- JennyMédiateur
Cette 3e dose ne fonctionne que très partiellement chez les vulnérables.
On s’éloigne du sujet de l’école par contre.
- Spoiler:
- J’ai vu ce matin sur France 2 qu’un hôpital testait des injections d’anticorps de synthèse chez des patients qui avaient subi une greffe. 4 injections par mois sur des personnes qui n’ont pas d’anticorps après 3 doses de vaccin.
On s’éloigne du sujet de l’école par contre.
- mgb35Érudit
Je pense que tu confonds vulnérable et immuno-déprimé, non ?Jenny a écrit:Cette 3e dose ne fonctionne que très partiellement chez les vulnérables.
- Spoiler:
J’ai vu ce matin sur France 2 qu’un hôpital testait des injections d’anticorps de synthèse chez des patients qui avaient subi une greffe. 4 injections par mois sur des personnes qui n’ont pas d’anticorps après 3 doses de vaccin.
On s’éloigne du sujet de l’école par contre.
- Flo44Érudit
Le vaccin (2 doses) ne protège plus qu'à 80% contre les formes graves après 4 mois (après la 2ème dose)
Concrètement, ça veut dire qu'un fragile qui a une chance sur 10 de faire une forme grave (c'est 1 chance sur 100 en pop. générale en moyenne sans vaccin), n'a plus qu'une chance sur 50. C'est bien, mais c'est loin d'être super, surtout quand on est dans un bain de virus concentré (comme... un collège lorsqu'il est un cluster).
Et je parle bien des vulnérables "normaux" pas des immunodéprimés qui doivent absolument (toujours d'après le HSCP) poursuivre l'isolement, même vaccinés 3 doses.
Concrètement, ça veut dire qu'un fragile qui a une chance sur 10 de faire une forme grave (c'est 1 chance sur 100 en pop. générale en moyenne sans vaccin), n'a plus qu'une chance sur 50. C'est bien, mais c'est loin d'être super, surtout quand on est dans un bain de virus concentré (comme... un collège lorsqu'il est un cluster).
- Spoiler:
- Pendant les vagues précédentes, quand on suivait les cluster, on a bien vu que les endroits les plus à risque étaient les hôpitaux, les établissements scolaires en particulier du secondaire, et les Ehpads...
Et je parle bien des vulnérables "normaux" pas des immunodéprimés qui doivent absolument (toujours d'après le HSCP) poursuivre l'isolement, même vaccinés 3 doses.
- Lady OscarNiveau 9
Les profs vulnérables en dessous de 50 ans auront au plus tôt la 3e dose à Noël donc non, on ne se sent pas sereins du tout car, au collège, les élèves sont peu vaccinés.
Dans mon établissement, le port du masque est respecté, même en salle des profs, normal quoi.
Dans mon établissement, le port du masque est respecté, même en salle des profs, normal quoi.
- BalthamosDoyen
Flo44 a écrit:Le vaccin (2 doses) ne protège plus qu'à 80% contre les formes graves après 4 mois (après la 2ème dose)
Concrètement, ça veut dire qu'un fragile qui a une chance sur 10 de faire une forme grave (c'est 1 chance sur 100 en pop. générale en moyenne sans vaccin), n'a plus qu'une chance sur 50. C'est bien, mais c'est loin d'être super, surtout quand on est dans un bain de virus concentré (comme... un collège lorsqu'il est un cluster).D'ailleurs le HSCP a bien réaffirmé en mai que les vulnérables devaient éviter les situations à forte charge virale, même vaccinées!
- Spoiler:
Pendant les vagues précédentes, quand on suivait les cluster, on a bien vu que les endroits les plus à risque étaient les hôpitaux, les établissements scolaires en particulier du secondaire, et les Ehpads...
Et je parle bien des vulnérables "normaux" pas des immunodéprimés qui doivent absolument (toujours d'après le HSCP) poursuivre l'isolement, même vaccinés 3 doses.
C'est justement pour ça que la politique autour du masque serait/ sera corrélé avec le taux d'incidence.
Suivant le ,taux pris en compte, le virus ne circulera pratiquement plus dans ces départements.
- JennyMédiateur
mgb35 a écrit:Je pense que tu confonds vulnérable et immuno-déprimé, non ?Jenny a écrit:Cette 3e dose ne fonctionne que très partiellement chez les vulnérables.
- Spoiler:
J’ai vu ce matin sur France 2 qu’un hôpital testait des injections d’anticorps de synthèse chez des patients qui avaient subi une greffe. 4 injections par mois sur des personnes qui n’ont pas d’anticorps après 3 doses de vaccin.
On s’éloigne du sujet de l’école par contre.
Ils font partie des vulnérables. Le vaccin est aussi moins efficace chez les personnes âgées qui ne sont pas immuno-déprimées. Le problème c’est que les écoles ont tendance à être des nids à virus mais que le virus choppé à l’école se transmet aussi à l’extérieur… Et que des vulnérables travaillent dans des établissements scolaires.
- Flo44Érudit
Ben tu vois, un département c'est grand.
Il y a un taux d'incidence d'un peu plus de 50 dans le mien. Sauf que dans la ville juste à côté du collège, il y a des tas d'abattoirs et d'entreprises alimentaires, et en ce moment il est à plus de 500 dans le coin.
Et le taux d'incidence chez les enfants (en moyenne du département) est autour de 250.
Donc ça n'est pas du tout incompatible avec un méga cluster au collège (d'autant plus que zone défavorisée, beaucoup d'antivax, surtout quand il s'agit des ados, et l'an dernier quasiment personne n'a été testé, malgré des symptômes...)
Il y a un taux d'incidence d'un peu plus de 50 dans le mien. Sauf que dans la ville juste à côté du collège, il y a des tas d'abattoirs et d'entreprises alimentaires, et en ce moment il est à plus de 500 dans le coin.
Et le taux d'incidence chez les enfants (en moyenne du département) est autour de 250.
Donc ça n'est pas du tout incompatible avec un méga cluster au collège (d'autant plus que zone défavorisée, beaucoup d'antivax, surtout quand il s'agit des ados, et l'an dernier quasiment personne n'a été testé, malgré des symptômes...)
- LaotziSage
Après, le gouvernement prend le taux d'incidence général de la population comme mesure. Si l'on regarde le taux d'incidence des 6-10 ans, il est bien plus élevé :
_________________
"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- BalthamosDoyen
Flo44 a écrit:Ben tu vois, un département c'est grand.
Il y a un taux d'incidence d'un peu plus de 50 dans le mien. Sauf que dans la ville juste à côté du collège, il y a des tas d'abattoirs et d'entreprises alimentaires, et en ce moment il est à plus de 500 dans le coin.
Et le taux d'incidence chez les enfants (en moyenne du département) est autour de 250.
Donc ça n'est pas du tout incompatible avec un méga cluster au collège (d'autant plus que zone défavorisée, beaucoup d'antivax, surtout quand il s'agit des ados, et l'an dernier quasiment personne n'a été testé, malgré des symptômes...)
Donc tu aimerais une gestion plus fine, infra départementale ?
Au niveau communal ?
- EnaecoVénérable
Laotzi a écrit:Après, le gouvernement prend le taux d'incidence général de la population comme mesure. Si l'on regarde le taux d'incidence des 6-10 ans, il est bien plus élevé :
Attention à ne pas non plus comparer la semaine 36 aux données de cette semaine.
La baisse du taux d'incidence est généralisée et ces données sont déjà périmées (et le seront encore plus dans les 10jours qui nous séparent de la mesure).
Le critère est de toute façon arbitraire.
On aurait pu prendre les 6-10ans inférieur à 100, il y en aurait pour dire que en fonction des villes d'un même département, ça peut aussi différer.
- Gaelle25Niveau 2
Laotzi a écrit:Après, le gouvernement prend le taux d'incidence général de la population comme mesure. Si l'on regarde le taux d'incidence des 6-10 ans, il est bien plus élevé :
oui mais les 6-10 ans ne sont pas encore vaccinés, donc ce sont des personnes qui vont davantage se faire tester... Normal que le taux d'incidence soit plus élevé.
Je ne comprends toujours pas pourquoi on s'obstine à raisonner avec le taux d'incidence, c'est le pire indicateur qu'il soit !
- EnaecoVénérable
J'ai de la peine à comprendre ta lecture des indicateurs.
Le raccourci "les 6-10 ans ne sont pas encore vaccinés DONC ils se font davantage tester" me parait très discutable. Je pense même que c'est l'inverse.
Le seul moment où le statut vaccinal entre en ligne de compte dans la gestion de l'épidémie, c'est pour le pass sanitaire qui ne concerne pas les 6-10ans (du coup ce sont plutôt les adultes qui se font tester "sans raison").
Comment expliques-tu que le taux de positivité de cette tranche d'âge soit le plus élevée de toutes les tranches ?
Personnellement, je vois deux explications possibles (et qui vont à l'opposé de ce que tu sembles dire) :
- on teste moins les 6-10 ans, on teste surtout les symptomatiques, et du coup on a plus de positifs
- l'épidémie circule davantage chez les 6-10ans.
Mais tu vois peut-être un meilleur indicateur ?
Le raccourci "les 6-10 ans ne sont pas encore vaccinés DONC ils se font davantage tester" me parait très discutable. Je pense même que c'est l'inverse.
Le seul moment où le statut vaccinal entre en ligne de compte dans la gestion de l'épidémie, c'est pour le pass sanitaire qui ne concerne pas les 6-10ans (du coup ce sont plutôt les adultes qui se font tester "sans raison").
Comment expliques-tu que le taux de positivité de cette tranche d'âge soit le plus élevée de toutes les tranches ?
Personnellement, je vois deux explications possibles (et qui vont à l'opposé de ce que tu sembles dire) :
- on teste moins les 6-10 ans, on teste surtout les symptomatiques, et du coup on a plus de positifs
- l'épidémie circule davantage chez les 6-10ans.
Mais tu vois peut-être un meilleur indicateur ?
- Flo44Érudit
100, 50 ou 25, ça ne change pas grand-chose. La probabilité d'avoir un gamin infecté dans un collège ou une école reste élevée *. Il faudrait des taux bien inférieurs pour prendre le risque de tout lâcher.
Le problème, c'est que, vu la contagiosité du machin, si on n'a pas ceinture et bretelles (masque + ventilation), le temps qu'on détecte quelque chose (1er cas symptomatique ET testé), on a des dizaines de gamins porteurs. D'ailleurs si on regarde les récits depuis la rentrée, c'est ce qui se passe à chaque fois. Et c'est ce qu'expliquent les épidémiologistes (voir la tribune récente dans Le Monde). Le problème, c'est l'absence de tests systématiques dans les lieux collectifs (crèches, écoles, centres aérés...). Sans tests, on est aveugles. Conclusion, il faut absolument limiter les contaminations par les autres mesures. Et la plus efficace (on le sait maintenant), c'est le masque. Suivi de la distanciation d'au moins 1,5 m (postillons) et ventilation.
* https://covidtracker.fr/calculateur-risque-covid/
Par exemple, taux d'incidence de 100 parmi les enfants, 300 enfants, 45% de chances d'avoir un enfant positif. En l'absence de mesures, il contamine en moyenne 7 personnes (R0 du variant delta estimé à 7 en moyenne). Taux d'incidence de 50 : 25% de chances...
Le problème, c'est que, vu la contagiosité du machin, si on n'a pas ceinture et bretelles (masque + ventilation), le temps qu'on détecte quelque chose (1er cas symptomatique ET testé), on a des dizaines de gamins porteurs. D'ailleurs si on regarde les récits depuis la rentrée, c'est ce qui se passe à chaque fois. Et c'est ce qu'expliquent les épidémiologistes (voir la tribune récente dans Le Monde). Le problème, c'est l'absence de tests systématiques dans les lieux collectifs (crèches, écoles, centres aérés...). Sans tests, on est aveugles. Conclusion, il faut absolument limiter les contaminations par les autres mesures. Et la plus efficace (on le sait maintenant), c'est le masque. Suivi de la distanciation d'au moins 1,5 m (postillons) et ventilation.
* https://covidtracker.fr/calculateur-risque-covid/
Par exemple, taux d'incidence de 100 parmi les enfants, 300 enfants, 45% de chances d'avoir un enfant positif. En l'absence de mesures, il contamine en moyenne 7 personnes (R0 du variant delta estimé à 7 en moyenne). Taux d'incidence de 50 : 25% de chances...
- nc33Niveau 10
C'est drôlement agréable quand on a la chance de ne côtoyer aucun vulnérable (*), de pouvoir se libérer du masque (en cours en le portant mal) en cette première année scolaire post-vaccination. (* : collègues qui tombent le masque, élèves qui se côtoient en dehors des cours sans masque).Esturgeon a écrit:Je crois qu'il n'y a que sur ce forum que je vois des collègues souhaiter garder le masque
De toute façon, ce n'est plus vraiment respecté depuis la rentrée de septembre, non ? Du moins en salle de prof, on a quasiment laissé tomber le masque chez nous.
Bon si des cas pullulent dans l'établissement on reprendra des précautions, mais comme pour toutes maladies + ou bien - graves que le covid.
- User20159Esprit éclairé
nc33 a écrit:C'est drôlement agréable quand on a la chance de ne côtoyer aucun vulnérable (*), de pouvoir se libérer du masque (en cours en le portant mal) en cette première année scolaire post-vaccination. (* : collègues qui tombent le masque, élèves qui se côtoient en dehors des cours sans masque).
Donc les règles, pour les autres, pas pour moi.....
Toi t'es mûr pour devenir chef d'établissement, aucun ne porte de masque par chez moi...
- frimoussette77Guide spirituel
C'est ce type de comportement qui me désole. Comment faire respecter le règlement quand beaucoup d'adultes en ne le respectent pas ? Je fuis la salle des profs parce que c'est terrible.nc33 a écrit:C'est drôlement agréable quand on a la chance de ne côtoyer aucun vulnérable (*), de pouvoir se libérer du masque (en cours en le portant mal) en cette première année scolaire post-vaccination. (* : collègues qui tombent le masque, élèves qui se côtoient en dehors des cours sans masque).Esturgeon a écrit:Je crois qu'il n'y a que sur ce forum que je vois des collègues souhaiter garder le masque
De toute façon, ce n'est plus vraiment respecté depuis la rentrée de septembre, non ? Du moins en salle de prof, on a quasiment laissé tomber le masque chez nous.
Bon si des cas pullulent dans l'établissement on reprendra des précautions, mais comme pour toutes maladies + ou bien - graves que le covid.
Le pire cette semaine. J'arrive la première et j'ouvre la fenêtre. Une collègue enrhumée arrive juste derrière moi et la referme pour ne pas avoir froid et sort son goûter.
Le lendemain, elle est allée se faire tester. Le test est négatif mais ce comportement me sidère.
- JennyMédiateur
Et je trouve que ça a une répercussion sur le comportement des élèves. L’autre jour, je rentre dans la salle, les élèves ont cours avec un collègue avant donc je prends le relais. J’engueule les élèves qui sont nombreux à ne pas porter le masque avant de voir, tout penaud, le collègue chercher un masque dans son sac… Et évidemment, j’ai passé le début d’heure à lutter pour que les élèves le remettent.
- frimoussette77Guide spirituel
Tout est dit.Jenny a écrit:Et je trouve que ça a une répercussion sur le comportement des élèves. L’autre jour, je rentre dans la salle, les élèves ont cours avec un collègue avant donc je prends le relais. J’engueule les élèves qui sont nombreux à ne pas porter le masque avant de voir, tout penaud, le collègue chercher un masque dans son sac… Et évidemment, j’ai passé le début d’heure à lutter pour que les élèves le remettent.
- JennyMédiateur
Dans mon autre établissement où tout le monde a l’air de le porter, c’est moins la lutte. (Et les gamins récidivistes sont collés tous les soirs la semaine prochaine pour port du masque sous le nez. :diable: )
- EnaecoVénérable
Ha@_x a écrit:nc33 a écrit:C'est drôlement agréable quand on a la chance de ne côtoyer aucun vulnérable (*), de pouvoir se libérer du masque (en cours en le portant mal) en cette première année scolaire post-vaccination. (* : collègues qui tombent le masque, élèves qui se côtoient en dehors des cours sans masque).
Donc les règles, pour les autres, pas pour moi.....
Toi t'es mûr pour devenir chef d'établissement, aucun ne porte de masque par chez moi...
Où est le rapport avec la fonction de chef d'établissement ?
- InvitéInvité
Enaeco a écrit:Ha@_x a écrit:nc33 a écrit:C'est drôlement agréable quand on a la chance de ne côtoyer aucun vulnérable (*), de pouvoir se libérer du masque (en cours en le portant mal) en cette première année scolaire post-vaccination. (* : collègues qui tombent le masque, élèves qui se côtoient en dehors des cours sans masque).
Donc les règles, pour les autres, pas pour moi.....
Toi t'es mûr pour devenir chef d'établissement, aucun ne porte de masque par chez moi...
Où est le rapport avec la fonction de chef d'établissement ?
un exemple parmi tant d’autres, je ne parle que de mon établissement et ceci n’augure pas du fait que tous les personnels de direction font ce genre de choses
moi: j’emmène un café que je n’ai pas eut le temps de boire jusqu’à ma classe de cours (avant le covid)
personnel de direction: «c’est inacceptable, c’est interdit, il faut montrer l’exemple»
moi: je suis le sens de circulation (depuis le covid)
personnel de direction: prends le raccourci à contre sens avec tout un groupe d’élèves
- EnaecoVénérable
Concernant l'exemple, j'aurai tendance à accorder plus d'importance au port du masque en classe qu'au sens de circulation, mais peut-être que l'idée est de dire que le personnel de direction ne respecte pas plus les règles que toi.
Encore une fois, je ne vois pas le lien avec la fonction.
Je pense que les fils covid de ce forum regorgent de témoignages : dans toutes les catégories socio-professionnelles, on trouve des gens qui ne respectent pas les règles.
S'il fallait tirer une conclusion à partir d'un exemple, les collègues de mon établissement diraient qu'il n'y a pas plus à cheval sur le port du masque et le respect des gestes barrière qu'un CdE.
Encore une fois, je ne vois pas le lien avec la fonction.
Je pense que les fils covid de ce forum regorgent de témoignages : dans toutes les catégories socio-professionnelles, on trouve des gens qui ne respectent pas les règles.
S'il fallait tirer une conclusion à partir d'un exemple, les collègues de mon établissement diraient qu'il n'y a pas plus à cheval sur le port du masque et le respect des gestes barrière qu'un CdE.
- fanetteFidèle du forum
Ne pas porter le masque en présence d'élèves (ou d'adultes d'ailleurs) dans une salle de classe, un bureau de vie sco, etc., n'est-ce pas une faute professionnelle ? Quelqu'un saurait dire les risques encourus par l'adulte réfractaire ?
_________________
L'école nuit gravement à l'obscurantisme !
- BalthamosDoyen
Jenny a écrit:Et je trouve que ça a une répercussion sur le comportement des élèves. L’autre jour, je rentre dans la salle, les élèves ont cours avec un collègue avant donc je prends le relais. J’engueule les élèves qui sont nombreux à ne pas porter le masque avant de voir, tout penaud, le collègue chercher un masque dans son sac… Et évidemment, j’ai passé le début d’heure à lutter pour que les élèves le remettent.
Je ne trouve pas.
Dans mon collège, j'ai des collègues (et des membres de la direction...) qui ne portent pas le masque en classe, le baissent souvent, bref de gros réfractaires.
Sans étonnement les élèves portent mal ou pas le masque avec lui.
Pourtant avec moi la règle est clair et dès qu'ils me voient dans le couloir, ils le mettent. Dans mon cours je dois le rappeler quelques fois mais ils le mettent sans lutter.
Pour le comportement en salle des profs ou entre adultes, je suis moins intransigeant que certains collègues ici.
- lilith888Grand sage
fanette a écrit:Ne pas porter le masque en présence d'élèves (ou d'adultes d'ailleurs) dans une salle de classe, un bureau de vie sco, etc., n'est-ce pas une faute professionnelle ? Quelqu'un saurait dire les risques encourus par l'adulte réfractaire ?
Le bûcher!
- JennyMédiateur
Balthamos : Je suis TZR en service partagé, les élèves ne me connaissent pas (et l’établissement est loin d’être facile, je n’ai que des STMG…). Ça n’aide pas.
Je remarque juste que dans mon autre lycée, pas plus facile… ça se passe mieux sur le masque, ils sentent qu’il y a une règle commune.
Je remarque juste que dans mon autre lycée, pas plus facile… ça se passe mieux sur le masque, ils sentent qu’il y a une règle commune.
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
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