- EdithWGrand sage
Clecle78 a écrit:Ça me rappelle une ancienne collègue qui avait été documentaliste à l'école des Roches et s'en était enfuie pour intégrer le public. C'est une des écoles les plus chères du monde mais y être documentaliste était un véritable sacerdoce. Ma collègue en avait gardé un très mauvais souvenir. On y pinaillait sur le moindre bouquin alors que les familles paient des sommes folles.
Désolée pour le HS, qui rejoint la conversation sur les tenues du RI de Stan : une amie, doc dans une école privée huppée de l'ouest parisien, s'est vue interdire de mettre un roman d'Anna Gavalda avec une écuyère sur la couverture. En collège. Des fois que les 2 élèves du bahut qui n'avaient jamais mis les pieds à la piscine soient choqués de voir une femme légèrement vêtue en peinture . On dit aux parents et aux bonnes âmes qu'un enfant de 12 ans sur deux a été exposé à la pornographie? Source : https://solidarites-sante.gouv.fr/affaires-sociales/familles-enfance/protection-de-l-enfance-10740/proteger-les-enfants-face-aux-dangers-du-numerique/article/comment-lutter-contre-l-exposition-des-enfants-a-la-pornographie-en-ligne
Choquée je suis, ohhhhhh. Une femme à moitié nue...
- etienneitotoNiveau 2
Effectivement, c'est Médiapart. C'est à dire un article très long, fouillé, précis, agrémenté de témoignages, de documents, de sources.
L'article démontre bien ce qu'il indique dans son titre : un lycée à l'univers sexiste, homophobe et autoritaire.
Que ce soit financé par l'Etat est scandaleux.
Bon. OK.
- Prenons l'exemple du fascicule "Tu seras un homme" pour les Secondes. Ce dernier a été supprimé il y a 3 ans parce que jugé plus adapté et trop décalé par ceux qui organisaient la session. Bizarrement l'article ne le mentionne pas.
- Sur les préfets qui font des rondes dans le quartier. Du grand n'importe quoi. Il y a 10 ans peut-être, l'ancien directeur se croyait tout permis et pouvait se permettre de faire ça. C'est de la vieille histoire, ça n'est bien évidemment plus le cas. Qui peut croire ça franchement ? C'est tellement caricatural. Là encore, des faits très anciens, sans doute rarissimes, présentés comme habituels.
- sur les lectures de notes. Pareil, c'était l'ancien directeur. Ce n'est plus le cas depuis au moins 6 ans. Que ça ne plaise pas à certains élèves, c'est une chose, c'est jamais agréable de se faire reprendre pour un comportement qui ne va pas.
- sur l'avortement, pas de scoop, c'est un établissement catholique, la position de l’Église Catholique est connue sur le sujet. Le narratif est franchement ridicule : "on découvre que". Et l'établissement assume cette position, qui n'est pas interdite par la loi. On a encore le droit de penser ce qu'on veut de l'IVG et de le dire, surtout dans les cours de pastorale.
- etc... etc...
Prenons l'exemple de cette histoire d'ourlets. Le préfet n'en veut pas. Mediapart en tire la conclusion que c'est de l'homophobie, donc assurément c'est de l'homophobie ! Pas étonnant que le directeur ait refusé l'interview avec Mediapart...
En fait l'article a juste 6 ans de retard. D'ailleurs l'article cite sans arrêt l'ancien directeur qui est parti il y a dejà 6 ans (ou s'est fait virer ?)
- uneodysséeNeoprof expérimenté
L’article s’appuie sur les témoignages d’anciens élèves. Donc ce que tu lui reproches est logique et admettons que tout cela n’ait plus cours (est-il seulement admissible que cela ait eu cours, dans une époque révolue depuis au moins, grands dieux, six ans ?).
Si vraiment c’est devenu un havre d’ouverture d’esprit et d’égalité filles-garçons, pourquoi le directeur ne répond-il pas à la demande d’entretien pour rectifier ce qui devrait l’être ?
Si vraiment c’est devenu un havre d’ouverture d’esprit et d’égalité filles-garçons, pourquoi le directeur ne répond-il pas à la demande d’entretien pour rectifier ce qui devrait l’être ?
- etienneitotoNiveau 2
Jenny a écrit:
Je trouve ça un poil intégriste et la passage sur la "dignité de la féminité" m'interpelle.
Je râle rarement sur les tenues de mes élèves. Je m'en fiche complètement qu'ils soient en croptop, que filles et garçons aient du vernis, qu'il y ait des cheveux multicolores sur un certain nombre de têtes et je ne mesure pas la longueur de leurs vêtements. Tiens, la dernière classe que j'ai eu habillée comme ça, était exemplaire.
Par contre, ça m'embête que mes impôts financent ce genre d'établissement, vraiment. Et là, je n'ai pas le choix.
Intégrisme = demander aux élèves de s'habiller correctement. Eh ben.... Perso je ne connais aucune fille qui va à un entretien en crop-top ni aucun mec qui y va avec une jean troué et le caleçon à l'air. Bon après, on peut aussi faire voler en éclats tous les codes sociaux, y compris d'ailleurs, le respect dû aux profs.
- DesolationRowEmpereur
Un débat tout neuf et inédit s'annonce.
- JennyMédiateur
Couvrir les épaules, interdiction des cols V, longueur décente (c'est quoi décent : au genou, en bas des pieds ?).
Surtout couvrir un maximum le corps des jeunes filles et leur reprocher si elles subissent des agressions, ça répond à une certaine logique, c'est vrai...
Je ne vois pas bien le rapport entre respecter ses profs et couvrir ses épaules.
Surtout couvrir un maximum le corps des jeunes filles et leur reprocher si elles subissent des agressions, ça répond à une certaine logique, c'est vrai...
Je ne vois pas bien le rapport entre respecter ses profs et couvrir ses épaules.
- etienneitotoNiveau 2
uneodyssée a écrit:L’article s’appuie sur les témoignages d’anciens élèves. Donc ce que tu lui reproches est logique et admettons que tout cela n’ait plus cours (est-il seulement admissible que cela ait eu cours, dans une époque révolue depuis au moins, grands dieux, six ans ?).
Si vraiment c’est devenu un havre d’ouverture d’esprit et d’égalité filles-garçons, pourquoi le directeur ne répond-il pas à la demande d’entretien pour rectifier ce qui devrait l’être ?
Parce que c'est Mediapart. Parce que c'est un article à charge. Je connais très bien l'établissement, je lis l'article, j'ai l'impression qu'on ne parle pas du même lieu. Parce qu'il faut être naïf pour ne pas voir l'intention qu'il y a derrière, et, tout particulièrement, la vexation de certains anciens élèves à qui l'établissement aurait refusé une orientation ou un passage en prépa.
Et surtout, parce que les méthodes de l'ancien dirlo étaient très très très remises en cause et ne plaisaient pas à l'enseignement catholique parisien. Donc ressasser ce passé révolu alors que l'établissement a fait (objectivement) de gros efforts pour casser cet héritage, ça casse les pieds au directeur. C'est juste ça.
Mais bon, de toute façon, ce genre d'article va juste faire de la pub à l'établissement...
- ZybulkaHabitué du forum
Pff on voit bien que t'es une prof du public toiJenny a écrit:Je ne vois pas bien le rapport entre respecter ses profs et couvrir ses épaules.
- HalybelÉrudit
etienneitoto a écrit:uneodyssée a écrit:L’article s’appuie sur les témoignages d’anciens élèves. Donc ce que tu lui reproches est logique et admettons que tout cela n’ait plus cours (est-il seulement admissible que cela ait eu cours, dans une époque révolue depuis au moins, grands dieux, six ans ?).
Si vraiment c’est devenu un havre d’ouverture d’esprit et d’égalité filles-garçons, pourquoi le directeur ne répond-il pas à la demande d’entretien pour rectifier ce qui devrait l’être ?
Parce que c'est Mediapart. Parce que c'est un article à charge. Je connais très bien l'établissement, je lis l'article, j'ai l'impression qu'on ne parle pas du même lieu. Parce qu'il faut être naïf pour ne pas voir l'intention qu'il y a derrière, et, tout particulièrement, la vexation de certains anciens élèves à qui l'établissement aurait refusé une orientation ou un passage en prépa.
Et surtout, parce que les méthodes de l'ancien dirlo étaient très très très remises en cause et ne plaisaient pas à l'enseignement catholique parisien. Donc ressasser ce passé révolu alors que l'établissement a fait (objectivement) de gros efforts pour casser cet héritage, ça casse les pieds au directeur. C'est juste ça.
Mais bon, de toute façon, ce genre d'article va juste faire de la pub à l'établissement...
Du coup, tout s'explique.
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Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- etienneitotoNiveau 2
Jenny a écrit:Couvrir les épaules, interdiction des cols V, longueur décente (c'est quoi décent : au genou, en bas des pieds ?).
Surtout couvrir un maximum le corps des jeunes filles et leur reprocher si elles subissent des agressions, ça répond à une certaine logique, c'est vrai...
Je ne vois pas bien le rapport entre respecter ses profs et couvrir ses épaules.
Il n'y a pas de rapport. Je parlais simplement d'envoyer balader les codes sociaux.
Et, encore une fois, c'est un règlement à la française : on est obligé d'enter dans les détails parce que des petits malins cherchent à jouer. Vous le savez très bien. Quant à la discussion sur la décence, là aussi, je pense que vous avez la réponse à cette question...
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Jenny a écrit:Couvrir les épaules, interdiction des cols V, longueur décente (c'est quoi décent : au genou, en bas des pieds ?).
Surtout couvrir un maximum le corps des jeunes filles et leur reprocher si elles subissent des agressions, ça répond à une certaine logique, c'est vrai...
Je ne vois pas bien le rapport entre respecter ses profs et couvrir ses épaules.
Si j'en crois l'un de mes dictionnaires préférés, la décence consiste à faire preuve de réserve et de mesure dans le comportement.
Donc cela doit vouloir dire qu'il faut, dans ses comportements vestimentaires, mesurer les vêtements: ne pas en mettre des épaisseurs inutiles quand il fait chaud et ne pas en mettre insuffisamment quand il gèle, en conserver un bon stock en réserve pour pouvoir faire la rotation de ses lessives, et faire bien attention de ne pas mettre par exemple un pantalon de 3 tailles en dessous ou au dessus de la sienne.
_________________
Si tu vales valeo.
- uneodysséeNeoprof expérimenté
voilà !
- CeladonDemi-dieu
Ta lecture est au poil, ETO !
- etienneitotoNiveau 2
DesolationRow a écrit:Un débat tout neuf et inédit s'annonce.
Je suis d'accord. En vrai, on s'en fout, mais on résume le privé à des histoires de fesses et de vêtements, c'est lassant...
- uneodysséeNeoprof expérimenté
En soi, l’argument «c’est Mediapart» (je suppose qu’il faut comprendre : la chienlit) est tout à fait intéressant – il renseigne surtout sur celui qui l’emploie.
Encore une fois, si ça a bien changé, pourquoi le directeur ne saisit-il pas la perche du contradictoire ? J’avoue n’avoir pas compris la réponse.
Encore une fois, si ça a bien changé, pourquoi le directeur ne saisit-il pas la perche du contradictoire ? J’avoue n’avoir pas compris la réponse.
- LaotziSage
Mais Stanislas, ce n'est pas "le privé". C'est, avec quelques autres comme Gonzague, l'archétype du privé d'élite, de l'entre-soi, permettant la reproduction de la bourgeoisie conservatrice. Donc oui, la transmission de certaines valeurs est au moins aussi importante que les savoirs transmis. Et parmi ces valeurs, il y avait (si l'on estime que c'est désormais terminé, ce que ne semble pas indiquer néanmoins certaines présences d'association prônant les thérapies de conversion) l'homophobie, l'autoritarisme, le sexisme.
Alors Stanislas a bien le droit d'exister (dans le respect de la loi néanmoins). On peut toutefois se demander si la perception de subventions publiques est légitime car on est très loin, ici, du "privé délégation de service public" comme certains le décrivent dans des milieux ruraux ou populaires.
Alors Stanislas a bien le droit d'exister (dans le respect de la loi néanmoins). On peut toutefois se demander si la perception de subventions publiques est légitime car on est très loin, ici, du "privé délégation de service public" comme certains le décrivent dans des milieux ruraux ou populaires.
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- MathadorEmpereur
etienneitoto a écrit:DesolationRow a écrit:Un débat tout neuf et inédit s'annonce.
Je suis d'accord. En vrai, on s'en fout, mais on résume le privé à des histoires de fesses et de vêtements, c'est lassant...
Je ne suis pas d'accord: le code vestimentaire de Stanislas est outrageusement laxiste et mérite de faire scandale pour cette raison.
Blouse rose et blouse bleue pour les filles, costard-cravate pingouin pour les garçons, il n'y a que ça de vrai.
Les tenues indécentes telles qu'une blouse verte ou une chemise de couleur grillent les neurones de la jeunesse, favorisent l'arrivée imminente de l'Antéchrist et précipiteront la défaite de la Civilisation Véritable à Dabiq.
_________________
"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- etienneitotoNiveau 2
uneodyssée a écrit:En soi, l’argument «c’est Mediapart» (je suppose qu’il faut comprendre : la chienlit) est tout à fait intéressant – il renseigne surtout sur celui qui l’emploie.
C'est une interprétation (qui ne correspond pas à la réalité). Je ne ressens pas le besoin de me justifier sur le sujet. Si c'est pour me catégoriser politiquement, c'est raté...
uneodyssée a écrit:
Encore une fois, si ça a bien changé, pourquoi le directeur ne saisit-il pas la perche du contradictoire ? J’avoue n’avoir pas compris la réponse.
Par lassitude. Et parce que c'est inutile de chercher à convaincre qui que ce soit à Mediapart, surtout au vu du contenu de l'article. En gros il s'en cogne. Circulez ya rien à voir.
- ZybulkaHabitué du forum
Je ne savais pas qu'on pourrait tomber d'accord mais il ne faut jamais dire jamais. Je profite donc de ce post pour effectuer la transition vers le sujet qui, à mon sens, est essentiel ici : perso, je résume surtout le privé à une histoire de fric et d'entregent. Et je maintiens donc que si PND fait bien ce qu'il veut avec sa marmaille, et se trouve les raisons/excuses qu'il veut même si personne n'est dupe, en revanche, en tant que ministre, il a le devoir de garantir que l'argent public qu'il gère est bien utilisé. Si, comme il le prétend dans la longue missive qu'il nous a envoyée (il s'est inspiré de son illustre prédecesseur pour communiquer d'abord avec les médias avant de daigner informer ses sous-fifres ?), sa priorité n°1 est de s'attaquer aux inégalités sociales, alors on attend des actes.etienneitoto a écrit:on résume le privé à des histoires de fesses et de vêtements, c'est lassant...
Et dans les actes, il me semble indispensable de :
1. Donner des moyens à l'école publique, c'est-à-dire baisser le nombre d'élèves par classe, augmenter les recrutements (pédagogiques/éducatifs/médicosociaux), abonder les dhg pour augmenter les horaires disciplinaires et financer les demi-groupes.
2. Arrêter d'accorder des financements publics à l'enseignement privé (pardon, j'y reviens même si je vois que ça crispe, mais je crois véritablement que c'est un des noeuds du problème).
- JennyMédiateur
Zybulka a écrit:2. Arrêter d'accorder des financements publics à l'enseignement privé (pardon, j'y reviens même si je vois que ça crispe, mais je crois véritablement que c'est un des noeuds du problème).
- musaNeoprof expérimenté
Je ne vois pas non plus ce qu'aurait à gagner le directeur de Stanislas à répondre à "la perche du contradictoire" offerte par Mediapart (trop aimable) sinon à perdre son temps. Mediapart considérera toujours que les positions de l'Eglise catholique sont d'un conservatisme insupportable et c'est bien son droit. Dans l'article, est d'ailleurs mentionné comme la cerise sur le gâteau des interventions abjectes ayant lieu dans l'enceinte de l'établissement, le "congrès mission" qui est un événement tout à fait officiel organisé par l'Eglise catholique et pas par des intégristes.
- etienneitotoNiveau 2
musa a écrit:Je ne vois pas non plus ce qu'aurait à gagner le directeur de Stanislas à répondre à "la perche du contradictoire" offerte par Mediapart (trop aimable) sinon à perdre son temps. Mediapart considérera toujours que les positions de l'Eglise catholique sont d'un conservatisme insupportable et c'est bien son droit. Dans l'article, est d'ailleurs mentionné comme la cerise sur le gâteau des interventions abjectes ayant lieu dans l'enceinte de l'établissement, le "congrès mission" qui est un événement tout à fait officiel organisé par l'Eglise catholique et pas par des intégristes.
Voilà, vous l'expliquez bien mieux que moi.
En gros c'est le marronnier de l'été.
- CeladonDemi-dieu
Je suis d'accord avec ça mais il faut analyser ce que cela entraînerait.Jenny a écrit:Zybulka a écrit:2. Arrêter d'accorder des financements publics à l'enseignement privé (pardon, j'y reviens même si je vois que ça crispe, mais je crois véritablement que c'est un des noeuds du problème).
- etienneitotoNiveau 2
Zybulka a écrit:2. Arrêter d'accorder des financements publics à l'enseignement privé (pardon, j'y reviens même si je vois que ça crispe, mais je crois véritablement que c'est un des noeuds du problème).
Cela voudra dire +20 à +30% d'élèves dans les classes, voire +100% dans certaines régions (comme dans l'ouest par exemple). ça signifie aussi licencier des dizaines de milliers de personnes. On fait pareil avec l'hôpital privé aussi ?
- JennyMédiateur
Si on veut une autre éducation que l'école publique, ce ne serait pas délirant de penser qu'il faut la payer.
Le privé hors contrat comme le public recruteraient. Ce ne sont pas les postes de professeurs, d'AED, de CDE qui manquent...
(Pour l'hôpital, il y a des choses à dire aussi, quand on te demande de payer beaucoup plus cher pour avoir un RDV dans un délai raisonnable... Egalitaire.)
Le privé hors contrat comme le public recruteraient. Ce ne sont pas les postes de professeurs, d'AED, de CDE qui manquent...
(Pour l'hôpital, il y a des choses à dire aussi, quand on te demande de payer beaucoup plus cher pour avoir un RDV dans un délai raisonnable... Egalitaire.)
- ZybulkaHabitué du forum
Il suffit de renationaliser les écoles privées (et idem avec l'hopital bien sûr). On garde les élèves, on garde les profs, mais on rééquilibre pour favoriser une vraie mixité des élèves.etienneitoto a écrit:Cela voudra dire +20 à +30% d'élèves dans les classes, voire +100% dans certaines régions (comme dans l'ouest par exemple). ça signifie aussi licencier des dizaines de milliers de personnes. On fait pareil avec l'hôpital privé aussi ?Zybulka a écrit:2. Arrêter d'accorder des financements publics à l'enseignement privé (pardon, j'y reviens même si je vois que ça crispe, mais je crois véritablement que c'est un des noeuds du problème).
- Avec plus de 25% des élèves scolarisés dans le privé, l'attractivité de l'enseignement secondaire privé reste forte dans les académies de Rennes, Nantes, Paris, Lyon et Lille.
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