Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
- Pénélope59Niveau 5
Bonjour,
Je sais que ce sujet a déjà été traité mais je compte sur les nouvelles inspirations et les nouveaux inscrits ...
Je suis en train de prévoir ma progression 2016-2017 pour mes classes de 1ère ES et 1ère S et je sèche sur l'oeuvre intégrale à choisir dans l'objet d'étude "la Question de l'Homme"!!!
Merci d'avance pour vos idées GENIALES !!
Je sais que ce sujet a déjà été traité mais je compte sur les nouvelles inspirations et les nouveaux inscrits ...
Je suis en train de prévoir ma progression 2016-2017 pour mes classes de 1ère ES et 1ère S et je sèche sur l'oeuvre intégrale à choisir dans l'objet d'étude "la Question de l'Homme"!!!
Merci d'avance pour vos idées GENIALES !!
- cléoNiveau 9
Le discours sur la servitude volontaire ; Vendredi ou les limbes du Pacifique.
- NLM76Grand Maître
Vous faites comme vous voulez, mais je fais rentrer à peu près toutes les œuvres que j'étudie dans cet "OE". Je peine en effet à trouver des œuvres littéraires majeures qui ne traitent avec acuité la "question de l'homme", et ne relèvent pas de l'argumentation, puisque la nature d'une œuvre littéraire de qualité est de dévoiler.
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- Pénélope59Niveau 5
J'avais effectivement pensé aux Essais de Montaigne ; quelqu'un a -t-il déjà travaillé avec "Etonnants classiques" ? les textes chiosis sont-ils interessants?
- Thalia de GMédiateur
Pénélope, tu peux éditer tes propres messages pour les corriger.
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- Tem-toGrand sage
Vercors, ses nouvelles et pas seulement Le Silence de la mer.
Il y a deux nouvelles sur le massacre d'Oradour sur Glane.
- La première dans le recueil du "Silence de la mer" intitulé L'indifférence où un ami du narrateur brûle tous ses livres après avoir été informé du massacre.
- La deuxième, Les mots, tiré à part, sur un officier SS qui peint un paysage alors que ses troupes se rendent coupables, moins d'un kilomètre plus loin, du massacre.
Dans ce court texte, le narrateur est un poète qui n'avait pas voulu s'engager ni d'un côté ni de l'autre pendant la Seconde Guerre mondiale et il passe de l'un à l'autre des postes d'observation : l'officier qui peint son paysage, ses troupes qui réalisent la boucherie.
Sur l'art et la question de l'engagement chez l'homme...
Il y a deux nouvelles sur le massacre d'Oradour sur Glane.
- La première dans le recueil du "Silence de la mer" intitulé L'indifférence où un ami du narrateur brûle tous ses livres après avoir été informé du massacre.
- La deuxième, Les mots, tiré à part, sur un officier SS qui peint un paysage alors que ses troupes se rendent coupables, moins d'un kilomètre plus loin, du massacre.
Dans ce court texte, le narrateur est un poète qui n'avait pas voulu s'engager ni d'un côté ni de l'autre pendant la Seconde Guerre mondiale et il passe de l'un à l'autre des postes d'observation : l'officier qui peint son paysage, ses troupes qui réalisent la boucherie.
Sur l'art et la question de l'engagement chez l'homme...
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Du même Vercors, " les animaux dénaturés" ou son adaptation théâtrale réalisée par l'auteur lui même, "Zoo ou l'assassin philanthrope"
Il y a sur Vercors un site très bien fait d'ailleurs:
http://vercorsecrivain.pagesperso-orange.fr/index.html
Il y a sur Vercors un site très bien fait d'ailleurs:
http://vercorsecrivain.pagesperso-orange.fr/index.html
_________________
" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- IphigénieProphète
Je pense quand même que cette entrée du programme était prévue au départ pour faire la place aux Montaigne, Pascal et autres Montesquieu, Camus, Sartre etc, et la passerelle avec l'enseignement de la philo de terminale: il ne faudrait pas que la recherche d'oeuvres intégrales la transforme en lecture d'auteurs ou d'oeuvres mineures au seul motif qu'elles sont plus abordables que les autres: nos élèves ne feront plus jamais de français après la première et ce serait dommage qu'ils ignorent des auteurs majeurs, ou alors ils iront en prépa et auront besoin d'assises...
Enfin c'est mon avis...
Enfin c'est mon avis...
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
En parlant de Sartre, je me demande si je ne vais pas faire "Huis clos" cette année dans cette fameuse "question de l'homme"... Que je trouve quand même bien fourre-tout puisque tout y ramène mais qu'en même temps il est difficile de l'aborder autrement que sous un angle restreint.
Par rapport au lien avec la philo, c'est exact et c'est bien ce qui me pose problème, car je suis très vite aux limites de mes compétences sur ce point.
Par rapport au lien avec la philo, c'est exact et c'est bien ce qui me pose problème, car je suis très vite aux limites de mes compétences sur ce point.
_________________
" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- IphigénieProphète
oui bien sûr! d'ailleurs le problème est que les élèves n'ont pas la moindre idée de ce que ça peut vouloir dire: "la question de l'homme". Dans mes copies d'EAF j'en ai très peu qui, prenant la dissertation ont compris ce que signifie "célébrer la grandeur de l'homme": presque tous, très terre-à-terre, pensent que ça signifiait" faire l'éloge mortuaire des disparus en montrant par flatterie qu'ils étaient de grands hommes"...Ils y opposent les auteurs qui critiquent la société ou écrivent des utopies...Que je trouve quand même bien fourre-tout puisque tout y ramène mais qu'en même temps il est difficile de l'aborder autrement que sous un angle restreint.
Bref, on réussit bien peu de choses en français finalement: en terminant leurs études, ils écrivent comme des pieds et pensent comme des pantoufles...
- ysabelDevin
Cette "question de l'homme" est foireuse puisque toute la littérature parle de l'homme...
Pour cet OE je privilégie ce que l'on appelait à mon époque (Aïe ! je me sens vieille), la littérature d'idées.
Ces deux dernières années, j'avais fait La Boétie - et cela fonctionne très bien - là, j'hésite entre un petit essai de Montaigne ou le chapitre I de L'Homme révolté de Camus que j'ai fait cette année en cursive (mais en classe) avec mes S et qui a bien plu.
Pour cet OE je privilégie ce que l'on appelait à mon époque (Aïe ! je me sens vieille), la littérature d'idées.
Ces deux dernières années, j'avais fait La Boétie - et cela fonctionne très bien - là, j'hésite entre un petit essai de Montaigne ou le chapitre I de L'Homme révolté de Camus que j'ai fait cette année en cursive (mais en classe) avec mes S et qui a bien plu.
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- lit et ratureNiveau 5
Sans blague, tu fais en Lecture analytique Le 1er chapitre de l"homme révolté ?
Huis clos, ce n'est pas mal en effet pour la question De l'homme , de plus , tu peux croiser 2 objets d'étude avec cette oeuvre.
Huis clos, ce n'est pas mal en effet pour la question De l'homme , de plus , tu peux croiser 2 objets d'étude avec cette oeuvre.
- IsidoriaDoyen
J'ai envie de changer cette année, je pensais éventuellement me lancer dans Si c'est un homme de Primo Levi.
J'ai déjà travaillé Les Lettres persanes, W ou le souvenir d'enfance, La Condition humaine, et j'ai encore envie de changement.
J'ai déjà travaillé Les Lettres persanes, W ou le souvenir d'enfance, La Condition humaine, et j'ai encore envie de changement.
- IzambardFidèle du forum
J'ai traité Le supplément au voyage de bougainville, et ensuite des Gt.
Je pense que faire plusieurs livres des Fables est une possibilité.
La Boetie ça me disait aussi.
Je pense que faire plusieurs livres des Fables est une possibilité.
La Boetie ça me disait aussi.
- lit et ratureNiveau 5
Les fables sont faites en 2nde.
Evitez les doublons!
Evitez les doublons!
- ysabelDevin
lit et rature a écrit:Sans blague, tu fais en Lecture analytique Le 1er chapitre de l"homme révolté ?
Huis clos, ce n'est pas mal en effet pour la question De l'homme , de plus , tu peux croiser 2 objets d'étude avec cette oeuvre.
Pas tout en LA, c'est trop long. Ce chapitre peut être considéré comme une OI (cf IO). et faire 2 extraits en LA.
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- IzambardFidèle du forum
lit et rature a écrit:Les fables sont faites en 2nde.
Evitez les doublons!
Justement c'est parce que ce n'est pas toujours fait dans mon établissement que j'estime que c'est utile. Voire nécessaire.
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
En effet, je ne fais guère les fables en seconde ,ou alors rapidement - on a déjà pas mal à faire sur le XVIIÈME avec la comédie et la tragédie. ..
_________________
" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- trompettemarineMonarque
Pour une fois, les documents d'accompagnements eduscol sont riches.
http://cache.media.eduscol.education.fr/file/Francais/76/4/Argumentation_Premiere_final_448764.pdf
Sur la "barbarie" :
Denis Diderot, Supplément au voyage de Bougainville,1772
Jean de Léry, Histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, 1578.
Claude Lévi Strauss, Tristes Tropiques, 1955
Michel de Montaigne,Essais, I,31 («Des cannibales»), III,6 («Des coches"), 1580
Jean Racine, Bajazet, 1672
Voltaire, Contes philosophiques, L’Ingénu, 1767
Sur "masculin et féminin"
Simone de Beauvoir, Le Deuxième Sexe, 1949 et Les Mémoires d’une jeune fille rangée, 1958.
Marguerite Duras, Moderato cantabile, 1958.
Annie Ernaux, La femme gelée, 1981.
La Bruyère, Les Caractères, 1696.
Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses, 1782.
Marivaux, La Dispute, 1744, La Colonie, 1750.
Marivaux, La Vie de Marianne, 1745.
Jules Michelet, La Femme, 1859 ; La Sorcière, 1862.
Molière, L’Ecole des femmes, 1661 ; Les Femmes savantes, 1672.
Jean-Jacques Rousseau, L’Emile, livre V, 1762 et Mme de Staël : Lettres sur le caractère et les écrits
de Jean-Jacques Rousseau, 1788.
George Sand, Histoire de ma vie, 1855.
Virginia Woolf, Une chambre à soi, 1929 ; Trois Guinées, 1933.
Marguerite Yourcenar, Feux, 1935.
Sur l'homme et le savoir :
Rabelais, Pantagruel, 1532 ; Gargantua, 1534 ; Tiers Livre, 1546 ; Quart Livre, 1552.
Montaigne, Essais, 1580-1595.
Descartes, Discours de la méthode, 1637.
Cyrano de Bergerac, États et empires de la lune, 1657.
Pascal, Pensées, 1670, éd. de Michel le Guern, coll. Folio, Gallimard, 2004.
La Fontaine, Fables, 1668-1694.
Bayle, Pensées diverses sur la comète, 1682.
Fontenelle, Entretiens sur la pluralité des mondes habités, 1686 ; Histoire des oracles, 1687.
Fénelon, De l’éducation des filles, 1687
Condillac, Essai sur l’origine des connaissances humaines, 1742 ; Traité des sensations, 1754.
Buffon, Histoire naturelle, 1749-1789.
Voltaire, Ode sur la mort de Melle Lecouvreur, 1730 ; Lettres philosophiques, 1734 ; Épître à madame
du Châtelet, 1734 ; Le Mondain, 1736 ; Traité de métaphysique, publié en 1826 ; Éléments de la
philosophie de Newton, 1738 ; Micromégas, 1752.
Diderot, Pensées philosophiques, 1746 ; Lettre sur les aveugles, 1749.
Rousseau, Émile, 1762.
Condorcet, Cinq mémoires sur l’instruction publique, 1791-1792.
Chénier, Hermès ; L’Invention, 1782.
Balzac, La Recherche de l’absolu, 1834.
Villiers de l’Isle-Adam, L’Ève future, 1886 ; Contes cruels, 1893.
Zola, Le Docteur Pascal, 1893.
Flaubert, Bouvard et Pécuchet, 1881.
Verne, Vingt mille lieues sous les mers, 1870 ; Les Enfants du capitaine Grant, 1868.
Jules Ferry, Lettre aux instituteurs, 1883.
Alain, Propos sur l’éducation, 1932.
Sur l'homme et la société :
La Bruyère, Les Caractères, 1688-1694. Voir notamment « De la Société et de la Conversation », « De la Ville », et « De la Cour ».
Jean-Jacques Rousseau, Lettre à d’Alembert sur les spectacles, 1758, notamment pour la discussion du Misanthrope de Molière.
Jules Barbey d’Aurevilly, Du dandysme et de G. Brummel, 1845.
Emile Zola, Zola journaliste : articles et chroniques, Adeline Wrona (éd.), GF-Flammarion, 2011.
Sur l'homme et les objets :
Jean de La Bruyère, Caractères, « Des biens de fortune », livre VI, 1691.
Honoré de Balzac, Le Père Goriot, 1835 ; Gobseck, 1840.
Gustave Flaubert, Madame Bovary, 1857.
Emile Zola, La curée, 1872 ; L'argent, 1891.
Octave Mirbeau, Le journal d'une femme de chambre, 1900.
André Breton, Le surréalisme et la peinture, « crise de l'objet », 1928.
Francis Ponge, Le parti pris des choses, 1942.
Georges Pérec, Les choses, 1965.
Michel Tournier, Vendredi ou les limbes du Pacifique, 1967.
Michel Houellebecq, Extension du domaine de la lutte, 1994.
Eric Reinhardt, Cendrillon, 2007.
Annie Ernaux, La place, 1983 ; Les années, 2008 ; Regarde les lumières mon amour, 2014.
Sur l'homme face à lui-même :
Breton, Nadja, 1962.
Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, 1848.
Gide, Si le grain ne meurt, 1926.
Leiris, L’Âge d’homme, 1939.
Montaigne, Essais, 1580.
Nerval, Aurélia, 1855.
Jean-Jacques Rousseau, Confessions, 1770 ; Rousseau juge de Jean-Jacques, 1777 ; Les Rêveries
du promeneur solitaire, 1778.
Saint Augustin, Confessions.
Sartre, Les Mots, 1964.
Sarraute, Enfance, 1983.
Stendhal, Vie de Henry Brulard, 1890.
Sur l'homme et sa place dans l'histoire :
Bossuet, Discours sur l’histoire universelle, 1681.
Voltaire, Le Siècle de Louis XIV, 1751.
Jules Michelet, Histoire de France, « Préface », 1869.
Marguerite Yourcenar, Le Labyrinthe du monde, II, Archives du Nord, Gallimard, 1977.
Sur l'homme et le pouvoir :
Beaumarchais, Pierre-Augustin Caron de, Le Mariage de Figaro, 1784.
Boileau, Nicolas, Satires, 1666-1716.
Budé, Guillaume, De l’institution des princes, 1547.
Camus, Albert La peste, 194.
Chateaubriand, François-René de, Mémoires d’outre-tombe, Préface testamentaire, 1848-1850
Corneille, Pierre, Cinna, 1641.
Diderot, Denis, article « Autorité politique » de L’Encyclopédie, 1751-1768 ; Supplément au voyage de
Bougainville, 1772.
Érasme, Didier, en1516 L’institution du prince chrétien, 1516.
Fénelon, François de Salignac de la Mothe de, Les aventures de Télémaque, 1694.
Hugo, Victor, Discours sur la liberté de l’enseignement, 1850, Les Châtiments, 1853, Les Misérables,
1862.
Ionesco, Eugène, Rhinocéros, 1960 ; Le roi se meurt, 1962.
Jarry, Alfred, Ubu roi, 1896.
La Boétie, Étienne de, Discours sur la servitude volontaire, 1574.
La Fontaine, Jean de, Fables, 1668-1694.
Lamartine, article « Du droit au travail et de l’organisation du travail », Le Bien Public, déc.1844 ; Sur
la politique rationnelle, 1831.
Machiavel, Le Prince, 1513 (trad. Patrick Dupouey, éd. Nathan, 1982).
Molière, Jean Baptiste Poquelin dit, Le Tartuffe, 1664.
Montesquieu, Charles de, Les Lettres persanes, 1721; L’Esprit des lois, 1748.
Montaigne Michel Eyquem de, Essais, 1580-1595.
More, Thomas, Utopie, 1516 (trad. Victor Stouvenel, Paulin 1842).
Rabelais, François, Gargantua, 1535.
Racine, Jean, Alexandre le grand au roi, Dédicace au roi, 1665.
Rousseau, Jean-Jacques, Discours sur l’origine de l’inégalité, 1755 ; Du contrat social, 1762.
Sartre, Jean Paul, Les Mouches, 1943, Les Mains sales, 1948.
Voltaire, François-Marie Arouet dit, Lettres philosophiques, 1734, Candide, 1759 ; De l’horrible danger
de lecture, 1765, Correspondance, Bibliothèque de La Pléiade.
Zola, Émile, « J’accuse », l’Aurore, 1898.
Sur l'homme et la mort
Agrippa D’Aubigné, Les Tragiques, 1616, plus particulièrement la mort de l’amiral de Coligny (les
Fers) et le Jugement Dernier (livre 7).
Charles Baudelaire, section « Mort » des Fleurs du Mal, 1857, Petits poèmes en prose, 1869.
Bossuet, OEuvres, Gallimard, La Pléiade, 1936.
Philippe Jaccottet, L’Ignorant, Gallimard, 1958 (en particulier : « Le Livre des morts »), A la lueur
d’hiver, 1994.
Stéphane Mallarmé, Poésies, 1899 (toasts funèbres et tombeaux).
Montaigne, Les Essais, 1598 (en particulier le chapitre « De l’Exercitation »).
Ingmar Bergman, Le Septième sceau, 1957.
Jean Cocteau, Orphée, 1949.
Francis Ford Coppola, Dracula, 1992.
Friedrich Wilhelm Murnau, Nosferatu, 1922.
Georges Romero : La Nuit des morts-vivants, 1968
Sur l'homme et le beau
Charles Baudelaire, L’Art romantique (dont « L’oeuvre et la vie d’Eugène Delacroix » ; « le peintre de
la vie moderne » : en particulier le premier chapitre « Le beau, la mode et le bonheur ») ; Curiosités
esthétiques, Les Fleurs du Mal, 1861.
Boileau, Art poétique, 1674.
Denis Diderot, Traité du beau, 1752 ; Deux Lettres sur les Aveugles à l’usage de ceux qui voient,
Essais sur la peinture, Salons de 1759, 1761, 1763 ; Encyclopédie : articles Beau, Composition.
Hugo, Préface de Cromwell, 1827 ; William Shakespeare, 1864.
Gautier, Préface de Mademoiselle de Maupin, 1835.
Stendhal, Racine et Shakespeare, 1823.
Voltaire, « Le temple du goût », 1733 ; Encyclopédie : article « Goût », 1757.
http://cache.media.eduscol.education.fr/file/Francais/76/4/Argumentation_Premiere_final_448764.pdf
Sur la "barbarie" :
Denis Diderot, Supplément au voyage de Bougainville,1772
Jean de Léry, Histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, 1578.
Claude Lévi Strauss, Tristes Tropiques, 1955
Michel de Montaigne,Essais, I,31 («Des cannibales»), III,6 («Des coches"), 1580
Jean Racine, Bajazet, 1672
Voltaire, Contes philosophiques, L’Ingénu, 1767
Sur "masculin et féminin"
Simone de Beauvoir, Le Deuxième Sexe, 1949 et Les Mémoires d’une jeune fille rangée, 1958.
Marguerite Duras, Moderato cantabile, 1958.
Annie Ernaux, La femme gelée, 1981.
La Bruyère, Les Caractères, 1696.
Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses, 1782.
Marivaux, La Dispute, 1744, La Colonie, 1750.
Marivaux, La Vie de Marianne, 1745.
Jules Michelet, La Femme, 1859 ; La Sorcière, 1862.
Molière, L’Ecole des femmes, 1661 ; Les Femmes savantes, 1672.
Jean-Jacques Rousseau, L’Emile, livre V, 1762 et Mme de Staël : Lettres sur le caractère et les écrits
de Jean-Jacques Rousseau, 1788.
George Sand, Histoire de ma vie, 1855.
Virginia Woolf, Une chambre à soi, 1929 ; Trois Guinées, 1933.
Marguerite Yourcenar, Feux, 1935.
Sur l'homme et le savoir :
Rabelais, Pantagruel, 1532 ; Gargantua, 1534 ; Tiers Livre, 1546 ; Quart Livre, 1552.
Montaigne, Essais, 1580-1595.
Descartes, Discours de la méthode, 1637.
Cyrano de Bergerac, États et empires de la lune, 1657.
Pascal, Pensées, 1670, éd. de Michel le Guern, coll. Folio, Gallimard, 2004.
La Fontaine, Fables, 1668-1694.
Bayle, Pensées diverses sur la comète, 1682.
Fontenelle, Entretiens sur la pluralité des mondes habités, 1686 ; Histoire des oracles, 1687.
Fénelon, De l’éducation des filles, 1687
Condillac, Essai sur l’origine des connaissances humaines, 1742 ; Traité des sensations, 1754.
Buffon, Histoire naturelle, 1749-1789.
Voltaire, Ode sur la mort de Melle Lecouvreur, 1730 ; Lettres philosophiques, 1734 ; Épître à madame
du Châtelet, 1734 ; Le Mondain, 1736 ; Traité de métaphysique, publié en 1826 ; Éléments de la
philosophie de Newton, 1738 ; Micromégas, 1752.
Diderot, Pensées philosophiques, 1746 ; Lettre sur les aveugles, 1749.
Rousseau, Émile, 1762.
Condorcet, Cinq mémoires sur l’instruction publique, 1791-1792.
Chénier, Hermès ; L’Invention, 1782.
Balzac, La Recherche de l’absolu, 1834.
Villiers de l’Isle-Adam, L’Ève future, 1886 ; Contes cruels, 1893.
Zola, Le Docteur Pascal, 1893.
Flaubert, Bouvard et Pécuchet, 1881.
Verne, Vingt mille lieues sous les mers, 1870 ; Les Enfants du capitaine Grant, 1868.
Jules Ferry, Lettre aux instituteurs, 1883.
Alain, Propos sur l’éducation, 1932.
Sur l'homme et la société :
La Bruyère, Les Caractères, 1688-1694. Voir notamment « De la Société et de la Conversation », « De la Ville », et « De la Cour ».
Jean-Jacques Rousseau, Lettre à d’Alembert sur les spectacles, 1758, notamment pour la discussion du Misanthrope de Molière.
Jules Barbey d’Aurevilly, Du dandysme et de G. Brummel, 1845.
Emile Zola, Zola journaliste : articles et chroniques, Adeline Wrona (éd.), GF-Flammarion, 2011.
Sur l'homme et les objets :
Jean de La Bruyère, Caractères, « Des biens de fortune », livre VI, 1691.
Honoré de Balzac, Le Père Goriot, 1835 ; Gobseck, 1840.
Gustave Flaubert, Madame Bovary, 1857.
Emile Zola, La curée, 1872 ; L'argent, 1891.
Octave Mirbeau, Le journal d'une femme de chambre, 1900.
André Breton, Le surréalisme et la peinture, « crise de l'objet », 1928.
Francis Ponge, Le parti pris des choses, 1942.
Georges Pérec, Les choses, 1965.
Michel Tournier, Vendredi ou les limbes du Pacifique, 1967.
Michel Houellebecq, Extension du domaine de la lutte, 1994.
Eric Reinhardt, Cendrillon, 2007.
Annie Ernaux, La place, 1983 ; Les années, 2008 ; Regarde les lumières mon amour, 2014.
Sur l'homme face à lui-même :
Breton, Nadja, 1962.
Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, 1848.
Gide, Si le grain ne meurt, 1926.
Leiris, L’Âge d’homme, 1939.
Montaigne, Essais, 1580.
Nerval, Aurélia, 1855.
Jean-Jacques Rousseau, Confessions, 1770 ; Rousseau juge de Jean-Jacques, 1777 ; Les Rêveries
du promeneur solitaire, 1778.
Saint Augustin, Confessions.
Sartre, Les Mots, 1964.
Sarraute, Enfance, 1983.
Stendhal, Vie de Henry Brulard, 1890.
Sur l'homme et sa place dans l'histoire :
Bossuet, Discours sur l’histoire universelle, 1681.
Voltaire, Le Siècle de Louis XIV, 1751.
Jules Michelet, Histoire de France, « Préface », 1869.
Marguerite Yourcenar, Le Labyrinthe du monde, II, Archives du Nord, Gallimard, 1977.
Sur l'homme et le pouvoir :
Beaumarchais, Pierre-Augustin Caron de, Le Mariage de Figaro, 1784.
Boileau, Nicolas, Satires, 1666-1716.
Budé, Guillaume, De l’institution des princes, 1547.
Camus, Albert La peste, 194.
Chateaubriand, François-René de, Mémoires d’outre-tombe, Préface testamentaire, 1848-1850
Corneille, Pierre, Cinna, 1641.
Diderot, Denis, article « Autorité politique » de L’Encyclopédie, 1751-1768 ; Supplément au voyage de
Bougainville, 1772.
Érasme, Didier, en1516 L’institution du prince chrétien, 1516.
Fénelon, François de Salignac de la Mothe de, Les aventures de Télémaque, 1694.
Hugo, Victor, Discours sur la liberté de l’enseignement, 1850, Les Châtiments, 1853, Les Misérables,
1862.
Ionesco, Eugène, Rhinocéros, 1960 ; Le roi se meurt, 1962.
Jarry, Alfred, Ubu roi, 1896.
La Boétie, Étienne de, Discours sur la servitude volontaire, 1574.
La Fontaine, Jean de, Fables, 1668-1694.
Lamartine, article « Du droit au travail et de l’organisation du travail », Le Bien Public, déc.1844 ; Sur
la politique rationnelle, 1831.
Machiavel, Le Prince, 1513 (trad. Patrick Dupouey, éd. Nathan, 1982).
Molière, Jean Baptiste Poquelin dit, Le Tartuffe, 1664.
Montesquieu, Charles de, Les Lettres persanes, 1721; L’Esprit des lois, 1748.
Montaigne Michel Eyquem de, Essais, 1580-1595.
More, Thomas, Utopie, 1516 (trad. Victor Stouvenel, Paulin 1842).
Rabelais, François, Gargantua, 1535.
Racine, Jean, Alexandre le grand au roi, Dédicace au roi, 1665.
Rousseau, Jean-Jacques, Discours sur l’origine de l’inégalité, 1755 ; Du contrat social, 1762.
Sartre, Jean Paul, Les Mouches, 1943, Les Mains sales, 1948.
Voltaire, François-Marie Arouet dit, Lettres philosophiques, 1734, Candide, 1759 ; De l’horrible danger
de lecture, 1765, Correspondance, Bibliothèque de La Pléiade.
Zola, Émile, « J’accuse », l’Aurore, 1898.
Sur l'homme et la mort
Agrippa D’Aubigné, Les Tragiques, 1616, plus particulièrement la mort de l’amiral de Coligny (les
Fers) et le Jugement Dernier (livre 7).
Charles Baudelaire, section « Mort » des Fleurs du Mal, 1857, Petits poèmes en prose, 1869.
Bossuet, OEuvres, Gallimard, La Pléiade, 1936.
Philippe Jaccottet, L’Ignorant, Gallimard, 1958 (en particulier : « Le Livre des morts »), A la lueur
d’hiver, 1994.
Stéphane Mallarmé, Poésies, 1899 (toasts funèbres et tombeaux).
Montaigne, Les Essais, 1598 (en particulier le chapitre « De l’Exercitation »).
Ingmar Bergman, Le Septième sceau, 1957.
Jean Cocteau, Orphée, 1949.
Francis Ford Coppola, Dracula, 1992.
Friedrich Wilhelm Murnau, Nosferatu, 1922.
Georges Romero : La Nuit des morts-vivants, 1968
Sur l'homme et le beau
Charles Baudelaire, L’Art romantique (dont « L’oeuvre et la vie d’Eugène Delacroix » ; « le peintre de
la vie moderne » : en particulier le premier chapitre « Le beau, la mode et le bonheur ») ; Curiosités
esthétiques, Les Fleurs du Mal, 1861.
Boileau, Art poétique, 1674.
Denis Diderot, Traité du beau, 1752 ; Deux Lettres sur les Aveugles à l’usage de ceux qui voient,
Essais sur la peinture, Salons de 1759, 1761, 1763 ; Encyclopédie : articles Beau, Composition.
Hugo, Préface de Cromwell, 1827 ; William Shakespeare, 1864.
Gautier, Préface de Mademoiselle de Maupin, 1835.
Stendhal, Racine et Shakespeare, 1823.
Voltaire, « Le temple du goût », 1733 ; Encyclopédie : article « Goût », 1757.
- FabienneNiveau 9
J'aimerais bien trouver un moyen de caser Noces de Camus dans cet objet d'étude l'an prochain.
Cependant, je ne vois qu'une manière d'inscrire cet oeuvre dans "La Question de l'homme": le thème du bonheur. Or, j'ai déjà travaillé là-dessus il y a quelques années.
Quelqu'un aurait-il une autre idée?
Cependant, je ne vois qu'une manière d'inscrire cet oeuvre dans "La Question de l'homme": le thème du bonheur. Or, j'ai déjà travaillé là-dessus il y a quelques années.
Quelqu'un aurait-il une autre idée?
- Pénélope59Niveau 5
Peut-on faire apparaître sur les descriptifs deux objets d'étude pour une séquence ?
En effet , j'envisage de travailler "Le Mariage de Figaro" à la fois dans "Théâtre et représentation" et "la question de l'Homme".
En effet , j'envisage de travailler "Le Mariage de Figaro" à la fois dans "Théâtre et représentation" et "la question de l'Homme".
- PoméeNiveau 9
Pénélope59 a écrit:Peut-on faire apparaître sur les descriptifs deux objets d'étude pour une séquence ?
En effet , j'envisage de travailler "Le Mariage de Figaro" à la fois dans "Théâtre et représentation" et "la question de l'Homme".
Oui bien sûr !
- NLM76Grand Maître
Comme je ne connais rien à la question, n'ayant pas encore lu Noces, je réponds. Je ne sais pas ce que c'est que la question de l'homme. Est-ce "Qu'est-ce qu'être humain?" "Qu'est-ce qui rend humain?" "Que veut un homme?". Tout texte littéraire d'intérêt pose la question de l'homme, sans quoi il ne vaudrait d'être lu. Dans leur grande sagesse, les IG ont mis un intitulé qui nous permet de choisir ce qu'on veut du moment que c'est intéressant. Vous imaginez que les programmes fussent faits de sorte qu'un élève n'ait pas le droit d'étudier Noces ? Ce serait un mauvais programme. Or les programmes sont bons. Donc vous avez le droit de faire étudier Noces : un "OE", une case est prévue à cet effet.Fabienne a écrit:J'aimerais bien trouver un moyen de caser Noces de Camus dans cet objet d'étude l'an prochain.
Cependant, je ne vois qu'une manière d'inscrire cet oeuvre dans "La Question de l'homme": le thème du bonheur. Or, j'ai déjà travaillé là-dessus il y a quelques années.
Quelqu'un aurait-il une autre idée?
La question, c'est "Qu'est-ce que Noces dit [d'intéressant] sur l'homme?".
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Mais tu oublies "dans les genres de l'argumentation", nlm76. Ces fameux genres, tels que... heu...
Les genres de l'argumentation, quoi.
Les genres de l'argumentation, quoi.
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum