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- NLM76Grand Maître
Bon. Ça y est, je crois que j'ai trouvé, dans "Hier encore" d'Aznavour, mon exemple-type pour l'accord du participe passé dans les verbes qui se conjuguent avec l'auxiliaire "être".
D'une part, j'ai un accord du participe passé avec l'auxiliaire "être", hors voix passive et pronominale, qui s'entend tout naturellement; j'en ai un second qui s'entend... à condition de jouer les Topaze. Ce qui n'est pas nécessaire, ni naturel, mais possible et défendable, même si Aznavour lui-même, d'après ce que j'entends, ne fait pas la liaison.
En plus j'ai un exemple moderne d'alexandrin épique ! Et "amours" au féminin. Tout pour plaire.
Tiens, je viens d'entendre une passagère dire, en sortant du bus : "Vous zaussi, bonne journée". Et j'ai eu le sentiment que c'était un marqueur d'appartenance à "la" classe moyenne, comme le "Comment Tallez-vous" entendu ce matin sur France bleu, ou le "Faites Zattention" de ma mère, qui ne supporte pas d'entendre "Faittattention".
- Car mes amours sont mortes avant que d'exister;
Mes amis sont partis et ne reviendront plus.
D'une part, j'ai un accord du participe passé avec l'auxiliaire "être", hors voix passive et pronominale, qui s'entend tout naturellement; j'en ai un second qui s'entend... à condition de jouer les Topaze. Ce qui n'est pas nécessaire, ni naturel, mais possible et défendable, même si Aznavour lui-même, d'après ce que j'entends, ne fait pas la liaison.
En plus j'ai un exemple moderne d'alexandrin épique ! Et "amours" au féminin. Tout pour plaire.
Tiens, je viens d'entendre une passagère dire, en sortant du bus : "Vous zaussi, bonne journée". Et j'ai eu le sentiment que c'était un marqueur d'appartenance à "la" classe moyenne, comme le "Comment Tallez-vous" entendu ce matin sur France bleu, ou le "Faites Zattention" de ma mère, qui ne supporte pas d'entendre "Faittattention".
- IphigénieProphète
D’après ce que tu dis dans ton dernier paragraphe n’est e pas plutôt un marqueur d’âge ?
- HocamSage
NLM76 a écrit:Bon. Ça y est, je crois que j'ai trouvé, dans "Hier encore" d'Aznavour, mon exemple-type pour l'accord du participe passé dans les verbes qui se conjuguent avec l'auxiliaire "être".
- Car mes amours sont mortes avant que d'exister;
Mes amis sont partis et ne reviendront plus.
D'une part, j'ai un accord du participe passé avec l'auxiliaire "être", hors voix passive et pronominale, qui s'entend tout naturellement; j'en ai un second qui s'entend... à condition de jouer les Topaze. Ce qui n'est pas nécessaire, ni naturel, mais possible et défendable, même si Aznavour lui-même, d'après ce que j'entends, ne fait pas la liaison.
En plus j'ai un exemple moderne d'alexandrin épique ! Et "amours" au féminin. Tout pour plaire.
J'aime beaucoup ces exemples, et cette chanson d'Aznavour (même si stylistiquement ce n'est pas toujours un modèle : dans « par ma faute j'ai fait le vide autour de moi », par exemple, il y a une redondance qui m'a toujours un peu égratigné l'oreille, alors que le reste de la chanson se tient).
- NLM76Grand Maître
@Hocam : Je te trouve bien sévère avec la redondance. C'est très bien, la redondance.
Bon cela dit, j'ai trouvé un participe passé avec l'auxiliaire être où l'on entend le pluriel. Dans Brassens, "La première fille" : "Ils sont partis zà tire d'aile / Mes souvenirs de la Suzon."
C'est une chanson d'autant plus intéressante pour notre sujet qu'il me semble que Brassens, selon les versions dit "La première fille qu'on a pris dans ses bras" (sans accord du p.p., dans l'album que je possède) ou "qu'on a prisE dans ses bras" (dans une version enregistrée à la télévision, et diffusée sur Youtube par l'INA).
Bon cela dit, j'ai trouvé un participe passé avec l'auxiliaire être où l'on entend le pluriel. Dans Brassens, "La première fille" : "Ils sont partis zà tire d'aile / Mes souvenirs de la Suzon."
C'est une chanson d'autant plus intéressante pour notre sujet qu'il me semble que Brassens, selon les versions dit "La première fille qu'on a pris dans ses bras" (sans accord du p.p., dans l'album que je possède) ou "qu'on a prisE dans ses bras" (dans une version enregistrée à la télévision, et diffusée sur Youtube par l'INA).
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- HocamSage
NLM76 a écrit:C'est une chanson d'autant plus intéressante pour notre sujet qu'il me semble que Brassens, selon les versions dit "La première fille qu'on a pris dans ses bras" (sans accord du p.p., dans l'album que je possède) ou "qu'on a prisE dans ses bras" (dans une version enregistrée à la télévision, et diffusée sur Youtube par l'INA).
Belle trouvaille ! Je regarderai dans ma « chresthomathie » à la sauce chanson française si j'ai des exemples de ce genre.
Ben oui mais pas ici. Je suis versificateur à mes heures perdues et je suis persuadé que le parolier (que ce soit Aznav ou son beau-frère Garvarentz) a voulu chercher un alexandrin pour avoir un alexandrin, et la redondance sent fortement la colle. Il veut dire « par ma faute le vide s'est fait autour de moi », mais ce n'est pas un alexandrin et ça passe moins bien, forcément. S'il tenait à la métrique, il y avait par exemple « J'ai fait sans le vouloir le vide autour de moi », mais je suis sûr en tout cas qu'on peut trouver mieux que « par ma faute » + « j'ai fait ». Bon, la chanson étant à tous les niveaux très au-dessus de 95% de ce que j'entends à la radio, je ne lui en ferai pas grief plus que cela. Quandoque bonus dormitat HomerusNLM76 a écrit:@Hocam : Je te trouve bien sévère avec la redondance. C'est très bien, la redondance.
- NLM76Grand Maître
Un jour, il faudra qu'on discute de la question des chevilles, et d'Homère qui sommeillerait...
Mais si tu trouves une chanson célèbre où l'auteur fait entendre nettement l'accord du participe passé (au féminin) avec un COD placé avant, je suis preneur !
Mais si tu trouves une chanson célèbre où l'auteur fait entendre nettement l'accord du participe passé (au féminin) avec un COD placé avant, je suis preneur !
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- maikreeeesseGrand sage
Cela irait ?
On est bien peu de chose
Et mon amie la rose
Me l'a dit ce matin
Vois le dieu qui m'a faite
Me fait courber la tête
Mon amie la rose par Francoise Hardy
On est bien peu de chose
Et mon amie la rose
Me l'a dit ce matin
Vois le dieu qui m'a faite
Me fait courber la tête
Mon amie la rose par Francoise Hardy
- NLM76Grand Maître
Pas mal ! Qui est l'auteur ?
Edit : j'ai trouvé. Cécile Caulier. Bon, maintenant, il faut trouver un cas où on entend l'absence d'accord, ni avec le sujet, ni avec l'objet.
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- NLM76Grand Maître
Bon. J'ai trouvé cela dans un dialogue de film : " — Mais j’ai dit la vérité !
— Cette vérité-là, vous me l’avez dite dix fois. Maintenant je veux l’autre vérité : la vraie."
— Cette vérité-là, vous me l’avez dite dix fois. Maintenant je veux l’autre vérité : la vraie."
Jeu: trouvez dans quel film.
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- HocamSage
NLM76 a écrit:Un jour, il faudra qu'on discute de la question des chevilles, et d'Homère qui sommeillerait...
Celles d'Aznavour sont bien enflées parfois.
NLM76 a écrit:Mais si tu trouves une chanson célèbre où l'auteur fait entendre nettement l'accord du participe passé (au féminin) avec un COD placé avant, je suis preneur !
J'aime bien celle de Françoise Hardy citée plus haut. En farfouillant dans mes snippets grammaticaux, j'ai ce passage de Joe Dassin dans Chanson triste :
Sa chanson, il l'a faite sans savoir comment
C'est peut-être son cœur qu'on entend
Quand un autre la chante en passant
C'est peut-être son cœur qu'on entend
Quand un autre la chante en passant
Une césure enjambante qui vaut ce qu'elle vaut, et un sympathique glissement de l'alexandrin à l'énéasyllabe au passage. :sourit:
À 1:54.
- Mélusine2Niveau 10
Hocam a écrit:Tu ne réponds pas à ce que je dis : comment peux-tu affirmer ici n'avoir jamais entendu i pour il ? On ne parle même pas de son élégance ou de sa validité, mais là tu nies carrément un phénomène d'une ampleur telle que c'en est ridicule. Parce que bon, même en Occitanie, où je me rends de temps en temps, il y a des ploucs de la moitié nord comme moi qui viennent massivement pratiquer leurs immondes élisions sous le nez des braves Méridionaux qui prononcent toutes les lettres, hein.
Un peu monomaniaque, le garçon
Je dis que je ne l'entends pas parce que je ne l'entends pas, tes ploucs à toi ne sont pas en classe avec mes ploucs à moi, voilà voilà, on ne va pas y passer les Pâques.
Hocam a écrit:Tu comprends à l'envers ce que je dis sur les politiques, en plus. Ce n'est pas pour imiter une élite que des gens élident le L, c'est tout simplement comme cela que nous parlons depuis des décennies. Mes amis, ma famille, moi-même — les profs d'université, les profs de collège, les PE, les agents d'entretien, les secrétaires, les animateurs, les cheminots, les commerçants, tout le monde à de très rares exceptions près. La comparaison avec la supposée élite est simplement pour montrer qu'on le dit à tous les étages. Ce serait à la rigueur certains politiques qui diraient i' faut pour « faire peuple », mais même là je ne crois pas que ce soit vrai, comme je l'ai expliqué avec Fabius. Rien à voir avec le modèle d'une élite imité par d'autres, rien à voir avec une convention artificielle, bien au contraire : c'est la langue du quotidien dans tout ce qu'elle a de plus vivant, ce i pour il ; tu es au-delà du contresens linguistique, là.
Non, je ne crois pas : relis le début du fil, tu verras qu'il n'y est pas du tout question de "faire peuple", mais d'un code particulier ainsi défini par NLM :
NLM76 a écrit: En particulier, il s'agit que le rapport entre l'oral et l'écrit soit le plus obscur possible, de sorte que l'autodidacte, pourvu d'une culture livresque, soit facilement reconnu et ridiculisé.
De même, dans l'aristocratie et la grande bourgeoisie, il était, jusque assez récemment, ridicule de s'efforcer de prononcer le [l] quand le pronom sujet "il" était suivi d'une consonne.
Hocam a écrit:Je précise que cela n'a en effet rien à voir non plus avec le reste de ce que tu écris, je suis d'accord avec NLM sur le rapport écrit/oral et le danger de ces codes sociaux ridicules que tu évoques. Mais le i/il est en dehors de ce débat.
Hum... si tu pouvais avoir l'obligeance de lire ce à quoi tu réponds avant de jouer au petit censeur, ce serait plus facile de communiquer.
Pour le reste, je ne reviens pas sur ce que j'en ai dit, avec quoi tu sembles en accord : lis mieux et n'en parlons plus.
- HocamSage
Je répondrai en MP, car je n'aime pas la mauvaise foi dont tu fais preuve, mais on ne va pas faire s'éterniser cette discussion ici.
- NLM76Grand Maître
Eh bien zut alors ! J'ai oublié dans quel film j'ai trouvé ça. Il y a quelqu'un à qui ça revient ?NLM76 a écrit:Bon. J'ai trouvé cela dans un dialogue de film : " — Mais j’ai dit la vérité !
— Cette vérité-là, vous me l’avez dite dix fois. Maintenant je veux l’autre vérité : la vraie."Jeu: trouvez dans quel film.
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- NLM76Grand Maître
Vous auriez des exemples de liaisons avec un -s/-x marqueur de 1re/2e personne du singulier ou du pluriel, mais surtout du singulier ? Dans des comptines, chansons, poèmes.
A tous les temps, mais surtout au présent.
J'ai "Je vais-Z-et je viens"... mais je ne voudrais pas me limiter aux chansons zérotiques !
A tous les temps, mais surtout au présent.
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- IphigénieProphète
Allons enfants!
123 nous irons au bois!
123 nous irons au bois!
- NLM76Grand Maître
Super !
Et pour le singulier ?
Et pour le singulier ?
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- IphigénieProphète
Et je m’en vais
Au vent mauvais
?
Au vent mauvais
?
- NLM76Grand Maître
Je viens de retrouver : "Tu plais à ma mère, tu plais à mon père..." dans "Salade de fruits" de Bourvil.
"Je m'en vais au vent mauvais" n'est pas mal, mais un peu spécial : liaison sur l'enjambement. Gainsbourg fait la liaison quand il cite Verlaine ?
"Je m'en vais au vent mauvais" n'est pas mal, mais un peu spécial : liaison sur l'enjambement. Gainsbourg fait la liaison quand il cite Verlaine ?
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- IphigénieProphète
oui, je ne sais pas!
- zigmag17Guide spirituel
Gainsbourg chante " Comme dit si bien Verlaine/ Au vent mauvais"...
- IphigénieProphète
Pfff
- zigmag17Guide spirituel
- IphigénieProphète
Je suis au regret de te dire
- zigmag17Guide spirituel
... Que de liaison dans la chanson point n'en fais! ( Signé Gainsbourg par procuration !)
- IphigénieProphète
Oui dans la javanaise aussi!
- zigmag17Guide spirituel
Ah La Javanaise je vais devoir la réécouter, je ne me souviens plus des liaisons ou de leur absence ( sauf dans "nous nous aimions")
Le sujet m'intéresse. Peut-être faudrait-il chercher du côté de Bobby Lapointe, Boris Vian, Maurice Carême...
Le sujet m'intéresse. Peut-être faudrait-il chercher du côté de Bobby Lapointe, Boris Vian, Maurice Carême...
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