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- SisypheHabitué du forum
Cela semblerait un peu plus juste mais je crois qu'alors il y aurait de nombreuses démissions parmi les lauréats qui ne seraient pas assez haut dans le classement pour prétendre obtenir l'académie qu'ils souhaitent. Une grande partie de ce qui fait tenir les stagiaires est l'espérance d'obtenir leur affectation dans l'académie qu'ils souhaitent. On a beau leur montrer les barres d'entrée, les chiffres, c'est comme si ils espéraient que peut-être eux auraient de la chance. Il suffit de voir les discussions en salle des profs quand la mutation attendue n'arrive pas. J'ai des collègues qui s'indignent et tempêtent, clament qu'ils vont alerter la presse, qu'eux ont une famille et qu'ils doivent pouvoir rentrer chez eux chaque année. Et puis ils se calment et espèrent que l'année suivante sera la bonne. Si ton système est instauré, le résultat est implacable et l'espérance disparaît.
- JennyMédiateur
Mathador : dans ces conditions, je n’aurais pas passé le concours.
Je pense que ce serait encore moins attractif.
Je pense que ce serait encore moins attractif.
- Isis39Enchanteur
axelian73 a écrit:«Un élève qui rentre en 6e sans savoir lire ou compter , c'est quasiment de la maltraitance», a déclaré le ministre lors d'un atelier sur l'école au congrès de l'Association des maires de France. «Comment voulez-vous apprendre l'histoire-géo si vous ne savez pas lire? La physique-chimie sans savoir compter?», a insisté le ministre. «Il faut prendre des décisions». «Je les assumerai», a-t-il ajouté.
Cité par le Figaro :https://etudiant.lefigaro.fr/article/college/gabriel-attal-veut-lever-le-tabou-du-redoublement-20231122/
J'espère que ça ne veut pas dire, le 5 décembre :
1 heure de moins de Physique-chimie en 6e (remplacé par : Maths, par les mêmes profs si volontaires, en sous service, et manque de profs de maths)
1 heure de moins en HGeo en 6e remplacé par Français ; les collègues Hgeo feraient Emi sur l'heure perdue...
...
La volonté est de passer à 1h d'EMC donc je ne crois pas à une diminution.[/quote]
- EnaecoVénérable
Jenny a écrit:Mathador : dans ces conditions, je n’aurais pas passé le concours.
Je pense que ce serait encore moins attractif.
Parce que tu es parisienne qui ne veut pas quitter la capitale ?
Pour tous les provinciaux qui savent qu'ils n'éviteront pas la RP dans le système actuel, je pense que de savoir qu'ils peuvent échapper à ce destin subi en ayant un classement correct pourrait au contraire attirer.
- JennyMédiateur
Plutôt provinciale voulant absolument quitter sa région. Mais ce n’est pas une question Paris/Province, le mouvement des PE a cet inconvénient de rendre les mutations compliquées.
J’ai passé le concours en travaillant à côté, peu d’espoir d’arriver dans les premiers. Ne pas choisir du tout mon lieu de vie aurait été rédhibitoire.
J’ai passé le concours en travaillant à côté, peu d’espoir d’arriver dans les premiers. Ne pas choisir du tout mon lieu de vie aurait été rédhibitoire.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Mathador a écrit:
Je vois difficilement comment le statut d'étudiant protégeait en quoi que ce soit les stagiaires M2MEEF de la réforme NVB. De mon point de vue ils étaient plutôt entre le marteau de l'inspection et l'enclume du M2MEEF à validation obligatoire.
Pour avoir été prof en IUFM avant les années 2000, à l'époque où les corps d'inspection participaient activement à la formation, pour ma part, je vois fort bien en quoi le statut d'étudiant est protecteur. Je ne parierais pas le sel de mes frites sur le contraire.
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Si tu vales valeo.
- EnaecoVénérable
Jenny a écrit:Plutôt provinciale voulant absolument quitter sa région. Mais ce n’est pas une question Paris/Province, le mouvement des PE a cet inconvénient de rendre les mutations compliquées.
J’ai passé le concours en travaillant à côté, peu d’espoir d’arriver dans les premiers. Ne pas choisir du tout mon lieu de vie aurait été rédhibitoire.
Choisir sa première affectation au classement n'est pas incompatible avec le fait de pouvoir bouger par la suite.
(Les concours académiques me semblent plutôt un atout qu'un inconvénient. Certains collègues préfèrent garder leur statut de contractuel plutôt que de se faire muter à la titularisation. D'autres titulaires envisagent de démissionner car trop compliqué de rejoindre leur académie d'origine)
- TFSFidèle du forum
Enaeco a écrit:Jenny a écrit:Plutôt provinciale voulant absolument quitter sa région. Mais ce n’est pas une question Paris/Province, le mouvement des PE a cet inconvénient de rendre les mutations compliquées.
J’ai passé le concours en travaillant à côté, peu d’espoir d’arriver dans les premiers. Ne pas choisir du tout mon lieu de vie aurait été rédhibitoire.
Choisir sa première affectation au classement n'est pas incompatible avec le fait de pouvoir bouger par la suite.
(Les concours académiques me semblent plutôt un atout qu'un inconvénient. Certains collègues préfèrent garder leur statut de contractuel plutôt que de se faire muter à la titularisation. D'autres titulaires envisagent de démissionner car trop compliqué de rejoindre leur académie d'origine)
Sauf qu'il va falloir étendre le dispositif de fidélisation du 93 à toutes les académies de Créteil et de Versailles à ce compte là pour y obtenir suffisamment de candidats...
- valleExpert spécialisé
Si, pour une académie, des collègues attendent des années avant d'y être mutés, c'est qu'il y a plus de demandes de mutation que de postes à pourvoir. Un concours académique ne changera rien à cela. Selon le système choisi, les non mutés se transformeront en non reçus.Enaeco a écrit:(Les concours académiques me semblent plutôt un atout qu'un inconvénient. Certains collègues préfèrent garder leur statut de contractuel plutôt que de se faire muter à la titularisation. D'autres titulaires envisagent de démissionner car trop compliqué de rejoindre leur académie d'origine)
- JennyMédiateur
Enaeco a écrit:Choisir sa première affectation au classement n'est pas incompatible avec le fait de pouvoir bouger par la suite.
Je ne suis pas sûre que ça fluidifie le mouvement à vrai dire.
Je n'aurais pas attendu des années de toute façon...
- TFSFidèle du forum
valle a écrit:Si, pour une académie, des collègues attendent des années avant d'y être mutés, c'est qu'il y a plus de demandes de mutation que de postes à pourvoir. Un concours académique ne changera rien à cela.Enaeco a écrit:(Les concours académiques me semblent plutôt un atout qu'un inconvénient. Certains collègues préfèrent garder leur statut de contractuel plutôt que de se faire muter à la titularisation. D'autres titulaires envisagent de démissionner car trop compliqué de rejoindre leur académie d'origine)
Si ! Si on n'ouvre par académie que le nombre de postes que l'on saura réellement disponibles, ce qui peut globalement s'anticiper relativement facilement.
Ce qu'un recrutement académique va gripper, c'est plutôt le mouvement interacadémique...
- EnaecoVénérable
valle a écrit:Si, pour une académie, des collègues attendent des années avant d'y être mutés, c'est qu'il y a plus de demandes de mutation que de postes à pourvoir. Un concours académique ne changera rien à cela. Selon le système choisi, les non mutés se transformeront en non reçus.Enaeco a écrit:(Les concours académiques me semblent plutôt un atout qu'un inconvénient. Certains collègues préfèrent garder leur statut de contractuel plutôt que de se faire muter à la titularisation. D'autres titulaires envisagent de démissionner car trop compliqué de rejoindre leur académie d'origine)
Et bien plus de 10ans plus tard, je pense que j'aurai préféré être non reçu que coincé en RP.
Mais sans concours national, on ne serait pas en mesure de faire tourner les académies RP
- *Ombre*Grand sage
TFS a écrit:valle a écrit:Si, pour une académie, des collègues attendent des années avant d'y être mutés, c'est qu'il y a plus de demandes de mutation que de postes à pourvoir. Un concours académique ne changera rien à cela.Enaeco a écrit:(Les concours académiques me semblent plutôt un atout qu'un inconvénient. Certains collègues préfèrent garder leur statut de contractuel plutôt que de se faire muter à la titularisation. D'autres titulaires envisagent de démissionner car trop compliqué de rejoindre leur académie d'origine)
Si ! Si on n'ouvre par académie que le nombre de postes que l'on saura réellement disponibles, ce qui peut globalement s'anticiper relativement facilement.
Ce qu'un recrutement académique va gripper, c'est plutôt le mouvement interacadémique...
Oui, il y a un revers à toute médaille. Changer d'académie est très difficile pour un instit. Si les règles n'ont pas changé dernièrement, il faut trouver un échange de poste : pas évident, surtout quand on veut quitter une aca peu attractive.
- JennyMédiateur
Voilà, un tel système empirerait la situation. Ca pourrait satisfaire des gens qui ne souhaitent absolument pas bouger à condition d'avoir une affectation qui leur plaise. Sinon, coincés pour 40 ans.
- MathadorEmpereur
De ce que j'ai compris, auparavant le mouvement des PE était « fluidifié » par les inéats-exéats, avant que les DSDEN ne se mettent à les refuser de plus en plus en raison de l'aggravation des déficits de recrutement.
Avec ce dispositif on se retrouvait avec une sorte d'hybride entre le primaire actuel et le secondaire actuel: les mutations IDF→province par inéat-exéat augmentaient la capacité d'accueil des académies franciliennes par rapport au cas de départements entièrement isolés entre eux, et cela rendait envisageable de « commencer à Créteil » comme dans le secondaire tout en ayant un espoir de partir si l'on relevait d'une priorité de mutation.
Avec ce dispositif on se retrouvait avec une sorte d'hybride entre le primaire actuel et le secondaire actuel: les mutations IDF→province par inéat-exéat augmentaient la capacité d'accueil des académies franciliennes par rapport au cas de départements entièrement isolés entre eux, et cela rendait envisageable de « commencer à Créteil » comme dans le secondaire tout en ayant un espoir de partir si l'on relevait d'une priorité de mutation.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- SisypheHabitué du forum
Ce qu'on désire en début de carrière peut changer. Mutée dans le 93 comme la plupart de mes collègues en 2004, je savais que je ne voulais pas y rester. Nous étions néotitulaires nommés cette année là dans le même établissement : 4 sont finalement restés. Ils y ont trouvé l'amour et y ont fondé une famille. C'est la situation qui les a conduit à se sentir bien dans une académie qu'ils ne souhaitaient pas.
- Clecle78Bon génie
Pareil dans le nord. On est plusieurs à finalement y avoir fait notre vie après avoir tente de partir la première année. Ma copine y est restée et moi j'y ai vécu 15 ans.Sisyphe a écrit:Ce qu'on désire en début de carrière peut changer. Mutée dans le 93 comme la plupart de mes collègues en 2004, je savais que je ne voulais pas y rester. Nous étions néotitulaires nommés cette année là dans le même établissement : 4 sont finalement restés. Ils y ont trouvé l'amour et y ont fondé une famille. C'est la situation qui les a conduit à se sentir bien dans une académie qu'ils ne souhaitaient pas.
- JennyMédiateur
Voilà, ce serait dommage d'encore rendre le mouvement moins fluide et de se retrouver tributaires toute sa carrière des choix faits à 25 ans.
Je savais que mon affectation de néo-titulaire (pourtant loin d'être affreuse) n'allait pas me convenir et que je n'y tiendrais pas bien longtemps. J'en suis partie au bout de 2 ans, s'il avait fallu envisager d'y faire une bonne partie de ma carrière, j'aurais cherché un autre boulot dès l'affectation tombée.
Je savais que mon affectation de néo-titulaire (pourtant loin d'être affreuse) n'allait pas me convenir et que je n'y tiendrais pas bien longtemps. J'en suis partie au bout de 2 ans, s'il avait fallu envisager d'y faire une bonne partie de ma carrière, j'aurais cherché un autre boulot dès l'affectation tombée.
- valleExpert spécialisé
J'ai du mal à voir le moindre avantage au recrutement académique. À la louche :
- baisse du niveau des concours (vu comme le niveau du dernier admis),
- moins de recrutements (pour une discipline "normale" sans places systématiquement non pourvues au concours, au moins),
- perte d'unité dans l'ÉN (même si actuellement bien des choses dépendent plus des recteurs et IA pédagogiques ou administratifs, il y a un sentiment de corps chez les enseignants du secondaire et un sens du service public national),
- moindre mobilité (et sans responsabilité de l'administration, pour qui tout le monde sera nommé dans son académie d'élection),
- etc.
Mais je vois que de plus en plus de monde (hors EN et dans l'EN) semble pense qu'une régionalisation des concours apporterait des bénéfices...
- baisse du niveau des concours (vu comme le niveau du dernier admis),
- moins de recrutements (pour une discipline "normale" sans places systématiquement non pourvues au concours, au moins),
- perte d'unité dans l'ÉN (même si actuellement bien des choses dépendent plus des recteurs et IA pédagogiques ou administratifs, il y a un sentiment de corps chez les enseignants du secondaire et un sens du service public national),
- moindre mobilité (et sans responsabilité de l'administration, pour qui tout le monde sera nommé dans son académie d'élection),
- etc.
Mais je vois que de plus en plus de monde (hors EN et dans l'EN) semble pense qu'une régionalisation des concours apporterait des bénéfices...
- JennyMédiateur
valle a écrit:Mais je vois que de plus en plus de monde (hors EN et dans l'EN) semble pense qu'une régionalisation des concours apporterait des bénéfices...
La technique de se tirer une balle dans le pied sans doute.
Je suis entièrement d'accord avec toi.
- MathadorEmpereur
Comme avantage, « on » récupérerait des sudistes qui ne passent pas le concours parce qu'au nord de Cahors ou d'Avignon c'est l'enfer.
Sauf qu'un certain nombre de ces sudistes sont déjà candidats dans le système actuel, en optant pour le CRPE même si à système de mutation égal ils auraient préféré le CAPES ou l'agrégation.
Sauf qu'un certain nombre de ces sudistes sont déjà candidats dans le système actuel, en optant pour le CRPE même si à système de mutation égal ils auraient préféré le CAPES ou l'agrégation.
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Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- CasparProphète
Il faudrait voir comment ça se passe "chez nos voisins" comme disent les journalistes. À ma connaissance: recrutement régional en Allemagne (chaque Land recrute ses professeurs), en Espagne aussi il me semble (?), et recrutement local au Royaume-Uni (mais pas par le seul chef d'établissement, il y a tour un processus et c'est une décision collégiale) mais je suis un peu déconnecté de l'actualité du système éducatif au RU, il faudrait que je me pencher à nouveau sur la question pour savoir si les établissements difficiles où certaines régions ont du mal à recruter.
- JennyMédiateur
Ces pays ont aussi du mal à recruter des enseignants :
- https://www.courrierinternational.com/article/royaume-uni-c-est-la-rentree-mais-ou-sont-passes-les-profs
- https://www.france24.com/fr/europe/20220826-entre-difficultés-de-recrutement-et-démissions-l-europe-en-manque-de-professeurs
Le RU tente de payer différemment les enseignants selon les régions.
- https://www.courrierinternational.com/article/royaume-uni-c-est-la-rentree-mais-ou-sont-passes-les-profs
- https://www.france24.com/fr/europe/20220826-entre-difficultés-de-recrutement-et-démissions-l-europe-en-manque-de-professeurs
Le RU tente de payer différemment les enseignants selon les régions.
- MathadorEmpereur
Je suppose qu'il n'y a pas d'interdiction pour un enseignant londonien en poste de postuler auprès d'un établissement de Manchester, ou pour un enseignant titulaire du Land de Hamburg de postuler pour la procédure ordinaire de recrutement de l'enseignement bavarois ?Caspar a écrit:Il faudrait voir comment ça se passe "chez nos voisins" comme disent les journalistes. À ma connaissance: recrutement régional en Allemagne (chaque Land recrute ses professeurs), en Espagne aussi il me semble (?), et recrutement local au Royaume-Uni (mais pas par le seul chef d'établissement, il y a tour un processus et c'est une décision collégiale) mais je suis un peu déconnecté de l'actualité du système éducatif au RU, il faudrait que je me pencher à nouveau sur la question pour savoir si les établissements difficiles où certaines régions ont du mal à recruter.
En France l'équivalent est interdit: un PE de Seine-Saint-Denis qui voudrait rentrer « chez lui » à Marseille n'a pas le droit de s'inscrire au CRPE d'Aix-Marseille.
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Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- SoiréeHabitué du forum
Il est évident que ce serait le plus gros risque d’un tel projet de réforme du recrutement enseignant.Jenny a écrit:Ces pays ont aussi du mal à recruter des enseignants :
- https://www.courrierinternational.com/article/royaume-uni-c-est-la-rentree-mais-ou-sont-passes-les-profs
- https://www.france24.com/fr/europe/20220826-entre-difficultés-de-recrutement-et-démissions-l-europe-en-manque-de-professeurs
Le RU tente de payer différemment les enseignants selon les régions.
Avec bien entendu aussi le projet de rémunérer différemment selon les disciplines, en fonction des difficultés de recrutement propres à telle ou telle filière.
Il faudrait être inconscient pour ne pas voir les risques induits par des projets de ce type.
- JennyMédiateur
Je pense que ça nous pend au nez. Ca ira de pair avec un recrutement régional...
Bizarrement, peu de collègues semblent réclamer un mouvement à un tour, ce qui fluidifierait le mouvement.
Le noeud du problème est sans doute là :
Bizarrement, peu de collègues semblent réclamer un mouvement à un tour, ce qui fluidifierait le mouvement.
Le noeud du problème est sans doute là :
https://www.france24.com/fr/europe/20220826-entre-difficultés-de-recrutement-et-démissions-l-europe-en-manque-de-professeurs"En Allemagne, les professeurs ont perdu leur statut de fonctionnaire et donc de la sécurité d'emploi. En parallèle, ils se sont vu confier davantage de tâches administratives qui alourdissent leur charge quotidienne", explique-t-il. "Même chose en Hongrie où le temps de travail n'a cessé d'augmenter ces dernières années." Parmi les personnes sondées par the National Education Union au Royaume-Uni, c'est bel et bien la question du la charge du travail qui pose problème : 52 % des répondants estiment qu'elle est "ingérable" ou "ingérable la plupart du temps", contre 35 % en 2021.
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