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- LNCamilleNiveau 1
Bonjour,
Je suis en train de finaliser ma progression pour cette année en 1ère. Si j'ai bien en tête les oeuvres que je veux étudier et les textes des parcours, je me pose néanmoins la question suivante : faites-vous deux séquences, une pour le parcours, l'autre pour l'oeuvre intégrale ? Dans l'idéal, j'aimerais ne faire qu'une séquence, mais est-ce que le parcours ressortira assez ?
Par exemple, j'ai choisi Hugo pour la poésie. Pour le parcours j'aimerais travailler des poèmes de poètes et poétesses qui ont subi des pressions politiques (je pense notamment à Nazim Hikmet et à Anna Akhmatova) et qui évoquent cela dans leurs recueils. Avec un titre comme Les mémoires d'une âme, entre expression des sentiments et engagements politiques.
Je me questionne aussi sur les textes à présenter au bac : combien de textes prenez-vous dans l'œuvre intégrale ? combien dans le parcours ?
J'ai l'impression qu'il y a une grande liberté, mais je crains de me méprendre.
Merci !
Je suis en train de finaliser ma progression pour cette année en 1ère. Si j'ai bien en tête les oeuvres que je veux étudier et les textes des parcours, je me pose néanmoins la question suivante : faites-vous deux séquences, une pour le parcours, l'autre pour l'oeuvre intégrale ? Dans l'idéal, j'aimerais ne faire qu'une séquence, mais est-ce que le parcours ressortira assez ?
Par exemple, j'ai choisi Hugo pour la poésie. Pour le parcours j'aimerais travailler des poèmes de poètes et poétesses qui ont subi des pressions politiques (je pense notamment à Nazim Hikmet et à Anna Akhmatova) et qui évoquent cela dans leurs recueils. Avec un titre comme Les mémoires d'une âme, entre expression des sentiments et engagements politiques.
Je me questionne aussi sur les textes à présenter au bac : combien de textes prenez-vous dans l'œuvre intégrale ? combien dans le parcours ?
J'ai l'impression qu'il y a une grande liberté, mais je crains de me méprendre.
Merci !
- Une passanteEsprit éclairé
Si tu parles de la série générale, c'est trois LL dans l'OI, et deux LL dans le parcours, pour arriver à 20 textes en tout.
Personnellement, je fais deux séquences distinctes, mais il n'y a pas de consignes précises, c'est au choix du professeur. Je le fais pour que la distinction parcours / OI soit claire dans l'esprit des élèves, et pour éviter la lassitude d'avoir l'impression de travailler la même chose pendant trop de semaines.
Personnellement, je fais deux séquences distinctes, mais il n'y a pas de consignes précises, c'est au choix du professeur. Je le fais pour que la distinction parcours / OI soit claire dans l'esprit des élèves, et pour éviter la lassitude d'avoir l'impression de travailler la même chose pendant trop de semaines.
- DeliaEsprit éclairé
Étudier la poésie en traduction me semble un contre sens.
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Un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.
Amadou Hampaté Ba
- ysabelDevin
gregforever a écrit:Je fais une seule et même séquence.
Pareil, je considère que l'OI fait aussi partie du parcours.
Delia a écrit:Étudier la poésie en traduction me semble un contre sens.
Tout à fait, surtout en EL ; en textes complémentaires pourquoi pas.
Je me dis aussi souvent que les auteurs français sont suffisamment nombreux pour trouver notre bonheur.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- sifiÉrudit
Je fais le tout dans la même séquence, et je fais en sorte que l'OI et le parcours se "répondent", s'éclairent l'un l'autre. Ceci dit, passez-vous beaucoup de temps sur le parcours ? Parce qu'en ce qui me concerne, ça va assez vite (2/3 semaines maximum contre 4 en moyenne pour l'oeuvre).
- NLM76Grand Maître
Qu'est-ce que ça change ? Il y a un moment où vous étudiez les textes extraits de l'œuvre "intégrale", un moment où vous étudiez les poèmes choisis pour le "parcours". Que vous appeliez cela "une séquence", ou "deux séquences"...
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- http://instruire.fr
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Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- IphigénieProphète
"parcours" ça fait irrésistiblement penser au golf, non? (tu as combien de trous dans ton parcours?)
- ysabelDevin
Iphigénie a écrit:"parcours" ça fait irrésistiblement penser au golf, non? (tu as combien de trous dans ton parcours?)
Ah non ! moi, ça me fait penser à parcours de CSO... c'est plus sympa. Malheureusement bcp d'élèves refusent et je n'ai pas de cravache !
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« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- LNCamilleNiveau 1
Merci pour vos réponses qui m'éclairent.
Pour l'étude en traduction, je pense que si on le fait une ou deux fois dans l'année cela peut être intéressant, en soulignant le fait que justement c'est une traduction et voir avec les élèves quels sont les enjeux que cela soulève. Après, effectivement, je ne le ferai pas de manière systématique mais là, c'était tentant.
Pour l'étude en traduction, je pense que si on le fait une ou deux fois dans l'année cela peut être intéressant, en soulignant le fait que justement c'est une traduction et voir avec les élèves quels sont les enjeux que cela soulève. Après, effectivement, je ne le ferai pas de manière systématique mais là, c'était tentant.
- SeiGrand Maître
NLM76 a écrit:Qu'est-ce que ça change ? Il y a un moment où vous étudiez les textes extraits de l'œuvre "intégrale", un moment où vous étudiez les poèmes choisis pour le "parcours". Que vous appeliez cela "une séquence", ou "deux séquences"...
Ce n'est toutefois pas la même chose d'intégrer les textes du parcours à l'étude de l'œuvre et de traiter d'abord l'œuvre, sans textes annexes, puis les textes du parcours.
Pour ma part, je mêle les textes, il y a très nettement une seule séquence.
Étudier en lecture linéaire un poème traduit peut être compliqué, mais je trouve - comme toi, LNCamille - dommage de se passer des poèmes étrangers par principe, surtout quand ils ont été traduits par d'excellents traducteurs, qui tentent de faire passer au mieux les singularités de rythme et de sens de la langue originale.
- NLM76Grand Maître
Ah ! D'accord, j'ai compris. C'est quelque chose qui m'est tellement étranger, que je n'imagine pas a priori, si je ne me force pas, qu'on puisse faire ainsi. C'est pourtant en effet tout à fait possible de procéder de la sorte. Il me semble cependant qu'alors, il est difficile alors de rentrer vraiment dans l'œuvre, dans le style et les particularités de l'auteur: on va tendre à faire une lecture thématique des œuvres étudiées.
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- krisNiveau 5
bonjour,
petite question du dimanche, et du coup en techno 16 textes pour cette année? 2 en OI et 2 pour le parcours comme au début...
petite question du dimanche, et du coup en techno 16 textes pour cette année? 2 en OI et 2 pour le parcours comme au début...
- SeiGrand Maître
NLM76 a écrit:Ah ! D'accord, j'ai compris. C'est quelque chose qui m'est tellement étranger, que je n'imagine pas a priori, si je ne me force pas, qu'on puisse faire ainsi. C'est pourtant en effet tout à fait possible de procéder de la sorte. Il me semble cependant qu'alors, il est difficile alors de rentrer vraiment dans l'œuvre, dans le style et les particularités de l'auteur: on va tendre à faire une lecture thématique des œuvres étudiées.
Pas nécessairement, même si c'est en effet quelque chose vers lequel je peux tendre en ce moment avec Gouges.
Mais on peut aussi choisir d'éclairer la posture libertine de Béralde, dans Le Malade, grâce à un extrait de Dom Juan, de proposer un lai en contrepoint de "La chanson du Mal aimé" et un calligramme pour montrer le devenir de la poésie d'Apollinaire, ou de mettre en perspective la figure de l'hypocrite et sublime Julien Sorel en le confrontant à la médiocrité d'un Bel Ami...
- AscagneGrand sage
Est-ce que quelqu'un a un lien vers un texte officiel qui dit explicitement que c'est 12 textes en série technologique, pour cette année scolaire ? Merci d'avance.
- NLM76Grand Maître
Oui, en effet, cela me paraît en soi excellent ; mais j'ai le sentiment que c'est extrêmement difficile et excessivement délicat à introduire. De façon générale, je préfère faire des rapprochements avec des textes déjà étudiés antérieurement pour eux-mêmes (pas forcément avec moi !), que de dis-traire leur attention avec la découverte d'un autre texte majeur.Sei a écrit:NLM76 a écrit:Ah ! D'accord, j'ai compris. C'est quelque chose qui m'est tellement étranger, que je n'imagine pas a priori, si je ne me force pas, qu'on puisse faire ainsi. C'est pourtant en effet tout à fait possible de procéder de la sorte. Il me semble cependant qu'alors, il est difficile alors de rentrer vraiment dans l'œuvre, dans le style et les particularités de l'auteur: on va tendre à faire une lecture thématique des œuvres étudiées.
Pas nécessairement, même si c'est en effet quelque chose vers lequel je peux tendre en ce moment avec Gouges.
Mais on peut aussi choisir d'éclairer la posture libertine de Béralde, dans Le Malade, grâce à un extrait de Dom Juan, de proposer un lai en contrepoint de "La chanson du Mal aimé" et un calligramme pour montrer le devenir de la poésie d'Apollinaire, ou de mettre en perspective la figure de l'hypocrite et sublime Julien Sorel en le confrontant à la médiocrité d'un Bel Ami...
Tu lis Les frères Karamazov, ce n'est pas une occasion pour lire Le nom de la rose, afin de comparer la figure du Grand inquisiteur dans les deux romans. Mais quand tu lis l'un puis l'autre, tu peux les rapprocher d'une façon extrêmement riche.
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- ysabelDevin
Ascagne a écrit:Est-ce que quelqu'un a un lien vers un texte officiel qui dit explicitement que c'est 12 textes en série technologique, pour cette année scolaire ? Merci d'avance.
Le BO du 30 ou 31 juillet 2020
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- Hélène DeaumontNiveau 1
Deux séquences ici, parcours et OI mais comme il a été dit plus haut, les 2 se répondent et s'éclairent;
Puisque j'en suis sur ce point précis faîtes-vous un parcours diachronique ? évolution dans l'esthétique, etc au fil du temps = époque de départ -parfois antérieure à l'oeuvre- bla bla, jusqu'au XX et unième ? ou alors, synchronique ? limité à l'oeuvre ? J'ai en tête le parcours OI roman Stendhal, avec bien sûr "le héros" ! les IPR sont semblent-ils partagés;
Puisque j'en suis sur ce point précis faîtes-vous un parcours diachronique ? évolution dans l'esthétique, etc au fil du temps = époque de départ -parfois antérieure à l'oeuvre- bla bla, jusqu'au XX et unième ? ou alors, synchronique ? limité à l'oeuvre ? J'ai en tête le parcours OI roman Stendhal, avec bien sûr "le héros" ! les IPR sont semblent-ils partagés;
- TangledingGrand Maître
On vient d'avoir, dans la cadre d'une préparation à l'agreg, une présentation des programmes de lycée (et collège) par une IPR (venue de l'académie d'Aix-Marseille). C'était très enrichissant et stimulant. L'IPR a effectivement présenté l'esprit des programmes tel que tu l'interprètes, @Sei . Si ce n'est que dans ton dernier exemple, l'ordre chronologique étant inversé, l'articulation semble moins pertinente, comme le signalait l'IPR.Sei a écrit:NLM76 a écrit:Ah ! D'accord, j'ai compris. C'est quelque chose qui m'est tellement étranger, que je n'imagine pas a priori, si je ne me force pas, qu'on puisse faire ainsi. C'est pourtant en effet tout à fait possible de procéder de la sorte. Il me semble cependant qu'alors, il est difficile alors de rentrer vraiment dans l'œuvre, dans le style et les particularités de l'auteur: on va tendre à faire une lecture thématique des œuvres étudiées.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- SeiGrand Maître
Tangleding a écrit:On vient d'avoir, dans la cadre d'une préparation à l'agreg, une présentation des programmes de lycée (et collège) par une IPR (venue de l'académie d'Aix-Marseille). C'était très enrichissant et stimulant. L'IPR a effectivement présenté l'esprit des programmes tel que tu l'interprètes, @Sei . Si ce n'est que dans ton dernier exemple, l'ordre chronologique étant inversé, l'articulation semble moins pertinente, comme le signalait l'IPR.Sei a écrit:NLM76 a écrit:Ah ! D'accord, j'ai compris. C'est quelque chose qui m'est tellement étranger, que je n'imagine pas a priori, si je ne me force pas, qu'on puisse faire ainsi. C'est pourtant en effet tout à fait possible de procéder de la sorte. Il me semble cependant qu'alors, il est difficile alors de rentrer vraiment dans l'œuvre, dans le style et les particularités de l'auteur: on va tendre à faire une lecture thématique des œuvres étudiées.
Pas nécessairement, même si c'est en effet quelque chose vers lequel je peux tendre en ce moment avec Gouges.
Mais on peut aussi choisir d'éclairer la posture libertine de Béralde, dans Le Malade, grâce à un extrait de Dom Juan, de proposer un lai en contrepoint de "La chanson du Mal aimé" et un calligramme pour montrer le devenir de la poésie d'Apollinaire, ou de mettre en perspective la figure de l'hypocrite et sublime Julien Sorel en le confrontant à la médiocrité d'un Bel Ami...
Excuse-moi, Tangleding, tu veux dire qu'il vaut mieux comparer avec des auteurs qui précèdent plutôt que ceux qui suivent ? pourquoi ?
Là, j'avais en tête le fait que Julien est encore à la croisée du romantisme et du réalisme ; c'est un personnage ambitieux aux valeurs romantiques coincé dans un univers réaliste, en quelque sorte, tandis qu'il n'y a plus rien de romantique chez cet autre ambitieux qu'est Duroy.
- TangledingGrand Maître
Je comprends mais ça consiste à expliquer une œuvre, Le Rouge et le Noir, au prix d'un léger anachronisme. Si l'objectif de l'étude d'une OI est bien de lire, comprendre et apprécier l'OI étudiée, je rejoins l'IPR en question : il sera plus pertinent de comparer à des œuvres antérieures, pour percevoir les évolutions survenues ou en cours dans l'œuvre étudiée.
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- SeiGrand Maître
Merci, Tangleding, c'est bien ce qu'il me semblait comprendre, mais je ne suis pas sûre d'être complètement d'accord pour ce cas-là.
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"Humanité, humanité, engeance de crocodile."
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