes que les IPR ou commissions sont chargés d'évaluer au même titre et avec la même rigueur que dans les disciplines que d'aucuns qualifieraient de plus "nobles". Pour l'Institution, titulariser un professeur de maths ou d'arts plastiques revient au même : déclarer qu'un fonctionnaire pourra exercer efficacement sa fonction durant une quarantaine d'années.
Pour valider une année de stage il convient en effet de valider les attentes indiquées par Genshorn.
C'est vraiment très surprenant, l'histoire de cet homme inscrit tous les ans au concours.
- arunnerNiveau 5
Je réponds au sujet initial.
Je trouve dommage de profiter des failles du système qui te permet de te présenter autant de fois que tu le souhaites aux concours, sans tenir compte du nombre d'échecs précédents ou pire, d'une radiation antérieure. Repasser tous les ans un concours extrêmement difficile que tu as déjà obtenu alors que tu es censé chercher la titularisation, ça me laisse songeur. Tu feras quoi le jour où tu n'es pas admis ? Il vaudrait mieux chercher à comprendre comment valider le stage, en prenant en compte les conseils qui t'ont certainement été donnés.
Effectivement, on peut jouer de malchance avec les tuteurs, je ne le nie pas, mais si au bout de déjà trois fois, différentes personnes aboutissent aux mêmes constatations, c'est peut-être qu'effectivement il y a un problème et une remise en question à opérer.
Je trouve dommage de profiter des failles du système qui te permet de te présenter autant de fois que tu le souhaites aux concours, sans tenir compte du nombre d'échecs précédents ou pire, d'une radiation antérieure. Repasser tous les ans un concours extrêmement difficile que tu as déjà obtenu alors que tu es censé chercher la titularisation, ça me laisse songeur. Tu feras quoi le jour où tu n'es pas admis ? Il vaudrait mieux chercher à comprendre comment valider le stage, en prenant en compte les conseils qui t'ont certainement été donnés.
Effectivement, on peut jouer de malchance avec les tuteurs, je ne le nie pas, mais si au bout de déjà trois fois, différentes personnes aboutissent aux mêmes constatations, c'est peut-être qu'effectivement il y a un problème et une remise en question à opérer.
- gemshornNiveau 10
A Tuin a écrit:
C'est vraiment très surprenant, l'histoire de cet homme inscrit tous les ans au concours.
J'ignore si c'est exceptionnel ou si cela se produit chaque année pour plusieurs collègues. Je pense que là, s'agissant d'un collègue avec une famille à charge et peut-être trop âgé pour envisager une reconversion dans un autre domaine, le choix ne se posait pas. Toujours est-il que les passages répétés d'un concours d'enseignement année après année et réussite après réussite (sans validation par le corps d'inspection, toutefois) font partie des situations qui existent.[/quote]
- SamScholesNiveau 2
Hans a écrit:gemshorn a écrit:Fabrice25 a écrit:
Je ne dis pas que je suis d'accord avec cela, c'est simplement un discours très répandu et mis en oeuvre par les rectorats quand il s'agit de pourvoyer un établissement en remplaçants (le rectorat place d'abord en urgence, les maths, le français et l'HG et ensuite les matières dîtes secondaires)
Anecdote en rapport avec le sujet du topic, dans mon académie, un prof de maths (deuxième carrière, la cinquantaine bien tassée) était connu pour passer et réussir l'agrégation externe de mathématiques chaque année et ce, durant au moins 5 ou 6 ans. Connu comme le loup blanc par l'inspection pédagogique, il savait d'avance que l'IPR ne validerait pas son année de stage et s'inscrivait systématiquement au concours. Il avait des enfants à nourrir... J'ignore en revanche ce qu'il donnait au quotidien devant des élèves (je ne sais même pas s'il était affecté en collège ou en lycée en tant que stagiaire).
Dans mon bahut, nous étions plusieurs dans la salle des profs à regarder sur "publinet" chaque année jusqu'au jour où nous n'avons plus vu son nom, ce qui nous a conduits à penser qu'il avait finalement fait valoir ses droits à la retraite.
Si il était vraiment "mauvais" et "dangereux" pour les élèves, un petit message au jury d'agrégation et donc cas était réglé. Cela ne devait pas être aussi simple que cela je pense.
Vraiment ? Et pour lui dire quoi ? "Ne le sélectionnez pas, car il ne sera pas validé de toute manière..." Sans aborder les formalités réglementaires liées à un concours de la fonction publique, je trouve cela pour le moins inapproprié.
- G'zNiveau 6
Pourquoi perdre autant de temps et d'énergie sur ce post trollesque alors que l'auteur de celui-ci ( avec 2 messages au total sur le forum ) ne s'en soucie pas ?
- profdoctoujoursNiveau 7
G'z a écrit:Pourquoi perdre autant de temps et d'énergie sur ce post trollesque alors que l'auteur de celui-ci ( avec 2 messages au total sur le forum ) ne s'en souci pas ?
On sait jamais, ça peut toujours servir à quelqu'un d'autre. Quand je vois des gens poster sur ce fil que tous les agrégés devraient être titularisés sans se poser de questions (j'avais cru à de l'ironie au début, mais visiblement non), ou qu'il est ridicule de ne pas titulariser en musique parce que ce n'est pas une matière prépondérante, ça vaut le coup de rappeler que la titularisation n'est pas un dû. Il arrive que l'institution dysfonctionne bien sûr, mais parfois le problème vient de l'enseignant. Il nous est impossible de savoir ce qu'il en est pour les gens qui postent sur ce forum. Néanmoins, un petit rappel ne fait de mal à personne.
- MathadorEmpereur
Jusqu'au milieu des années 80, tous les agrégés par concours étaient titularisés à la nomination.profdoctoujours a écrit:Quand je vois des gens poster sur ce fil que tous les agrégés devraient être titularisés sans se poser de questions (j'avais cru à de l'ironie au début, mais visiblement non), […]
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- mathmaxExpert spécialisé
Mathador a écrit:Jusqu'au milieu des années 80, tous les agrégés par concours étaient titularisés à la nomination.profdoctoujours a écrit:Quand je vois des gens poster sur ce fil que tous les agrégés devraient être titularisés sans se poser de questions (j'avais cru à de l'ironie au début, mais visiblement non), […]
Quelle aberration ! Heureusement que ce n’est plus le cas, le niveau des élèves a ainsi pu s’améliorer considerablement
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« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- profdoctoujoursNiveau 7
Mathador a écrit:Jusqu'au milieu des années 80, tous les agrégés par concours étaient titularisés à la nomination.profdoctoujours a écrit:Quand je vois des gens poster sur ce fil que tous les agrégés devraient être titularisés sans se poser de questions (j'avais cru à de l'ironie au début, mais visiblement non), […]
Eh bien tant mieux qu'ils doivent maintenant faire une année de stage avant.
- MathadorEmpereur
Je partagerai cet avis lorsque le bizutage des stagiaires aura cessé.
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- mathmaxExpert spécialisé
Mathador a écrit:Je partagerai cet avis lorsque le bizutage des stagiaires aura cessé.
+1. Et qu’on nous aura prouvé que cela a apporté des améliorations à l’éducation nationale : niveau des élèves, bien-être des personnels, attractivité du métier et capacité à recruter ... À noter également qu’à cette même époque, et même sans doute jusqu'au début voire milieu des années 90, la titularisation des stagiaires, qu’ils soient certifiésou agrégés, était une quasi-formalité.
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Albert Einstein
- mafalda16Modérateur
Non mais vous avez raison il vaut mieux titulariser automatiquement tout le monde. Les élèves concernés pendant 40 ans par les rares mais réels enseignants dangereux feront avec.
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"Si no luchas, al menos ten la decencia de respetar a quienes lo hacen", José Martí.
- MathadorEmpereur
Le statut permet de licencier les titulaires dans les cas qui le justifient.
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- SamScholesNiveau 2
mafalda16 a écrit:Non mais vous avez raison il vaut mieux titulariser automatiquement tout le monde. Les élèves concernés pendant 40 ans par les rares mais réels enseignants dangereux feront avec.
J'irais plus loin: pourquoi, alors, faire passer le concours de l'agrégation ? Autant l'attribuer directement à quiconque ose se présenter, n'est-ce pas ?
Cette idée est certes absurde, tout comme l’est le fait de se réjouir d’avoir, à une époque, titularisé automatiquement tous les agrégés par simple nomination.
- SamScholesNiveau 2
Mathador a écrit:Le statut permet de licencier les titulaires dans les cas qui le justifient.
Heureusement, certes, mais ne soyons pas naïfs : il est indéniablement beaucoup plus difficile de procéder à un licenciement après la titularisation qu’avant.
- GanbatteHabitué du forum
SamScholes a écrit:Mathador a écrit:Le statut permet de licencier les titulaires dans les cas qui le justifient.
Heureusement, certes, mais ne soyons pas naïfs : il est indéniablement beaucoup plus difficile de procéder à un licenciement après la titularisation qu’avant.
Tu veux dire que c'est impossible ! Hormis des affaires allant au pénal - et encore ! - cela n'arrive pas. Aucune insuffisance professionnelle, aucune faille éthique ne permet la révocation.
Ainsi, toute la pression se concentre sur les stagiaires, de peur de titulariser par erreur.
- mathmaxExpert spécialisé
Je ne vois pas bien en quoi cela serait impossible. Il faut évidemment respecter la procédure administrative et réunir une commission paritaire mais son avis n’est que consultatif. Les derniers licenciements dont j’ai été témoin ne m’ont pas paru terriblement difficile pour les licencieurs. Et les personnes concernées étaient certes dépassées, en dépression pour l’une d’elles, mais nullement ”dangereuses” sauf si mettre des notes de récitation aléatoires et ne pas parvenir à obtenir le silence représente un danger.
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- MatteoNiveau 10
mathmax a écrit:Mathador a écrit:Je partagerai cet avis lorsque le bizutage des stagiaires aura cessé.
+1. Et qu’on nous aura prouvé que cela a apporté des améliorations à l’éducation nationale : niveau des élèves, bien-être des personnels, attractivité du métier et capacité à recruter ... À noter également qu’à cette même époque, et même sans doute jusqu'au début voire milieu des années 90, la titularisation des stagiaires, qu’ils soient certifiésou agrégés, était une quasi-formalité.
Pour aller dans le sens de l'attractivité, il n'y a que dans l'EN qu'on vire sec les gens. Dans le monde normal de la fonction publique disons un A qui rate son année de stage se voit proposer de faire une année de stage en B(sauf problèmes vraiment très graves). Sauf à penser que les profs ratant le stage sont inemployables à tout poste(et je pense que certains dans l'institution le pensent), il n'y a que l'EN qui demande de lui sacrifier minimum deux souvent bien plus années de vie pour laisser les gens aller à Pôle emploi ensuite.
- RandoschtroumfNiveau 10
Ganbatte a écrit:SamScholes a écrit:Mathador a écrit:Le statut permet de licencier les titulaires dans les cas qui le justifient.
Heureusement, certes, mais ne soyons pas naïfs : il est indéniablement beaucoup plus difficile de procéder à un licenciement après la titularisation qu’avant.
Tu veux dire que c'est impossible ! Hormis des affaires allant au pénal - et encore ! - cela n'arrive pas. Aucune insuffisance professionnelle, aucune faille éthique ne permet la révocation.
Ainsi, toute la pression se concentre sur les stagiaires, de peur de titulariser par erreur.
Mon département a licencié plusieurs collègues ces dernières années.
Pas des collègues dangereux, mais des collègues pas suffisamment dociles, n'obéissant pas à l'IEN prescrivant une méthode unique sur sa circonscription.
D'autres se sont retrouvés en accompagnement renforcé pour la même raison, se retrouvant tels des stagiaires à passer leurs weekends à rédiger des fiches de séances et de séquences exhaustives en suivant scrupuleusement la méthode prescrite par le formateur.
Il a fallu expliquer à quelques collègues convaincus qu'il leur suffisait de refuser pour vivre leur vie qu'ils risquaient le licenciement.
L'accompagnement sert à faire rentrer dans le rang, à défaut à justifier que l'administration a bien proposé une aide au collègue "en difficulté".
Le licenciement existe (pour des raisons de choix pédagogiques plus que pour réelle insuffisance professionnelle d'ailleurs).
- GanbatteHabitué du forum
Il faut croire que ça varie considérablement d'une Académie à l'autre alors. À Paris, aucune sanction ne dépasse le premier groupe, et quand il y en a une, c'est pour des actes vraiment très, très graves, qui ont fuité dans les journaux. Magie de la commission paritaire où les syndicats occupent la moitié des sièges, disent en privé "ça c'est inacceptable", mais votent contre tout ou presque.
Alors la révocation...
@Randoschtroumph
Je serais curieux du nombre de licenciements, hors stagiaires, par an.
Alors la révocation...
@Randoschtroumph
Je serais curieux du nombre de licenciements, hors stagiaires, par an.
- mathmaxExpert spécialisé
Ganbatte a écrit:Il faut croire que ça varie considérablement d'une Académie à l'autre alors. À Paris, aucune sanction ne dépasse le premier groupe, et quand il y en a une, c'est pour des actes vraiment très, très graves, qui ont fuité dans les journaux. Magie de la commission paritaire où les syndicats occupent la moitié des sièges, disent en privé "ça c'est inacceptable", mais votent contre tout ou presque.
Alors la révocation...
@Randoschtroumph
Je serais curieux du nombre de licenciements, hors stagiaires, par an.
Mais la commission paritaire n’a qu’un avis consultatif...
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Albert Einstein
- GanbatteHabitué du forum
mathmax a écrit:Ganbatte a écrit:Il faut croire que ça varie considérablement d'une Académie à l'autre alors. À Paris, aucune sanction ne dépasse le premier groupe, et quand il y en a une, c'est pour des actes vraiment très, très graves, qui ont fuité dans les journaux. Magie de la commission paritaire où les syndicats occupent la moitié des sièges, disent en privé "ça c'est inacceptable", mais votent contre tout ou presque.
Alors la révocation...
@Randoschtroumph
Je serais curieux du nombre de licenciements, hors stagiaires, par an.
Mais la commission paritaire n’a qu’un avis consultatif...
Auquel l'institution se plie systématiquement sauf pénal, parce que penses-tu, il ne faudrait pas froisser les centrales syndicales.
- OudemiaBon génie
La situation des PE a toujours été bien plus difficile que celle des professeurs du secondaire !
- mathmaxExpert spécialisé
En effet cela dépend des académies !
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Albert Einstein
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