- Cléopatra2Guide spirituel
Everything everything peut aussi entrer dans Premières fois.
D'ailleurs pour ce défi, j'ai lu un recueil de nouvelles : 16 nuances de premières fois coordonné par Sandrine Vidal. Je n'ai pas trop aimé. Les nouvelles sont disparates. Certaines sont vraiment bonnes, d'autres confinent au cliché. Je l'ai trouvé au CDI, ça s'adresse à des adolescents, mais je ne le recommanderais pas forcément à mes enfants, car l'apport littéraire est minime.
D'ailleurs pour ce défi, j'ai lu un recueil de nouvelles : 16 nuances de premières fois coordonné par Sandrine Vidal. Je n'ai pas trop aimé. Les nouvelles sont disparates. Certaines sont vraiment bonnes, d'autres confinent au cliché. Je l'ai trouvé au CDI, ça s'adresse à des adolescents, mais je ne le recommanderais pas forcément à mes enfants, car l'apport littéraire est minime.
- AdrenFidèle du forum
Bonsoir à tous,
@Danska j'ai lu Avril enchanté l'année dernière dans le cadre d'une lecture mensuelle. J'avais aussi bien aimé cette lecture vers laquelle je ne serais pas allée de moi-même. Ce roman est plus littéraire, plus abouti, plus envoûtant, je lui ai trouvé plus de charme, mais aussi, peu d'action finalement. Cela dit, là n'est pas son but. il est plutôt dans la peinture des relations entre les personnages et du paysage printanier de l'Italie qui tranche avec la morne Angleterre. Rien de tout cela dans Le dimanche des mères qui est plutôt une longue nouvelle. Les personnages y importent moins que ce qu'ils représentent et c'est vraiment le regard de Jane sur le monde dans lequel elle se trouve qui donne tout son piquant à l'intrigue. Elle met bien en évidence les contradictions des aristocrates et la manière dont les domestiques peuvent, parfois, tirer leur épingle du jeu. Toute l'intrigue tient dans les quelques heures de cette journée du 30 mars 1924, avec des ramifications dans le passé (la 1ere guerre mondiale) et les commentaires de la narratrice devenue bien plus tard une romancière connue. Ce serait presque dommage de choisir
@Danska j'ai lu Avril enchanté l'année dernière dans le cadre d'une lecture mensuelle. J'avais aussi bien aimé cette lecture vers laquelle je ne serais pas allée de moi-même. Ce roman est plus littéraire, plus abouti, plus envoûtant, je lui ai trouvé plus de charme, mais aussi, peu d'action finalement. Cela dit, là n'est pas son but. il est plutôt dans la peinture des relations entre les personnages et du paysage printanier de l'Italie qui tranche avec la morne Angleterre. Rien de tout cela dans Le dimanche des mères qui est plutôt une longue nouvelle. Les personnages y importent moins que ce qu'ils représentent et c'est vraiment le regard de Jane sur le monde dans lequel elle se trouve qui donne tout son piquant à l'intrigue. Elle met bien en évidence les contradictions des aristocrates et la manière dont les domestiques peuvent, parfois, tirer leur épingle du jeu. Toute l'intrigue tient dans les quelques heures de cette journée du 30 mars 1924, avec des ramifications dans le passé (la 1ere guerre mondiale) et les commentaires de la narratrice devenue bien plus tard une romancière connue. Ce serait presque dommage de choisir
- *Ombre*Grand sage
J'ai aussi lu et apprécié les deux romans, dans des genres différents.
- DanskaProphète
Merci pour vos avis, Adren, Ombre
Je vais probablement garder Avril Enchanté pour le défi et le Le dimanche des mères pour le joker ou pour le plaisir alors.
Je vais probablement garder Avril Enchanté pour le défi et le Le dimanche des mères pour le joker ou pour le plaisir alors.
- floisaNiveau 9
4. Un livre dont l'histoire se passe en Chine. Les tribulations des Bretons en Chine, de Roger Faligot. On m'a offert ce livre, plutôt mal écrit mais riche en anecdotes, petites et grandes histoires du XVIe siècle à Xi, et très richement illustré.
10. Rebelle. Children of Memory, d'Adrian Tchaikovsky. Dernier volet d'une grande trilogie de SF, paru l'an dernier. Des personnages très attachants, des réflexions vertigineuses sur l'identité humaine.
16. Une histoire qui se passe à la montée des périls. Mourir à Shanghai, d'Albert Londres. Les débuts de la 2ème guerre sino-japonaise en 1932, comme on l'appelle en Chine. La panique, la diplomatie, l'angoisse, l'attente, la fuite, les descriptions de grandes scènes et de détails déchirants.
24. Un livre dont l'histoire se déroule dans les Balkans. Si je t'oublie Constantinople, d'Albert Londres. Reportages au jour le jour de 1915 à 1917 en Grèce, Serbie, Bulgarie, etc. La gloire et les misères de la grande guerre au ras du sol et de la mer. Et toujours un sens de la formule époustouflant.
12. Un livre qui se passe dans un endroit isolé ou une forêt. Entre ciel et terre, de Jon Kalman Stefansson. Auteur islandais découvert l'an dernier. Au fin fond des minuscules villages de pêcheurs de l'Islande d'il y a une centaine d'années. Assez désespéré, très fort.
42. Un livre dont le titre contient 2 fois la lettre O. Les Inconnus dans la maison, de Simenon. Style incroyable, un paragraphe et toute une atmosphère est créée. Certains passages d'un antisémitisme crasse, malheureusement.
38. XVIIe siècle (livre paru au XVIIe siècle ou qui évoque le XVIIe siècle). Macbeth Pas relu depuis mes lointaines études. Tout l'éventail des terreurs possibles et imaginables, du supernaturel le plus archaïque aux pulsions inconscientes, très moderne, très concis, coup de poing!
10. Rebelle. Children of Memory, d'Adrian Tchaikovsky. Dernier volet d'une grande trilogie de SF, paru l'an dernier. Des personnages très attachants, des réflexions vertigineuses sur l'identité humaine.
16. Une histoire qui se passe à la montée des périls. Mourir à Shanghai, d'Albert Londres. Les débuts de la 2ème guerre sino-japonaise en 1932, comme on l'appelle en Chine. La panique, la diplomatie, l'angoisse, l'attente, la fuite, les descriptions de grandes scènes et de détails déchirants.
24. Un livre dont l'histoire se déroule dans les Balkans. Si je t'oublie Constantinople, d'Albert Londres. Reportages au jour le jour de 1915 à 1917 en Grèce, Serbie, Bulgarie, etc. La gloire et les misères de la grande guerre au ras du sol et de la mer. Et toujours un sens de la formule époustouflant.
12. Un livre qui se passe dans un endroit isolé ou une forêt. Entre ciel et terre, de Jon Kalman Stefansson. Auteur islandais découvert l'an dernier. Au fin fond des minuscules villages de pêcheurs de l'Islande d'il y a une centaine d'années. Assez désespéré, très fort.
42. Un livre dont le titre contient 2 fois la lettre O. Les Inconnus dans la maison, de Simenon. Style incroyable, un paragraphe et toute une atmosphère est créée. Certains passages d'un antisémitisme crasse, malheureusement.
38. XVIIe siècle (livre paru au XVIIe siècle ou qui évoque le XVIIe siècle). Macbeth Pas relu depuis mes lointaines études. Tout l'éventail des terreurs possibles et imaginables, du supernaturel le plus archaïque aux pulsions inconscientes, très moderne, très concis, coup de poing!
- RyuzakiNiveau 9
Défi 8, Nomade ou sédentaire ? : La route, Cormac Mc Carthy
Après la fin de l’humanité, sur une terre privée de vie, un père et son fils avancent sur la route et essayent de survivre.
J’en ai plusieurs fois entendu parler, le livre a des qualités indéniables mais je ne suis pas sûr d’être fan. Le style est fait de phrases très brèves, presque de notations. C’est assez répétitif, les protagonistes rencontrent souvent les mêmes problèmes, par moment j’avais l’impression de relire plusieurs fois le même paragraphe. Le style est clairement voulu par l’auteur, il est à l’image du fond et je comprends l’intention derrière (il ne se passe rien parce qu’ils sont dans un monde où il n’y a rien). En ce sens le livre est bien écrit, mais je ne suis probablement pas le bon public pour ça. Si vous aimez les récits de survie post-apocalyptique, ce sera peut-être pour vous.
Verdict : pas pour tout le monde
MCCarthy a écrit:Dans les premières années les routes étaient peuplées de fugitifs disparaissant sous leurs habits. Portant des masques et des lunettes de plongée, en guenilles, assis au bord de la route comme des aéronautes en détresse. Leurs brouettes encombrées de tout un bric-à-brac. Remorquant des charrettes ou des caddies. Leurs yeux luisant dans leurs crânes. Coquilles sans foi de créatures marchant en titubant sur les levées le long des marais, tels des vagabonds sur une terre en délire. La fragilité de tout enfin révélée. D’anciennes et troublantes questions se dissolvant dans le néant et dans la nuit. L’ultime expression d’une chose emporte avec elle la catégorie. Éteint la lumière et disparaît. Regarde autour de toi. C’est long jamais. Mais le petit savait ce qu’il savait. Que jamais c’est à peine un instant.
Après la fin de l’humanité, sur une terre privée de vie, un père et son fils avancent sur la route et essayent de survivre.
J’en ai plusieurs fois entendu parler, le livre a des qualités indéniables mais je ne suis pas sûr d’être fan. Le style est fait de phrases très brèves, presque de notations. C’est assez répétitif, les protagonistes rencontrent souvent les mêmes problèmes, par moment j’avais l’impression de relire plusieurs fois le même paragraphe. Le style est clairement voulu par l’auteur, il est à l’image du fond et je comprends l’intention derrière (il ne se passe rien parce qu’ils sont dans un monde où il n’y a rien). En ce sens le livre est bien écrit, mais je ne suis probablement pas le bon public pour ça. Si vous aimez les récits de survie post-apocalyptique, ce sera peut-être pour vous.
Verdict : pas pour tout le monde
- Reine MargotDemi-dieu
10. Rebelle: la décision, Karine Tuil
J'ai bien aimé, moins que les choses humaines, mais le livre est fort et comme souvent chez Tuil, plein d'ambiguités. Une juge d'instruction de l'anti-terrorisme, en plein divorce, doit traiter le cas d'un jeune revenu de Syrie, mais elle entretient une liaison avec l'avocat de celui-ci. Le livre est écrit de façon acérée, on sent bien la pression du métier de la juge, les personnages sont complexes et prenants (la juge à la fois forte et vulnérable, l'époux en pleine crise d'identité, l'avocat charismatique et faible). J'ai un peu regretté le côté téléphoné de la fin
30. la traversée des temps, paradis perdus, EE Schmitt
Lecture agréable. Noam se réveille dans une caverne auprès de Beyrouth au Liban. Il vit depuis 8000 ans et tente de comprendre la nouvelle époque où il a atterri. Devant l'imminence de la fin du monde due à l'activité humaine, il écrit ses mémoires et raconte la première partie de sa vie, le Néolithique et le déluge. Un bon page turner, où l'on voit la complexité de la relation de Noam et son père Pannoam, chef admiré et aimé, mais dont Noam va découvrir la vraie nature, moins reluisante. Il devra, pour devenir le chef, tuer le père. Lecture sympathique.
J'ai bien aimé, moins que les choses humaines, mais le livre est fort et comme souvent chez Tuil, plein d'ambiguités. Une juge d'instruction de l'anti-terrorisme, en plein divorce, doit traiter le cas d'un jeune revenu de Syrie, mais elle entretient une liaison avec l'avocat de celui-ci. Le livre est écrit de façon acérée, on sent bien la pression du métier de la juge, les personnages sont complexes et prenants (la juge à la fois forte et vulnérable, l'époux en pleine crise d'identité, l'avocat charismatique et faible). J'ai un peu regretté le côté téléphoné de la fin
- Spoiler:
- comme par hasard, la fille de la juge et son mari sont sur le lieu où le jeune revenu de Syrie commet un attentat
30. la traversée des temps, paradis perdus, EE Schmitt
Lecture agréable. Noam se réveille dans une caverne auprès de Beyrouth au Liban. Il vit depuis 8000 ans et tente de comprendre la nouvelle époque où il a atterri. Devant l'imminence de la fin du monde due à l'activité humaine, il écrit ses mémoires et raconte la première partie de sa vie, le Néolithique et le déluge. Un bon page turner, où l'on voit la complexité de la relation de Noam et son père Pannoam, chef admiré et aimé, mais dont Noam va découvrir la vraie nature, moins reluisante. Il devra, pour devenir le chef, tuer le père. Lecture sympathique.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- EloahExpert spécialisé
Merci pour ton retour Reine Margot car j'ai beaucoup aimé Les Choses Humaines alors La Décision me tente bien !
Dîtes, pour le défi 36 "Machines", est-ce qu'un train conviendrait ? Je pense à un roman dans lequel un train devient un réel personnage et est dans toute une partie du livre envisagé sous son aspect mécanique, tas de tôle et d'acier.
Dîtes, pour le défi 36 "Machines", est-ce qu'un train conviendrait ? Je pense à un roman dans lequel un train devient un réel personnage et est dans toute une partie du livre envisagé sous son aspect mécanique, tas de tôle et d'acier.
- miss sophieExpert spécialisé
Cela me semble tout à fait convenir.
- AdrenFidèle du forum
Je trouve aussi. Quel est ce livre ?
- AdrenFidèle du forum
Bonjour à tous,
pour le défi n°50 "vous avez acheté ce livre pour la couverture, tellement belle", j'ai joué le jeu, je suis allée à la librairie regarder les dernières sorties en poche et j'ai choisi un livre pour sa couverture. La 4e me plaisait bien aussi et je connaissais l'autrice dont j'avais lu le premier roman A crier dans les ruines, grâce à un conseil de néo lectrice dans le cadre d'un défi passé. J'ai donc retenu pour ce défi La Dixième muse d'Alexandra Koszelyk dont voici la couverture :
Au détour d'un passage au Père-Lachaise, Florent découvre la tombe de Guillaume Apollinaire et se lance sur ses traces. Ce qui n'était d'abord qu'une brève curiosité devient peu à peu le centre de son univers au point de se demander s'il n'est pas en train de devenir lui-même le poète tant il commence à lui ressembler sans y prendre garde. J'ai apprécié les enchaînements entre les récits, celui de Florent servant à introduire ceux des personnages ayant connu Guillaume Apollinaire dans un contexte ou un autre. Si les citations et la narration concernant Apollinaire m'ont plu, j'ai trouvé le récit-cadre trop artificiel et trop peu crédible, les "signes" du poète n'en finissant plus de s'abattre sur ce pauvre Florent qui en vient à ne plus savoir qui il est. Il aurait pourtant mérité d'être un personnage de fiction à part entière plutôt qu'un médium pour remonter le temps et relier entre elles des bribes d'une autre vie. J'ai aussi trouvé excessif de faire intervenir Gaïa, la déesse-terre, pour défendre "Gui", cette ultime ramification de l'histoire me paraissant bien loin du reste, comme un égarement en forêt pendant de nombreuses pages. Peut-être que ce n'était pas le moment pour cette lecture, mais la magie n'a pas opéré sur moi et la rencontre n'a pas eu lieu cette fois-ci.
pour le défi n°50 "vous avez acheté ce livre pour la couverture, tellement belle", j'ai joué le jeu, je suis allée à la librairie regarder les dernières sorties en poche et j'ai choisi un livre pour sa couverture. La 4e me plaisait bien aussi et je connaissais l'autrice dont j'avais lu le premier roman A crier dans les ruines, grâce à un conseil de néo lectrice dans le cadre d'un défi passé. J'ai donc retenu pour ce défi La Dixième muse d'Alexandra Koszelyk dont voici la couverture :
Au détour d'un passage au Père-Lachaise, Florent découvre la tombe de Guillaume Apollinaire et se lance sur ses traces. Ce qui n'était d'abord qu'une brève curiosité devient peu à peu le centre de son univers au point de se demander s'il n'est pas en train de devenir lui-même le poète tant il commence à lui ressembler sans y prendre garde. J'ai apprécié les enchaînements entre les récits, celui de Florent servant à introduire ceux des personnages ayant connu Guillaume Apollinaire dans un contexte ou un autre. Si les citations et la narration concernant Apollinaire m'ont plu, j'ai trouvé le récit-cadre trop artificiel et trop peu crédible, les "signes" du poète n'en finissant plus de s'abattre sur ce pauvre Florent qui en vient à ne plus savoir qui il est. Il aurait pourtant mérité d'être un personnage de fiction à part entière plutôt qu'un médium pour remonter le temps et relier entre elles des bribes d'une autre vie. J'ai aussi trouvé excessif de faire intervenir Gaïa, la déesse-terre, pour défendre "Gui", cette ultime ramification de l'histoire me paraissant bien loin du reste, comme un égarement en forêt pendant de nombreuses pages. Peut-être que ce n'était pas le moment pour cette lecture, mais la magie n'a pas opéré sur moi et la rencontre n'a pas eu lieu cette fois-ci.
- EloahExpert spécialisé
miss sophie a écrit:Cela me semble tout à fait convenir.
Adren a écrit:Je trouve aussi. Quel est ce livre ?
Merci pour vos avis ! Je pense à Paris-Briançon de Philippe Besson.
- AdrenFidèle du forum
Il est aussi dans mes projets de lecture à pas trop long terme (je l'ai emprunté à la médiathèque).
- MalavitaÉrudit
Quelques points sur mes dernières lectures :
Défi 7. Un livre qui comprend au moins trois personnages principaux. Carnaval de Ray Celestin. On suit plusieurs personnages : un journaliste, une jeune afro-américain, un policier et un ancien policier sortant de prison qui enquêtent chacun de leur côté sur un tueur en série sévissant à la Nouvelle Orléans au début du XXe siècle. J'ai beaucoup aimé, ce roman car on attache aux personnages tout en nous décrivant la misère régnant. Je le conseille vivement. A noter qu'il peut convenir au défi 50, Vous avez acheté ce livre pour la couverture, tellement belle, c'est d'ailleurs pour sa couverture que je l'ai acheté à la base ! La couverture, ici.
Justement pour le défi 50, j'ai lu une BD, A short story de Florent Maudoux. On s'intéresse à un cold case célèbre aux Etats-Unis, le meurtre d'Elizabeth Short, connue sous le pseudonyme du Dahlia Noir. On retrace les dernières années de la vie d'Elizabeth à partir des témoignages et interrogatoires. Je pense que cette BD pourrait convenir aussi pour le défi 45. Effacement, disparition. La couverture, ici.
Défi. 10. Rebelles. De nouveau une BD de Leïla Slimani et Laetitia Coryn, Paroles d'honneur. On suit des femmes qui se battent contre la société patriarcale marocaine en refusant de se marier, en ayant des relations sexuelles avant le mariage et en pratiquant des IVG. Intéressant, cela rappelle la société française des années 50-60.
Défi 25. Saga. Blackwater. Le résumé ayant déjà été donné par d'autres néos, cela sera court. Je n'ai été guère emballée, j'ai eu du mal à rentrer dans le livre et je ne pense pas lire les tomes suivants.
Défi 7. Un livre qui comprend au moins trois personnages principaux. Carnaval de Ray Celestin. On suit plusieurs personnages : un journaliste, une jeune afro-américain, un policier et un ancien policier sortant de prison qui enquêtent chacun de leur côté sur un tueur en série sévissant à la Nouvelle Orléans au début du XXe siècle. J'ai beaucoup aimé, ce roman car on attache aux personnages tout en nous décrivant la misère régnant. Je le conseille vivement. A noter qu'il peut convenir au défi 50, Vous avez acheté ce livre pour la couverture, tellement belle, c'est d'ailleurs pour sa couverture que je l'ai acheté à la base ! La couverture, ici.
Justement pour le défi 50, j'ai lu une BD, A short story de Florent Maudoux. On s'intéresse à un cold case célèbre aux Etats-Unis, le meurtre d'Elizabeth Short, connue sous le pseudonyme du Dahlia Noir. On retrace les dernières années de la vie d'Elizabeth à partir des témoignages et interrogatoires. Je pense que cette BD pourrait convenir aussi pour le défi 45. Effacement, disparition. La couverture, ici.
Défi. 10. Rebelles. De nouveau une BD de Leïla Slimani et Laetitia Coryn, Paroles d'honneur. On suit des femmes qui se battent contre la société patriarcale marocaine en refusant de se marier, en ayant des relations sexuelles avant le mariage et en pratiquant des IVG. Intéressant, cela rappelle la société française des années 50-60.
Défi 25. Saga. Blackwater. Le résumé ayant déjà été donné par d'autres néos, cela sera court. Je n'ai été guère emballée, j'ai eu du mal à rentrer dans le livre et je ne pense pas lire les tomes suivants.
- edelweis62Niveau 5
Auriez-vous des conseils pour le défi 41, "un roman policier ou un thriller asiatique" ? Je n'y connais pas grand chose, et le choix est vaste !
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"Il y a un autre monde, mais il est dans celui-ci." Paul Eluard
- JennyMédiateur
edelweis62 a écrit:Auriez-vous des conseils pour le défi 41, "un roman policier ou un thriller asiatique" ? Je n'y connais pas grand chose, et le choix est vaste !
Keigo Hishigano ou les éditions Matin calme (j’avais bien aimé Bonne nuit, maman).
- AdrenFidèle du forum
Ce livre est bien dans ma médiathèque. Lire son descriptif me rappelle que je n'aime pas du tout les thrillers.
- DanskaProphète
Adren a écrit:Ce livre est bien dans ma médiathèque. Lire son descriptif me rappelle que je n'aime pas du tout les thrillers.
Pareil... Il y a quelques thrillers ou auteurs de thrillers que j'aime bien, mais pas des masses et aucun n'est asiatique. J'attends de voir ce que les autres Néos associent à ce thème pour piocher des idées, ce sera sûrement le dernier item que je compléterai.
- nicole 86Expert spécialisé
Un des épisodes du Juge Ti de Robert Van Gulik ? Je n'ai pas (encore) lu de livres de son continuateur Frédérick Lenormand.
- CasparProphète
edelweis62 a écrit:Auriez-vous des conseils pour le défi 41, "un roman policier ou un thriller asiatique" ? Je n'y connais pas grand chose, et le choix est vaste !
Je viens d'acheter, d'occasion car il est épuisé, Meurtres à la cour du Prince Genji, roman policier historique ou Murasaki Shikibu, autrice du Dit du Genji, mène l'enquête.
J'aime le côté historique et le clin d'œil littéraire car je ne suis pas du tout amateurs de roman policier. Ce livre pourrait convenir pour plusieurs autres items mais je l'ai acheté exprès pour "roman policier asiatique".
- JennyMédiateur
Adren a écrit:Ce livre est bien dans ma médiathèque. Lire son descriptif me rappelle que je n'aime pas du tout les thrillers.
Keigo Hishigano est moins noir que Seo Mi Ae alors.
- lagoulueNiveau 8
Danska a écrit:Adren a écrit:Ce livre est bien dans ma médiathèque. Lire son descriptif me rappelle que je n'aime pas du tout les thrillers.
Pareil... Il y a quelques thrillers ou auteurs de thrillers que j'aime bien, mais pas des masses et aucun n'est asiatique. J'attends de voir ce que les autres Néos associent à ce thème pour piocher des idées, ce sera sûrement le dernier item que je compléterai.
Moi aussi je sèche un peu sur cet item. J'ai bien des Juge Ti à la maison mais ne suis pas convaincue... A voir en vous lisant !
- CasparProphète
Vous devriez aller consulter le catalogue des éditions Philippe Picquier, spécialisées dans la littérature des pays asiatiques (de l'Inde au Japon, donc ce n'est pas toute l'Asie non plus), ils ont une collection consacrée aux romans policiers qui est assez fournie, avec surtout des titres japonais dans mon souvenir.
- Cléopatra2Guide spirituel
Est-ce que Bilbo le Hobbit peut entrer dans le défi Nomade ou sédentaire? Il est présenté tout au long du livre, même pendant son long voyage, comme regrettant son trou tranquille de Hobbit. Je vous demande cela pour pouvoir le caser dans le défi car j'ai beaucoup aimé ce roman.
- CasparProphète
Cléopatra2 a écrit:Est-ce que Bilbo le Hobbit peut entrer dans le défi Nomade ou sédentaire? Il est présenté tout au long du livre, même pendant son long voyage, comme regrettant son trou tranquille de Hobbit. Je vous demande cela pour pouvoir le caser dans le défi car j'ai beaucoup aimé ce roman.
Pour moi ça convient tout à fait.
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