Neo défi lecture 2022 - Ici, on papote!

Je me joins à vous et me réjouis déjà de toutes les découvertes à venir

Est-ce que pour vous Maurice Leblanc entre dans la catégorie "auteur prolifique" ? Je viens de lire sa fiche wiki, je ne savais pas qu'il avait publié autant d'ouvrages.

Oui.

Médée a écrit:Est-ce que pour vous Maurice Leblanc entre dans la catégorie "auteur prolifique" ? Je viens de lire sa fiche wiki, je ne savais pas qu'il avait publié autant d'ouvrages.

Oui aussi

J'ai acheté

- j'ai exécuté un chien de l'enfer de David Di Nota, peut convenir au défi "violence" ou "ouvrage politique" ou "livre dont le titre est une phrase" ou "livre dont l'auteur a les initiales d'une même lettre"
- les enfants sont rois de Delphine de Vigan, peut convenir pour "collection blanche", ou "livre dont l'auteur a les initiales d'une même lettre" ou "livre dont le titre est une phrase"
- Mudwoman de JC Oates pour "livre d'un auteur prolifique"
- le venin dans la plume de Gérard Noiriel pour "ouvrage politique" ou "violence"

Les enfants sont rois peut également convenir pour Écrans. Je l’ai lu d’une traite, je l’ai trouvé bien construit et assez inquiétant. Bonne lecture Reine Margot!
Pour Collection Blanche, j’attends avec impatience la sortie de La Décision de Karine Tuil

J’ai pensé à Oates en suggérant le défi sur l’auteur prolifique.

J'ai lu les états enfants sont rois. J'ai beaucoup aimé.

J'édite mais je laisse la proposition -correction  automatique de mon téléphone. Elle était pas mal pour le coup

Ah pour la collection blanche, je voulais soleil amer de Lilia Hassaine, je ne l'ai pas trouvé, je prendrai peut-être par internet et je garderai D de Vigan pour "écrans".
Je suis à la moitié de "la France sous nos yeux" de Jérôme Fourquet, pour le défi "mot avec lettre qui compte 10 points au scrabble" mais qui peut aussi compter comme livre politique. Très intéressant, comme le précédent que j'avais lu "l'archipel français", très éclairant en ces temps.

[quote="Médée"]Défi 8 : violence
J'ai lu Les âmes grises de Philippe Claudel.
En décembre 1917, une fillette de 10 ans est retrouvée morte étranglée près du canal d'un village de l'est de la France. Le narrateur, témoin plus ou moins direct de l'histoire, revient sur les réactions et les agissements des différents protagonistes du crime (juge, gendarmes, procureur, villageois...)

Le crime est le point de départ de différents retours en arrière au cours desquels le narrateur, dont on ne sait rien au début, dévoile le passé des "âmes grises" avec en toile de fond la Première Guerre mondiale. Les personnages ont tous une part de violence en eux qui se manifeste de différentes manières. Le roman interroge sur la frontière entre le Bien et le Mal. Il est difficile d'en dire davantage sans révéler l'histoire, mais j'ai bien aimé ce livre qui tient en haleine jusqu'au bout même si parfois les digressions m'ont agacée car elles retardent certaines révélations. La révélation sur le meurtrier est  

Je l'ai lu il y très longtemps et j'avais beaucoup aimé mais je n'ai aucun souvenir de la fin et de "la révélation sur le meurtrier".
Sinon, Le rapport de Brodeck, du même auteur est très bien également.

Pour le défi 26 (un campus novel), j'ai lu La vie en sourdine de David Lodge.
Desmond est professeur en linguistique à l'université. En retraite anticipée à cause d'une surdité de plus en plus handicapante, il est approché par Alex, une jeune étudiante, pour diriger sa thèse sur les lettres de suicidés.

L'auteur est apparemment une référence dans le style. Je n'ai pas accroché du tout à l'histoire, qui part dans trop de directions sans en suivre une vraiment. Mauvaise pioche pour moi !

Dorine a écrit:

Médée a écrit:Défi 8 : violence
J'ai lu Les âmes grises de Philippe Claudel.
En décembre 1917, une fillette de 10 ans est retrouvée morte étranglée près du canal d'un village de l'est de la France. Le narrateur, témoin plus ou moins direct de l'histoire, revient sur les réactions et les agissements des différents protagonistes du crime (juge, gendarmes, procureur, villageois...)

Le crime est le point de départ de différents retours en arrière au cours desquels le narrateur, dont on ne sait rien au début, dévoile le passé des "âmes grises" avec en toile de fond la Première Guerre mondiale. Les personnages ont tous une part de violence en eux qui se manifeste de différentes manières. Le roman interroge sur la frontière entre le Bien et le Mal. Il est difficile d'en dire davantage sans révéler l'histoire, mais j'ai bien aimé ce livre qui tient en haleine jusqu'au bout même si parfois les digressions m'ont agacée car elles retardent certaines révélations. La révélation sur le meurtrier est  

Je l'ai lu il y très longtemps et j'avais beaucoup aimé mais je n'ai aucun souvenir de la fin et de "la révélation sur le meurtrier".
Sinon, Le rapport de Brodeck, du même auteur est très bien également.

La réponse en spoiler  

Spoiler:

D'ailleurs j'édite pour ajouter en spoiler des exemples de violence dans l'histoire, pour ceux qui auraient lu le livre, on pourrait éventuellement en parler.

Spoiler:

Jenny a écrit:J’ai pensé à Oates en suggérant le défi sur l’auteur prolifique.

J'avais commencé Maudits il y a quelques années. J'avais bien aimé le début, puis la narration m'a complétement perdue et le roman m'est tombé des mains... Il faudrait que je retente. Quelqu'un l'a lu ?

Edit : Merci Jenny et Aphrodissia pour votre confirmation, j'ai commencé Arsène Lupin contre Herlock Sholmès du coup !

J'ai terminé Quelle époque ! de Trollope, que j'ai finalement dévoré. Ce roman convient pour les items "livre qui évoque la vie politique" (il est largement question d'une campagne électorale au cours du roman), "satire", livre dont le titre est une phrase complète (nominale et exclamative, mais c'est bien une phrase complète) ou roman d'abord paru en feuilleton. Je verrai plus tard où je le case.
Je n'ai pas vu passer le millier de pages. C'est un roman choral satirique à la causticité délicieuse. Il est difficile d'en résumer l'intrigue qui suit plusieurs personnages, mais elle tourne essentiellement autour de Melmotte, un homme d'affaires à la réputation sulfureuse (on le soupçonne de s'être enrichi par des escroqueries) récemment arrivé à Londres. Il est d'abord snobé par l'aristocratie mais, quand on apprend que sa fille unique sera l'héritière d'une fortune fabuleuse, les mêmes trouvent que ce Monsieur n'est plus si infréquentable que cela, que l'on peut bien se rendre chez lui si les autres y vont, et les fils de familles désargentées sont envoyés faire leur cour auprès de l'héritière, ingrate, sans doute, mais dotée des charmes que confèrent cent mille livres de rente. Lord Carbury, joueur, buveur, égoïste au point de manger sans vergogne le peu de fortune de sa mère et de sa soeur, décide de tenter sa chance, ainsi que d'autres. Melmotte n'est pas dupe mais est bien décidé à utiliser sa fille comme un pion vers ce qui lui manque encore : la respectabilité, un titre, et pourquoi pas un siège au parlement. Mais voilà que l'héritière falote dont personne n'a réellement souci s'avère trop peu falote, et désobéit à papa - et tout ce petit monde en est bouleversé. D'autres intrigues secondaires se croisent autour de ce motif principal. Pendant que Mme Carbury mère minaude dans les milieux littéraires, Paul Montague s'est épris de la soeur de Carbury, mais lui-même est sans le sou et poursuivi par une américaine à qui il a autrefois promis le mariage. Ce coeur d'artichaut a bien du mal à mettre de l'ordre dans ses affaires coeurs (c'est sans doute la partie du roman qui m'a le moins intéressée). Dolly, un autre jeune homme dissolu, veut jouir de son héritage avant la mort de son père, et sa soeur Georgina cherche désespérément un mari, mais paraît elle-même une marchandise de moins en moins cotée sur le marché de la "saison" londonienne.
Toutes ces intrigues sont surtout l'occasion de multiplier les portraits au vitriol, de dénoncer le snobisme d'une aristocratie qui fait mine de mépriser les marchands mais qui court désespérément après l'argent, des froids calculs autour des mariages, des rivalités féminines donnant lieu à toutes sortes de mesquineries... Malgré cela, Trollope a parfois presque des accents féministes quand il plaint la destinée de ces femmes qui ne valent que le temps d'une âpre négociation (celle qui entoure leur mariage) et transforme son Iphigénie en héroïne se battant pour son autonomie. Au milieu d'une litanie d'hommes veules et calculateurs brillent quelques belles figures de femmes nobles et fortes.
Une très belle lecture que je recommande chaleureusement.

Merci Ombre pour le compte-rendu ! Je vais le commander de ce pas et le lirai pour le défi "politique" qui ne m'inspirait guère. Je sens que je vais adorer !

J'ai un Badinter qui m'attend pour le défi ^^

Médée a écrit:

Dorine a écrit:

Médée a écrit:Défi 8 : violence
J'ai lu Les âmes grises de Philippe Claudel.
En décembre 1917, une fillette de 10 ans est retrouvée morte étranglée près du canal d'un village de l'est de la France. Le narrateur, témoin plus ou moins direct de l'histoire, revient sur les réactions et les agissements des différents protagonistes du crime (juge, gendarmes, procureur, villageois...)

Le crime est le point de départ de différents retours en arrière au cours desquels le narrateur, dont on ne sait rien au début, dévoile le passé des "âmes grises" avec en toile de fond la Première Guerre mondiale. Les personnages ont tous une part de violence en eux qui se manifeste de différentes manières. Le roman interroge sur la frontière entre le Bien et le Mal. Il est difficile d'en dire davantage sans révéler l'histoire, mais j'ai bien aimé ce livre qui tient en haleine jusqu'au bout même si parfois les digressions m'ont agacée car elles retardent certaines révélations. La révélation sur le meurtrier est  

Je l'ai lu il y très longtemps et j'avais beaucoup aimé mais je n'ai aucun souvenir de la fin et de "la révélation sur le meurtrier".
Sinon, Le rapport de Brodeck, du même auteur est très bien également.

La réponse en spoiler  

Spoiler:

D'ailleurs j'édite pour ajouter en spoiler des exemples de violence dans l'histoire, pour ceux qui auraient lu le livre, on pourrait éventuellement en parler.

Spoiler:

Merci pour ces rappels vraiment nécessaires. Il va falloir que je le relise mais vu ma PAL ça ne sera pas tout de suite.
Les 2 romans cités de Claudel me font penser un peu à Un roi sans divertissement de Giono, je ne sais pas si je suis la seule à avoir cette impression.

J'entame le défi 2022 avec le défi 30. Un livre dont l'histoire se déroule à deux époques différentes au moins / Un voyage dans le temps, avec la lecture de L'anomalie d'Hervé Le Tellier.

Je ne vais trop en dire pour ne pas spoiler mais nous suivons le destin d'une dizaine de personnages dont le point commun est d'avoir voyagé sur le vol Paris-New York en mars 2021. Et l'on comprend rapidement que ce vol n'est pas comme les autres et que ces personnages vont voir leur vie bouleversée quelques mois plus tard.

J'ai adoré ce roman, je l'ai lu sans presque pouvoir m'arrêter. Je trouve la construction du livre très maline, l'auteur a réussi à me surprendre véritablement trois fois (dont une fois sur les deux dernières pages, c'est fort). Bref, une vraie découverte de cet auteur que je ne connaissais pas.

Du coup je prendrai peut-être "quelle époque" de Trollope pour la satire.

Alors j'ai entamé avec le défi 5 (lettre qui vaut 10 points au Scrabble)
J'ai lu une BD jeunesse, le titre est Rose & Crow (épisode 1) d'Amélie Sarn et Lise Garçon.
Une jeune fille, Rose, vit avec son grand-père car ses parents sont décédés dans un accident de voiture. Elle est magicienne, son grand-père aussi ; mais il lui interdit d'utiliser ses pouvoirs. Mais un jour une corneille se métamorphose devant elle : Crow. Il lui propose de le suivre et de lui révéler la vérité sur sa mère.
Bouh que c'était mauvais et mal cousu... Les choses s'enchaînent trop vite, on a tous les ingrédients d'une BD (ou récit du genre) mais sans l'articulation qui permet logique et fluidité. Je ne recommande donc pas.

J’ai commencé Une relation dangereuse, de Douglas Kennedy pour l’item violences.
Les personnages principaux sont des reporters internationaux qui font connaissance dans une situation de danger. Leur histoire d’amour commence sur les chapeaux de roues et lui obtient une promotion à Londres. Ils se marient et s’y installent. Commence alors la descente aux Enfers pour elle : grossesse difficile, peu de soutien du père, allaitement compliqué, relation amoureuse compliquée (il se révèle être un pervers narcissique), puis vient le temps du divorce et du combat où tout est permis pour la garde de l’enfant.
Jusqu’où l’amour peut-il entraîner la haine et la violence du quotidien ?

C’est le premier roman que je lis de cet auteur (je pioche parmi les livres laissés par les anciens propriétaires). Je ne sais pas trop quoi en penser pour le moment. Je lis mais je n’ai pas l’impression que c’est un livre qui va me marquer.

A propos du défi 30 : Un livre dont l'histoire se déroule à deux époques différentes au moins / Un voyage dans le temps, je conseille vivement 22/11/63 de Stephen King pour ceux qui ne l'ont pas lu. Je l'avais dévoré et adoré !

Personnellement, je ne sais pas encore ce que je lirai pour ce défi.

Je  suis allée chercher Les Rois Maudits de Druon après avoir écouté cette émission de radio sur Les Téméraires de Bart Van Loo :
https://www.franceculture.fr/emissions/le-cours-de-l-histoire/grandes-sagas-historiques-dans-le-sillage-des-rois-maudits
Je n'avais jamais pensé lire la série de Druon, ayant vu le feuilleton télévisé, mais c'est un vrai plaisir de retrouver les personnages... Reconnaissez-vous celui-ci ?

M.Druon a écrit:

Un pas de deux cents livres ébranla le plancher.
L'homme qui entra avait six pieds de haut, des cuisses comme des troncs de chêne, des poings comme des masses d'armes. Ses bottes rouges, de cuir cordouan, étaient souillées d'une boue mal brossée; le manteau qui lui pendait aux épaules était assez large pour couvrir un lit. Il suffisait qu'il eût une dague au côté pour avoir la mine de s'en aller en guerre. Dès qu'il apparaissait, tout semblait autour de lui devenir faible, fragile, friable.

C'était mon préféré. Ah, le revoir faire claquer sa cape dans les couloirs du palais...  :diable:

Je vous conseille d'écouter l'émission. On entend un extrait d'entretien avec Druon, qui rend justice à ses collaborateurs (d'ailleurs leur nom figure en début du livre, ce n'est pas si fréquent) pour la recherche et l'écriture. Le critique Gérard Gengembre fait le point sur la naissance et le développement du roman historique.

Il semble que la série de Druon ait inspiré non seulement Bart van Loo, mais aussi George RR Martin, qui a préfacé une des nombreuses rééditions. Il est cité dans l'émission et raconte comment il a couru les libraires d'occasion pour dénicher tous les tomes en anglais, et les a dévorés avant d'écrire Le Trône de fer...
Je vais sans doute pourtant caser certains tomes dans d'autres rubriques du défi. Je viens de finir Le Roi de fer, qui abonde en descriptions de tortures et d'exécutions : je pense le mettre  dans "violence" ;  ou dans "trahison", par exemple, avec les manœuvres de Robert d'Artois (qui avec ses tentatives pour récupérer son héritage peut être vu comme un "loser", et même un "loser magnifique", tant pis si on a enlevé l'adjectif !). (Il peut aussi fonctionner comme "best seller" ou "auteur prolifique"). Je garde l'item "Un livre que vous avez eu envie de lire suite à une chronique radio ou une recension sur le net" pour Les Téméraires.

Pour l'item "grand reporter", j'ai lu L'Inconnu de la poste, de Florence Aubenas. J'aime bien ses articles, un peu moins ses livres ; celui-ci ressemble à un long article un peu trop délayé. Il s'agit de l'histoire criminelle à laquelle a été mêlé Gérald Thomassin (l'acteur du Petit Criminel). Le livre pâtit peut-être de la frustration qu'il y a à ne pas avoir l'explication du vrai mystère, la disparition de G. Thomassin depuis plus de deux ans. Bref, ce n'est pas mémorable. J'ai commencé des nouvelles de Joseph Conrad suite à une suggestion lue ici.

Pour le défi 5 : Nous n'irons pas voir Auschwitz de Jérémie Dres. Il s'agit d'une BD qui raconte le voyage en Pologne de deux frères après le décès de leur grand-mère afin de retrouver les traces du passé de leur famille et de la vie juive polonaise avant la Shoah. J'ai eu du mal, au début, avec la typographie choisie, mais les personnages sont plutôt attachants et questionnent leur origine en l'inscrivant dans une histoire plus large, celle des Polonais actuels qui découvrent qu'ils ont des origines juives. Il est sans doute possible de le lire pour le défi 38 ou ou 49.

Pour le défi 38, j'ai opté pour Bobby Fisher, l'ascension et la chute d'un génie des échecs, qui revient sur la vie du champion des échecs, de son enfance à sa disparition. J'ai été un peu déçue car j'aurais aimé que la confrontation entre Fischer et Spassky et le contexte de la guerre froide soient un peu plus développés. Il peut aussi valider le défi 5.

Pour la prochaine lecture, j'hésite entre Une chanson douce de Leila Slimani et Le liseur de 6h27 de Jean-Paul Didierlaurent pour le défi 41 ou pour le défi 29, C'est le cœur qui lâche en dernier de Margaret Atwood.

farfalla a écrit:J’ai commencé Une relation dangereuse, de Douglas Kennedy pour l’item violences.
Les personnages principaux sont des reporters internationaux qui font connaissance dans une situation de danger. Leur histoire d’amour commence sur les chapeaux de roues et lui obtient une promotion à Londres. Ils se marient et s’y installent. Commence alors la descente aux Enfers pour elle : grossesse difficile, peu de soutien du père, allaitement compliqué, relation amoureuse compliquée (il se révèle être un pervers narcissique), puis vient le temps du divorce et du combat où tout est permis pour la garde de l’enfant.
Jusqu’où l’amour peut-il entraîner la haine et la violence du quotidien ?

C’est le premier roman que je lis de cet auteur (je pioche parmi les livres laissés par les anciens propriétaires). Je ne sais pas trop quoi en penser pour le moment. Je lis mais je n’ai pas l’impression que c’est un livre qui va me marquer.

Il est très moyen, ce roman. Bon après, c'est une lecture pas trop prise de tête.

Je n'ai pas du tout aimé l'anomalie.  Je ne comprends même pas le prix Goncourt, pour dire..