- lagoulueNiveau 8
Merci !
Cela vient de relancer ma recherche du côté des signes astrologiques chinois ... Et finalement, j'ai peut-être un petit quelque chose dans mes livres du côté du cochon ...
Cela vient de relancer ma recherche du côté des signes astrologiques chinois ... Et finalement, j'ai peut-être un petit quelque chose dans mes livres du côté du cochon ...
- CasparProphète
nicole 86 a écrit:Caspar a écrit:J'adore les listes et j'adore encore plus en compiler moi-même pour mes élèves de spé (plaisir ^purement personnel car la plupart n'ouvrent jamais un livre, et encore moins en anglais mais je me fais plaisir...)
Je suis intéressée
Il faudrait que je retrouve mon Top 40 (pas forcément les plus grands classiques mais les livres dont tous les anglophones ont au moins entendu parler ou qui sont souvent adaptés au cinéma) et j'avais fait une liste de 100 livres pour enfants et adolescents (pas trop difficiles à lire en VO pour les élèves ou les étudiants) mais, même chose...où est-elle dans mon bazar numérique.
- nicole 86Expert spécialisé
Caspar a écrit:nicole 86 a écrit:Caspar a écrit:J'adore les listes et j'adore encore plus en compiler moi-même pour mes élèves de spé (plaisir ^purement personnel car la plupart n'ouvrent jamais un livre, et encore moins en anglais mais je me fais plaisir...)
Je suis intéressée
Il faudrait que je retrouve mon Top 40 (pas forcément les plus grands classiques mais les livres dont tous les anglophones ont au moins entendu parler ou qui sont souvent adaptés au cinéma) et j'avais fait une liste de 100 livres pour enfants et adolescents (pas trop difficiles à lire en VO pour les élèves ou les étudiants) mais, même chose...où est-elle dans mon bazar numérique.
Si ce n'est mon grand âge, aucune urgence, la LAL (liste à lire) était déjà fort fournie et elle vient de s'allonger aujourd'hui.
- JennyMédiateur
nicole 86 a écrit:Caspar a écrit:J'adore les listes et j'adore encore plus en compiler moi-même pour mes élèves de spé (plaisir ^purement personnel car la plupart n'ouvrent jamais un livre, et encore moins en anglais mais je me fais plaisir...)
Je suis intéressée
Moi aussi ! Même si ma lecture en anglais est beaucoup trop laborieuse, je suppose qu'ils sont traduits.
- CasparProphète
Jenny a écrit:nicole 86 a écrit:Caspar a écrit:J'adore les listes et j'adore encore plus en compiler moi-même pour mes élèves de spé (plaisir ^purement personnel car la plupart n'ouvrent jamais un livre, et encore moins en anglais mais je me fais plaisir...)
Je suis intéressée
Moi aussi ! Même si ma lecture en anglais est beaucoup trop laborieuse, je suppose qu'ils sont traduits.
Oui, tous traduits.
- lagoulueNiveau 8
16e lecture : item 10 : Rebelle : L'Ours et le Rossignol, de Katherine Arden
À mon tour d'avoir lu ce livre à l'ambiance magique qui m'a vraiment beaucoup plu. Cela se passe dans la Russie médiévale (Russie qui d'ailleurs n'existe pas encore ; on est en Rus') qui forme un cadre fascinant (de froid, de neige, de traîneau, de poêle*, de forêt, de croyances, …). L'héroïne, Vassia, dernière née d'une femme qui meurt en couches et la souhaitait ardemment (pour être comme sa propre mère, c'est-à-dire une sorcière ; ainsi est-elle capable de voir les petites divinités protectrices du foyer, de la nature ; capable de parler aux chevaux), est très attachante. C'est elle la rebelle, qui donne du fil à retordre à son père. Rebelle et courageuse, elle intéresse fortement deux divinités qui s'affrontent autour d'elle.
C'est beau, bien écrit, subtil, mystérieux. Le recours au folklore est franchement intéressant (mon Dieu, les oupyres, que c'est effrayant !). Le contexte historique également. Je lirai sûrement la suite (j'ai souvenir que quelqu'un qui l'a lu – Eloah peut-être ? - a dit ici que le 2e tome était encore mieux!) et l'utiliserai probablement pour l'item 28 « fantasy historique ».
* Cette histoire de poêle sur lequel tout le monde dormait m'intriguait. Des notes finales de vocabulaire précisent enfin la chose : le poêle russe est bien « une construction énorme » !
À mon tour d'avoir lu ce livre à l'ambiance magique qui m'a vraiment beaucoup plu. Cela se passe dans la Russie médiévale (Russie qui d'ailleurs n'existe pas encore ; on est en Rus') qui forme un cadre fascinant (de froid, de neige, de traîneau, de poêle*, de forêt, de croyances, …). L'héroïne, Vassia, dernière née d'une femme qui meurt en couches et la souhaitait ardemment (pour être comme sa propre mère, c'est-à-dire une sorcière ; ainsi est-elle capable de voir les petites divinités protectrices du foyer, de la nature ; capable de parler aux chevaux), est très attachante. C'est elle la rebelle, qui donne du fil à retordre à son père. Rebelle et courageuse, elle intéresse fortement deux divinités qui s'affrontent autour d'elle.
C'est beau, bien écrit, subtil, mystérieux. Le recours au folklore est franchement intéressant (mon Dieu, les oupyres, que c'est effrayant !). Le contexte historique également. Je lirai sûrement la suite (j'ai souvenir que quelqu'un qui l'a lu – Eloah peut-être ? - a dit ici que le 2e tome était encore mieux!) et l'utiliserai probablement pour l'item 28 « fantasy historique ».
* Cette histoire de poêle sur lequel tout le monde dormait m'intriguait. Des notes finales de vocabulaire précisent enfin la chose : le poêle russe est bien « une construction énorme » !
- AdrenFidèle du forum
Bonsoir à tous,
pour le défi 24 "un livre dont l'histoire se déroule dans les Balkans", j'ai lu Soixante-neuf tiroirs de Goran Petrovic dont j'ai pris l'idée ici. Adam est un jeune étudiant en littérature à Belgrade et il se trouve qu'il a la possibilité d'entrer vraiment dans les livres qu'il lit. Il reçoit une étrange commande lui demandant de modifier un livre inconnu, qui ne comporte pourtant aucune intrigue, seulement des descriptions et dans lequel il rencontre d'autres personnes qui peuvent aussi entrer dans les livres qu'ils lisent. Nous suivons les liens de ces personnages en-dehors du livre et à l'intérieur de celui-ci, c'est poétique, un brin fantastique aussi, peut-être un peu long et avec quelques pistes malheureusement trop vite abandonnées à mon goût. Une lecture agréable, originale, peut-être pas inoubliable pour autant.
pour le défi 24 "un livre dont l'histoire se déroule dans les Balkans", j'ai lu Soixante-neuf tiroirs de Goran Petrovic dont j'ai pris l'idée ici. Adam est un jeune étudiant en littérature à Belgrade et il se trouve qu'il a la possibilité d'entrer vraiment dans les livres qu'il lit. Il reçoit une étrange commande lui demandant de modifier un livre inconnu, qui ne comporte pourtant aucune intrigue, seulement des descriptions et dans lequel il rencontre d'autres personnes qui peuvent aussi entrer dans les livres qu'ils lisent. Nous suivons les liens de ces personnages en-dehors du livre et à l'intérieur de celui-ci, c'est poétique, un brin fantastique aussi, peut-être un peu long et avec quelques pistes malheureusement trop vite abandonnées à mon goût. Une lecture agréable, originale, peut-être pas inoubliable pour autant.
- AdrenFidèle du forum
nicole 86 a écrit:Adren a écrit:Pour découvrir Chahdortt Djavann, ce n'est pas ce titre que je conseillerais, c'est son premier écrit, avec les imperfections que cela peut entraîner. D'autres de ses titres m'ont paru bien meilleurs. Je l'avais découverte par hasard en lisant Comment peut-on être français ? Le titre m'avais interpellée et cette lecture m'a laissé un très bon souvenir. En arrivant en France, la narratrice noue une correspondance fictive avec Montesquieu pendant qu'elle apprend le français.
J'avais pensé à ce livre pour le défi "l'adjectif de nationalité" mais je l'ai déjà validé avec une relecture, peut-il convenir pour le défi 32 : Un (grand) classique revisité ?
Mais oui, pourquoi pas
- AdrenFidèle du forum
Malaga a écrit:Pour le défi 2. Un livre dont le titre contient un adjectif de nationalité, j'ai lu Mes Coréens, 35 ans de rencontres et d'amitié de Georges Arsenijevic.
L'auteur a travaillé pendant des années au Centre Culturel coréen de Paris. Passionné par la culture coréenne, il a décidé d'écrire ce petit guide décrivant au mieux le peuple coréen et les différences avec nous, Français. Il s'intéresse particulièrement à la communication, qu'elle soit verbale ou non verbale.
Mon avis : la Corée est un pays que je connais un peu car mon frère y vit. J'étais donc curieuse de découvrir cet essai. Même si, évidemment, l'auteur fait parfois des généralités (tous les Coréens ne peuvent pas partager les mêmes traits de caractère, tout comme les Français), ce livre reste intéressant. Les anecdotes sont les passages les plus agréables à lire.
Mes Coréens est un nom, pas un adjectif, non ?
- AdrenFidèle du forum
lagoulue a écrit:Merci !
Cela vient de relancer ma recherche du côté des signes astrologiques chinois ... Et finalement, j'ai peut-être un petit quelque chose dans mes livres du côté du cochon ...
Je n'avais pas pensé aux signes chinois, j'aurais eu plus d'idées. Mais j'ai déjà emprunté Les Vierges de Némirovsky à la médiathèque pour ce défi, en suivant une de vos idées. Cela dit, j'ai souvenir d'avoir vu qqch avec un tigre dans les suggestions du mois, je vais voir si je retrouve ce que c'était.
- CasparProphète
Pour le signe astrologique je pensais lire Le Lion, la Sorcière blanche et l'armoire magique de CS Lewis, premier volume de Narnia (selon l'ordre de parution), même si en anglais le signe astrologique est Leo et non pas Lion. Je retiens au cas où l'idée des signes chinois.
- MalagaModérateur
Pour le défi 5. Un livre écrit par une femme qui a reçu le prix Nobel de littérature avant Annie Ernaux, je viens de lire Sula de Toni Morrison.
C'est l'histoire de deux fillettes qui vivent dans l'Ohio durant les années 1920. Elles sont noires et habitent une petite ville : il y a Sula avec sa tache en forme de rose sur l'oeil et la douce Nel. Elles vont grandir et connaître un destin différent : l'une va se ranger et devenir une mère de famille tandis que l'autre vivra de façon plus libre.
Mon avis : je découvre Toni Morrison. L'écriture, poétique, m'a parfois un peu déroutée. Mais j'ai apprécié la description de ces différents personnages : les deux petites filles mais aussi leurs familles, un ancien combattant du village, le garçon séducteur... Ce que j'ai moins aimé, c'est la description de certains drames, la cruauté de certains passages.
C'est l'histoire de deux fillettes qui vivent dans l'Ohio durant les années 1920. Elles sont noires et habitent une petite ville : il y a Sula avec sa tache en forme de rose sur l'oeil et la douce Nel. Elles vont grandir et connaître un destin différent : l'une va se ranger et devenir une mère de famille tandis que l'autre vivra de façon plus libre.
Mon avis : je découvre Toni Morrison. L'écriture, poétique, m'a parfois un peu déroutée. Mais j'ai apprécié la description de ces différents personnages : les deux petites filles mais aussi leurs familles, un ancien combattant du village, le garçon séducteur... Ce que j'ai moins aimé, c'est la description de certains drames, la cruauté de certains passages.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- CasparProphète
Je comptais le lire pour un des défis mais le côté "écriture poétique, déroutante" risque de me rebuter, je me connais.
- MalagaModérateur
Adren a écrit:Malaga a écrit:Pour le défi 2. Un livre dont le titre contient un adjectif de nationalité, j'ai lu Mes Coréens, 35 ans de rencontres et d'amitié de Georges Arsenijevic.
L'auteur a travaillé pendant des années au Centre Culturel coréen de Paris. Passionné par la culture coréenne, il a décidé d'écrire ce petit guide décrivant au mieux le peuple coréen et les différences avec nous, Français. Il s'intéresse particulièrement à la communication, qu'elle soit verbale ou non verbale.
Mon avis : la Corée est un pays que je connais un peu car mon frère y vit. J'étais donc curieuse de découvrir cet essai. Même si, évidemment, l'auteur fait parfois des généralités (tous les Coréens ne peuvent pas partager les mêmes traits de caractère, tout comme les Français), ce livre reste intéressant. Les anecdotes sont les passages les plus agréables à lire.
Mes Coréens est un nom, pas un adjectif, non ?
Flûte, bon, je vais changer ce livre de catégorie.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- EloahExpert spécialisé
lagoulue a écrit:16e lecture : item 10 : Rebelle : L'Ours et le Rossignol, de Katherine Arden
À mon tour d'avoir lu ce livre à l'ambiance magique qui m'a vraiment beaucoup plu. Cela se passe dans la Russie médiévale (Russie qui d'ailleurs n'existe pas encore ; on est en Rus') qui forme un cadre fascinant (de froid, de neige, de traîneau, de poêle*, de forêt, de croyances, …). L'héroïne, Vassia, dernière née d'une femme qui meurt en couches et la souhaitait ardemment (pour être comme sa propre mère, c'est-à-dire une sorcière ; ainsi est-elle capable de voir les petites divinités protectrices du foyer, de la nature ; capable de parler aux chevaux), est très attachante. C'est elle la rebelle, qui donne du fil à retordre à son père. Rebelle et courageuse, elle intéresse fortement deux divinités qui s'affrontent autour d'elle.
C'est beau, bien écrit, subtil, mystérieux. Le recours au folklore est franchement intéressant (mon Dieu, les oupyres, que c'est effrayant !). Le contexte historique également. Je lirai sûrement la suite (j'ai souvenir que quelqu'un qui l'a lu – Eloah peut-être ? - a dit ici que le 2e tome était encore mieux!) et l'utiliserai probablement pour l'item 28 « fantasy historique ».
* Cette histoire de poêle sur lequel tout le monde dormait m'intriguait. Des notes finales de vocabulaire précisent enfin la chose : le poêle russe est bien « une construction énorme » !
Oui c'est sans doute moi : j'étais partie pour ne lire que le 1er tome et j'ai dévoré la trilogie, j'ai adoré. En effet, le 2è tome est mon préféré.
- nicole 86Expert spécialisé
Adren a écrit:nicole 86 a écrit:Adren a écrit:Pour découvrir Chahdortt Djavann, ce n'est pas ce titre que je conseillerais, c'est son premier écrit, avec les imperfections que cela peut entraîner. D'autres de ses titres m'ont paru bien meilleurs. Je l'avais découverte par hasard en lisant Comment peut-on être français ? Le titre m'avais interpellée et cette lecture m'a laissé un très bon souvenir. En arrivant en France, la narratrice noue une correspondance fictive avec Montesquieu pendant qu'elle apprend le français.
J'avais pensé à ce livre pour le défi "l'adjectif de nationalité" mais je l'ai déjà validé avec une relecture, peut-il convenir pour le défi 32 : Un (grand) classique revisité ?
Mais oui, pourquoi pas
Merci @Adren
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Mes derniers comptes-rendus:
6. Un livre dont la couverture est essentiellement jaune. Pierre Lemaître, Le silence et la colère. La suite de la saga du Grand monde (convient évidemment aussi pour 25, Saga familiale). On continue à suivre la fratrie Pelletier, sur fond de village englouti par un barrage, de croisade anti avortement, de maltraitance familiale et de matchs de boxe. Un peu fourre-tout comme intrigue, mais bien que je me sois sentie moins passionnée cette fois-ci il faut reconnaître à Pierre Lemaître un art du retournement de situation tout à fait efficace ! Lecture plaisante mais j’espère que le prochain tome me séduira davantage.
14. Élite(s). Sur recommandation d’un ou d’une néo sur ce fil, « Richesse oblige » de Hannelore Cayre. Une lecture distrayante et qui comporte en même temps un petit fond de réflexion sociale pas inintéressante. Cynique et retords à souhait. Et ce qui ne gâte rien, un personnage de femme forte et invalide !
18. Money money money. Dans la foulée de Richesse oblige, j’ai lu La Daronne. Il est en effet beaucoup question d’argent dans ce roman amoral et jouissif, dans lequel une traductrice juridique à l’enfance très atypique choisit de se retourner contre le système pour en profiter et utilise tout ce qu’elle sait du système judiciaire pour le pervertir. Très distrayant.
48. Un livre écrit par un(e) Néo-Zélandais(e).
Carl Nixon, The tally stick. (sur recommandation du fil sur Néo !)
Un roman faussement policier car au-delà de la disparition de la famille Chamberlain et de l’enquête menée par la tante des enfants disparus, ce qui intéresse surtout le romancier ce sont les conséquences de l’accident, les différents points de vue des enfants survivants, et la façon dont chacun-e s’adapte (ou pas) à son nouveau destin. Une lecture prenante, qui nous dépayse réellement. Peut aussi convenir pour 12 « qui se passe dans un endroit isolé ».
6. Un livre dont la couverture est essentiellement jaune. Pierre Lemaître, Le silence et la colère. La suite de la saga du Grand monde (convient évidemment aussi pour 25, Saga familiale). On continue à suivre la fratrie Pelletier, sur fond de village englouti par un barrage, de croisade anti avortement, de maltraitance familiale et de matchs de boxe. Un peu fourre-tout comme intrigue, mais bien que je me sois sentie moins passionnée cette fois-ci il faut reconnaître à Pierre Lemaître un art du retournement de situation tout à fait efficace ! Lecture plaisante mais j’espère que le prochain tome me séduira davantage.
14. Élite(s). Sur recommandation d’un ou d’une néo sur ce fil, « Richesse oblige » de Hannelore Cayre. Une lecture distrayante et qui comporte en même temps un petit fond de réflexion sociale pas inintéressante. Cynique et retords à souhait. Et ce qui ne gâte rien, un personnage de femme forte et invalide !
18. Money money money. Dans la foulée de Richesse oblige, j’ai lu La Daronne. Il est en effet beaucoup question d’argent dans ce roman amoral et jouissif, dans lequel une traductrice juridique à l’enfance très atypique choisit de se retourner contre le système pour en profiter et utilise tout ce qu’elle sait du système judiciaire pour le pervertir. Très distrayant.
48. Un livre écrit par un(e) Néo-Zélandais(e).
Carl Nixon, The tally stick. (sur recommandation du fil sur Néo !)
Un roman faussement policier car au-delà de la disparition de la famille Chamberlain et de l’enquête menée par la tante des enfants disparus, ce qui intéresse surtout le romancier ce sont les conséquences de l’accident, les différents points de vue des enfants survivants, et la façon dont chacun-e s’adapte (ou pas) à son nouveau destin. Une lecture prenante, qui nous dépayse réellement. Peut aussi convenir pour 12 « qui se passe dans un endroit isolé ».
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- AdrenFidèle du forum
Bonsoir à tous,
c'est moi, mais pas seulement, qui avait déjà cité Richesse oblige et la Daronne. Tant mieux si ces lectures ont aussi plu à d'autres. J'aime bien la manière dont l'autrice campe ses personnages et les rend attachants à force d'être détestables.
Me lecture du moment, grâce aux quatre heures de brevet blanc surveillées aujourd'hui me permet de valider le défi n°13 "un titre de moins de cinq lettres" : QI de Christian Dalcher, l'autrice de Vox. C'est à nouveau une dystopie dont les personnages principaux sont des femmes. Dans ce roman, l'autrice se penche encore plus sur la question scolaire et imagine une école à trois niveaux : de très bonnes écoles avec de très bons professeurs pour les très bons élèves, de bonnes écoles pour de bons élèves, et des écoles pour... le reste. Une fois par mois, élèves et enseignants passent des tests pour savoir dans quelle école ils iront le lundi suivant. La narratrice enseigne dans une très bonne école où sont aussi ses deux filles. Elle est très fière de ce système que mon pari et elle ont contribué à mettre en place. Sauf qu'un jour, sa fille cadette échoue aux tests. Elle découvre alors l'envers du décor et le fonctionnement de ces écoles pour "les autres". J'ai trouvé cette lecture marquante à plusieurs niveaux, à la fois pour la réflexion sur le système scolaire, mais aussi pour celle sur l'amour maternel, et plus généralement, sur les choix que font les femmes et ce qui les guide. Le style est sans grand intérêt, mais c'est un livre difficile à lâcher et qui résonne avec d'autres dystopies comme La Servante écarlate par exemple, mais aussi avec l'Histoire et les politiques eugénistes.
c'est moi, mais pas seulement, qui avait déjà cité Richesse oblige et la Daronne. Tant mieux si ces lectures ont aussi plu à d'autres. J'aime bien la manière dont l'autrice campe ses personnages et les rend attachants à force d'être détestables.
Me lecture du moment, grâce aux quatre heures de brevet blanc surveillées aujourd'hui me permet de valider le défi n°13 "un titre de moins de cinq lettres" : QI de Christian Dalcher, l'autrice de Vox. C'est à nouveau une dystopie dont les personnages principaux sont des femmes. Dans ce roman, l'autrice se penche encore plus sur la question scolaire et imagine une école à trois niveaux : de très bonnes écoles avec de très bons professeurs pour les très bons élèves, de bonnes écoles pour de bons élèves, et des écoles pour... le reste. Une fois par mois, élèves et enseignants passent des tests pour savoir dans quelle école ils iront le lundi suivant. La narratrice enseigne dans une très bonne école où sont aussi ses deux filles. Elle est très fière de ce système que mon pari et elle ont contribué à mettre en place. Sauf qu'un jour, sa fille cadette échoue aux tests. Elle découvre alors l'envers du décor et le fonctionnement de ces écoles pour "les autres". J'ai trouvé cette lecture marquante à plusieurs niveaux, à la fois pour la réflexion sur le système scolaire, mais aussi pour celle sur l'amour maternel, et plus généralement, sur les choix que font les femmes et ce qui les guide. Le style est sans grand intérêt, mais c'est un livre difficile à lâcher et qui résonne avec d'autres dystopies comme La Servante écarlate par exemple, mais aussi avec l'Histoire et les politiques eugénistes.
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Oui tout à fait d'accord, et merci pour la recommandation. Par contre j'avais essayé de lire, après ces deux là, ses tout premiers romans, et franchement son personnage d'avocat misogyne, caricature du détective mâle blanc habituel, ça ne m'a franchement pas plu!Adren a écrit:Bonsoir à tous,
c'est moi, mais pas seulement, qui avait déjà cité Richesse oblige et la Daronne. Tant mieux si ces lectures ont aussi plu à d'autres. J'aime bien la manière dont l'autrice campe ses personnages et les rend attachants à force d'être détestables..
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- AdrenFidèle du forum
Je ne connais d'elle que ces deux titres, je ne savais même pas qu'elle avait écrit autre chose. Je ne vais pas chercher à en savoir plus
- Cléopatra2Guide spirituel
Pour le défi Rebelle, j'ai lu La fille d'avril d'Annelise Heurtier. C'est un roman jeunesse qui se laisse lire assez bien. Catherine a 15 ans dans les années 60 à Marolles en Hurepoix. Elle a eu une bourse pour faire des études au lycée privé de la ville. Un jour, elle se rend compte qu'elle aime courir. Or, tout le monde lui interdit de le faire sous prétexte que les femmes ne peuvent pas courir plus de 10 minutes...
C'est un roman très agréable et plutôt sympathique, cette tranche de vie des années 60. Il aurait pu convenir pour Trente glorieuses l'an dernier. Catherine est un personnage attachant. Je recommande aux jeunes filles pour voir un peu comment vivaient encore leurs grands-mères.
C'est un roman très agréable et plutôt sympathique, cette tranche de vie des années 60. Il aurait pu convenir pour Trente glorieuses l'an dernier. Catherine est un personnage attachant. Je recommande aux jeunes filles pour voir un peu comment vivaient encore leurs grands-mères.
- AdrenFidèle du forum
Je note ce titre pour mes élèves. D'Annelise Heurtier ils aiment beaucoup Sweet sixteen.
- NoukaExpert
Adren a écrit:Je note ce titre pour mes élèves. D'Annelise Heurtier ils aiment beaucoup Sweet sixteen.
Pour quel niveau ?
_________________
En disponibilité
- AdrenFidèle du forum
En 3e. Je leur donne en lecture cursive au choix avec le chapitre "denoncer les travers de la société".
- EloahExpert spécialisé
Pour le défi 22 "en bateau" j'ai lu Face au vent de Jim Lynch dont je ressors mitigée. C'est l'histoire d'une famille (grand-père, parents, 3 enfants) passionnée par la navigation : le grand-père dessine des bateaux, le père les construit, la mère calcule la vitesse en fonction du vent et les enfants sont des marins aguerris, en particulier la fille, Ruby, qui semble avoir un don pour sentir le vent. Et puis les enfants grandissent, on sent que cette passion est surtout celle du père, assez bourru et autoritaire, et du grand-père. La mère, mathématicienne fascinée par Einstein est au bord de la folie. Le fils aîné, à peine adulte, va devoir fuir pour ne pas être arrêté, la fille prodige part faire des missions humanitaires en Afrique. Reste Josh, le fils du milieu, qui va réparer des bateaux. Plus le livre avance plus on se dit que cette famille est dysfonctionnelle ... et puis, pour une dernière course, ils se retrouvent, jusqu'au final, inattendu.
Du même auteur j'avais bien aimé Les grandes Marées et c'est ce qui m'a incitée à tenir bon car j'étais très perdue par le vocabulaire maritime et cette obsession de la course en mer qui ne me passionne pas plus que ça. J'ai bien fait de tenir car au fil des pages on s'attache à cette famille fantasque.
Du même auteur j'avais bien aimé Les grandes Marées et c'est ce qui m'a incitée à tenir bon car j'étais très perdue par le vocabulaire maritime et cette obsession de la course en mer qui ne me passionne pas plus que ça. J'ai bien fait de tenir car au fil des pages on s'attache à cette famille fantasque.
- nicole 86Expert spécialisé
Initialement choisi pour le défi 5 Le Pays sous le vent de Grazia Deledda me permet de valider le défi 31 : un visage en couverture.
https://www.amazon.fr/gp/product/2746708663/?camp=1642&creative=6746&creativeASIN=2746708663&ie=UTF8&linkCode=as2&tag=babelio-21&ref_=nav_ya_signin
Il y a 55 ans dans mon livre d'italien figurait un texte de Grazia Deledda, je crois qu'il s'agissait d'un poème, j'avais cherché à lire cette écrivaine mais aucun titre n'était disponible en livre de poche et rien à la bibliothèque du lycée. Ce défi est donc l'occasion de renouer un fil.
Le Pays sous le vent est le roman d'apprentissage d'une jeune fille, Nina qui, de jeune fille rêveuse et passionnée de lectures, deviendra l'épouse d'un notable. L'intérêt du livre ne se situe pas dans cette trame des plus classiques mais dans la délicatesse de l'analyse des sentiments, les descriptions ciselées des paysages et du temps et le charme d'un style désuet. Amateurs d'action s'abstenir.
https://www.amazon.fr/gp/product/2746708663/?camp=1642&creative=6746&creativeASIN=2746708663&ie=UTF8&linkCode=as2&tag=babelio-21&ref_=nav_ya_signin
Il y a 55 ans dans mon livre d'italien figurait un texte de Grazia Deledda, je crois qu'il s'agissait d'un poème, j'avais cherché à lire cette écrivaine mais aucun titre n'était disponible en livre de poche et rien à la bibliothèque du lycée. Ce défi est donc l'occasion de renouer un fil.
Le Pays sous le vent est le roman d'apprentissage d'une jeune fille, Nina qui, de jeune fille rêveuse et passionnée de lectures, deviendra l'épouse d'un notable. L'intérêt du livre ne se situe pas dans cette trame des plus classiques mais dans la délicatesse de l'analyse des sentiments, les descriptions ciselées des paysages et du temps et le charme d'un style désuet. Amateurs d'action s'abstenir.
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