- Isis39Enchanteur
Je suis pas mal assise aussi, cela dépend des cours. Quand il faut manipuler Google Earth, ou prendre en note les réponses et phrases des élèves, il faut bien être assis.
A d'autres moment je suis debout.
Pour le bureau virtuel, je ne comprends pas : il n'a pas d'ordinateur ? Il ne corrige jamais de copies ? Jamais de papiers à poser ?
A d'autres moment je suis debout.
Pour le bureau virtuel, je ne comprends pas : il n'a pas d'ordinateur ? Il ne corrige jamais de copies ? Jamais de papiers à poser ?
- Choup90Niveau 10
Le fait d'être assis permet aussi parfois de faire passer un message : c'est vous qui bossez, là. L'autre jour, j'ai fait ça avec mes CP particulièrement assistés (je n'y fais qu'un jour par semaine). Pour une consigne que tous sauf un étaient complètement en capacité de relire (je l'avais lue à l'oral et expliquée, il n'y avait qu'une histoire de couleurs à relire s'ils avaient oublié), je suis restée assise sur ma chaise (à côté de l'élève en difficulté que j'ai aidé). En refusant de me lever, je les ai obligés à réaliser seuls l'exercice. Ils ont bien râlé, mais ensuite ils étaient très fiers d'avoir réussi.
Je remarque que quand on circule énormément, ils nous demandent beaucoup d'aide, et on répond spontanément puisqu'on est là. Du coup, ils travaillent moins.
Bien entendu, il y a un juste milieu, et il faut parfois/souvent circuler (selon les niveaux, le profil de classe, le travail en cours, etc.).
Je remarque que quand on circule énormément, ils nous demandent beaucoup d'aide, et on répond spontanément puisqu'on est là. Du coup, ils travaillent moins.
Bien entendu, il y a un juste milieu, et il faut parfois/souvent circuler (selon les niveaux, le profil de classe, le travail en cours, etc.).
- trompettemarineMonarque
Un tuteur m'avait dit que se promener près des élèves revenait parfois à allumer une ampoule qui s'éteignait automatiquement dès qu'on s'éloignait de l'élève.
C'est un peu excessif, mais pas faux non plus.
Pour ma part, voyant mal ce qu'il y a au sol, pour éviter de trébucher, je circule peu. Je compense en les regardant tous et en essayant de tous les interroger (mais ils sont plus de 30 en sixième cette année ! ).
Le fait que le lieu de l'émission de notre voix change sans arrêt n'aide pas l'écoute.
Sinon, chacun fait bien comme il préfère.
C'est un peu excessif, mais pas faux non plus.
Pour ma part, voyant mal ce qu'il y a au sol, pour éviter de trébucher, je circule peu. Je compense en les regardant tous et en essayant de tous les interroger (mais ils sont plus de 30 en sixième cette année ! ).
Le fait que le lieu de l'émission de notre voix change sans arrêt n'aide pas l'écoute.
Sinon, chacun fait bien comme il préfère.
- Clecle78Bon génie
Je pense qu'il n'y a pas de bonne ou de mauvaise posture, tout simplement. Il faut être à l'aise dans son corps, même s'il n'est pas parfait, dans sa salle de classe et dans sa relation aux élèves. Er tout ça ça dépend de chacun et ça s'acquiert avec de l'expérience ,aussi. Une fois qu'on a tout testé on sait ce qui fonctionne pour nous, ou pas ...
- uneodysséeNeoprof expérimenté
Absolument !
Je suis souvent assise, mais sur une table : sinon, avec l’écran de l’ordinateur sur le bureau et ma petite taille, j’ai vraiment l’impression de ne plus les voir !
On me l’a conseillé aussi par rapport à la circulation sanguine (que j’ai très mauvaise) : ne pas trop rester debout à piétiner. Donc la plupart du temps, soit je circule vraiment pour aller voir ce qui se passe chez chacun·e, soit je me pose quelque part.
Je suis souvent assise, mais sur une table : sinon, avec l’écran de l’ordinateur sur le bureau et ma petite taille, j’ai vraiment l’impression de ne plus les voir !
On me l’a conseillé aussi par rapport à la circulation sanguine (que j’ai très mauvaise) : ne pas trop rester debout à piétiner. Donc la plupart du temps, soit je circule vraiment pour aller voir ce qui se passe chez chacun·e, soit je me pose quelque part.
- DaphnéDemi-dieu
Jenny a écrit:Je ne suis pas sûre que les enseignants achètent son livre. J'ai un peu envie de lire autre chose, moi.
Tu m'ôtes les mots du clavier.
Le métier on le connait donc autant lire autre chose pour se détendre.
Ce qui n'empêche pas qu'il serait intéressant d'avoir quelques retours par celles et ceux qui l'auront lu, sur ce forum par exemple
- lene75Prophète
Je circule peu, encore moins depuis le Covid, et pas du tout dans les salles dans lesquelles il est impossible de circuler parce que toutes les tables sont collées, mais... je ne suis quasi jamais assise pour une raison toute bête : mes élèves sont plus grands que moi, si je m'assois, je ne vois que les deux de devant dont les tables sont collées à mon bureau et qui me bouchent de ce fait complètement le champ visuel. D'où l'idée de l'estrade qui n'était pas si bête que ça... Quand j'ai un groupe moins nombreux et qu'il n'y a personne de collé à mon bureau, je m'assois souvent dessus avec les pieds sur une chaise. C'est pas très stylé comme position, mais ça me convient. Il m'arrive cependant de circuler dans la salle quand j'ai une classe qu'il faut plus "tenir" ou quand je veux qu'un élève se taise / arrête ce qu'il est en train de faire sans avoir à m'interrompre dans mon développement.
Comme dit plus haut, j'avais remarqué que quand je circulais les élèves me suivaient du regard et se tournaient donc dans tous les sens, et surtout, ils m'ont dit eux-mêmes qu'ils m'entendaient très mal quand ils étaient dans mon dos, alors s'il faut être face à tous, forcément... ah oui parce que je suis bien plus une vieille réac que ceux qui restent assis : mon cours est magistral à 99%, c'est moi qui parle tout le temps. Comme quoi on peut être debout et réac à la fois
Comme dit plus haut, j'avais remarqué que quand je circulais les élèves me suivaient du regard et se tournaient donc dans tous les sens, et surtout, ils m'ont dit eux-mêmes qu'ils m'entendaient très mal quand ils étaient dans mon dos, alors s'il faut être face à tous, forcément... ah oui parce que je suis bien plus une vieille réac que ceux qui restent assis : mon cours est magistral à 99%, c'est moi qui parle tout le temps. Comme quoi on peut être debout et réac à la fois
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- DaphnéDemi-dieu
Sapotille a écrit:J'ai un fils journaliste qui disait, après avoir être sorti de sciences Po et avoir commencé son métier :"C'est un peu parler de tout sans rien connaître" !!!
Ils appellent cela une incompétence large !
Quand son fils aîné est entré au CP, je demandais des nouvelles de son apprentissage de la lecture.
J'ai vite compris que pour lui, concrètement, le monde de l'école était parfait et intouchable !
Je n'ai guère insisté, mais étrangement, en juillet, il m'a demandé de prendre son gamin "pour la lecture" !!!
Ce petiot est arrivé en disant : "je ne comprends rien, je ne sais pas lire !"
J'ai bien sûr remédié au problème !
Le milieu de l'enseignement est la plupart du temps étranger à la plupart des gens, qu'ils soient journalistes ou non !
Enfin, c'est ma toute petite expérience !
Forcément, il avait l'exemple de sa mère sous les yeux, comment veux tu qu'il en soit autrement ?
- Clecle78Bon génie
Je me souviens que pour mes débuts il y a trèèès longtemps je m'étais acheté une bonne panoplie de prof, petit tailleur et escarpins. Ma meilleure amie qui entrait à la mairie de Paris avait aussi fait ses emplettes. On en parlait l'autre jour justement et ça nous faisait bien rigoler. Qu'est-ce qu'on était mal à l'aise (et en plus la jupe droite trop serrée qui craque en plein cours, sacré souvenir ...). Ça fait des années qu'on est en mode confort (mais pas non plus négligé, hein) et tout va bien. J'ai une collègue toujours hyper élégante et talons de 12 centimètres qui m'expliquait qu'elle s'habillait ainsi même pour s'occuper de son jardin.
J'ai testé beaucoup de choses de façon solitaire et empirique dans les années 90, j'étais, sans le savoir, très innovante (îlots, ordi, fiche de critères etc... etc.... )Je dois dire qu'aujourd'hui mon style d'enseignement est des plus traditionnels et que j'aime toujours mieux travailler avec un manuel qu'un écran. Eh je suis convaincue d'enseigner mieux comme ça même si ce n'est plus au goût du jour.
J'ai testé beaucoup de choses de façon solitaire et empirique dans les années 90, j'étais, sans le savoir, très innovante (îlots, ordi, fiche de critères etc... etc.... )Je dois dire qu'aujourd'hui mon style d'enseignement est des plus traditionnels et que j'aime toujours mieux travailler avec un manuel qu'un écran. Eh je suis convaincue d'enseigner mieux comme ça même si ce n'est plus au goût du jour.
- MatteoNiveau 10
Je circule assez peu parce que je ne suis pas capable de marcher et de parler à une classe en même temps. Par ailleurs les élèves doivent se retourner si je me mets au fond ce qui est pénible. Je suis souvent assis.
- cit6Niveau 7
Dans mon lycée, ils ont mis en place un système qui fait que dès que plus personne ne bouge dans la salle, les lumières s'éteignent . Dans une des salles en particulier, il faut vraiment des mouvements assez importants pour que ça fonctionne. Résultat, je me suis retrouvée mi-février de 16 à 17 à devoir faire des allers et retours dans ma salle pendant toute l'heure pendant que mes élèves étaient en contrôle pour que les lumières ne s'éteignent pas . Encore un truc pour empêcher les profs de rester tranquillement assis derrière leur bureau .
Cit6.
Cit6.
- BartleboothNiveau 7
J’espère que tu as pensé à télécharger une appli qui rémunère tes pas quotidiens!
- JennyMédiateur
Lene : l’estrade, ce n’est pas si bête sauf quand on porte des talons et qu’en plus l’estrade est plus courte que le tableau. J’ai tendance à regarder ce que j’écris, les élèves, ce que j’écris… et bim.
- Ajonc35Sage
Je pense que ce livre a le mérite d'exister. 6 mois en immersion, c'est moins bien que de vivre le métier au quotidien et dans une grande diversité, mais bien mieux que de se contenter de quelques interviews auprès d'interlocuteurs choisis le plus plus souvent.
Cette expérience me fait penser au livre de Florence Aubenas. Son vécu était partiel mais c'était son vécu et il a ouvert les yeux plus grands, en tout les cas, les miens.
Je pense que ce livre touchera ceux qui sont déjà sensibles au sujet.
Cette expérience me fait penser au livre de Florence Aubenas. Son vécu était partiel mais c'était son vécu et il a ouvert les yeux plus grands, en tout les cas, les miens.
Je pense que ce livre touchera ceux qui sont déjà sensibles au sujet.
- slynopHabitué du forum
Il y aura peut-être un film dessus, comme pour le livre de Florence Aubenas.
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"C'est pas moi qu'explique mal, c'est les autres qui sont cons !", Perceval dans Kaamelot.
- Anne_68Habitué du forum
cit6 a écrit:Dans mon lycée, ils ont mis en place un système qui fait que dès que plus personne ne bouge dans la salle, les lumières s'éteignent . Dans une des salles en particulier, il faut vraiment des mouvements assez importants pour que ça fonctionne. Résultat, je me suis retrouvée mi-février de 16 à 17 à devoir faire des allers et retours dans ma salle pendant toute l'heure pendant que mes élèves étaient en contrôle pour que les lumières ne s'éteignent pas . Encore un truc pour empêcher les profs de rester tranquillement assis derrière leur bureau .
Cit6.
Sérieux ?
Cette idée de réunir la sobriété énergétique et le nudging contre la sédentarité doit être issue du cerveau d'un manager particulièrement zélé...
- lene75Prophète
Interview ici :
https://www.tf1.fr/tmc/quotidien-avec-yann-barthes/videos/invitee-anna-benjamin-raconte-la-vraie-vie-des-prof-76819304.html
https://www.tf1.fr/tmc/quotidien-avec-yann-barthes/videos/invitee-anna-benjamin-raconte-la-vraie-vie-des-prof-76819304.html
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- ErgoDevin
L'interview va dans le sens de ce qu'on dit (la dose de travail, le déclassement financier).
Je trouve plutôt bien que les discours médiatiques fassent écho à ce qu'on répète -- la question ensuite, c'est de voir ce qui en ressort et, à part sur l'aspect financier, pas sûre qu'on tombe d'accord.
Je trouve plutôt bien que les discours médiatiques fassent écho à ce qu'on répète -- la question ensuite, c'est de voir ce qui en ressort et, à part sur l'aspect financier, pas sûre qu'on tombe d'accord.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- SisypheHabitué du forum
J'ai regardé l'interview. Pas mal. J'aurais aimé un peu plus de réserve sur "Avez-vous été un bon professeur ?". Je suis sans doute moins douée que cette dame. Mais je dirais qu'il m'a fallu 5 ans pour devenir professeur et que je continue à progresser sans pourtant pouvoir assurer être un "bon professeur".
Pour le reste, j'aurais aimé aussi que l'accent soit mis sur notre colère.
Pour le reste, j'aurais aimé aussi que l'accent soit mis sur notre colère.
- Lord StevenExpert
Moonchild a écrit:somac a écrit:Honchamp a écrit:artaxerxes a écrit:"Des cours à l'ancienne avec l'enseignant qui lit son manuel assis à une table", ça, ça n'a jamais existé, et il est dommage que cette dame affaiblisse son propos avec de pareilles facilités
Elle dit bien que c'est fini depuis des décennies... Tout est dans le "des".
J'ai souvenir de profs qui faisaient cours assis au bureau, qui était sur une estrade. Ma prof d'HG de seconde. Mon prof d'allemand de 3ème. Ma prof de philo de Terminale.
Ils se levaient de temps en temps pour écrire un mot au tableau. C'était dans des classes très dociles, à l'ancienne !
D'accord avec Honchamps.
Et surtout c'est aussi l'image que beaucoup de gens ont encore des enseignants.
Pour beaucoup, être enseignant, c'est arriver en classe à 8h pile si ton premier cours est à 8 heures, être assis à son bureau, ouvrir un manuel et le lire, page 1, page 2, faire faire des exercices, corriger des copies entre les cours, rentrer chez soi pas tard, et hop la journée est finie...
J'ai le souvenir d'une prof d'HG au collège qui faisait toujours cours assise au bureau (je ne saurais dire si elle lisait un manuel ou des notes personnelles) et d'une prof de français qui était très souvent assise donc ça a certainement existé même si c'était déjà rare quand j'étais moi-même élève. Il y a toutefois des disciplines pour lesquelles, peu importe l'époque, il me paraît structurellement à peu près impossible de faire cours assis sauf à disposer d'une assistance matérielle conséquente (essayez par exemple de faire un cours de maths tout en restant assis sans avoir des outils permettant au moins de projeter des notes au tableau...).
Hormis peut-être ceux qui sont en âge d'être à la retraite, la plupart des adultes d'aujourd'hui n'ont vraisemblablement rencontré au cours de leur scolarité qu'un tout petit nombre - voire aucun - de ces "enseignants à l'ancienne", cependant ce cliché semble curieusement continuer à se perpétuer dans l'opinion générale quitte à contredire les expériences personnelles majoritaires donc, comme Somac, je trouve que cette citation de la journaliste n'est pas du tout déplacée si on considère que le public visé par son livre n'est pas constitué de professionnels de la profession.
Demmandez à ma professeure de mathématiques de seconde et première elle était même nantie d'un fauteuil à roulettes qui lui permettait de se translater de son bureau au tableau lorsqu'elle était obligée d'y écrire quelque chose. En deux ans je ne l'ai vue se déplacer qu'une fois dans la classe: le jour où elle a reçu la visite d'un inspecteur, ce jour là pour la seule et unique fois nous avons eu la chance de bénéficier d'exercices hors manuel...
Après nous n'en sommes pas morts non plus, mais disons qu'on ne lui octroyait jamais les terminales, et encore moins les C ou les D. Et qu'à sa décharge elle se déplaçait avec une canne.
Pour en revenir à cet ouvrage, nous n'apprendrons rien que nous ne savons déjà, et j'ai quelque doute sur le fait qu'il suscite grand intérêt hors de notre milieu. Cette journaliste risque donc surtout de prêcher à des convertis.
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If you play with a cat, you should mind his scratch
- CasparProphète
Bartlebooth a écrit:J’espère que tu as pensé à télécharger une appli qui rémunère tes pas quotidiens!
J'ai une appli qui les compte mais si tu en connais une qui les rémunère je suis preneur.
Aucune estrade dans mon lycée depuis des années: d'après les dires d'un ancien cde, nous ne sommes "pas supérieurs aux élèves" donc nous devons être au même niveau.
- lene75Prophète
Sisyphe a écrit:J'ai regardé l'interview. Pas mal. J'aurais aimé un peu plus de réserve sur "Avez-vous été un bon professeur ?". Je suis sans doute moins douée que cette dame. Mais je dirais qu'il m'a fallu 5 ans pour devenir professeur et que je continue à progresser sans pourtant pouvoir assurer être un "bon professeur".
Pour le reste, j'aurais aimé aussi que l'accent soit mis sur notre colère.
J'ai surtout apprécié le passage où elle répond au "ouais, OK, vous vous avez bossé, mais avouez que les autres sont des glandeurs" (c'était pas dit comme ça mais pas loin). Elle répond que non, elle n'a vu que des profs qui travaillent beaucoup.
Ça me parle, parce que c'est quelque chose que j'ai souvent entendu dans mon entourage, le "ouais, mais toi bien sûr, t'es sérieuse, mais avoue que tes collègues n'en branlent pas une". Il est tellement inscrit dans la tête de gens prof = fainéant incompétent que quand les faits contredisent leurs préjugés, ils sont persuadés d'être tombés sur l'exception.
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- uneodysséeNeoprof expérimenté
C’est très juste. Et il ne faut pas laisser passer une occasion de rappeler que dans leur immense majorité, les collègues sont consciencieux (et qu’on en humilie 70% à chaque PPCR et qu’on ferait mieux de faire passer tout le monde, quand bien même un·e feignasse en profiterait ici ou là, ce serait toujours moins injuste et moins malsain).
- CasparProphète
uneodyssée a écrit:C’est très juste. Et il ne faut pas laisser passer une occasion de rappeler que dans leur immense majorité, les collègues sont consciencieux (et qu’on en humilie 70% à chaque PPCR et qu’on ferait mieux de faire passer tout le monde, quand bien même un·e feignasse en profiterait ici ou là, ce serait toujours moins injuste et moins malsain).
Il paraît que le Ministère a été très surpris de voir tous ces dossiers de professeurs "excellents" et "très satisfaisants" suite au PPCR.
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