Neo défi lecture 2022 - Ici, on papote!

Pour le défi 5, un livre dont le titre contient une lettre comptant dix points au scrabble, j'ai lu Yasmine Khlat - La dame d'Alexandrie


Un court récit qui m'a laissé un peu sur ma faim, mais c'est souvent le cas avec des ouvrages très court. Deux femmes se retrouvent dans un couvent, au Liban, dans la montagne. Claire a répondu à l'annonce d'Hortense qui mène un travail de recherche sur une famille confrontée à des suicides répétés, recherche qui entre en résonance avec leurs propres histoires. Si j'ai bien aimé l'atmosphère tout en délicatesse, j'ai trouvé la fin assez prévisible.

J'ai acheté "mars la rouge", un livre de SF, je peux le compter dans le défi comme un livre qui comporte un nom de mois ou de jour?

Je dirais oui, puisqu'on a accepté des noms d'oiseau au sens propre et figuré ( " livre dont le titre comporte un nom d'oiseau" ). De plus, plusieurs ont lu " Conémara pour le défi " ....qui évoque un lac ou une rivière " alors que le roman n'évoque que la chanson et n'a rien à voir, finalement,  avec un lac.
Bon, je suis nouvelle sur le défi alors, je ne sais pas quels sont les usages .

Connemara c'était moi et on m'a dit non, je l'ai mis dans quête d'identité.

Je dirais plutôt non. Qui avait proposé ce défi ?

Je crois que d'autres l'ont gardé, il me semble.
Les noms de la planète et du mois étant liés, cela devrait aller non ?
C'est compliqué

Pour le défi 31 "un livre qui parle de la Palestine", j'ai lu le très beau Le Silence d'Isra d'Etaf Rum.
Isra a 17 ans lorsqu'elle épouse Adam, un homme qu'elle ne connaît pas, qu'on a choisi pour elle et qui lui fait quitter sa Palestine natale pour aller vivre à Brooklyn avec sa belle famille. Naïve et nourrie de littérature, Isra espère que la vie des femmes est meilleure en Amérique que celle qu'elle a vu mener par sa mère : soumise et battue.
Arrivée à NY, Isra est installée avec Adam dans une chambre sans fenêtre au sous-sol du logement. Son seul horizon seront les 4 murs de la cuisine où elle passe ses journées avec sa belle-mère Farida. Isra se fait très obéissante et attentive afin de satisfaire tout le monde dans l'espoir d'être aimée en retour. Elle tombe rapidement enceinte ce qui contente Farida mais lorsqu'elle accouche d'une fille sa descente aux enfer commence.
Le roman part d'Isra puis alterne 3 voix et 3 époques : celle d'Isra, celle de sa belle-mère Farida, celle de sa fille Deya. Les lieux et les époques changent mais reste la maltraitance subie par ces femmes, paradoxalement infligée par leur propre mère, au nom de la religion, des traditions, de l'honneur de la famille. Pour autant le roman n'est pas larmoyant mais révoltant et d'ailleurs la colère gronde dans le cœur de ces femmes mais la peur et la soumission sont si intégrées qu'elles n'osent pas l'exprimer. Les hommes sont vus comme des monstres mais ils ne sont guère mieux lotis. Adam, notamment, subit une pression folle de la part de sa famille. J'ai adoré ce roman (malgré sa toute fin frustrante), percutant, émouvant.
Merci à la personne qui a proposé ce défi !

Quelle coïncidence Eloah, je l’ai acheté hier en VO! Je le commence demain

J'espère qu'il te plaira et j'ai hâte d'avoir ton sentiment sur la fin !

Défi 11 Père Lachaise: les Héritiers, Pierre Bourdieu

J'ai découvert que Bourdieu était enterré au Père Lachaise, et j'avais envie de lire certains de ses ouvrages que je ne connaissais pas encore, la Dictinction ou les Héritiers.
Donc les héritiers sont à l'origine de toutes les théories que l'on entend depuis nos années d'IUFM sur l'école: elle récompense non le travail mais le "don" et reproduit les inégalités.
L'étudiant (puisque Bourdieu se concentre sur les étudiants en lettres du début des années 60) se leurre sur son propre travail: l'étudiant de milieu favorisé pratique ou feint le dilettantisme, signe de son "don" naturel qui justifie sa position sociale, l'étudiant de milieu moins favorisé doit travailler plus dur pour acquérir la culture absorbée "naturellement" par l'élite et le masque, de peur que son travail passe pour une compensation de son manque de talent personnel. Pendant ce temps, le professeur professe, son cours magistral montre qu'il est aussi un "élu", la passivité des étudiants est le prix à payer pour leur tranquillité sociale.
Les étudiants se leurrent sur l'origine sociale de leur réussite ou de leur échec, et les enseignants ont aussi du mal à prendre en compte cet aspect.

La conclusion de Bourdieu est souvent oubliée: il déconseille ce qu'on appellerait aujourd'hui la "discrimination positive", c'est à dire juger à égalité deux élèves qui n'arriveraient pas au même résultat mais dont l'un aurait un handicap social. Pour lui "tenir pour égaux les auteurs de performances inégales et pour inégaux les auteurs de performances identiques relativiserait la hiérarchie établie par l'ordre scolaire et réduirait à rien l'avantage que les sujets favorisés, artificiellement favorisés, tireraient de cette relativisation démagogique de la hiérarchie"
Il recommande plutôt une "rationnalisation de l'enseignement" (c'est à dire sortir de l'idéologie de la "grâce", du "don") et de systématiser l'apprentissage notamment par les plus défavorisés des méthodes de travail (que les favorisés connaissent par imprégnation)

Pour le défi 29, un livre dont le titre est une phrase complète, j'ai lu, C'est le cœur qui lâche en dernier de Margareth Atwood. Il s'agit d'une dystopie dans laquelle un couple frappé par une crise économique sont attirés par une publicité d'une ville merveilleuse dans laquelle les habitants passent un mois dans une maison avec un emploi et un mois en prison. Assez rapidement, on se rend compte que ce monde est un peu trop parfait et que tout n'est pas rose.
J'ai eu du mal sur certains passages ou chapitres car il y a de nombreux méandres et je n'ai pas compris les deux dernières phrases... Pour moi, c'est clairement en-dessous de la Servante écarlate que j'avais beaucoup aimé. Cependant, c'est une critique à la fois du rêve américain qui rejette une partie de la population, ainsi que du fonctionnement du système pénitentiaire américain avec les prisons privées, qui ne sont là que pour faire des bénéfices et où localement beaucoup d'emplois dépendent de la prison.

Je n'ai pas remonté tout le post, alors je ne sais pas s'il a déjà été cité ou pas

Défi lecture n°15 Tout le bleu du ciel de Mélissa Da Costa.
Une lecture fluide et légère, idéale pour les vacances. Nous partons sur les routes lors d'un road-trip entre deux inconnus, Emile, atteint d'Alzheimer précoce qui décide de vivre ses derniers mois dans la liberté, et Joanne, femme mystérieuse et fascinante. Avec eux nous découvrons, certes, la France, ses routes, ses montagnes, ses habitants, mais aussi une vision et une philosophie de vie, de l'instant présent, du sens de la vie, qui nous pousse à la réflexion.
Un roman tout en douceur, poignant et renversant que j'ai beaucoup aimé. J'ai pu lire leurs aventures de roadtrip pendant mon propre roadtrip, et c'était d'autant plus immersif! :lol:

Je suis à la bourre dans mes compte-rendus! Est-ce qu'un roman qui se passe dans un lycée entre en compte pour campus novel?

Les lectures d'août :

   
   

   

Je suis bien en retard... été mouvementé ici. Je ne suis pas sûre de me souvenir de tout :lol:
n° 2. Un livre qui évoque la vie politique. La Maison du Peuple de Louis Guilloux. C'est un véritable hommage à la vie des plus modestes. Le père du narrateur se mêle de politique. Comme c'est un petit artisan, sa clientèle le déserte... Plusieurs scènes poignantes sans aucune mièvrerie : le chagrin de la mère dans la pauvre chambre ou a vécu la grand mère, par exemple. Convient aussi pour "Révolution".
14. Etrangeté. Alamut de Vladimir Bartol est un classique qui nous fait entrer dans la fameuse secte des "haschichins", soumis au "vieillard de la Montagne" et persuadés d'accéder aux jardins du Paradis grâce à leur obéissance sans faille. Le roman oscille entre initiation (on suit un jeune homme qui découvre la forteresse d'Alamut en Iran au XIe siècle), dialogue philosophique, roman historique et féérie façon Mille et une Nuits.
24. Marivaudages. B.Pym, Adam et Cassandra. Bien plus léger que le précédent. Cassandra s'ennuie un peu dans une vie bien tracée entre son mari romancier à succès qui ne veut pas d'enfant et ses obligations sociales dans un village délicieusement anglais. L'élément perturbateur est un jeune Hongrois qui va intéresser prodigieusement les dames du village et pousser Cassandra vers l'aventure.
25. Une satire. P. Lemaitre, Au Revoir là-haut. Une satire de la société d'après la Grande Guerre... mais on ne présente plus ce roman ! J'ai lu aussi Le Serpent majuscule, un polar du même auteur que je caserai peut-être dans un autre défi.
48. Un livre avec une fleur ou un arbre sur la couverture. I. Ogawa. La Papeterie Tsubaki. L'arbre est le magnolia planté devant la boutique. C'est un livre "feel good" qui ravira les amateurs d'ambiances japonaises. La narratrice est écrivain public et rédige donc pour ses clients des lettres de condoléances, de rupture, des cartes de vœux... Au fur et à mesure que les saisons passent, elle en apprend davantage sur les secrets de sa famille disparue et se lie avec le voisinage. Inventaire et description des coutumes rituelles sur un an. Un peu ennuyeux si on n'est pas fan du genre.

Mes lectures de vacances entrant dans le défi.

Défi 4. Un livre dont le prénom et le nom de l'auteur commencent par la même lettre : Assommons les pauvres ! de Shumona Sinha.
Une femme, sans doute d'origine indienne et vivant en France, se retrouve au commissariat. Elle a agressé un homme dans le métro, un immigré comme elle. Elle, elle travaille comme interprète auprès des demandeurs d'asile.

Mon avis : un livre assez particulier. On suit les pensées de cette jeune femme, au commissariat, qui revient sur son travail, ses sentiments en tant que femme immigré, en tant qu'interprète, ses sentiments également vis-à-vis de ces hommes et ces femmes qu'elle assiste chaque jour. C'est parfois confus, alambiqué, on passe d'une histoire à l'autre. Bref, je suis assez mitigée sur ce roman, emprunté à la médiathèque uniquement pour les initiales de son auteure.


19. Un polar porté à l'écran : Mort sur le Nil d'Agatha Christie.
Une enquête d'Hercule Poirot, en croisière en Egypte. Dans son bâteau se trouvent également la riche héritière Linnet Ridgeway, son jeune mari Simon Doyle et son ancienne meilleure amie Jacqueline de Bellefort. Bientôt, un meurtre va bouleverser la croisière.

Mon avis : j'aime beaucoup Agatha Christie, sans doute ai-je lu tous ses romans policiers. J'avais lu celui-ci il y a des années et je l'ai relu avec un grand plaisir. Les personnages sont savoureux, l'enquête est plaisante à suivre.


22. Trahison : La marque de Windfield de Ken Follett
En 1866, un drame terrible se déroule au collège de Windfield. Un élève se noie sous les yeux de ses camarades. Est-ce réellement un accident ? Ce drame va poursuivre durant des années certains de ces élèves dont Edward (riche héritier d'une banque), son cousin plus pauvre Hugh, Micky Miranda, le fils d'un riche sud-américain... Leur destin vont se croiser durant près de trente ans.

Mon avis : un excellent livre de Ken Follett. On est tout de suite pris dans l'histoire, les personnages sont bien décrits, l'atmosphère de cette fin du XIXe siècle est richement documenté, les méchants sont jubilatoires. Les différents tourments, les trahisons, les amours sont passionnants à lire. Un régal.

41. Un livre dont l'histoire se passe dans une capitale d'Europe : Sacrifices de Pierre Lemaitre
Dernière histoire de la trilogie (mais qui comporte quatre tomes) Verhoeven. Cette fois-ci, le commandant, toujours aussi petit et colérique, doit enquêter sur un braquage d'une bijouterie parisienne durant lequel une témoin a été victime d'un acharnement particulièrement stupéfiant.

Mon avis : encore un régal. Une histoire très maligne, faite de faux-semblants, dans laquelle l'auteur utilise des élements des histoires précédentes. J'ai adoré ce livre.

42. Les 30 glorieuses : Celle qui fuit et celle qui reste d'Elena Ferrante
Le troisième tome de l'Amie prodigieuse. Elena et Lila sont désormais de jeunes adultes. Elena vient de publier son premier roman et vit une histoire d'amour avec Pietro, un jeune professeur d'université. Quant à Lila, elle a quitté son mari Stefano et travaille dur dans une usine. Nous sommes à la fin des années 1960, les femmes revendiquent de plus en plus de libertés, des mouvements syndicaux se développent, l'Italie se déchire entre fascisme et communisme.

Mon avis : un tome passionnant. Les trajectoires de deux jeunes femmes sont très intéressantes, la description de la société italienne de cette époque également. Malgré la profusion de personnages, on n'est pas perdu. J'aime beaucoup également la façon dont l'autrice décrit les sentiments amoureux, amicaux, des uns et des autres.


Allez, encore 20 défis à relever !

Oh la la ! Cela faisait un bail que je n'avais pas mis ma liste à jour; je viens de le faire et je suis passée de 15 à 34 défis relevés.
Pendant les vacances, j'ai lu Trois de Valérie Perrin, estampillé best-seller (défi 35).
C'est une bonne lecture de vacances, l'histoire de 3 amis d'enfance inséparables et pourtant séparés. Très sympa.
Il peut aussi entrer dans les défis 1 (héroïne métisse), 15 (il y a un lac), 30 (2 époques différentes) et 49 (quête d'identité).

Cléopatra2 a écrit:

Je suis à la bourre dans mes comptes-rendus! Est-ce qu'un roman qui se passe dans un lycée entre en compte pour campus novel?

Je dirais quand même plutôt non: un campus, c'est quand même bien localisé dans le monde de l'Université. Qu'en dis-tu?

Si vous l'acceptez, je caserai Le Verger de marbre d'Alex Taylor en défi "couverture en noir et blanc"...

C'est un policier âpre et rude avec un secret de famille et des personnages étranges. On pense à Fargo (la série  des frères Cohen).

La série policière de Lemaitre dont tu parles fait envie, Malaga !

Aphrodissia a écrit:Oh la la ! Cela faisait un bail que je n'avais pas mis ma liste à jour; je viens de le faire et je suis passée de 15 à 34 défis relevés.
Pendant les vacances, j'ai lu Trois de Valérie Perrin, estampillé best-seller (défi 35).
C'est une bonne lecture de vacances, l'histoire de 3 amis d'enfance inséparables et pourtant séparés. Très sympa.
Il peut aussi entrer dans les défis 1 (héroïne métisse), 15 (il y a un lac), 30 (2 époques différentes) et 49 (quête d'identité).

Cléopatra2 a écrit:

Je suis à la bourre dans mes comptes-rendus! Est-ce qu'un roman qui se passe dans un lycée entre en compte pour campus novel?

Je dirais quand même plutôt non: un campus, c'est quand même bien localisé dans le monde de l'Université. Qu'en dis-tu?

Oui, je m'en doutais mais sur un malentendu...
En fait je lis beaucoup de young adult, dont pas mal se passent au lycée!
Je n'arrive pas à éditer ma liste, il n'y a que la première ligne qui s'affiche!
Sinon je ne sais pas où j'en suis de mes compte-rendus, mais je pense ajouter L'année de Grâce de Kim Ligget dans Printemps, dans le sens de printemps métaphorique.
C'est une dystopie dans laquelle toutes les jeunes filles d'un village doivent passer 1 an ensemble dans un endroit isolé l'année de leurs 16 ans pour "tuer" la magie qui est en elles et qui rend fous les hommes. Certaines ne reviennent jamais... C'est le tour de Grâce.
C'est un roman vraiment pas mal, bien que certains ressorts narratifs soient invraisemblables. Le monde décrit est vraiment flippant et intéressant, ce qui se passe réellement entre les filles aussi. Cela parle de manipulation, de révolte, de liberté, de choix et de responsabilité aussi.
Je le recommande si vous aimez le young adult dystopique.
J'ai beaucoup lu pendant les vacances mais peu de choses qui peuvent entrer dans le défi.

Je suis dans "Mars la Rouge" pour me défi "livre avec un jour ou un mois dans le titre" et je peine: les longues explications sur les aspects techniques de l'installation sur Mars m'ennuient profondément. Je vais peut-être tenter autre chose si ça continue.

Reine Margot a écrit:Je suis dans "Mars la Rouge" pour me défi "livre avec un jour ou un mois dans le titre" et je peine: les longues explications sur les aspects techniques de l'installation sur Mars m'ennuient profondément. Je vais peut-être tenter autre chose si ça continue.

Je me demandais, tiens, si on peut faire entrer un nom de planète, qui est un nom propre, dans ce défi : le nom de mois est un nom commun. Si tu ne lis ce bouquin que pour le défi, en effet tu peux peut-être le laisser tomber.

Comme "campus novel" je viens de finir Porterhouse de Tom Sharpe qui traînait inachevé depuis un moment... Je suis mitigée. L'action se passe dans un college où l'arrivée d'un nouveau directeur menace de secouer les traditions et les petits arrangements discrets de la noblesse aisée avec l'institution. Les personnages sont brossés à grands traits, il convient aussi comme "satire". Le propos est comique, mais c'est parfois un peu lourd. Peut-être est-ce lié à la traduction...

J'ai eu la même impression, Point, en lisant Wilt, du même auteur. Drôle, parfois, mais lourd, souvent.

Pour le défi 12. 1984 , j'ai lu M, le bord de l'abîme de Bernard Minier.

nous sommes à Hong Kong. Moïra, une jeune française, a été engagée par l'entreprise Ming, sorte de Microsoft local, afin de travailler sur un nouvel assistant vocal. Dans le même temps, plusieurs employés de l'entreprise Ming ont été sauvagement assassinés : l'inspecteur Chan va mener une enquête.

Mon avis : un livre policier assez classique. L'auteur met du temps à faire démarrer l'histoire, afin de planter au mieux le décor et de nous décrire les différents personnages. Par conséquent, le début du livre est assez poussif. Le rythme s'accélère ensuite mais l'histoire reste plutôt sage, sans gros rebondissement. Bref, un Minier qui est loin d'être inoubliable.

Je le place dans cette catégorie car les nouvelles technologies décrites par Minier font penser au monde de 1984 où chacun est surveillé tout le temps.

Aphrodissia a écrit:

Reine Margot a écrit:Je suis dans "Mars la Rouge" pour me défi "livre avec un jour ou un mois dans le titre" et je peine: les longues explications sur les aspects techniques de l'installation sur Mars m'ennuient profondément. Je vais peut-être tenter autre chose si ça continue.

Je me demandais, tiens, si on peut faire entrer un nom de planète, qui est un nom propre, dans ce défi : le nom de mois est un nom commun.  Si tu ne lis ce bouquin que pour le défi, en effet tu peux peut-être le laisser tomber.

C'est fait, je suis dans "et j'ai couru vers le Nil" de El Aswany, bien mieux!

Reine Margot a écrit:

Aphrodissia a écrit:

Reine Margot a écrit:Je suis dans "Mars la Rouge" pour me défi "livre avec un jour ou un mois dans le titre" et je peine: les longues explications sur les aspects techniques de l'installation sur Mars m'ennuient profondément. Je vais peut-être tenter autre chose si ça continue.

Je me demandais, tiens, si on peut faire entrer un nom de planète, qui est un nom propre, dans ce défi : le nom de mois est un nom commun.  Si tu ne lis ce bouquin que pour le défi, en effet tu peux peut-être le laisser tomber.

C'est fait, je suis dans "et j'ai couru vers le Nil" de El Aswany, bien mieux!

Mais ce n'est toujours pas un nom de mois