- PrezboGrand Maître
mgb35 a écrit:@Prezbo
Hors boursier : si je suis classé 100eme sur une formation et que quelqu'un est 101eme, il ne peut pas être pris et pas moi. C'est bien cela ?
En dehors des différents quotas (voir réponse de Jenny), avec Parcousup, le classé 100ème est appelé avant le 101ème.
Les quotas compliquent la donne et génèrent beaucoup de contestation, ensuite je ne sais pas à quel point ils bouleversent réellement les classements.
- SolovieïNiveau 10
@Exploser : Si c'est ce que vous pensez, soit, mais ce n'est pas ce que j'ai voulu dire ni écrire. Mon intervention est, je crois, respectueuse et apaisée et je faisais part d'un doute qui m'est récurrent. Il me semble que certains modérateurs y ont ici en partie répondu.
@Sphinx : c'est ce que je pensais. Il s'agit d'éviter les discours trop partisans et les tribunes politiques sous le moindre prétexte. Je comprends parfaitement.
Personnellement, je ne suis pas d'accord avec ce principe, mais c'est la ligne de ce forum et je la respecte. D'ailleurs, sans cette limite, le moindre fil deviendrait, je pense, ingérable. Même si la ligne entre ce qui est "politique" et ce qui ne l'est pas me semble difficile à tracer, je l'accepte ici comme un mal nécessaire.
@Sphinx : c'est ce que je pensais. Il s'agit d'éviter les discours trop partisans et les tribunes politiques sous le moindre prétexte. Je comprends parfaitement.
Personnellement, je ne suis pas d'accord avec ce principe, mais c'est la ligne de ce forum et je la respecte. D'ailleurs, sans cette limite, le moindre fil deviendrait, je pense, ingérable. Même si la ligne entre ce qui est "politique" et ce qui ne l'est pas me semble difficile à tracer, je l'accepte ici comme un mal nécessaire.
- User17557Niveau 5
Prezbo a écrit:mgb35 a écrit:@Prezbo
Hors boursier : si je suis classé 100eme sur une formation et que quelqu'un est 101eme, il ne peut pas être pris et pas moi. C'est bien cela ?
En dehors des différents quotas (voir réponse de Jenny), avec Parcousup, le classé 100ème est appelé avant le 101ème.
Les quotas compliquent la donne et génèrent beaucoup de contestation, ensuite je ne sais pas à quel point ils bouleversent réellement les classements.
Il me semble qu'il y a aussi une part de discrétionnaire. Je ne sais pas si on doit considérer que cela fait ou non partie de Parcoursup. Le formateur peut décider de rattraper le dossier du 101e qui avait dans un premier temps été écarté par l'algorithme, car le formateur trouve par exemple le profil intéressant, pour telle ou telle raison...
- PrezboGrand Maître
Exploser a écrit:Prezbo a écrit:mgb35 a écrit:@Prezbo
Hors boursier : si je suis classé 100eme sur une formation et que quelqu'un est 101eme, il ne peut pas être pris et pas moi. C'est bien cela ?
En dehors des différents quotas (voir réponse de Jenny), avec Parcousup, le classé 100ème est appelé avant le 101ème.
Les quotas compliquent la donne et génèrent beaucoup de contestation, ensuite je ne sais pas à quel point ils bouleversent réellement les classements.
Il me semble qu'il y a aussi une part de discrétionnaire. Je ne sais pas si on doit considérer que cela fait ou non partie de Parcoursup. Le formateur peut décider de rattraper le dossier du 101e qui avait dans un premier temps été écarté par l'algorithme, car le formateur trouve par exemple le profil intéressant, pour telle ou telle raison...
Je serais curieux d'avoir une source. Pendant la première phase d'admission ? Quel serait l'intérêt, sachant que le premier classement a de toute façon été fait par la formation elle-même ? (Encore une fois : Parcoursup ne classe personne.)
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Je serais également curieux d'avoir une source le confirmant et pas seulement un “il me semble”
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Si tu vales valeo.
- AscagneGrand sage
Cette année, en tant que professeur et que professeur principal, j'ai été gêné par le manque de suivi de l'action parentale par rapport aux élèves posant problème (comportement), mais tout autant voire plus par les parents absents/injoignables alors que leur enfant était en difficulté pour x raison : appels sans réponses, messages Pronote/ENT/SMS (!) sans réponse. Le plus incroyable : telle famille qui n'a jamais établi le contact mais qui le fait au dernier moment et qui pense s'inviter aux rendez-vous famille/élève/proviseur/PP sur l'orientation, en fin d'année de seconde, 5 minutes avant l'heure dite. Il faut dire que le contexte de la pandémie et les règles concernant la limitation voire l'annulation des rendez-vous en présentiel n'a rien arrangé.
Pour la rentrée, je pense être plus clair et incisif, en effet, dans mon rapport aux parents d'élèves, mais encore faut-il qu'ils viennent aux réunions (même quand on annonce longtemps à l'avance et qu'on reste jusqu'à après 20h ils ne viennent pas : je garde en tête une soirée, de 17h à 20h, où j'ai vu passer la grande sœur d'un élève et une mère, ce qui est peu pour 31 élèves). En revanche, même quand ils ont été complètement absents, c'est le drame lorsqu'ils découvrent en fin d'année que non, le conseil et le proviseur ne pensent pas que leur enfant peut passer en première/avoir telle orientation...
Cette année, c'est plutôt directement les élèves qui se sont parfois montrés revendicatifs et consuméristes, notamment en première, mais j'avais une première STMG en français et il y avait moins de pression que pour un cours de spécialité de la filière, par exemple.
L'augmentation indiquée dans l'article ne me surprend donc guère. Il y a une atmosphère particulière qui fait qu'effectivement, des rappels plus clairs et incisifs de la part de la hiérarchie et du haut du système seraient bienvenus.
Pour la rentrée, je pense être plus clair et incisif, en effet, dans mon rapport aux parents d'élèves, mais encore faut-il qu'ils viennent aux réunions (même quand on annonce longtemps à l'avance et qu'on reste jusqu'à après 20h ils ne viennent pas : je garde en tête une soirée, de 17h à 20h, où j'ai vu passer la grande sœur d'un élève et une mère, ce qui est peu pour 31 élèves). En revanche, même quand ils ont été complètement absents, c'est le drame lorsqu'ils découvrent en fin d'année que non, le conseil et le proviseur ne pensent pas que leur enfant peut passer en première/avoir telle orientation...
Cette année, c'est plutôt directement les élèves qui se sont parfois montrés revendicatifs et consuméristes, notamment en première, mais j'avais une première STMG en français et il y avait moins de pression que pour un cours de spécialité de la filière, par exemple.
L'augmentation indiquée dans l'article ne me surprend donc guère. Il y a une atmosphère particulière qui fait qu'effectivement, des rappels plus clairs et incisifs de la part de la hiérarchie et du haut du système seraient bienvenus.
- CathEnchanteur
Aucune source officielle, mais dans l'IUT où j'interviens les listes d'admis sont modifiées par le rectorat et redescendent augmentées/modifiées : y figurent des bacheliers technos/boursiers qui n'avaient pas été retenus par les enseignants.
- MajuFidèle du forum
Mais il y a des quotas de boursiers et bac technologiques à respecter dans les formations du supérieur, non ?
Edit: Désolée, j'avais lu le post de Cath sans lire ceux qui précédaient.
Edit: Désolée, j'avais lu le post de Cath sans lire ceux qui précédaient.
- TangledingGrand Maître
Chez nous, un collège où j'ai toujours trouvé une partie des parents des CSP+ assez intrusifs (avec une tradition de cogestion direction/parents du CA, que la nouvelle direction n'a pas maintenue) ça a été l'apocalypse cette année niveau agressivité d'une partie des parents. En cause les boucles WhatsApp de parents qui se montent le bourrichon, mais il y a aussi une très lourde responsabilité de l'institution au vu de la durée invraisemblable des non remplacements.
Je suis accablé par la paresse professionnelle de la presse qui ne vient pas enquêter sur le terrain sur cette calamité.
Quand des classes sont privées de cours durant un trimestre en espagnol ou en français, d'autres un mois, et , comment veut-on que le climat de travail ne se dégrade pas côté élèves ? Que les relations ne se tendent pas entre les parents et l'institution que ce soit la direction ou les enseignants ?
Je suis accablé par la paresse professionnelle de la presse qui ne vient pas enquêter sur le terrain sur cette calamité.
Quand des classes sont privées de cours durant un trimestre en espagnol ou en français, d'autres un mois, et , comment veut-on que le climat de travail ne se dégrade pas côté élèves ? Que les relations ne se tendent pas entre les parents et l'institution que ce soit la direction ou les enseignants ?
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- JennyMédiateur
Ascagne a écrit:Le plus incroyable : telle famille qui n'a jamais établi le contact mais qui le fait au dernier moment et qui pense s'inviter aux rendez-vous famille/élève/proviseur/PP sur l'orientation, en fin d'année de seconde, 5 minutes avant l'heure dite.
Je crois que je bats tout le monde. Une famille qui n'est jamais venue aux réunions avec un élève que je n'avais pas vu depuis le début du 2e trimestre est venue contester une absence injustifiée... en plein grand oral. Les livrets étaient évidemment déjà remontés.
- User17557Niveau 5
Prezbo a écrit:Exploser a écrit:Prezbo a écrit:mgb35 a écrit:@Prezbo
Hors boursier : si je suis classé 100eme sur une formation et que quelqu'un est 101eme, il ne peut pas être pris et pas moi. C'est bien cela ?
En dehors des différents quotas (voir réponse de Jenny), avec Parcousup, le classé 100ème est appelé avant le 101ème.
Les quotas compliquent la donne et génèrent beaucoup de contestation, ensuite je ne sais pas à quel point ils bouleversent réellement les classements.
Il me semble qu'il y a aussi une part de discrétionnaire. Je ne sais pas si on doit considérer que cela fait ou non partie de Parcoursup. Le formateur peut décider de rattraper le dossier du 101e qui avait dans un premier temps été écarté par l'algorithme, car le formateur trouve par exemple le profil intéressant, pour telle ou telle raison...
Je serais curieux d'avoir une source. Pendant la première phase d'admission ? Quel serait l'intérêt, sachant que le premier classement a de toute façon été fait par la formation elle-même ? (Encore une fois : Parcoursup ne classe personne.)
Je n'ai pas de source autre qu'une amie responsable de Parcoursup pour sa formation supérieure et qui, une fois l'algorithme exécuté, reprend à la main avec un collègue une partie des dossiers refusés pour récupérer des profils intéressants mais atypiques qui auraient été écartés par l'algorithme. Si j'ai bien compris...
- AscagneGrand sage
En effet, ça dégrade forcément le reste et ça pousse des parents excédés à dépasser les bornes par rapport à des situations où il n'y a pas de problème de notre part - en tout cas en tant qu'enseignants ou dans l'établissement...Tangleding a écrit:Quand des classes sont privées de cours durant un trimestre en espagnol ou en français, d'autres un mois, et , comment veut-on que le climat de travail ne se dégrade pas côté élèves ? Que les relations ne se tendent pas entre les parents et l'institution que ce soit la direction ou les enseignants ?
Mais bon, en général, je me dis que les choses seraient mieux dans un système honnête où l'on dit clairement ce qu'il en est, y compris en haut. Mais cela implique aussi de mettre de côté certaines illusions et là le terrain s'avère plus glissant.
L'approche de plus en plus consumériste est aussi due à l'idée que les dus ne viennent que de notre côté, tout simplement.
- MathadorEmpereur
Exploser a écrit:Prezbo a écrit:Exploser a écrit:Prezbo a écrit:
En dehors des différents quotas (voir réponse de Jenny), avec Parcousup, le classé 100ème est appelé avant le 101ème.
Les quotas compliquent la donne et génèrent beaucoup de contestation, ensuite je ne sais pas à quel point ils bouleversent réellement les classements.
Il me semble qu'il y a aussi une part de discrétionnaire. Je ne sais pas si on doit considérer que cela fait ou non partie de Parcoursup. Le formateur peut décider de rattraper le dossier du 101e qui avait dans un premier temps été écarté par l'algorithme, car le formateur trouve par exemple le profil intéressant, pour telle ou telle raison...
Je serais curieux d'avoir une source. Pendant la première phase d'admission ? Quel serait l'intérêt, sachant que le premier classement a de toute façon été fait par la formation elle-même ? (Encore une fois : Parcoursup ne classe personne.)
Je n'ai pas de source autre qu'une amie responsable de Parcoursup pour sa formation supérieure et qui, une fois l'algorithme exécuté, reprend à la main avec un collègue une partie des dossiers refusés pour récupérer des profils intéressants mais atypiques qui auraient été écartés par l'algorithme. Si j'ai bien compris...
Dans ce cas ce n'est pas l'algo de Parcoursup dont tu parles, mais d'un algo interne à sa formation qui classe les candidats de façon automatisée selon leur dossier.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- TangledingGrand Maître
Ce que je veux dire, c'est qu'en temps normal il y a déjà des tensions liées notamment à :
_ l'incompréhension par la plupart des parents des véritables enjeux didactiques
_ le manque de formation des enseignants et parfois des perdir en ce qui concerne la communication avec les parents, ce qui conduit à des aberrations extrêmement préjudiciables ajoutant de la tension sans raison (enseignants qui ne prennent pas en compte la nécessité de désamorcer les remontées de passé scolaire des parents, ou encore organisation délirante des réunions en faisant attendre debout les parents dans le couloir, ou bien comme le pp n'est pas encore là, on ne fait pas rentrer les parents, ou on les fait rentrer mais sans prononcer un mot car c'est au pp de commencer... Etc)
Or ajouter à ces problèmes structurels une défaillance profonde comme des non remplacements de plusieurs semaines ou mois, cela a des incidences multiples sur le tout le système, et on arrive très vite à une situation explosive.
Un autre facteur est la non représentativité des représentants de parents (26% de participation chez nous cette année, et la solution qu'ils ont choisie : vote électronique l'an prochain, ok super) et leur decorrélation avec toute une partie de celleux qu'iels représentent...
Pour dire les choses autrement, le mode de fonctionnement nominal du système éducatif était déjà un mode dégradé, reposant essentiellement sur la bonne volonté compensatrice des personnels. Partant de là, toute nouvelle dégradation entraîne des défaillances critiques qui font immédiatement boule de neige.
Je redoute un peu la rentrée, surtout en collège d'ailleurs. Les camarades de ma section départementale, qui sont pour la plupart en lycée, m'ont averti que les rectorats priorisaient les lycées s'agissant des moyens de remplacement pour la rentrée qui vient.
_ l'incompréhension par la plupart des parents des véritables enjeux didactiques
_ le manque de formation des enseignants et parfois des perdir en ce qui concerne la communication avec les parents, ce qui conduit à des aberrations extrêmement préjudiciables ajoutant de la tension sans raison (enseignants qui ne prennent pas en compte la nécessité de désamorcer les remontées de passé scolaire des parents, ou encore organisation délirante des réunions en faisant attendre debout les parents dans le couloir, ou bien comme le pp n'est pas encore là, on ne fait pas rentrer les parents, ou on les fait rentrer mais sans prononcer un mot car c'est au pp de commencer... Etc)
Or ajouter à ces problèmes structurels une défaillance profonde comme des non remplacements de plusieurs semaines ou mois, cela a des incidences multiples sur le tout le système, et on arrive très vite à une situation explosive.
Un autre facteur est la non représentativité des représentants de parents (26% de participation chez nous cette année, et la solution qu'ils ont choisie : vote électronique l'an prochain, ok super) et leur decorrélation avec toute une partie de celleux qu'iels représentent...
Pour dire les choses autrement, le mode de fonctionnement nominal du système éducatif était déjà un mode dégradé, reposant essentiellement sur la bonne volonté compensatrice des personnels. Partant de là, toute nouvelle dégradation entraîne des défaillances critiques qui font immédiatement boule de neige.
Je redoute un peu la rentrée, surtout en collège d'ailleurs. Les camarades de ma section départementale, qui sont pour la plupart en lycée, m'ont averti que les rectorats priorisaient les lycées s'agissant des moyens de remplacement pour la rentrée qui vient.
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- OlympiasProphète
Évidemment que c'est une calamité et l'institution est responsable. Le pp reçoit des mails : mais pourquoi Monsieur Bidule et Madame Duchmole ne sont-ils pas remplacés ?Tangleding a écrit:Chez nous, un collège où j'ai toujours trouvé une partie des parents des CSP+ assez intrusifs (avec une tradition de cogestion direction/parents du CA, que la nouvelle direction n'a pas maintenue) ça a été l'apocalypse cette année niveau agressivité d'une partie des parents. En cause les boucles WhatsApp de parents qui se montent le bourrichon, mais il y a aussi une très lourde responsabilité de l'institution au vu de la durée invraisemblable des non remplacements.
Je suis accablé par la paresse professionnelle de la presse qui ne vient pas enquêter sur le terrain sur cette calamité.
Quand des classes sont privées de cours durant un trimestre en espagnol ou en français, d'autres un mois, et , comment veut-on que le climat de travail ne se dégrade pas côté élèves ? Que les relations ne se tendent pas entre les parents et l'institution que ce soit la direction ou les enseignants ?
Dans une de mes classes de première, un groupe d'élèves n'a pas eu cours de spécialité SES pendant des mois ... les deux collègues nouvellement nommées ayant disparu au mois d'octobre. Un collègue a pris les terminales pour une partie des heures mais il ne pouvait pas prendre les premières en plus. Comment aurait-il fait ?
On a eu des collègues pour remplacer au bout de 4 ou 5 mois. C'est scandaleux.
- TangledingGrand Maître
Cela risque de mal à finir pour des collègues vu le niveau de tension. On en est à se faire insulter par des parents, l'étape d'après c'est les coups ou pire.
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- OlympiasProphète
Je suis tout à fait d'accord avec tes remarques supra (communication en particulier). Il y a des parents qu'il faut rassurer, tranquilliser car leur rapport à l'école est compliqué et c'est pour cela qu'il est important de les voir. Rien ne vaut la rencontre : se présenter, expliquer, décrypter, leur faire comprendre qu'il doit y avoir une relation de confiance et que nous sommes là pour nous occuper de leurs enfants (je suis dans un lycée encore socialement assez mixte mais le seul lycée public de la commune - pas de l'agglomération - confronté à une concurrence de deux boîtes privées cathos et une non confessionnelle).Tangleding a écrit:Cela risque de mal à finir pour des collègues vu le niveau de tension. On en est à se faire insulter par des parents, l'étape d'après c'est les coups ou pire.
Après ce n'est pas aux parents de décider de la politique de l'établissement. Chacun à sa place.
- User17557Niveau 5
Olympias a écrit:Évidemment que c'est une calamité et l'institution est responsable. Le pp reçoit des mails : mais pourquoi Monsieur Bidule et Madame Duchmole ne sont-ils pas remplacés ?Tangleding a écrit:Chez nous, un collège où j'ai toujours trouvé une partie des parents des CSP+ assez intrusifs (avec une tradition de cogestion direction/parents du CA, que la nouvelle direction n'a pas maintenue) ça a été l'apocalypse cette année niveau agressivité d'une partie des parents. En cause les boucles WhatsApp de parents qui se montent le bourrichon, mais il y a aussi une très lourde responsabilité de l'institution au vu de la durée invraisemblable des non remplacements.
Je suis accablé par la paresse professionnelle de la presse qui ne vient pas enquêter sur le terrain sur cette calamité.
Quand des classes sont privées de cours durant un trimestre en espagnol ou en français, d'autres un mois, et , comment veut-on que le climat de travail ne se dégrade pas côté élèves ? Que les relations ne se tendent pas entre les parents et l'institution que ce soit la direction ou les enseignants ?
Dans une de mes classes de première, un groupe d'élèves n'a pas eu cours de spécialité SES pendant des mois ... les deux collègues nouvellement nommées ayant disparu au mois d'octobre. Un collègue a pris les terminales pour une partie des heures mais il ne pouvait pas prendre les premières en plus. Comment aurait-il fait ?
On a eu des collègues pour remplacer au bout de 4 ou 5 mois. C'est scandaleux.
Mais que faire ? Le métier n'attire plus suffisamment... Il faudrait améliorer les conditions de travail et les salaires... Mais pour augmenter les salaires, il faudrait augmenter les impôts ou diminuer d'autres dépenses... Augmenter les impôts : les pauvres n'ont pas d'argent, les classes moyennes trouvent qu'elles en payent déjà trop, et les (très) riches trouvent le moyen de ne rien payer (Google, etc.)....
On peut jouer sur l'amélioration des conditions de travail ou la diminution de certaines dépenses... Mais pas facile non plus...
- PrezboGrand Maître
Mathador a écrit:Exploser a écrit:
Je n'ai pas de source autre qu'une amie responsable de Parcoursup pour sa formation supérieure et qui, une fois l'algorithme exécuté, reprend à la main avec un collègue une partie des dossiers refusés pour récupérer des profils intéressants mais atypiques qui auraient été écartés par l'algorithme. Si j'ai bien compris...
Dans ce cas ce n'est pas l'algo de Parcoursup dont tu parles, mais d'un algo interne à sa formation qui classe les candidats de façon automatisée selon leur dossier.
Je suis bien d'accord. De même que ce que décrit Cath (un premier classement effectué par les formations ensuite modifié par les rectorats) existe aussi, mais une fois le classement définitif effectué, l'algo Parcoursup ne fait que mouliner à partir de ce dernier. Le vrai enjeu serait la transparence des critères de classement employés par les formations et/ou les rectorats, et sur ce point je ne pense pas que les formations soient prêtes à tout publier -certains critères seraient polémiques-.
Mais on sort un peu du sujet (le fonctionnement de Parcoursup et les critères de classement des sélections mériteraient une discussion en soi) même si je suis d'accord avec Baldred sur les raisons qui font que les notes sont devenues à la foi décorrélée du travail (et du niveau) réel de l'élève et un sujet de contestation plus vif.
- OlympiasProphète
Le métier n'attire plus parce qu'il est mal payé. Quand on est bien payé et qu'on est considéré, il y a des petits désagréments et /ou problèmes annexes qu'on supporte mieux.Exploser a écrit:Olympias a écrit:Évidemment que c'est une calamité et l'institution est responsable. Le pp reçoit des mails : mais pourquoi Monsieur Bidule et Madame Duchmole ne sont-ils pas remplacés ?Tangleding a écrit:Chez nous, un collège où j'ai toujours trouvé une partie des parents des CSP+ assez intrusifs (avec une tradition de cogestion direction/parents du CA, que la nouvelle direction n'a pas maintenue) ça a été l'apocalypse cette année niveau agressivité d'une partie des parents. En cause les boucles WhatsApp de parents qui se montent le bourrichon, mais il y a aussi une très lourde responsabilité de l'institution au vu de la durée invraisemblable des non remplacements.
Je suis accablé par la paresse professionnelle de la presse qui ne vient pas enquêter sur le terrain sur cette calamité.
Quand des classes sont privées de cours durant un trimestre en espagnol ou en français, d'autres un mois, et , comment veut-on que le climat de travail ne se dégrade pas côté élèves ? Que les relations ne se tendent pas entre les parents et l'institution que ce soit la direction ou les enseignants ?
Dans une de mes classes de première, un groupe d'élèves n'a pas eu cours de spécialité SES pendant des mois ... les deux collègues nouvellement nommées ayant disparu au mois d'octobre. Un collègue a pris les terminales pour une partie des heures mais il ne pouvait pas prendre les premières en plus. Comment aurait-il fait ?
On a eu des collègues pour remplacer au bout de 4 ou 5 mois. C'est scandaleux.
Mais que faire ? Le métier n'attire plus suffisamment... Il faudrait améliorer les conditions de travail et les salaires... Mais pour augmenter les salaires, il faudrait augmenter les impôts ou diminuer d'autres dépenses... Augmenter les impôts : les pauvres n'ont pas d'argent, les classes moyennes trouvent qu'elles en payent déjà trop, et les (très) riches trouvent le moyen de ne rien payer (Google, etc.)....
On peut jouer sur l'amélioration des conditions de travail ou la diminution de certaines dépenses... Mais pas facile non plus...
Là non seulement nous sommes mal payés mais toute la société (élus en tête !) se croit autorisée à nous traiter de tire-au-flanc, nous avons de plus en plus de tâches chronophages mal rémunérées quand elles le sont.
La grève de janvier était une occasion historique. Mais non ! Chouiner pour des masques qui n'ont jamais été livrés. On n'a absolument RIEN obtenu. Chaque année il y a des grèves totalement improductives car non seulement nous ne gagnons rien mais nous perdons de l'argent. Argent que certains collègues ne peuvent plus se permettre de perdre avec un point d'indice gelé depuis douze ans.
- eleonore69Érudit
Jenny a écrit:« Quatre mille deux cents saisines sur les conflits liés à la vie scolaire, c’est beaucoup pour le médiateur, qui ne reçoit qu’une partie des réclamations, commente Catherine Becchetti-Bizot. Les médiateurs académiques disent voir augmenter les saisines liées à des problèmes de comportement, que cela concerne les relations entre élèves, entre élèves et enseignants, ou entre parents et établissements… » Les parents d’élèves remettent plus souvent en cause les décisions (46 % des saisines liées à la vie scolaire concernent des conflits parents-école), et, toujours selon les médiateurs académiques, l’agressivité des usagers augmente. Au lycée, les familles ont aussi « pris l’habitude de contester des notes qui apparaissent dans le livret scolaire et comptent désormais pour le bac », note-t-elle encore, d’où l’augmentation des saisines sur le sujet : elles sont cinq fois plus nombreuses qu’il y a cinq ans.
https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/07/25/conflits-et-tensions-en-hausse-dans-les-etablissements-scolaires_6136073_3224.html
Les inconvénients du contrôle continu ! L'une des raisons pour lesquelles j'étais contre !
- LagomorpheFidèle du forum
Tangleding a écrit:Ce que je veux dire, c'est qu'en temps normal il y a déjà des tensions liées notamment à :
_ l'incompréhension par la plupart des parents des véritables enjeux didactiques
_ le manque de formation des enseignants et parfois des perdir en ce qui concerne la communication avec les parents, ce qui conduit à des aberrations extrêmement préjudiciables ajoutant de la tension sans raison (enseignants qui ne prennent pas en compte la nécessité de désamorcer les remontées de passé scolaire des parents,
Donc en gros, les tensions parents-profs, c'est la faute aux profs qui ne sont pas formés ? Et qui auraient pour nouvelle mission de tenir compte du passé scolaire des parents pour communiquer avec eux ? Drôle de manière de présenter les choses.
J'avais 6 classes de 35, cette année. 210 élèves, dont 140 en cycle terminal avec des bulletins comptant pour Parcoursup, et les inévitables tensions liées, environ 420 parents avec une proportion croissante de pénibles voire d'agressifs, comme on le constate à peu près tous. On peut toujours me former dans tous les sens, m'apprendre à prendre en compte le douloureux passé scolaire de ces pauvres parents-victimes agressifs, me transformer en psychanalyste expert en parents pénibles, mais...outre le fait que je ne le souhaite pas et que ça n'est certainement pas mon boulot, je n'ai pas le temps de me préoccuper des bobos psychologiques de l'enfance des parents. Il est déjà assez lourd d'avoir à composer avec ceux des élèves.
Je trouve ça horripilant à la longue, ce mantra de la formation des enseignants. Dès que quelque chose ne va pas dans l'Education Nationale, on nous sort la formation prétendument insuffisante des enseignants, seule responsable du fait qu'on n'arrive pas résoudre seuls tous les problèmes du pays. Sauf qu'on oublie qu'aucune formation ne transformera mes journées de 24h en journées de 40h, ni mes 6 classes de 35 en 3 classes de 16 élèves, ni la trentaine de parents ingérables en deux ou trois que je pourrais éventuellement prendre le temps d'apaiser. Mon boulot, je le fais auprès des élèves. Les parents ont droit d'être informés de la scolarité de leur enfant, je le fais par voie de bulletin trimestriel, point, s'ils me demandent un rendez-vous je le leur accorde pour parler de leur enfant. Pas de leur enfance. S'ils sont agressifs, l'entretien s'arrête, ils s'adresseront au CDE ou à qui bon leur semble, ce n'est pas vers eux qu'est orientée ma conscience professionnelle. Enseigner = auprès des élèves. Parents = destinataires d'informations, sur la scolarité de leur enfant et rien d'autre, le fonctionnement normal étant le sens unique, j'ai autre chose à faire de ma vie que d'expliquer à chacun le bien-fondé et l'enjeu didactique de chaque décision que je prends pendant mes cours.
Il faut arrêter avec la culpabilisation systématique des enseignants soi-disant mal formés (à des taches qui ne sont pas les leurs et qu'ils n'ont pas le temps d'assumer) et responsables de tous les maux (surtout ceux sur lesquels ils n'ont aucune prise). On fait ce qu'on peut avec le temps dont on dispose, on n'est pas des smartphones dans lesquels il suffit de télécharger une formation pour obtenir une fonctionnalité nouvelle. Et même un smartphone à qui on demande trop finit par avoir la batterie qui flanche.
- LokomazoutNiveau 9
Olympias a écrit:Après ce n'est pas aux parents de décider de la politique de l'établissement. Chacun à sa place.
C'est clair.
Dans l'établissement où j'enseigne est remis aux parents délégués un "vade-mecum" ou "charte" à leur attention ; ça n'a évidemment aucune valeur juridique, mais ça permet de préciser les choses.
- MathadorEmpereur
Lagomorphe a écrit:Tangleding a écrit:Ce que je veux dire, c'est qu'en temps normal il y a déjà des tensions liées notamment à :
_ l'incompréhension par la plupart des parents des véritables enjeux didactiques
_ le manque de formation des enseignants et parfois des perdir en ce qui concerne la communication avec les parents, ce qui conduit à des aberrations extrêmement préjudiciables ajoutant de la tension sans raison (enseignants qui ne prennent pas en compte la nécessité de désamorcer les remontées de passé scolaire des parents,
Donc en gros, les tensions parents-profs, c'est la faute aux profs qui ne sont pas formés ? Et qui auraient pour nouvelle mission de tenir compte du passé scolaire des parents pour communiquer avec eux ? Drôle de manière de présenter les choses.
Non, mais on peut tout de même constater que ça les empire. Cela ne veut pas dire que la bonne solution se trouve de ce côté: commençons déjà par payer convenablement les enseignants (ce qui arrangerait le problème des remplacements et apporterait des nouvelles recrues plus compétentes), et par demander à la hiérarchie (pas seulement les perdirs mais aussi et surtout les gens des rectorats et des DSDEN) de les soutenir de façon systématique (quitte à lancer par la suite, lorsque c'est justifier, une enquête interne et/ou une procédure disciplinaire), et les choses se passeront mieux.
En outre, chacun fait avec le temps et la volonté de travail supplémentaire gratuit dont il dispose. En français, en maths ou dans le rôle de PP on gère moins d'élèves et on peut se permettre un suivi plus personnalisé que quand on a 20 classes en musique ou en arts plastiques.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- InvitéInvité
Comme toujours, entièrement d'accord avec les propos de Lagomorphe. Pour ma part, je réclame une meilleure formation des parents !
- LagomorpheFidèle du forum
Mathador a écrit:Lagomorphe a écrit:Tangleding a écrit:Ce que je veux dire, c'est qu'en temps normal il y a déjà des tensions liées notamment à :
_ l'incompréhension par la plupart des parents des véritables enjeux didactiques
_ le manque de formation des enseignants et parfois des perdir en ce qui concerne la communication avec les parents, ce qui conduit à des aberrations extrêmement préjudiciables ajoutant de la tension sans raison (enseignants qui ne prennent pas en compte la nécessité de désamorcer les remontées de passé scolaire des parents,
Donc en gros, les tensions parents-profs, c'est la faute aux profs qui ne sont pas formés ? Et qui auraient pour nouvelle mission de tenir compte du passé scolaire des parents pour communiquer avec eux ? Drôle de manière de présenter les choses.
Non, mais on peut tout de même constater que ça les empire.
Ah bon ? Je ne vois pas de quelle formation j'aurais besoin à part de savoir que, lorsque je n'ai pas commis d'erreur :
1) Si un parents hausse le ton, l'échange s'interrompt.
2) Si j'estime que le haussement de ton dépasse les bornes, j'ai la possibilité de porter plainte ou de saisir le procureur pour outrage.
Dans les deux cas, ça met très efficacement un terme à toute tension, puisque la communication est interrompue de manière plus ou moins définitive.
Ce n'est qu'en cas de tension avec un élève que je me pose la question de la manière de l'apaiser: il faudra bien que je parvienne d'une manière ou d'une autre à lui faire acquérir ce que je peux du programme. Là c'est mon boulot. Servir d'exutoire à la colère des parents, ce n'est pas mon boulot.
Mathador a écrit:Cela ne veut pas dire que la bonne solution se trouve de ce côté: commençons déjà par payer convenablement les enseignants (ce qui arrangerait le problème des remplacements et apporterait des nouvelles recrues plus compétentes), et par demander à la hiérarchie (pas seulement les perdirs mais aussi et surtout les gens des rectorats et des DSDEN) de les soutenir de façon systématique (quitte à lancer par la suite, lorsque c'est justifier, une enquête interne et/ou une procédure disciplinaire), et les choses se passeront mieux.
En outre, chacun fait avec le temps et la volonté de travail supplémentaire gratuit dont il dispose. En français, en maths ou dans le rôle de PP on gère moins d'élèves et on peut se permettre un suivi plus personnalisé que quand on a 20 classes en musique ou en arts plastiques.
Pour le reste, entièrement d'accord.
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