- MC311Niveau 10
OUi, demi-indemnité car le lycée n'est pas en zone sensible.Jenny a écrit:Ça se fait en zone sensible mais en dehors, ça me semble compliqué (à moins de toucher une demi-indemnité ?)
- MoyenCrocoNiveau 10
La surcharge pour une néo-tit est importante, lorsqu'elle arrive dans un nouvel établissement.Ganbatte a écrit:
Maintenant, si tu es assez fort et sûr de toi dans ton individualisme pour penser que s'adapter à un fonctionnement d'équipe, c'est tordu et problématique, grand bien te fasse : mais une néo-titulaire qui dit avoir des hésitations, je ne sais pas, ça peut être bien de lui dire plutôt "suis la tendance dans un premier temps, et puis après tu verras comment te positionner, ce que tu peux infléchir, ce que tu souhaites négocier, ce que tu veux refuser."
Ca peut être mieux de lui dire "refuse tout ce que tu peux dans un premier temps, ton année sera suffisamment chargée, puis après tu verras comment te positionner, ce que tu peux infléchir, ce que tu souhaites négocier, ce que tu veux accepter à condition que ce soit (bien) payé"
- trompettemarineMonarque
Ascagne a écrit:Dans mon établissement, Pronote n'est pas ouvert avant la pré-rentrée, voire peu après la rentrée.
Je culpabilise quand je vois à quel point des collègues travaillent (et sérieusement en plus) durant l'été (je pense notamment à ça en voyant les notifications du groupe Facebook pour la CGE en BTS). Pour ma part, je n'ai rien fait à proprement parler, même si mon cerveau rumine en arrière-fond. La rentrée me semble très virtuelle tant que je ne suis pas retourné dans l'établissement. Ce qui m'ennuie, cette année, c'est que je vais faire cours au collège : je dois m'y mettre là tout de même.
Je passe des étés solitaires (contact avec la famille excepté) et je suis à chaque fois désarçonné par le retour à un excès de sociabilité dès la pré-rentrée. Les collègues, encore, ça va, mais les élèves... Je dois essayer de bifurquer vers un métier éloignant des ados, par pitié.
Bon courage à tout le monde, je partage vos petites angoisses de pré-rentrée. Je sens gros comme une maison qu'on risque de me demander si je peux malgré tout assumer de nouveau la tâche de PP de 2nde. Mais non, c'est non. Ou alors vraiment il faudrait ne faire que la moitié de la classe en lien avec un collègue mais je doute que ça se fasse pour ce niveau.
Impossible pour moi de travailler pendant ces vacances cette année. J'ai juste fait du rangement. J'ai eu besoin de couper totalement. Ce sera chaud à la rentrée. Mais je ne culpabilise plus.
- JacqGuide spirituel
Hocam a écrit:Que tu aies apprécié personnellement il y a un quart de siècle, tant mieux, mais tu t'acharnes à présenter la charge de PP comme un «fait» qui apparaît comme ça, comme si le collègue n'y pouvait rien, mais c'est faux. Le proviseur n'a pas à « confirmer que Mme X est PP », ce n'est pas une vérité cosmique qui serait révélée par un CDE-oracle depuis son bureau. Le métier a changé depuis que tu as commencé, et quand on vient poster le 22 août « je commence à stresser très sérieusement pour la rentrée », il faut mettre toutes les chances de son côté pour alléger un peu la pression. Refuser la charge de PP en tant que néo-tit me paraît la plus salutaire des options au vu du message de la collègue.Jacq a écrit:Hocam a écrit:Si tu es angoissée à ce point-là, je te suggère malgré tout d'envoyer un courriel dès aujourd'hui pour demander à ton proviseur de tenter de trouver quelqu'un d'autre. S'il n'est pas trop bête, il comprendra qu'un néo-titulaire qui ne connaît pas encore le terrain n'est pas le meilleur choix pour être PP de seconde ; peut-être qu'il a déjà essayé de convaincre des plus anciens et qu'il s'est rabattu sur toi face à leur refus, ou peut-être qu'il t'a mis par défaut parce que ça l'arrangeait bien et qu'il n'a pas envie de s'embêter à parlementer. Dans l'absolu, pardon mais il n'y a aucune raison pour qu'on refile la charge aux petits nouveaux, sauf s'ils y tiennent vraiment. Dans le doute, fais savoir que ce n'est pas ce qui t'arrange le plus, et utilise cela comme un potentiel levier de négociation.
Je répète, j'ai finalement apprécié la charge de PP le première année. C'est maintenant (23 ans de boutique) que je commence à m'en lasser.
Oui tu peux refuser (et je vais le faire cette année s'ils me balancent une classe que je n'ai pas souhaitée alors que j'ai demandé une classe en particulier, après consultation de toute l'équipe de la classe à venir, pour ne pas court-circuiter d'éventuels postulants).
Je te suggère plutôt d'adresser un message au proviseur pour lui demander s'il confirme que tu es PP ou s'il infirme (il a trouvé quelqu'un d'autre durant l'été).
Je ne m'acharne sur rien du tout et surtout pas sur le fait que ce serait un "fait", malgré tes interprétations.
La preuve en est de ce que j'ai écrit avant et après (et que tu as coupé), me concernant et concernant une autre collègue à la rentrée 2023.
- titeprofExpert
20e rentrée ici, 14e dans le même établissement, et en guise d'angoisse de pré-rentrée, je me suis juste aperçu ce matin que j'avais oublié mon cartable au collège en juillet Ne prenez pas exemple sur moi ^^
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[center]Je suis comme le ciel, rien ne s'accroche à moi (mantra)
- ErgoDevin
J'ai rêvé après une scène confuse avec une histoire d'ascenseur qu'une collègue m'aidait à choisir une tenue de sport pour un match (). Puis j'allais voir une ancienne collègue (qui a muté et que je n'ai pas vue depuis plus d'un an, même si on a correspondu) dans une espèce de vieil amphi et on discutait de la mise en disponibilité demandée par un collègue mi-juillet. Je crois qu'il faut voir le match comme une image de la réunion de pré-rentrée qu'il faut que je prépare et anime.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- sookieGrand sage
Je ne compte plus le nombre de rentrées totale ni dans mon établissement. Je n’ai aucune angoisse mais aucune motivation, et pour une fois je n’ai quasiment rien fait pendant les vacances (je suis partie en juillet à la montagne, puis 2 semaines de JO puis en Bretagne où je suis encore) et j’ai fait un gros travail sur moi car je ne culpabilise plus.
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On est belle et on ne se tait pas, on n'est jamais trop vieille pour quoique ce soit
- BaldredSage
Dernière rentrée, le mystérieux compte a rebours s'est declenché comme d'habitude après le 15 août. Pas encore de cauchemar de débâcle généralisée et incontrôlable. Mais je sais que ça va venir. Toujours quelqu'un pour me rappeler qu'il me reste 9,8,7 jours de vacances, ce que je nie alors que la fraîcheur des nuits et la lecture des journaux le confirment.
- AsarteLilithBon génie
J'ai vivement besoin que tu me donnes ta recette alors ! Mes mains sont en voie de guérison, avec les bandages.
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- eliamEsprit éclairé
Pareil. Pas de motivation mais ni angoisse ni culpabilité m. J'ai un peu travaillé : fait mes EL pour la nouvelle œuvre au programme du bac mais c'est à peu près tout. Pas vraiment le courage.
- M le MauditNiveau 9
Idem sauf que je n'ai pas travaillé du tout. Quant à la culpabilité elle est désormais très loin derrière moi...
- zigmag17Guide spirituel
Rien fait. J'envisage cette rentrée comme un évènement désagréable qui va se poursuivre toute l'année. Les répartitions ont été faites de telle sorte que je ne décolère pas et me retrouve pour la première fois depuis des lustres avec un nombre conséquent de classes, et pour certaines des classes subies. Je vais donc travailler comme quand j'ai débuté : au jour le jour, sans quoi je vais disjoncter. Il ne manquerait plus qu'un edt mal ficelé parachève le tout et je ferai ce qu'a fait l'une de mes collègues il y a quelques années : aucune incursion en salle des profs, photocops, cours et basta.
Le mode grosse contrariété est enclenché, j'en veux énormément à certains collègues et aux coordos qui ont mené ces répartitions, c'est douloureux de se dire que l'on fait partie des gens qui auront subi des décisions de A à Z pendant toute leur carrière tandis que d'autres savent se faire entendre et savent comment obtenir ce qu'ils veulent( pourtant je sais dire ce que je veux mais ça n'a aucune portée manifestement).
Pas hâte d'y être, pas hâte d'en cauchemarder non plus.
Le mode grosse contrariété est enclenché, j'en veux énormément à certains collègues et aux coordos qui ont mené ces répartitions, c'est douloureux de se dire que l'on fait partie des gens qui auront subi des décisions de A à Z pendant toute leur carrière tandis que d'autres savent se faire entendre et savent comment obtenir ce qu'ils veulent( pourtant je sais dire ce que je veux mais ça n'a aucune portée manifestement).
Pas hâte d'y être, pas hâte d'en cauchemarder non plus.
- maduNiveau 8
Cette nuit j’ai rêvé que je souhaitais de bonnes vacances de noël à mes élèves…
- TinyNiveau 5
Pour la première fois,les vacances je n' ai vu les vacances passer.
C'est impressionnant ! J'ai l'impression que c'était hier le repas de fin d'année.
Cela doit être du à l'âge et c'est extrêmement flippant ce sentiment.
Du coup,je suis repartie en vacances et ne rentrerai que la veille de la rentrée qui a lieu jeudi.
Je n' aime pas la prérentrée,ni la rentrée
C'est impressionnant ! J'ai l'impression que c'était hier le repas de fin d'année.
Cela doit être du à l'âge et c'est extrêmement flippant ce sentiment.
Du coup,je suis repartie en vacances et ne rentrerai que la veille de la rentrée qui a lieu jeudi.
Je n' aime pas la prérentrée,ni la rentrée
- Reine MargotDemi-dieu
A l'époque où j'enseignais c'était plutôt le rêve où je repassais le bac, et évidemment je n'arrivais pas à finir à temps ma copie, c'était l'angoisse...
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- zeprofGrand sage
Pas d'angoisse pour moi cette année, ça fait quelques années que ça va mieux là-dessus.
Je suis contente de retrouver mes élèves de l'an dernier et plutôt impatiente de découvrir les nouveaux.
Pas de cauchemars ni d'insomnie pour le moment, pourvu que ça dure !
J'ai à nouveau accepté d'être PP : dans un sens, j'aime bien la relation que ça permet d'établir avec les élèves même si je peste sur la charge de travail régulièrement.
Le seul point noir, c'est toujours l'attente de ce fichu emploi du temps (qu'on aura probablement à midi le jour de la pré rentrée), mais depuis que les enfants sont au collège ou au lycée, c'est moins problématique niveau organisation alors ça me stresse moins qu'avant.
Bon courage à tous.
Je suis contente de retrouver mes élèves de l'an dernier et plutôt impatiente de découvrir les nouveaux.
Pas de cauchemars ni d'insomnie pour le moment, pourvu que ça dure !
J'ai à nouveau accepté d'être PP : dans un sens, j'aime bien la relation que ça permet d'établir avec les élèves même si je peste sur la charge de travail régulièrement.
Le seul point noir, c'est toujours l'attente de ce fichu emploi du temps (qu'on aura probablement à midi le jour de la pré rentrée), mais depuis que les enfants sont au collège ou au lycée, c'est moins problématique niveau organisation alors ça me stresse moins qu'avant.
Bon courage à tous.
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"La peur est le chemin vers le côté obscur: la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance."
- AsarteLilithBon génie
Y en a-t-il qui ont accepté d'être PP tout en étant prof de français ou de maths avec la réforme des groupes ?
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- mamieprofEsprit éclairé
Toujours la même angoisse d un edt merdique mais je relativise car j'ai décidé de faire encore 2 années scolaires plus un mois et demi pour partir à 65 ans.
Pour la première fois depuis ma titularisation, j'ai demandé à ne pas être PP. Ça devrait être respecté. Ne plus être PP de terminale va me libérer d'une charge que j'aimais beaucoup mais qui , entre l'administratif et Parcoursup, devenait trop prenante y compris pendant les vacances scolaires.
Et la remise des edt après la grand messe de la direction est insupportable. J'ai 11 ans d' EN, je ne comprends toujours pas pourquoi on nous infantilise autant.
Pour la première fois depuis ma titularisation, j'ai demandé à ne pas être PP. Ça devrait être respecté. Ne plus être PP de terminale va me libérer d'une charge que j'aimais beaucoup mais qui , entre l'administratif et Parcoursup, devenait trop prenante y compris pendant les vacances scolaires.
Et la remise des edt après la grand messe de la direction est insupportable. J'ai 11 ans d' EN, je ne comprends toujours pas pourquoi on nous infantilise autant.
- jonjon71Fidèle du forum
Oui moi. Mais j'ai d'abord mis 3e en premier vœu puis 5e et 6e. J'ai demandé à l'adjointe si ça ne posait pas un problème d'être PP de 6e ou 5e donc en ayant pas tous les élèves elle m'a répondu que non.AsarteLilith a écrit:Y en a-t-il qui ont accepté d'être PP tout en étant prof de français ou de maths avec la réforme des groupes ?
- MajuFidèle du forum
Pas moi, et un seul collègue dans l'equipe, alors que nous l'étions presque tous.AsarteLilith a écrit:Y en a-t-il qui ont accepté d'être PP tout en étant prof de français ou de maths avec la réforme des groupes ?
- lagoulueNiveau 8
jonjon71 a écrit:Oui moi. Mais j'ai d'abord mis 3e en premier vœu puis 5e et 6e. J'ai demandé à l'adjointe si ça ne posait pas un problème d'être PP de 6e ou 5e donc en ayant pas tous les élèves elle m'a répondu que non.AsarteLilith a écrit:Y en a-t-il qui ont accepté d'être PP tout en étant prof de français ou de maths avec la réforme des groupes ?
Oui. Sans savoir si c’est une bonne idée ou pas. Mes raisons :
- j’ai été PP de 6e pour la 1re fois cette année depuis des années ; pas à ma demande ; cela s’est globalement bien passé, avec une classe pourtant pas facile ; je me dis donc que si j’ai réussi l’an passé, ça devrait le faire (en gros) cette année (enfin j’espère, en ayant conscience tout de même qu’on ne sait jamais…) ;
- j’ai trouvé que la personne de la direction avec laquelle j’ai eu à travailler a répondu à mes « attentes ». Elle reste chez nous l’an prochain, je me sens donc assez en confiance, et espère donc pouvoir travailler avec elle ;
- en fait, je me dis qu’au moins je perçois l’ISO alors que les années d’avant, même sans être PP, on m’en demandait beaucoup en tant que professeur de français, qui voit beaucoup les élèves, qui les connaît, gna gna gna (oui ce sont des arguments qui me soûlent un peu ). On est de toutes les réunions à cause de cela, encore plus avec leurs (bon sang) d’évaluations nationales ;
- reste évidemment le problème que je n’aurai pas tous les élèves en classe avec moi… eh bien tant pis ; l’institution a dit que c’était possible, très bien, c’est possible (une collègue a déjà dû le faire cette année chez nous). Je ferai, là encore sans me mettre la rate au court-bouillon si ce n’est pas parfait. Et sans porter ce poids sur mes épaules. On fait avec les moyens du bord et les contraintes que l’on nous a créées.
- zigmag17Guide spirituel
mamieprof a écrit:Toujours la même angoisse d un edt merdique mais je relativise car j'ai décidé de faire encore 2 années scolaires plus un mois et demi pour partir à 65 ans.
Pour la première fois depuis ma titularisation, j'ai demandé à ne pas être PP. Ça devrait être respecté. Ne plus être PP de terminale va me libérer d'une charge que j'aimais beaucoup mais qui , entre l'administratif et Parcoursup, devenait trop prenante y compris pendant les vacances scolaires.
Et la remise des edt après la grand messe de la direction est insupportable. J'ai 11 ans d' EN, je ne comprends toujours pas pourquoi on nous infantilise autant.
J'ai plus de 30 ans d'EN. L'ENSAP me donne des simulations de départ à partir de 63 ans. Honnêtement je vais faire des calculs et voir si ça passe comme ça avec une minuscule retraite. Je n'aurai peut-être pas la quiétude financière mais au moins la tranquillité de l'esprit.
Je n'en peux plus moi non plus de cette infantilisation, ni des passe-droits que s'arrogent certains, ni des petits caporaux ( de plus en plus de collègues et de CPE se prennent pour des chefs et notre marge de manœuvre est réduite). Franchement cette médiocrité j'en ai ma claque. Ce qui ne m'empêche pas d'etre là année après année , et ça c'est vraiment un travail que je dois mener pour comprendre les ressorts de ma passivité.
- MalavitaÉrudit
zigmag17 a écrit:Rien fait. J'envisage cette rentrée comme un évènement désagréable qui va se poursuivre toute l'année. Les répartitions ont été faites de telle sorte que je ne décolère pas et me retrouve pour la première fois depuis des lustres avec un nombre conséquent de classes, et pour certaines des classes subies. Je vais donc travailler comme quand j'ai débuté : au jour le jour, sans quoi je vais disjoncter. Il ne manquerait plus qu'un edt mal ficelé parachève le tout et je ferai ce qu'a fait l'une de mes collègues il y a quelques années : aucune incursion en salle des profs, photocops, cours et basta.
Le mode grosse contrariété est enclenché, j'en veux énormément à certains collègues et aux coordos qui ont mené ces répartitions, c'est douloureux de se dire que l'on fait partie des gens qui auront subi des décisions de A à Z pendant toute leur carrière tandis que d'autres savent se faire entendre et savent comment obtenir ce qu'ils veulent( pourtant je sais dire ce que je veux mais ça n'a aucune portée manifestement).
Pas hâte d'y être, pas hâte d'en cauchemarder non plus.
Aïe. Je suis vraiment désolée pour toi. Je ne comprends, ce n'est pas l'équipe de LHG qui a géré la répartition ?
A titre personnel, je commence d'angoisser car l'ambiance de mon établissement est délétère et j'ai deux collègues avec qui je m'entendais bien qui sont parties. En revanche, si notre répartition est acceptée (on ne le sait toujours pas..., l'an dernier, on a découvert la validation, le jour de la pré-rentée ), je me retrouve pour la première fois avec seulement trois classes et deux niveau.
En revanche, ce qui m'inquiète c'est que notre direction est toujours en place avec de gros dysfonctionnements et une incapacité à cadrer les élèves (car leur parole est d'or), une vie scolaire qui fait sa loi et des collègues qui tutoient la direction...
- Ajonc35Sage
Du vécu, pour moi. Et je suis partie sans faire de calculs. Mais je ne vis pas seule et mon logement est payé.zigmag17 a écrit:mamieprof a écrit:Toujours la même angoisse d un edt merdique mais je relativise car j'ai décidé de faire encore 2 années scolaires plus un mois et demi pour partir à 65 ans.
Pour la première fois depuis ma titularisation, j'ai demandé à ne pas être PP. Ça devrait être respecté. Ne plus être PP de terminale va me libérer d'une charge que j'aimais beaucoup mais qui , entre l'administratif et Parcoursup, devenait trop prenante y compris pendant les vacances scolaires.
Et la remise des edt après la grand messe de la direction est insupportable. J'ai 11 ans d' EN, je ne comprends toujours pas pourquoi on nous infantilise autant.
J'ai plus de 30 ans d'EN. L'ENSAP me donne des simulations de départ à partir de 63 ans. Honnêtement je vais faire des calculs et voir si ça passe comme ça avec une minuscule retraite. Je n'aurai peut-être pas la quiétude financière mais au moins la tranquillité de l'esprit.
Je n'en peux plus moi non plus de cette infantilisation, ni des passe-droits que s'arrogent certains, ni des petits caporaux ( de plus en plus de collègues et de CPE se prennent pour des chefs et notre marge de manœuvre est réduite). Franchement cette médiocrité j'en ai ma claque. Ce qui ne m'empêche pas d'etre là année après année , et ça c'est vraiment un travail que je dois mener pour comprendre les ressorts de ma passivité.
Je me suis amusée hier, à la louche, à faire un calcul de nos deux salaires avec deux enfants et un prêt, il m'en reste autant aujourd'hui ( voire plus selon les impôts puisque j'en paye plus que lorsque j'avais des enfants. Je parle en % pour que le chiffre soit fiable).
Je n'en pouvais plus de tout ce que tu as écrit entre injonctions et moyens en baisse, sans compter les parents.
Je valide aussi ce qu'a écrit Malavita.
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