- ZybulkaHabitué du forum
Il suffit de renationaliser les écoles privées (et idem avec l'hopital bien sûr). On garde les élèves, on garde les profs, mais on rééquilibre pour favoriser une vraie mixité des élèves.etienneitoto a écrit:Cela voudra dire +20 à +30% d'élèves dans les classes, voire +100% dans certaines régions (comme dans l'ouest par exemple). ça signifie aussi licencier des dizaines de milliers de personnes. On fait pareil avec l'hôpital privé aussi ?Zybulka a écrit:2. Arrêter d'accorder des financements publics à l'enseignement privé (pardon, j'y reviens même si je vois que ça crispe, mais je crois véritablement que c'est un des noeuds du problème).
- etienneitotoNiveau 2
Zybulka a écrit:Il suffit de renationaliser les écoles privées (et idem avec l'hopital bien sûr). On garde les élèves, on garde les profs, mais on rééquilibre pour favoriser une vraie mixité des élèves.etienneitoto a écrit:Cela voudra dire +20 à +30% d'élèves dans les classes, voire +100% dans certaines régions (comme dans l'ouest par exemple). ça signifie aussi licencier des dizaines de milliers de personnes. On fait pareil avec l'hôpital privé aussi ?Zybulka a écrit:2. Arrêter d'accorder des financements publics à l'enseignement privé (pardon, j'y reviens même si je vois que ça crispe, mais je crois véritablement que c'est un des noeuds du problème).
ça va coûter les yeux de la tête :ça veut dire racheter les bâtiments, les entretenir, les chauffer, payer le personnel supplémentaire, payer les profs du privé autant que ceux du public, etc... Dans ce cas il faudra aussi que le public accepte de revoir certaines de ses méthodes qui font que les parents s'enfuient dans le privé. Parce que c'est rarement pour le fameux entre-soi que les parents inscrivent dans le privé, surtout dans des bleds au fin fond du Gers ou de Lorraine.
- valleExpert spécialisé
etienneitoto a écrit:Zybulka a écrit:Il suffit de renationaliser les écoles privées (et idem avec l'hopital bien sûr). On garde les élèves, on garde les profs, mais on rééquilibre pour favoriser une vraie mixité des élèves.etienneitoto a écrit:Cela voudra dire +20 à +30% d'élèves dans les classes, voire +100% dans certaines régions (comme dans l'ouest par exemple). ça signifie aussi licencier des dizaines de milliers de personnes. On fait pareil avec l'hôpital privé aussi ?Zybulka a écrit:2. Arrêter d'accorder des financements publics à l'enseignement privé (pardon, j'y reviens même si je vois que ça crispe, mais je crois véritablement que c'est un des noeuds du problème).
ça va coûter les yeux de la tête :ça veut dire racheter les bâtiments, les entretenir, les chauffer, payer le personnel supplémentaire, payer les profs du privé autant que ceux du public, etc... Dans ce cas il faudra aussi que le public accepte de revoir certaines de ses méthodes qui font que les parents s'enfuient dans le privé. Parce que c'est rarement pour le fameux entre-soi que les parents inscrivent dans le privé, surtout dans des bleds au fin fond du Gers ou de Lorraine.
Je n'ai pas une posture contraire à l'enseignement privé sous contrat comme beaucoup ici, mais je réagis à ce que j'ai graissé.
-Si je ne m'abuse, un enseignant du public coûte exactement comme un du privé au rectorat.
-Pour le 2e point, on aborde ici l'un des plus profonds mystères (pour moi) du privé... On lit tantôt que l'enseignement y est cadré ex-ac-te-ment de la même façon par les inspecteurs, tantôt qu'il y aurait des méthodes du public qu'il faudrait changer.
- etienneitotoNiveau 2
valle a écrit:
Je n'ai pas une posture contraire à l'enseignement privé sous contrat comme beaucoup ici, mais je réagis à ce que j'ai graissé.
-Si je ne m'abuse, un enseignant du public coûte exactement comme un du privé au rectorat.
-Pour le 2e point, on aborde ici l'un des plus profonds mystères (pour moi) du privé... On lit tantôt que l'enseignement y est cadré ex-ac-te-ment de la même façon par les inspecteurs, tantôt qu'il y aurait des méthodes du public qu'il faudrait changer.
Je pense qu'il ne s'agit pas tant des méthodes pédagogiques (souvent identique dans les deux) que de la gestion disciplinaire des élèves. La vie scolaire en gros.
- pseudo-intelloSage
Dans le bahut privé de ma ville, la mise en garde travail, tu l'as une fois, pas deux.
_________________
- Publicité:
Mots croisés d'apprentissage - lecture et orthographe
Mamusique sur Bandcamp
Ecoutez mes chansons sur Soundcloud
- ZybulkaHabitué du forum
En plus de ce qu'a déjà avancé Valle, il me semble qu'il n'y a que les bâtiments qui sont financés sur deniers propres, puisque les dépenses de fonctionnement étant assurées par les collectivités locales (et encore, il y a quand même pas mal de montages qui permettent d'obtenir des financements soit publics soit par mécénat qui est à mes yeux une forme déguisée de détournement de l'impot). Bref, je ne vois pas de problème majeur du point de vue financier, même si bien sûr ça nécessiterait un temps d'adaptation.etienneitoto a écrit:ça va coûter les yeux de la tête :ça veut dire racheter les bâtiments, les entretenir, les chauffer, payer le personnel supplémentaire, payer les profs du privé autant que ceux du public, etc... Dans ce cas il faudra aussi que le public accepte de revoir certaines de ses méthodes qui font que les parents s'enfuient dans le privé. Parce que c'est rarement pour le fameux entre-soi que les parents inscrivent dans le privé, surtout dans des bleds au fin fond du Gers ou de Lorraine.
- ZybulkaHabitué du forum
Mais parce que tu crois vraiment que c'est un choix de la part du public que ça soit parfois le bordel dans les bahuts ? Tu crois vraiment que ça a à voir avec le fait de ne pas interdire les leggings et pas avec la ségrégation sociale qui fait que certains établissements concentrent la misère ?etienneitoto a écrit:Je pense qu'il ne s'agit pas tant des méthodes pédagogiques (souvent identique dans les deux) que de la gestion disciplinaire des élèves. La vie scolaire en gros.
- JennyMédiateur
Zybulka a écrit:Mais parce que tu crois vraiment que c'est un choix de la part du public que ça soit parfois le bordel dans les bahuts ? Tu crois vraiment que ça a à voir avec le fait de ne pas interdire les leggings et pas avec la ségrégation sociale qui fait que certains établissements concentrent la misère ?etienneitoto a écrit:Je pense qu'il ne s'agit pas tant des méthodes pédagogiques (souvent identique dans les deux) que de la gestion disciplinaire des élèves. La vie scolaire en gros.
C'est presque mignon toute cette naïveté.
On peut envoyer à Stanislas quelques uns de nos exclus sinon ? On viendra voir comment il faut faire pour gérer ce profil d'élève. Je ne suis pas sûre que ça soit un problème d'épaules découvertes.
pseudo-intello a écrit:Dans le bahut privé de ma ville, la mise en garde travail, tu l'as une fois, pas deux.
Ah oui, mais dans le public, quand un élève prend la porte, on s'échange les pénibles voire on récupère pire.
- HalybelÉrudit
etienneitoto a écrit:Zybulka a écrit:Il suffit de renationaliser les écoles privées (et idem avec l'hopital bien sûr). On garde les élèves, on garde les profs, mais on rééquilibre pour favoriser une vraie mixité des élèves.etienneitoto a écrit:Cela voudra dire +20 à +30% d'élèves dans les classes, voire +100% dans certaines régions (comme dans l'ouest par exemple). ça signifie aussi licencier des dizaines de milliers de personnes. On fait pareil avec l'hôpital privé aussi ?Zybulka a écrit:2. Arrêter d'accorder des financements publics à l'enseignement privé (pardon, j'y reviens même si je vois que ça crispe, mais je crois véritablement que c'est un des noeuds du problème).
ça va coûter les yeux de la tête :ça veut dire racheter les bâtiments, les entretenir, les chauffer, payer le personnel supplémentaire, payer les profs du privé autant que ceux du public, etc... Dans ce cas il faudra aussi que le public accepte de revoir certaines de ses méthodes qui font que les parents s'enfuient dans le privé. Parce que c'est rarement pour le fameux entre-soi que les parents inscrivent dans le privé, surtout dans des bleds au fin fond du Gers ou de Lorraine.
Toujours moins cher que de construire. Vu quand dans de nombreuses villes on manque de bâti justement pour dédoubler ou de collèges. Donc non ça ne coûtera pas un pognon de dingue …
_________________
Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- PrezboGrand Maître
pseudo-intello a écrit:Dans le bahut privé de ma ville, la mise en garde travail, tu l'as une fois, pas deux.
Et en quoi est-ce drôle ? Plus précisément, en quoi est-ce drôle qu'un bahut privé puisse ne pas réinscrire un élève jugé insuffisamment travailleur, si ça signifie que l'élève débarque à l'établissement public voisin ?
Une remarque : si le privé sous contrat assure effectivement une mission de service public, financé par l'Etat, comme dit ici pour le défendre (ce qui est peut-être effectivement par endroit une situation de fait, mais pas la raison historique de son existence), serait-il déplacé de lui imposer l'intégralité des obligations du service public, notamment en terme d’accueil de tous les élèves ?
- PrezboGrand Maître
Zybulka a écrit:
Il suffit de renationaliser les écoles privées (et idem avec l'hopital bien sûr). On garde les élèves, on garde les profs, mais on rééquilibre pour favoriser une vraie mixité des élèves.
C'était grosso-modo le projet de la loi Savary de 1984 (en fait, le projet retouché était déjà bien plus technique et modéré). Mouvement de défense de l'école libre, un million de personnes dans la rue, un premier ministre qui démissionne et une chanson de Michel Sardou. Depuis, la gauche "de gouvernement" a prudemment préféré ne plus se mêler de ce dossier. (On l'a oublié, mais il fut un temps où la gauche était anticléricale.)
- User20159Esprit éclairé
Prezbo a écrit:C'était grosso-modo le projet de la loi Savary de 1984 (en fait, le projet retouché était déjà bien plus technique et modéré). Mouvement de défense de l'école libre, un million de personnes dans la rue, un premier ministre qui démissionne et une chanson de Michel Sardou. Depuis, la gauche "de gouvernement" a prudemment préféré ne plus se mêler de ce dossier. (On l'a oublié, mais il fut un temps où la gauche était anticléricale.)
Grosso modo oui, et c'était, tu fais bien de le rappeler, très modéré comme projet, que ce grand service public d'éducation...
Moi je suis pour privatiser l'enseignement dit libre, c'est à dire leur couper les vivres, brutalement et tout de suite.
Je suis même favorable à la récupération de nos personnels, qu'ils se débrouillent avec des contractuels... et s'ils ont besoin de pognon, ils n'ont qu'à le demander au pape. Quant aux 6% de laïcs, ils aligneront leurs tarifs sur ceux de l'active bilingue (ça va piquer )
C'est bon vous pouvez y aller...
- galibierNiveau 3
Ha@_x a écrit:
Moi je suis pour privatiser l'enseignement dit libre, c'est à dire leur couper les vivres, brutalement et tout de suite.
Je suis même favorable à la récupération de nos personnels, qu'ils se débrouillent avec des contractuels... et s'ils ont besoin de pognon, ils n'ont qu'à le demander au pape. Quant aux 6% de laïcs, ils aligneront leurs tarifs sur ceux de l'active bilingue (ça va piquer )
C'est bon vous pouvez y aller...
Oui... Sauf qu'on est en train de supprimer l'ief pour les quelques uns qui auraient fait le choix d'assumer eux-même l'éducation de leurs gamins (je rappelle qu'en général, pour faire l'ief, un des parent arrête de travailler et ils ne perçoivent pas l'allocation scolaire alors qu'ils coûtent 0 euro à l'état et paient leurs impôts...)
Mais allez-y, marchez en rang et je ne veux voir qu'une seule tête...
- etienneitotoNiveau 2
Ha@_x a écrit:Prezbo a écrit:C'était grosso-modo le projet de la loi Savary de 1984 (en fait, le projet retouché était déjà bien plus technique et modéré). Mouvement de défense de l'école libre, un million de personnes dans la rue, un premier ministre qui démissionne et une chanson de Michel Sardou. Depuis, la gauche "de gouvernement" a prudemment préféré ne plus se mêler de ce dossier. (On l'a oublié, mais il fut un temps où la gauche était anticléricale.)
Grosso modo oui, et c'était, tu fais bien de le rappeler, très modéré comme projet, que ce grand service public d'éducation...
Moi je suis pour privatiser l'enseignement dit libre, c'est à dire leur couper les vivres, brutalement et tout de suite.
Je suis même favorable à la récupération de nos personnels, qu'ils se débrouillent avec des contractuels... et s'ils ont besoin de pognon, ils n'ont qu'à le demander au pape. Quant aux 6% de laïcs, ils aligneront leurs tarifs sur ceux de l'active bilingue (ça va piquer )
C'est bon vous pouvez y aller...
Et après c'est moi qu'on traite d'intégriste...
- etienneitotoNiveau 2
Zybulka a écrit:Mais parce que tu crois vraiment que c'est un choix de la part du public que ça soit parfois le bordel dans les bahuts ? Tu crois vraiment que ça a à voir avec le fait de ne pas interdire les leggings et pas avec la ségrégation sociale qui fait que certains établissements concentrent la misère ?etienneitoto a écrit:Je pense qu'il ne s'agit pas tant des méthodes pédagogiques (souvent identique dans les deux) que de la gestion disciplinaire des élèves. La vie scolaire en gros.
Serait-il possible de débattre sans verser systématiquement dans la caricature ou la condescendance (dire que ce que je dis est mignon ou je ne sais quoi...) ?
- JennyMédiateur
Disons que quand on est en établissement sensible, régulièrement confronté à des problèmes de violence et qu'on fait des conseils de discipline toutes les semaines au lycée, lire que le privé gère mieux en terme de vie scolaire, ça me fait rire (ça pourrait aussi me vexer, mais je préfère en rire).
Clairement, les familles de mes élèves n'ont pas les moyens de les scolariser dans le privé. Et non, il ne suffit pas que les parents "fassent un effort".
Clairement, les familles de mes élèves n'ont pas les moyens de les scolariser dans le privé. Et non, il ne suffit pas que les parents "fassent un effort".
- User20159Esprit éclairé
galibier a écrit:Mais allez-y, marchez en rang et je ne veux voir qu'une seule tête...
Et hop une première ! . Mais c'est l'inverse camarade, l'enseignement libre (formule magnifique) vivra sa liberté complète et entière...
C'est marrant hein, le libéralisme, c'est vraiment quand ça vous arrange...
etienneitoto a écrit:Et après c'est moi qu'on traite d'intégriste...
Quand on vient soi-même de défendre, dans de nombreux messages, un établissement catholique, intégriste, sexiste, machiste, exclusif, autoritaire et en roue libre, on devrait avoir la décence de s'abstenir non ?
C'est plus l'hôpital qui se moque de la charité, c'est Stan qui se moque de la REP+....
- ipomeeGuide spirituel
DesolationRow a écrit:Un débat tout neuf et inédit s'annonce.
En effet. Peut-on admettre le bermuda ?
- User20159Esprit éclairé
ipomee a écrit:En effet. Peut-on admettre le bermuda ?
La question c'est : est-il considéré comme tenue républicaine ?
- etienneitotoNiveau 2
Ha@_x a écrit:galibier a écrit:Mais allez-y, marchez en rang et je ne veux voir qu'une seule tête...
Et hop une première ! . Mais c'est l'inverse camarade, l'enseignement libre (formule magnifique) vivra sa liberté complète et entière...
C'est marrant hein, le libéralisme, c'est vraiment quand ça vous arrange...etienneitoto a écrit:Et après c'est moi qu'on traite d'intégriste...
Quand on vient soi-même de défendre, dans de nombreux messages, un établissement catholique, intégriste, sexiste, machiste, exclusif, autoritaire et en roue libre, on devrait avoir la décence de s'abstenir non ?
C'est plus l'hôpital qui se moque de la charité, c'est Stan qui se moque de la REP+....
Tout ce qui est excessif est insignifiant. Rien d'autre à rajouter.
- User20159Esprit éclairé
Donc l'excessive médiocrité de l'argumentaire est, elle aussi, insignifiante ?
- Spoiler:
- Tu devrais te méfier, ce jeu rhétorique n'a aucun secret pour moi
- JennyMédiateur
ipomee a écrit:DesolationRow a écrit:Un débat tout neuf et inédit s'annonce.
En effet. Peut-on admettre le bermuda ?
Et le grand col V ? Le petit col V, visiblement, ça passe.
- etienneitotoNiveau 2
Ha@_x a écrit:Donc l'excessive médiocrité de l'argumentaire est, elle aussi, insignifiante ?
- Spoiler:
Tu devrais te méfier, ce jeu rhétorique n'a aucun secret pour moi
Votre message ne contient aucun argument, que des invectives (je te traite de ci ou de ça) et démontre une méconnaissance manifeste du cas en question. Sans compter que je suis censé m'abstenir selon vos propos. Du coup je n'ai pas envie de répondre. C'est tout. Maintenant continuez à me traiter de libéral, d'intégriste, machiste, sexiste et tout ce que vous voulez, ça ne fera pas avancer le débat.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Tout le monde sait que le privé et le public, c'est pareil: aucun avantage au privé, bien sûr, surtout à Paris, surtout à l'école Alsacienne ou à Stanislas. Comment pourrait-il en être autrement? C'est même pour cela que les parents des classes privilégiées ainsi que les ministres y mettent leurs enfants, uniquement pour satisfaire leurs valeurs égalitaristes.
_________________
Si tu vales valeo.
- beaverforeverNeoprof expérimenté
Mais, si un garçon n'a pas de cravate ou si le bouton de son col n'est pas fermé, voire... les deux derniers boutons, est-ce que cette tenue n'est pas un peu provoquante ?
Parce que, imaginons, qu'un garçon mette un polo une taille en-dessous, j'imagine, hein, est-ce que cela ne laisserait pas trop deviner sa musculature d'éphèbe ? Cela pourrait troubler l'ambiance de travail de l'établissement.
Parce que, imaginons, qu'un garçon mette un polo une taille en-dessous, j'imagine, hein, est-ce que cela ne laisserait pas trop deviner sa musculature d'éphèbe ? Cela pourrait troubler l'ambiance de travail de l'établissement.
- JennyMédiateur
beaverforever a écrit:Mais, si un garçon n'a pas de cravate ou si le bouton de son col n'est pas fermé, voire... les deux derniers boutons, est-ce que cette tenue n'est pas un peu provoquante ?
Parce que, imaginons, qu'un garçon mette un polo une taille en-dessous, j'imagine, hein, est-ce que cela ne laisserait pas trop deviner sa musculature d'éphèbe ? Cela pourrait troubler l'ambiance de travail de l'établissement.
Non, mais ça passe parce que les filles n'ont pas de "pulsions de vie" et que l'homosexualité, ça n'existe pas (sinon, ça se soigne apparemment ).
- Avec plus de 25% des élèves scolarisés dans le privé, l'attractivité de l'enseignement secondaire privé reste forte dans les académies de Rennes, Nantes, Paris, Lyon et Lille.
- [MàJ: Interpellation et réponse de Pap Ndiaye] ADEAF (Allemand): communiqués et action politique
- Élève scolarisé dans un autre système scolaire
- Enseignement privé sous contrat - Enseigner dans le privé au Québec ou au Canada
- [Privé] Appel à témoignages : quelles sont vos conditions de travail dans l'enseignement privé ?
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum