Une seule revendication, la revalorisation de nos traitements ?
- Pourquoi 3,14159Expert
En cette fin d'année mouvementée, et après des années d'actions et de mouvements sans observer la moindre inflexion de la part des Ministres de l'EN. Ne devrions nous pas penser un peu plus à nous et tout miser sur la revalorisation substantielle de nos traitements ? Après tout, nos têtes pensantes nous demandent d'appliquer réformes après réformes, c'est beaucoup de travail en plus. Et tout travail mérite salaire !
Qu'en pensez-vous ?
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"Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité. " (Albert Einstein).
- EuthyphronNiveau 6
Il manque ce qui est à mon sens la bonne réponse.
Oui, la question des salaires est importante, mais je ne suis pas du tout d'accord pour qu'elle occulte le reste.
Oui, la question des salaires est importante, mais je ne suis pas du tout d'accord pour qu'elle occulte le reste.
- MambaNiveau 7
C'est une question d'importance en effet !
- CleroliDoyen
+1Euthyphron a écrit:Il manque ce qui est à mon sens la bonne réponse.
Oui, la question des salaires est importante, mais je ne suis pas du tout d'accord pour qu'elle occulte le reste.
- Pourquoi 3,14159Expert
Moi aussi j'étais comme vous, mais aujourd'hui ma coupe est pleine. Une revendication peut en occulter une autre et cette autre c'est toujours la même. D'où le : Une seule revendication.Cleroli a écrit:+1Euthyphron a écrit:Il manque ce qui est à mon sens la bonne réponse.
Oui, la question des salaires est importante, mais je ne suis pas du tout d'accord pour qu'elle occulte le reste.
En 1999, mes effectifs de classe sont passés de 24 à 32, pour le même traitement.
En 2003, nous sommes passés en apprentissage par compétences, pour le même traitement.
En 2010, mon champ professionnel a été étendu à 3 autres, pour le même traitement.
Les CCF ont été multipliés, pour le même traitement.
L'horaire hebdomadaire a été diminué pas le contenu disciplinaire et ajout de niveaux, pour le même traitement.
Bref...
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"Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité. " (Albert Einstein).
- pseudo-intelloSage
... pour le même traitement.
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- Pourquoi 3,14159Expert
N'hésitez pas à poster votre revendication principale, s'il devait n'y en avoir qu'une, qui ferait vous impliquer à fond. Soyons constructifs.
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- ditaNeoprof expérimenté
On ne travaille pas pour la gloire. Le traitement est la seule chose qui compte à mes yeux.
- LefterisEsprit sacré
Message du ministre sur les boîtes mails aujourd'hui. Un vraie provoc... Inquiétude, parfois, des enseignants, mais vrai bonheur à travailler. Grand travail en cours pour revaloriser nos carrières, mais c'est difficile en raison des contraintes, le bien-être au travail est aussi important Heureusement qu'il s'y emploie comme on le voit
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- LilypimsGrand sage
Le traitement n'est pas ma seule revendication mais elle est très importante ; par conséquent, j'ai voté pour la première proposition.
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...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- VinZTDoyen
Je suis peut-être mal réveillé, mais je ne comprends pas le sens donné à « implication » dans les questions du sondage.
S'agit-il de s'impliquer en acceptant n'importe quoi si le traitement est revalorisé (bi ou trivalence, annualisation, etc.) ?
S'agit-il de s'impliquer dans une lutte (syndicale ou autre) pour exiger cette revalorisation ?
S'agit-il de s'impliquer en acceptant n'importe quoi si le traitement est revalorisé (bi ou trivalence, annualisation, etc.) ?
S'agit-il de s'impliquer dans une lutte (syndicale ou autre) pour exiger cette revalorisation ?
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« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- NLM76Grand Maître
Revalorisation, oui. Mais certes pas pour appliquer les réformes crétinissimes. Pour instruire mes élèves.
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Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- Pourquoi 3,14159Expert
VinZT a écrit:Je suis peut-être mal réveillé, mais je ne comprends pas le sens donné à « implication » dans les questions du sondage.
S'agit-il de s'impliquer en acceptant n'importe quoi si le traitement est revalorisé (bi ou trivalence, annualisation, etc.) ?
S'agit-il de s'impliquer dans une lutte (syndicale ou autre) pour exiger cette revalorisation ?
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- HéliandreExpert
+1.Lilypims a écrit:Le traitement n'est pas ma seule revendication mais elle est très importante ; par conséquent, j'ai voté pour la première proposition.
Et puis ça fait trop longtemps que ça dure, de ne pas en parler, que ça se dégrade, les mensonges de communication et la différence avec les autres au motif qu'on est trop nombreux.
- KimberliteExpert
Mais bien sûr... quel bien-être de venir travailler 5 jours pendant les vacances! Quel bien-être de devoir faire une heure supplémentaire obligatoire en plus! Quel bien-être pour tous les collègues qui vont subir les réductions d'heures avec mesures de carte scolaire ou postes partagés à la clé! Quel bien-être pour les enseignants se retrouvant avec encore plus d'élèves dans leurs classes relevant de SEGPA ou autres ULIS! Quel bien-être de voir les équipes se disputer le bout de gras, chacun essayant de ne pas perdre trop d'heure! Quel bien-être, que de voir combien notre métier est dénigré par notre ministre en personne!Lefteris a écrit:Message du ministre sur les boîtes mails aujourd'hui. Un vraie provoc... Inquiétude, parfois, des enseignants, mais vrai bonheur à travailler. Grand travail en cours pour revaloriser nos carrières, mais c'est difficile en raison des contraintes, le bien-être au travail est aussi important Heureusement qu'il s'y emploie comme on le voit
Quel bien-être, pour les collègues de LP et la réforme inique qu'ils vont subir!
Quel bien-être que la surcharge de travail des enseignants de lycée avec la réforme...
Et j'en oublie certainement (et d'autres mesures de bien-être sont dans les cartons, on le sait).
K
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- Spoiler:
- Pat BÉrudit
Je n'ai pas encore voté... parce que je pense que ce doit être la revendication principale, mais pas la seule. Il me semble qu'il est plus facile d'obtenir le soutien de l'opinion publique en parlant également de la dégradation des conditions d'étude et des diplômes suite aux différentes réformes (et cette introduction du contrôle continu pour détruire définitivement le bac).
Cela dit, pour avoir un peu de soutien de l'opinion publique, on peut sans doute axer la comm' sur la qualité de l'enseignement. Du genre : "Si vous voulez de bons profs, indispensables à un enseignement de qualité, il faut 1) avant tout : augmenter leurs salaires pour que le métier soit attractif, 2) améliorer les conditions de travail (ou du moins cesser de les dégrader); et 3) avoir confiance en leur professionnalisme : ils sont les plus compétents pour juger du bien-fondé d'un projet de réforme.
Je vais sans doute finir par voter... mais le sondage me semble mal posé, on ne se retrouve pas forcément dans une proposition, on peut être prêt à s'impliquer à 100% mais souhaiter ne pas limiter les revendications.
Cela dit, pour avoir un peu de soutien de l'opinion publique, on peut sans doute axer la comm' sur la qualité de l'enseignement. Du genre : "Si vous voulez de bons profs, indispensables à un enseignement de qualité, il faut 1) avant tout : augmenter leurs salaires pour que le métier soit attractif, 2) améliorer les conditions de travail (ou du moins cesser de les dégrader); et 3) avoir confiance en leur professionnalisme : ils sont les plus compétents pour juger du bien-fondé d'un projet de réforme.
Je vais sans doute finir par voter... mais le sondage me semble mal posé, on ne se retrouve pas forcément dans une proposition, on peut être prêt à s'impliquer à 100% mais souhaiter ne pas limiter les revendications.
- HocamSage
Certainement pas. Ne revendiquer QUE la revalorisation des traitements serait une immonde absurdité, c'est le meilleur moyen de se manger de grosses réformes structurelles avec en contrepartie des cacahuètes provisoires qui nous seront retirées à la première occasion (à la prochaine crise économico-financière, par exemple). La diminution des horaires pour les élèves, elle, est bien pérenne, tout comme le grignotement du statut, la généralisation des compétences, de l'utilitarisme, de cycles pluri-annuels, la surimposition de tâches annexes et mille autres carabistouilleries. Vu le nombre de collègues prêts à accepter des dispositifs moisis dès qu'on leur fait miroiter quelques piécettes, je ne suis pas très confiant.
Le principe même de n'avoir qu'une seule revendication est à mon sens sans aucun intérêt. Dans l'ordre des priorités, je place les congés et le nombre d'élèves par classe bien plus haut que cette question. Et puis sincèrement, vu le sens que les gouvernements successifs accordent au mot « revalorisation » depuis des années (« je veux revaloriser le métier d'enseignant », « on va revaloriser le Smic », « nous avons revalorisé le pouvoir d'achat enseignant avec une deuxième heure supplémentaire » : [se fait violence pour s'autocensurer] !!!), je préfère encore une stagnation assumée, merci bien.
Le principe même de n'avoir qu'une seule revendication est à mon sens sans aucun intérêt. Dans l'ordre des priorités, je place les congés et le nombre d'élèves par classe bien plus haut que cette question. Et puis sincèrement, vu le sens que les gouvernements successifs accordent au mot « revalorisation » depuis des années (« je veux revaloriser le métier d'enseignant », « on va revaloriser le Smic », « nous avons revalorisé le pouvoir d'achat enseignant avec une deuxième heure supplémentaire » : [se fait violence pour s'autocensurer] !!!), je préfère encore une stagnation assumée, merci bien.
- MathadorEmpereur
Le problème serait surtout de demander une revalorisation sans préciser de montant. Demander à ce que les certifiés soient aussi bien payés que (par exemple) les inspecteurs des finances aurait déjà plus de sens.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- LefterisEsprit sacré
Exactement : alignement sur la catégorie A, au moins sur la moyenne constatée par l'Etat lui-même, dans le rapport annuel. Et pas de contrepartie qui revient à faire les poches d'un autre côté, comme les HS moins payées ou telle ou telle charge débile.Mathador a écrit:Le problème serait surtout de demander une revalorisation sans préciser de montant. Demander à ce que les certifiés soient aussi bien payés que (par exemple) les inspecteurs des finances aurait déjà plus de sens.
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- HORAHabitué du forum
Lefteris a écrit:Exactement : alignement sur la catégorie A, au moins sur la moyenne constatée par l'Etat lui-même, dans le rapport annuel. Et pas de contrepartie qui revient à faire les poches d'un autre côté, comme les HS moins payées ou telle ou telle charge débile.Mathador a écrit:Le problème serait surtout de demander une revalorisation sans préciser de montant. Demander à ce que les certifiés soient aussi bien payés que (par exemple) les inspecteurs des finances aurait déjà plus de sens.
Voilà. Et qu'on répète en boucle que non, on n'est pas payés 10 mois sur 12, on a "seulement" le régime indemnitaire le plus bas de la FP (coucou les retraites), et que oui, les enseignants, à qualification et niveau de concours égaux, travaillent autant que leurs homologues de catégorie A si on tient compte des rtt, dont les enseignants n'ont jamais bénéficié.
- LefterisEsprit sacré
C'est pour éviter ça que le discours implicite officiel distille par "petites phrases", sous-entendus, l'idée que le temps de travail est inférieur, et que pour gagner plus, il faut travailler plus. L'Etat ne peut reconnaître officiellement :"les enseignants travaillent autant que les autres mais nous les payons moins". C'est la même raison qui pousse à minimiser les difficultés, les maladies, les suicides, ce à quoi avait réagi le mouvement "pas de vague", à nier les problème du recrutement en affichant les "heures postes" créées (mais pas forcément pourvues).HORA a écrit:
Voilà. Et qu'on répète en boucle que non, on n'est pas payés 10 mois sur 12, on a "seulement" le régime indemnitaire le plus bas de la FP (coucou les retraites), et que oui, les enseignants, à qualification et niveau de concours égaux, travaillent autant que leurs homologues de catégorie A si on tient compte des rtt, dont les enseignants n'ont jamais bénéficié.
Il y a une vraie guerre de la communication , et il faut le dire à l'avantage du gouvernement.
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- BolzanoNiveau 5
Lefteris a écrit:alignement sur la catégorie A, au moins sur la moyenne constatée par l'Etat lui-même, dans le rapport annuel. Et pas de contrepartie qui revient à faire les poches d'un autre côté
Sur bfm hier, dans l'émission où intervenaient JR Girard et Natacha Polony, la déléguée LREM à l'éducation, Ilana Cicurel, disait que le gouvernement réfléchit à une revalorisation "dans le cadre général de la réforme des retraites". Ça sent l'arnaque à plein nez.
- NLM76Grand Maître
L'idée, c'est quand même que nos retraites soient à peu près divisées par deux, en la basant sur la moyenne des 25 dernières années...
Un minimum, pour commencer, c'est d'appliquer la grille des agrégés aux certifiés, PLP et instituteurs. Après, on peut commencer à discuter.
Un minimum, pour commencer, c'est d'appliquer la grille des agrégés aux certifiés, PLP et instituteurs. Après, on peut commencer à discuter.
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- HORAHabitué du forum
Lefteris a écrit:C'est pour éviter ça que le discours implicite officiel distille par "petites phrases", sous-entendus, l'idée que le temps de travail est inférieur, et que pour gagner plus, il faut travailler plus. L'Etat ne peut reconnaître officiellement :"les enseignants travaillent autant que les autres mais nous les payons moins". C'est la même raison qui pousse à minimiser les difficultés, les maladies, les suicides, ce à quoi avait réagi le mouvement "pas de vague", à nier les problème du recrutement en affichant les "heures postes" créées (mais pas forcément pourvues).HORA a écrit:
Voilà. Et qu'on répète en boucle que non, on n'est pas payés 10 mois sur 12, on a "seulement" le régime indemnitaire le plus bas de la FP (coucou les retraites), et que oui, les enseignants, à qualification et niveau de concours égaux, travaillent autant que leurs homologues de catégorie A si on tient compte des rtt, dont les enseignants n'ont jamais bénéficié.
Il y a une vraie guerre de la communication , et il faut le dire à l'avantage du gouvernement.
C'est ici à mon sens qu'il faut rompre avec une certaine tradition syndicale enseignante : dernièrement un collègue m'a fait part de son indignation à propos de la formation imposée sur les vacances scolaires en arguant du fait qu'ils n'ont pas le droit d'y toucher car on est payés 10 mois sur 12 comme chacun sait... Mais d'où elle sort, cette farce qui justifierait un traitement moindre ? Et je m'inclus dans les gogos qui l'ont avalée, alors même que j'étais plutôt du genre à éplucher les docs de mon ancien syndicat (le majoritaire). Pourquoi cette frilosité à rabâcher patiemment mais sûrement les raisons pour lesquelles nous sommes objectivement sous-payés ? Pour s'indigner et revendiquer, il faut déjà avoir une conscience claire de ce qui ne va pas.
- almuixeNeoprof expérimenté
L'inverse serait étonnant, on voit rarement gagner ceux qui n'ont que leurs petits poings serrés face à ceux armés des canons (médiatiques).Lefteris a écrit:Il y a une vraie guerre de la communication , et il faut le dire à l'avantage du gouvernement.
- Un sondage qui nous concerne : demandons la revalorisation de nos traitements !
- Sur la revendication d'une hausse de salaire de 1000 €
- Revalorisation conséquente des enseignants : primes, la seule solution non utopique.
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