- faustine62Érudit
"Je connais juste mon école de rattachement": à quatre jours de la rentrée, une future enseignante contractuelle témoigne pic.twitter.com/frr6rwsVrq
— BFMTV (@BFMTV) August 28, 2022
- EnaecoVénérable
Jacq a écrit:Cath a écrit:Cleroli a écrit:Concours exceptionnel : les infos commencent à sortirSnes : le ministre nous a dit ce matin que le concours exceptionnel des contractuels ne concernera que le 1er degre pic.twitter.com/kCe8BmLWI1
— Café pédagogique (@cafepedagogique) August 29, 2022
Et ben comme ça on sait on va où.
C'est à n'y plus rien comprendre.
Ce n'est pas le ministère qui indiquait qu'avec la baisse des effectifs il y aurait des PE en sureffectif ?
il y a taux de contractuels plus faible dans le primaire et leur absence est plus difficile à palier (un collégien/lycéen qui a quelques heures en moins ça n'est pas les mêmes problèmes qu'un écolier qui n'a personne) et le mouvement n'est pas national.
Même avec un sureffectif de PE, ça restera compliqué pour certaines académies.
Si le ministère veut continuer sa politique, il est nécessaire de cacher la misère en apportant des solutions aux PE parce que ça se voit vraiment
- lavoisierNiveau 1
faustine62 a écrit:Un témoignage assez ahurissant ici. Et le commentaire du journaliste :"ils ont été recrutés car ils avaient quelque chose de plus"."Je connais juste mon école de rattachement": à quatre jours de la rentrée, une future enseignante contractuelle témoigne pic.twitter.com/frr6rwsVrq
— BFMTV (@BFMTV) August 28, 2022
"J'ai fait beaucoup de sorties scolaires avec ma fille"...
On devrait les noter, tous ces bons mots, .... pour illustrer un hypothétique livre sur ce naufrage ...
- User20159Esprit éclairé
Quand elle se rendra compte que c'est un métier, qu'il s'apprend, et ne s'improvise pas...elle partira.
Le taux de démission de stagiaire a frisé des records historiques l'an dernier (alors qu'eux, ils avaient une formation) j'attends de voir le cru contractuel fin 2022.
Je ne parle pas de 2023, il serait bien étonnant que le tiers de ces recrues soient encore en poste à ce moment là.
- Reine MargotDemi-dieu
Clecle78 a écrit:Lors de mon dernier séjour en Allemagne le collègue chez qui je logeais avait 66 ans. Il avait une décharge de 2h (normale après 65 ans) mais était vraiment fatigué et harcelé par des parents d'élèves le soir jusqu'à 21h (il exerçait l'équivalent de la fonction de cpe en complément de son enseignement). J'avais été vraiment surprise de l'incivilité des élèves en classe, arrivée parfois 30 minutes en retard sans excuse (le prof n'a pas le droit d'en demander), les élèves mangeaient, bavardaient, pendant que la pauvre collègue essayait d'assurer son cours de religion. Visites guidées réduites au minimum parce que c'était trop ennuyeux pour ces pauvres petits ...Nos élèves paraissaient des anges à côté. L'enfant roi n'était pas un mythe dans ce lycée par ailleurs très convoité et agréable à vivre.
IL y a déjà longtemps, vers 2006, nous avions eu la même réaction face aux petits correspondants allemands venus dans les classes: bruyants, interrompant encore plus leurs profs que les nôtres...
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- S-cargoNiveau 1
- les journalistes qui les appellent des « enseignants »
- ces mêmes journalistes qui expliquent qu’ils seront meilleurs que les véritables professeurs.
- cette candidate qui s’estime meilleure que nous parce qu’elle aurait eu un vrai travail avant et ne serait pas directement professeur après ses études
- le pire, je crois, c’est la formatrice qui leur explique qu’ils sont des enseignants parfaitement légitimes, au même titre que des spécialistes d’une discipline lauréats d’un concours.
Où va-t-on ?!
- Djedje_BzhNiveau 6
De là à dire que je me suis senti comme un poisson dans l'eau devant des dizaines d'élèves, je n'irais pas jusqu'à là...voir pas du tout finalement ;o). Je crains que le réel va faire un choc à certains, et je l'espère vraiment pour bien montrer qu'on ne s'improvise pas professeur. Si être un bon manageur suffit désormais à être bon professeur, au secours....C'est qu'on ne fait plus cours mais qu'on "manage" des enfants....Mais quelle tristesse...
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Abusus non tollit usum
- Lisak40Expert spécialisé
- maduNiveau 8
S-cargo a écrit:Ce reportage fait peur :
- les journalistes qui les appellent des « enseignants »
- ces mêmes journalistes qui expliquent qu’ils seront meilleurs que les véritables professeurs.
- cette candidate qui s’estime meilleure que nous parce qu’elle aurait eu un vrai travail avant et ne serait pas directement professeur après ses études
- le pire, je crois, c’est la formatrice qui leur explique qu’ils sont des enseignants parfaitement légitimes, au même titre que des spécialistes d’une discipline lauréats d’un concours.
Où va-t-on ?!
Je vis un tel reportage comme une grande violence qui m’est faite, ça me donne vraiment l’impression de n’avoir aucune valeur professionnelle. J’ai juste envie de jeter l’éponge, à quoi bon continuer puisque n’importe qui est désormais un prof ?
Dans mon collège, une copine d’une collègue va occuper un poste vacant ; aucune expérience dans l’enseignement, aucune formation dans la discipline, mais c’est cool, « tout le monde l’aidera ! » dixit la direction. Il y aura quelqu’un de plus de 18 ans devant les élèves, tout va bien.
- Lisak40Expert spécialisé
- ElyasEsprit sacré
S-cargo a écrit:Ce reportage fait peur :
- les journalistes qui les appellent des « enseignants »
- ces mêmes journalistes qui expliquent qu’ils seront meilleurs que les véritables professeurs.
- cette candidate qui s’estime meilleure que nous parce qu’elle aurait eu un vrai travail avant et ne serait pas directement professeur après ses études
- le pire, je crois, c’est la formatrice qui leur explique qu’ils sont des enseignants parfaitement légitimes, au même titre que des spécialistes d’une discipline lauréats d’un concours.
Où va-t-on ?!
Dans le mur.
J'attends le pied ferme le contractuel recruté par jobdating qui m'expliquera être meilleur que moi En revanche, j'essaierai d'aider les contractuels qui viendraient me voir (en revanche, je suis assez effacé en salle des professeurs, les contractuels et TZR ne prennent conscience de mon existence qu'en fin d'année, mon emploi du temps étant très condensé sur 4 demi-journées pour 15h de cours).
EDIT : mouarf, j'ai écouté "Delphine" et son autorité naturelle qui "manageait" une équipe de cent adultes et qui a accompagné les sorties scolaires de sa fille. Je suis mort de rire et je la plains pour la déconvenue qu'elle va connaître. Les adultes sont plus faciles que les élèves.
- DanskaProphète
Elyas a écrit:S-cargo a écrit:Ce reportage fait peur :
- les journalistes qui les appellent des « enseignants »
- ces mêmes journalistes qui expliquent qu’ils seront meilleurs que les véritables professeurs.
- cette candidate qui s’estime meilleure que nous parce qu’elle aurait eu un vrai travail avant et ne serait pas directement professeur après ses études
- le pire, je crois, c’est la formatrice qui leur explique qu’ils sont des enseignants parfaitement légitimes, au même titre que des spécialistes d’une discipline lauréats d’un concours.
Où va-t-on ?!
Dans le mur.
J'attends le pied ferme le contractuel recruté par jobdating qui m'expliquera être meilleur que moi En revanche, j'essaierai d'aider les contractuels qui viendraient me voir (en revanche, je suis assez effacé en salle des professeurs, les contractuels et TZR ne prennent conscience de mon existence qu'en fin d'année, mon emploi du temps étant très condensé sur 4 demi-journées pour 15h de cours).
Mais... pourquoi ? Sérieusement, au nom de quoi on devrait se donner la peine d'aider des gens recrutés en 30 minutes et qui n'ont rien à faire devant des élèves ? Ceux qui parviennent à s'adapter se débrouilleront, ils ne seront ni les premiers ni les derniers, mais pour les autres tant pis.
Personnellement je suis au contraire favorable à n'aider personne. Ils vont exploser en vol ? Très bien ! Des classes entières vont se retrouver sans enseignant ? Parfait ! Ca fait des années qu'on râle contre les salaires trop bas, les conditions de travail lamentables ou l'image qu'on a de nous, c'est l'occasion rêvée pour bien montrer qu'être enseignant, ça ne s'improvise pas en cinq minutes. Et si le ministère veut que les titulaires servent de formateurs aux contractuels recrutés de cette façon, peut-être que la prochaine fois il pensera à aligner les sous...
- JacqGuide spirituel
faustine62 a écrit:Un témoignage assez ahurissant ici. Et le commentaire du journaliste :"ils ont été recrutés car ils avaient quelque chose de plus"."Je connais juste mon école de rattachement": à quatre jours de la rentrée, une future enseignante contractuelle témoigne pic.twitter.com/frr6rwsVrq
— BFMTV (@BFMTV) August 28, 2022
J'ai une amie, toujours l'une de celles que j'ai cité plus haut, qui est maître aux' et ne sait toujours pas où elle sera affectée et sur quels niveau. Par contre elle a tellement de bouteille qu'elle peut tout gérer ce qui n'est pas le cas des nouveaux contractuels, notamment les PE.
Après les médias découvrent ce qui était depuis longtemps mais qui n'était pas à la Une de l'actualité, pas aussi massif. Mais tout cela est le résultat d'une politique de long terme, d'une politique déplorable.
Que faisait le ministère, outre d'appliquer les consignes de Bercy, et que faisaient les journalistes, outre le fait de répéter les mêmes choses à chaque rentrée.
Nous, contractuels ou titulaires, on faisait notre boulot.
- Lisak40Expert spécialisé
- Astolphe33Niveau 5
Même avis.S-cargo a écrit:
- le pire, je crois, c’est la formatrice qui leur explique qu’ils sont des enseignants parfaitement légitimes, au même titre que des spécialistes d’une discipline lauréats d’un concours.
Où va-t-on ?!
D'accord sur toute la ligne.Danska a écrit:Sérieusement, au nom de quoi on devrait se donner la peine d'aider des gens recrutés en 30 minutes et qui n'ont rien à faire devant des élèves ? Ceux qui parviennent à s'adapter se débrouilleront, ils ne seront ni les premiers ni les derniers, mais pour les autres tant pis.
Personnellement je suis au contraire favorable à n'aider personne. Ils vont exploser en vol ? Très bien ! Des classes entières vont se retrouver sans enseignant ? Parfait ! Ca fait des années qu'on râle contre les salaires trop bas, les conditions de travail lamentables ou l'image qu'on a de nous, c'est l'occasion rêvée pour bien montrer qu'être enseignant, ça ne s'improvise pas en cinq minutes. Et si le ministère veut que les titulaires servent de formateurs aux contractuels recrutés de cette façon, peut-être que la prochaine fois il pensera à aligner les sous...
Au regard du contexte actuel, s'en tenir plus que jamais aux obligations statutaires.
- maduNiveau 8
Lisak40 a écrit:@madu. Suffit de ne plus aider (de manière mesurée évidemment). Je crois vraiment que je vais en arriver là...
Ah mais je ne l’aiderai pas, je ne connais rien à sa discipline.
De même que je ne mettrai pas mes cours (qui ne sont pas clé en main de toute façon) dans le drive partagé qu’on nous suggère d’alimenter cette année (pour faire de nous des pions interchangeables et remplaçables au pied levé).
- EnaecoVénérable
Danska a écrit:Elyas a écrit:S-cargo a écrit:Ce reportage fait peur :
- les journalistes qui les appellent des « enseignants »
- ces mêmes journalistes qui expliquent qu’ils seront meilleurs que les véritables professeurs.
- cette candidate qui s’estime meilleure que nous parce qu’elle aurait eu un vrai travail avant et ne serait pas directement professeur après ses études
- le pire, je crois, c’est la formatrice qui leur explique qu’ils sont des enseignants parfaitement légitimes, au même titre que des spécialistes d’une discipline lauréats d’un concours.
Où va-t-on ?!
Dans le mur.
J'attends le pied ferme le contractuel recruté par jobdating qui m'expliquera être meilleur que moi En revanche, j'essaierai d'aider les contractuels qui viendraient me voir (en revanche, je suis assez effacé en salle des professeurs, les contractuels et TZR ne prennent conscience de mon existence qu'en fin d'année, mon emploi du temps étant très condensé sur 4 demi-journées pour 15h de cours).
Mais... pourquoi ? Sérieusement, au nom de quoi on devrait se donner la peine d'aider des gens recrutés en 30 minutes et qui n'ont rien à faire devant des élèves ? Ceux qui parviennent à s'adapter se débrouilleront, ils ne seront ni les premiers ni les derniers, mais pour les autres tant pis.
Personnellement je suis au contraire favorable à n'aider personne. Ils vont exploser en vol ? Très bien ! Des classes entières vont se retrouver sans enseignant ? Parfait ! Ca fait des années qu'on râle contre les salaires trop bas, les conditions de travail lamentables ou l'image qu'on a de nous, c'est l'occasion rêvée pour bien montrer qu'être enseignant, ça ne s'improvise pas en cinq minutes. Et si le ministère veut que les titulaires servent de formateurs aux contractuels recrutés de cette façon, peut-être que la prochaine fois il pensera à aligner les sous...
(Il ne s'agit pas de jouer les tuteurs mais chacun traitera ses collègues comme il le souhaite. On peut même leur savonner la planche pour qu'ils se cassent la gueule plus vite)
Des contractuels, ça fait un moment qu'on en recrute sans grandes exigences ni formation.
Des explosions en plein vol comme tu le souhaites, ça existait.
La médiatisation de ce phénomène fait parfois penser que la situation sera inédite à la rentrée mais elle ne l'est pas vraiment. Elle est simplement amplifiée.
On parle de 3 ou 4000 postes sur 800 000.
- pastequeNiveau 10
- DanskaProphète
Enaeco a écrit:Danska a écrit:Elyas a écrit:S-cargo a écrit:Ce reportage fait peur :
- les journalistes qui les appellent des « enseignants »
- ces mêmes journalistes qui expliquent qu’ils seront meilleurs que les véritables professeurs.
- cette candidate qui s’estime meilleure que nous parce qu’elle aurait eu un vrai travail avant et ne serait pas directement professeur après ses études
- le pire, je crois, c’est la formatrice qui leur explique qu’ils sont des enseignants parfaitement légitimes, au même titre que des spécialistes d’une discipline lauréats d’un concours.
Où va-t-on ?!
Dans le mur.
J'attends le pied ferme le contractuel recruté par jobdating qui m'expliquera être meilleur que moi En revanche, j'essaierai d'aider les contractuels qui viendraient me voir (en revanche, je suis assez effacé en salle des professeurs, les contractuels et TZR ne prennent conscience de mon existence qu'en fin d'année, mon emploi du temps étant très condensé sur 4 demi-journées pour 15h de cours).
Mais... pourquoi ? Sérieusement, au nom de quoi on devrait se donner la peine d'aider des gens recrutés en 30 minutes et qui n'ont rien à faire devant des élèves ? Ceux qui parviennent à s'adapter se débrouilleront, ils ne seront ni les premiers ni les derniers, mais pour les autres tant pis.
Personnellement je suis au contraire favorable à n'aider personne. Ils vont exploser en vol ? Très bien ! Des classes entières vont se retrouver sans enseignant ? Parfait ! Ca fait des années qu'on râle contre les salaires trop bas, les conditions de travail lamentables ou l'image qu'on a de nous, c'est l'occasion rêvée pour bien montrer qu'être enseignant, ça ne s'improvise pas en cinq minutes. Et si le ministère veut que les titulaires servent de formateurs aux contractuels recrutés de cette façon, peut-être que la prochaine fois il pensera à aligner les sous...
(Il ne s'agit pas de jouer les tuteurs mais chacun traitera ses collègues comme il le souhaite. On peut même leur savonner la planche pour qu'ils se cassent la gueule plus vite)
Des contractuels, ça fait un moment qu'on en recrute sans grandes exigences ni formation.
Des explosions en plein vol comme tu le souhaites, ça existait.
La médiatisation de ce phénomène fait parfois penser que la situation sera inédite à la rentrée mais elle ne l'est pas vraiment. Elle est simplement amplifiée.
On parle de 3 ou 4000 postes sur 800 000.
Donc plus visible, oui.
Et je ne leur "souhaite" pas de se casser la figure, mais il est évident que ça va arriver : parmi les nouveaux venus recrutés à l'arrache, certains s'en sortiront, les autres non. Et je ne vais pas m'amuser à leur "savonner la planche" (j'irai même jusqu'à leur dire bonjour s'il j'en croise dans mon établissement dans deux jours, c'est dire), mais je ne vais pas pleurer sur leur sort non plus ni me démener pour les aider à s'en sortir.
Ils ont pensé qu'ils feraient l'affaire ? Ok, tant mieux pour eux. En quoi on devrait se sentir concernés si finalement il s'avère qu'ils se sont trompés ?
- Lisak40Expert spécialisé
- Lisak40Expert spécialisé
madu a écrit:Lisak40 a écrit:@madu. Suffit de ne plus aider (de manière mesurée évidemment). Je crois vraiment que je vais en arriver là...
Ah mais je ne l’aiderai pas, je ne connais rien à sa discipline.
De même que je ne mettrai pas mes cours (qui ne sont pas clé en main de toute façon) dans le drive partagé qu’on nous suggère d’alimenter cette année (pour faire de nous des pions interchangeables et remplaçables au pied levé).
Ca clairement, c'est hors de question !!
- mamieprofExpert spécialisé
On avait donné plusieurs noms au PA à faire remonter au rectorat (des étudiants en M2 ou Doctorat) mais aucun ne semblait convenir. La personne qui est arrivée avait enseigné un peu il y a très longtemps. Elle a fait de son mieux. L'APSES (assoc des profs de SES) mutualise beaucoup de ressources. On lui a filé des cours de l APSES sinon elle n aurait rien eu pour faire cours en dehors du livre choisi par nous. On allait pas planter les élèves (on a fait qq heures avant novembre). Une collègue de SVT a été coachée par la coordo. Elle avait un trop haut niveau et ne savait pas expliquer simplement des choses de niveau lycée et surtout son français était très approximatif.
- EnaecoVénérable
Je réagissais surtout à la notion "d'occasion rêvée".
Depuis le temps que ça dure, il n'y a "malheureusement" pas vraiment de raison que ça se passe différemment cette année que les autres.
La proportion d'abandons sera a priori sensiblement la même et le nombre de nouveaux (bien qu'en augmentation) reste faible devant le nombre total d'enseignants.
- slynopHabitué du forum
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"C'est pas moi qu'explique mal, c'est les autres qui sont cons !", Perceval dans Kaamelot.
- Lisak40Expert spécialisé
- kiddyNiveau 6
- Créations et suppressions de postes à la rentrée (chiffres primaire et secondaire)
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