- nicole 86Expert spécialisé
Pour le défi 38, un livre dont le titre contient une apostrophe : Journal d'un apprenti moine zen de Giei Sato.
Il s'agit plutôt de notes sur la vie quotidienne que d'un vrai journal, chaque chapitre, illustré d'un dessin souvent plein d'humour, occupe deux pages. Je ne connais rien au bouddhisme zen mais j'ai noté à la fois des similitudes avec la vie des moines chrétiens et des dissemblances. Bref, j'ai passé quelques douces heures en compagnie de ce texte écrit en 1966 et traduit par un religieux catholique, un livre emprunté à la médiathèque que j'aimerais conserver (je suis passionnée par ce qui tourne autour du monachisme). Amateurs d'action s'abstenir !
Il s'agit plutôt de notes sur la vie quotidienne que d'un vrai journal, chaque chapitre, illustré d'un dessin souvent plein d'humour, occupe deux pages. Je ne connais rien au bouddhisme zen mais j'ai noté à la fois des similitudes avec la vie des moines chrétiens et des dissemblances. Bref, j'ai passé quelques douces heures en compagnie de ce texte écrit en 1966 et traduit par un religieux catholique, un livre emprunté à la médiathèque que j'aimerais conserver (je suis passionnée par ce qui tourne autour du monachisme). Amateurs d'action s'abstenir !
- miss sophieExpert spécialisé
Pour les défis 34 (un livre dont l'histoire se déroule sur 24 heures) et 48 (un livre dont l'histoire contient un procès) : Douze hommes en colère de Reginald Rose (1954).
Célèbre pièce de théâtre présentant un huis clos où douze jurés délibèrent sur le verdict à apporter dans une affaire de parricide : au départ un seul d’entre eux n’est pas convaincu de la culpabilité de l’adolescent, et va tâcher de partager ses doutes pour qu’il ne soit pas envoyé à la chaise électrique. Un texte très efficace.
Célèbre pièce de théâtre présentant un huis clos où douze jurés délibèrent sur le verdict à apporter dans une affaire de parricide : au départ un seul d’entre eux n’est pas convaincu de la culpabilité de l’adolescent, et va tâcher de partager ses doutes pour qu’il ne soit pas envoyé à la chaise électrique. Un texte très efficace.
- DaphNenyaNeoprof expérimenté
J'ai *enfin* fini Le Nom de la Rose d'Umberto Eco pour le défi 37 : Un livre dont l'histoire se déroule avant la naissance de l'auteur.
Avec cette année de stage, j'ai eu la tête dans le guidon de janvier à la semaine dernière.
C'était une relecture, je l'avais lu peu de temps après avoir vu le film en 86.
J'ai de nouveau beaucoup aimé, l'ambiance dans cette abbaye froide du nord de l'Italie est très particulière.
A ce sujet, l'abbaye ayant inspiré l'auteur est en course pour être classée à l'UNESCO.
https://www.francetvinfo.fr/culture/patrimoine/histoire/l-039-abbaye-qui-a-inspire-quot-le-nom-de-la-rosequot-d-039-umberto-eco-bientot-classee-a-l-039-unesco_3329047.html
Je viens de commencer Les Larmes Interdites de Navy Soth et Sophie Ansel, sur le génocide au Cambodge, je verrai si je peux l'intégrer au défi.
Avec cette année de stage, j'ai eu la tête dans le guidon de janvier à la semaine dernière.
C'était une relecture, je l'avais lu peu de temps après avoir vu le film en 86.
J'ai de nouveau beaucoup aimé, l'ambiance dans cette abbaye froide du nord de l'Italie est très particulière.
A ce sujet, l'abbaye ayant inspiré l'auteur est en course pour être classée à l'UNESCO.
https://www.francetvinfo.fr/culture/patrimoine/histoire/l-039-abbaye-qui-a-inspire-quot-le-nom-de-la-rosequot-d-039-umberto-eco-bientot-classee-a-l-039-unesco_3329047.html
Je viens de commencer Les Larmes Interdites de Navy Soth et Sophie Ansel, sur le génocide au Cambodge, je verrai si je peux l'intégrer au défi.
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On her finger was Nenya, the ring wrought of mithril, that bore a single white stone flickering like a frosty star.
JRR Tolkien
- RyuzakiNiveau 9
Semaine 24, défi 24, Un livre dont le titre comporte un prénom féminin ou un prénom masculin : Aurélia, Gérard de Nerval
En ouvrant un livre intitulé Aurélia, je m'attendais naïvement à ce qu'une Aurélia soit, sinon l'héroïne, du moins un personnage important et récurrent du livre. En réalité, il s'agit d'un personnage dont il est très peu question, l'essentiel du livre étant consacré aux rêves et aux fantasmagories mystiques du narrateur. Dans Aurélia, livre largement autobiographique, ce sont les rêveries d'un esprit malade que Nerval donne à lire et un tel ouvrage a dû faire le bonheur des psychanalystes. Pour ma part, je l'ai bien aimé-sans le trouver particulièrement mémorable- mais ça ne plaira pas à tout le monde.
Verdict : troublant
Nerval a écrit:Le Rêve est une seconde vie. Je n'ai pu percer sans frémir ces portes d'ivoire ou de corne qui nous séparent du monde invisible. Les premiers instants du sommeil sont l'image de la mort ; un engourdissement nébuleux saisit notre pensée, et nous ne pouvons déterminer l'instant précis où le moi, sous une autre forme, continue l'oeuvre de l'existence. C'est un souterrain vague qui s'éclaire peu à peu, et où se dégagent de l'ombre et de la nuit les pâles figures gravement immobiles qui habitent le séjour des limbes. Puis le tableau se forme, une clarté nouvelle illumine et fait jouer ces apparitions bizarres ; - le monde des Esprits s'ouvre pour nous.
En ouvrant un livre intitulé Aurélia, je m'attendais naïvement à ce qu'une Aurélia soit, sinon l'héroïne, du moins un personnage important et récurrent du livre. En réalité, il s'agit d'un personnage dont il est très peu question, l'essentiel du livre étant consacré aux rêves et aux fantasmagories mystiques du narrateur. Dans Aurélia, livre largement autobiographique, ce sont les rêveries d'un esprit malade que Nerval donne à lire et un tel ouvrage a dû faire le bonheur des psychanalystes. Pour ma part, je l'ai bien aimé-sans le trouver particulièrement mémorable- mais ça ne plaira pas à tout le monde.
Verdict : troublant
- liskayaNeoprof expérimenté
Défi 17 (météo) : Les filles de l'ouragan, de Joyce Maynard. J'ai bien aimé cette histoire de jumelles de naissance. Bon, on devine très vite où on nous entraîne mais la lecture est simple, fluide, les personnages attachants. Bref, un petit livre bien sympa pour annoncer les vacances !
- ShajarVénérable
Défi 3 (un classique de la littérature américaine) : Truman Capote, De sang froid.
L'auteur relate un fait divers sanglant qui s'est produit dans les années 1950 dans une petite ville de l'état rural du Kansas : le meurtre de quatre membres d'une même famille, sans réel mobile, par deux jeunes gens paumés qui ont fini par être arrêtés et exécutés. Ca commence lentement, les 100 premières pages sont longues à passer, mais la suite se lit vite et bien, à partir du moment où le récit s'attache davantage aux deux criminels, à leur cavale, leur arrestation, leur procès et leur exécution. L'écriture est remarquable, très sobre, quasiment journalistique, multipliant les points de vue, évitant toute prise de position tranchée et tout pathos. Capote porte une grande attention au contexte - les principes religieux d'une petite ville de province se mêlant aux avancées de la psychologie - aux arguments des uns et des autres, aux petits détails. Le retrait du narrateur donne une grande place au lecteur pour réfléchir et se poser des questions. Un livre vraiment remarquable et marquant.
L'auteur relate un fait divers sanglant qui s'est produit dans les années 1950 dans une petite ville de l'état rural du Kansas : le meurtre de quatre membres d'une même famille, sans réel mobile, par deux jeunes gens paumés qui ont fini par être arrêtés et exécutés. Ca commence lentement, les 100 premières pages sont longues à passer, mais la suite se lit vite et bien, à partir du moment où le récit s'attache davantage aux deux criminels, à leur cavale, leur arrestation, leur procès et leur exécution. L'écriture est remarquable, très sobre, quasiment journalistique, multipliant les points de vue, évitant toute prise de position tranchée et tout pathos. Capote porte une grande attention au contexte - les principes religieux d'une petite ville de province se mêlant aux avancées de la psychologie - aux arguments des uns et des autres, aux petits détails. Le retrait du narrateur donne une grande place au lecteur pour réfléchir et se poser des questions. Un livre vraiment remarquable et marquant.
- AmaliahEmpereur
Je progresse dans Le Capitaine Fracasse... J'en suis à la moitié et je m'interroge sur les six derniers défis qui me restent sur les bras.
Si vous avez des coups de coeur, je vous serais reconnaissante! J'aimerais ne pas m'infliger des pensums mais que ce soit agréable pour les derniers défis.
- roman grec
- auteur déclaré fou
- auteur qui a plusieurs noms de plume
- enfers
- narrateur peu fiable
- point cardinal (il n'y a pas A l'Est d'Eden à la médiathèque et la police sur ma Kindle est horrible et je ne sais pas la modifier, la Kindle ne veut pas, c'est un livre qu'on m'a "donné").
J'ai laissé tomber le polar.
Si vous avez des coups de coeur, je vous serais reconnaissante! J'aimerais ne pas m'infliger des pensums mais que ce soit agréable pour les derniers défis.
- roman grec
- auteur déclaré fou
- auteur qui a plusieurs noms de plume
- enfers
- narrateur peu fiable
- point cardinal (il n'y a pas A l'Est d'Eden à la médiathèque et la police sur ma Kindle est horrible et je ne sais pas la modifier, la Kindle ne veut pas, c'est un livre qu'on m'a "donné").
J'ai laissé tomber le polar.
- DerborenceModérateur
Amaliah a écrit:Je progresse dans Le Capitaine Fracasse... J'en suis à la moitié et je m'interroge sur les six derniers défis qui me restent sur les bras.
Si vous avez des coups de coeur, je vous serais reconnaissante! J'aimerais ne pas m'infliger des pensums mais que ce soit agréable pour les derniers défis.
- roman grec
- auteur déclaré fou
- auteur qui a plusieurs noms de plume
- enfers
- narrateur peu fiable
- point cardinal (il n'y a pas A l'Est d'Eden à la médiathèque et la police sur ma Kindle est horrible et je ne sais pas la modifier, la Kindle ne veut pas, c'est un livre qu'on m'a "donné").
J'ai laissé tomber le polar.
- auteur déclaré fou : Maupassant ?
- enfers : GAUDÉ Laurent La Porte des Enfers
- auteur qui a plusieurs noms de plume : Stephen King ?
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"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
- DaphNenyaNeoprof expérimenté
Défi 23 Un livre qui évoque les enfers. Les Larmes interdites, Navy Soth et Sophie Ansel.
La vision du génocide des Khmers rouges et de l'enfer vécu par des cambodgiens forcés de tout quitter et de partir vers l'inconnu, rendus esclaves de l'Angkar. Souvenirs d'une toute petite fille, qui ne comprend rien au monde des adultes, engagée malgré elle dans la tourmente déclenchée par Pol Pot et qui lutte pour sa survie, avec l'aide et tout l'amour de ses parents.
Un livre poignant qui m'a beaucoup touchée.
La vision du génocide des Khmers rouges et de l'enfer vécu par des cambodgiens forcés de tout quitter et de partir vers l'inconnu, rendus esclaves de l'Angkar. Souvenirs d'une toute petite fille, qui ne comprend rien au monde des adultes, engagée malgré elle dans la tourmente déclenchée par Pol Pot et qui lutte pour sa survie, avec l'aide et tout l'amour de ses parents.
Un livre poignant qui m'a beaucoup touchée.
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On her finger was Nenya, the ring wrought of mithril, that bore a single white stone flickering like a frosty star.
JRR Tolkien
- PointàlaligneExpert
Cela donne envie d'essayer DaphNenya...
Pour 17. Un livre dont l'un des mots du titre évoque la météo (soleil, pluie, neige, vent...).[/strike] C. Grebe, Un Cri sous la glace, ; et pour 31. Un livre écrit par un auteur nordique, sa suite, Le Journal de ma disparition. On suit dans ces deux volumes, qui peuvent se lire séparément, plusieurs voix narratives, et en particulier une enquêtrice atteinte d'une forme précoce d'Alzeihmer qui perd peu à peu la mémoire...
Pour 17. Un livre dont l'un des mots du titre évoque la météo (soleil, pluie, neige, vent...).[/strike] C. Grebe, Un Cri sous la glace, ; et pour 31. Un livre écrit par un auteur nordique, sa suite, Le Journal de ma disparition. On suit dans ces deux volumes, qui peuvent se lire séparément, plusieurs voix narratives, et en particulier une enquêtrice atteinte d'une forme précoce d'Alzeihmer qui perd peu à peu la mémoire...
- FrisouilleEnchanteur
J'ai pensé à vous hier en apercevant ma documentaliste qui recommandait Ron Rash à une collègue.
Le nom de la rose, quelle lecture! En revanche je n'ai jamais réussi à dépasser les 50 premières pages du Pendule de Foucault...
Miss Sophie tu me donnes des idées ! Au fait, as tu tenté le dernier Damasio? Lemasque et la plume l'ont fusillé mais bon, ils n'avaient pas lu La Horde ces niais, je ne me fie pas à leurs avis...
Quant à toi Shajar, merci de ton retour j'étais tentée par De sang froid téléchargé pour le défi des années précédentes, j'hésitais à me lancer, tu attises ma curiosité.
Amaliah pour l'auteur déclaré fou tu peux peut-être aller piocher chez Philip K Dick ? Je sais que tu n'es pas très amatrice de science fiction, mais certains de ses romans sont non seulement des incontournables du genre mais ils se lisent aussi très bien. En outre tu les trouveras facilement je pense. (Pour ta liseuse ou en bibliothèque, à confirmer). Le maître du Haut château est une uchronie très intéressante (adaptée en série mais je sais que tu t'en moques ). Coulez mes larmes, dit le policier ou encore le roman qui a donné le film Blade Runner sont ceux qui me sont restés le plus en mémoire.
Et si tu veux goûter à la folie de cet homme là, Ubik est fait pour toi.
Le nom de la rose, quelle lecture! En revanche je n'ai jamais réussi à dépasser les 50 premières pages du Pendule de Foucault...
Miss Sophie tu me donnes des idées ! Au fait, as tu tenté le dernier Damasio? Lemasque et la plume l'ont fusillé mais bon, ils n'avaient pas lu La Horde ces niais, je ne me fie pas à leurs avis...
Quant à toi Shajar, merci de ton retour j'étais tentée par De sang froid téléchargé pour le défi des années précédentes, j'hésitais à me lancer, tu attises ma curiosité.
Amaliah pour l'auteur déclaré fou tu peux peut-être aller piocher chez Philip K Dick ? Je sais que tu n'es pas très amatrice de science fiction, mais certains de ses romans sont non seulement des incontournables du genre mais ils se lisent aussi très bien. En outre tu les trouveras facilement je pense. (Pour ta liseuse ou en bibliothèque, à confirmer). Le maître du Haut château est une uchronie très intéressante (adaptée en série mais je sais que tu t'en moques ). Coulez mes larmes, dit le policier ou encore le roman qui a donné le film Blade Runner sont ceux qui me sont restés le plus en mémoire.
Et si tu veux goûter à la folie de cet homme là, Ubik est fait pour toi.
- CeladonDemi-dieu
@Amaliah : si tu aimes Pearl Buck, je te conseillerais Vent d'est, vent d'ouest sur la Chine du début du XXe siècle et les transformations "à l'occidentale" qu'elle doit affronter. Le tout vu et vécu par une jeune Chinoise qui reçoit de plein fouet le vent d'ouest.
- nicole 86Expert spécialisé
@Amalliah
Pour le défi 12, je viens de lire qu'Andrée Chédid a publié son premier recueil de poésie, en anglais, On the Trails of My Fancy, sous le pseudonyme A. Lake (merci Wiki). Il est sans doute aussi possible de la lire pour le défi 10 (auteur n'écrivant pas dans sa langue maternelle).
Pour le défi 12, je viens de lire qu'Andrée Chédid a publié son premier recueil de poésie, en anglais, On the Trails of My Fancy, sous le pseudonyme A. Lake (merci Wiki). Il est sans doute aussi possible de la lire pour le défi 10 (auteur n'écrivant pas dans sa langue maternelle).
- JennyMédiateur
Frisouille a écrit:J'ai pensé à vous hier en apercevant ma documentaliste qui recommandait Ron Rash à une collègue.
- miss sophieExpert spécialisé
Frisouille a écrit:Miss Sophie tu me donnes des idées ! Au fait, as tu tenté le dernier Damasio? Lemasque et la plume l'ont fusillé mais bon, ils n'avaient pas lu La Horde ces niais, je ne me fie pas à leurs avis...
Les furtifs ? Non, je ne l'ai pas encore lu. Si tu le fais, tu me diras ce que tu en as pensé.
- Escargot GéantNiveau 8
Coucou tout le monde! moi aussi je commence à bien galérer pour les défis avec des questions existentielles du genre:
-Est-ce qu'un livre PRESENTE PAR un auteur de la Pléiade est un livre d'un auteur de la Pléiade?
-Est-ce que Pline est un prénom?
-Est-ce qu'être un blaireau tête à claques est un péché capital?
-Est-ce qu'un polar qui se passe à Toulouse est un polar d'Europe du Sud?
Sans compter que sans le vouloir et même en croyant me débarrasser en priorité de certains défis pensum pour moi, je me retrouve quand même avec de nombreux défis pour lesquels je n'ai pas d'envie ...
Bref en juin pour l'instant j'ai lu:
14. Un livre avec un animal sur la couverture. Des milliards de tapis de cheveux de Andreas Eschbach (aussi pour: commence par une mort, désert, pas raconté dans l'ordre chronologique, péché capital,auteur né en septembre)
Résumé: Sur une planète dont l'activité est entièrement tournée vers le tissage de tapis de cheveux, destinés à décorer le lointain palais de l'empereur vénéré depuis des milliers d'années, le tisseur Otvant termine l'oeuvre de sa vie mais s'inquiète du comportement de son fils destiné à prendre la relève...
La rumeur enfle: l'empereur ne serait plus empereur depuis longtemps. Et certains se demandent quel est le rôle exact des tapis de cheveux...
Mon avis: bien difficile à résumer tout en rendant justice à ce livre incroyable, un univers entier et cohérent est développé, chaque chapitre est consacré au destin d'un individu entre la confection du tapis et sa livraison. C'est un roman complexe et très riche avec une réflexion intéressante sur le poids de la religion et le pouvoir. Le destin réel des tapis est vraiment bien trouvé et époustouflant (des chapitres m'ont soufflée vers la fin alors que le mystère se résout.)
Gros coup de coeur. :etoilecoeur:
5. Un livre poétique. Changer l'eau des fleurs de Valérie Perrin (aussi pour : pas raconté dans l'ordre chronologique, péché capital, apostrophe)
Résumé: (Babelio)Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se réchauffer dans sa loge où rires et larmes se mélangent au café qu’elle leur offre. Son quotidien est rythmé par leurs confidences. Un jour, parce qu’un homme et une femme ont décidé de reposer ensemble dans son carré de terre, tout bascule.
Ne vous fiez pas au titre et au résumé vaguement feel good (feel good is the new tartignole). Un roman profond sur le destin à la fois commun et incroyable de cette femme, un mystère, des réflexions extrêmement poignantes sur le deuil et la perte. J'ai été très émue. Allez un léger bémol sur la fin.
Dans un genre totalement à l'opposé du livre précédent, un autre gros coup de coeur. :etoilecoeur: Un très bon mois de juin côté lecture pour l'instant
-Est-ce qu'un livre PRESENTE PAR un auteur de la Pléiade est un livre d'un auteur de la Pléiade?
-Est-ce que Pline est un prénom?
-Est-ce qu'être un blaireau tête à claques est un péché capital?
-Est-ce qu'un polar qui se passe à Toulouse est un polar d'Europe du Sud?
Sans compter que sans le vouloir et même en croyant me débarrasser en priorité de certains défis pensum pour moi, je me retrouve quand même avec de nombreux défis pour lesquels je n'ai pas d'envie ...
Bref en juin pour l'instant j'ai lu:
14. Un livre avec un animal sur la couverture. Des milliards de tapis de cheveux de Andreas Eschbach (aussi pour: commence par une mort, désert, pas raconté dans l'ordre chronologique, péché capital,auteur né en septembre)
Résumé: Sur une planète dont l'activité est entièrement tournée vers le tissage de tapis de cheveux, destinés à décorer le lointain palais de l'empereur vénéré depuis des milliers d'années, le tisseur Otvant termine l'oeuvre de sa vie mais s'inquiète du comportement de son fils destiné à prendre la relève...
La rumeur enfle: l'empereur ne serait plus empereur depuis longtemps. Et certains se demandent quel est le rôle exact des tapis de cheveux...
Mon avis: bien difficile à résumer tout en rendant justice à ce livre incroyable, un univers entier et cohérent est développé, chaque chapitre est consacré au destin d'un individu entre la confection du tapis et sa livraison. C'est un roman complexe et très riche avec une réflexion intéressante sur le poids de la religion et le pouvoir. Le destin réel des tapis est vraiment bien trouvé et époustouflant (des chapitres m'ont soufflée vers la fin alors que le mystère se résout.)
Gros coup de coeur. :etoilecoeur:
5. Un livre poétique. Changer l'eau des fleurs de Valérie Perrin (aussi pour : pas raconté dans l'ordre chronologique, péché capital, apostrophe)
Résumé: (Babelio)Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se réchauffer dans sa loge où rires et larmes se mélangent au café qu’elle leur offre. Son quotidien est rythmé par leurs confidences. Un jour, parce qu’un homme et une femme ont décidé de reposer ensemble dans son carré de terre, tout bascule.
Ne vous fiez pas au titre et au résumé vaguement feel good (feel good is the new tartignole). Un roman profond sur le destin à la fois commun et incroyable de cette femme, un mystère, des réflexions extrêmement poignantes sur le deuil et la perte. J'ai été très émue. Allez un léger bémol sur la fin.
Dans un genre totalement à l'opposé du livre précédent, un autre gros coup de coeur. :etoilecoeur: Un très bon mois de juin côté lecture pour l'instant
- Agrippina furiosaFidèle du forum
Merci Frisouille : je retiens "Le maître du haut-château" qui est dans ma PAL !
Et moi aussi je suis preneuse d'échos sur le dernier Damasio, parce que "La horde" ...
Voilà pour mes dernières lectures :
- Pour le défi n°18 (Un livre dont l'histoire évoque un conflit social ou des grèves), j'ai trouvé "La tour abolie" de G. Mordillat à la médiathèque. Bien m'en a pris ! Dans la tour Magister, au coeur de la Défense vivent deux mondes : à son faîte, au 38ème étage, trônent des créatures soi-disant civilisées, chantres d'un capitalisme acharné. Ils ne vivent que pour le profit, la carrière. Loin sous leurs pieds, dans les parkings et les sous-sols (ah ! le -7 ! je vous laisse découvrir !!!) grouille une faune d'êtres revenus à l'état sauvage, tous ceux que cet ultralibéralisme a rejetés et exclus : SDF, travailleurs pauvres qui vivent dans leur bagnole, sans-papiers exploités, drogués ... Un lien ténu entre ces deux mondes : le self, où daignent de temps en temps déjeuner les uns, et dont les poubelles nourrissent les autres. Mais un jour, un nanti du 38 a l'idée de fermer le self pour en faire une salle de sports, tellement plus rentable. Et là ... La 4ème de couverture annonce la couleur : "Quand les pauvres n'auront plus rien à manger, ils mangeront les riches". Excellent roman, âmes sensibles, s'abstenir !
- Pour le défi n°32 (Un livre du réalisme magique), j'ai lu "Une sirène à Paris" de M. Malzieu. Après le Mordillat, ça fait un peu bizarre ! C'est un très joli récit qui raconte l'histoire d'un jeune homme, Gaspard, dont le coeur a été brisé, qui, lors d'une crue dans la capitale, sauve la vie d'une superbe sirène. Sauf que la sirène s'avère dangereuse : pleine de méfiance -à raison- vis-à-vis des humains, elle a fait de son chant son arme absolu et tue à la moindre approche. Pourtant, Gaspard, devenu insensible aux charmes de la belle à cause de son amour déçu, à force de gentillesse et de désintéressement, parvient à briser ses défenses ... Une très belle histoire, écrite dans un style très poétique, avec des images magnifiques et des trouvailles pleines de fantaisie. Ca m'a beaucoup fait penser à B. Vian, en plus lumineux peut-être. Une belle découverte.
Pour le défi n°43 (Un roman grec), en bonne LC, j'ai mis le nez dans "L'Histoire véritable" de Lucien : un jeune grec décide, avec des amis, de partir voir ce qu'il y a au bout du monde et prend la mer avec son équipage. S'ensuivent des rencontres avec plein de créatures toutes plus incroyables, et souvent drôles, les unes que les autres. Une passerelle entre l'Odyssée d'Homère et le Quart-Livre de Rabelais. Intéressant, parce que beaucoup de correspondances avec d'autres auteurs grecs et très distrayant !
Pour la suite, je viens d'attaquer "American psycho" pour le défi 26 ...
Et moi aussi je suis preneuse d'échos sur le dernier Damasio, parce que "La horde" ...
Voilà pour mes dernières lectures :
- Pour le défi n°18 (Un livre dont l'histoire évoque un conflit social ou des grèves), j'ai trouvé "La tour abolie" de G. Mordillat à la médiathèque. Bien m'en a pris ! Dans la tour Magister, au coeur de la Défense vivent deux mondes : à son faîte, au 38ème étage, trônent des créatures soi-disant civilisées, chantres d'un capitalisme acharné. Ils ne vivent que pour le profit, la carrière. Loin sous leurs pieds, dans les parkings et les sous-sols (ah ! le -7 ! je vous laisse découvrir !!!) grouille une faune d'êtres revenus à l'état sauvage, tous ceux que cet ultralibéralisme a rejetés et exclus : SDF, travailleurs pauvres qui vivent dans leur bagnole, sans-papiers exploités, drogués ... Un lien ténu entre ces deux mondes : le self, où daignent de temps en temps déjeuner les uns, et dont les poubelles nourrissent les autres. Mais un jour, un nanti du 38 a l'idée de fermer le self pour en faire une salle de sports, tellement plus rentable. Et là ... La 4ème de couverture annonce la couleur : "Quand les pauvres n'auront plus rien à manger, ils mangeront les riches". Excellent roman, âmes sensibles, s'abstenir !
- Pour le défi n°32 (Un livre du réalisme magique), j'ai lu "Une sirène à Paris" de M. Malzieu. Après le Mordillat, ça fait un peu bizarre ! C'est un très joli récit qui raconte l'histoire d'un jeune homme, Gaspard, dont le coeur a été brisé, qui, lors d'une crue dans la capitale, sauve la vie d'une superbe sirène. Sauf que la sirène s'avère dangereuse : pleine de méfiance -à raison- vis-à-vis des humains, elle a fait de son chant son arme absolu et tue à la moindre approche. Pourtant, Gaspard, devenu insensible aux charmes de la belle à cause de son amour déçu, à force de gentillesse et de désintéressement, parvient à briser ses défenses ... Une très belle histoire, écrite dans un style très poétique, avec des images magnifiques et des trouvailles pleines de fantaisie. Ca m'a beaucoup fait penser à B. Vian, en plus lumineux peut-être. Une belle découverte.
Pour le défi n°43 (Un roman grec), en bonne LC, j'ai mis le nez dans "L'Histoire véritable" de Lucien : un jeune grec décide, avec des amis, de partir voir ce qu'il y a au bout du monde et prend la mer avec son équipage. S'ensuivent des rencontres avec plein de créatures toutes plus incroyables, et souvent drôles, les unes que les autres. Une passerelle entre l'Odyssée d'Homère et le Quart-Livre de Rabelais. Intéressant, parce que beaucoup de correspondances avec d'autres auteurs grecs et très distrayant !
Pour la suite, je viens d'attaquer "American psycho" pour le défi 26 ...
- SphinxProphète
Escargot Géant a écrit:
-Est-ce qu'un livre PRESENTE PAR un auteur de la Pléiade est un livre d'un auteur de la Pléiade?
-Est-ce que Pline est un prénom?
-Est-ce qu'être un blaireau tête à claques est un péché capital?
-Est-ce qu'un polar qui se passe à Toulouse est un polar d'Europe du Sud?
Le dernier peut peut-être se discuter, je ne sais pas, mais clairement non pour les trois autres
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- AmaliahEmpereur
Frisouille a écrit:Amaliah pour l'auteur déclaré fou tu peux peut-être aller piocher chez Philip K Dick ? Je sais que tu n'es pas très amatrice de science fiction, mais certains de ses romans sont non seulement des incontournables du genre mais ils se lisent aussi très bien. En outre tu les trouveras facilement je pense. (Pour ta liseuse ou en bibliothèque, à confirmer). Le maître du Haut château est une uchronie très intéressante (adaptée en série mais je sais que tu t'en moques ). Coulez mes larmes, dit le policier ou encore le roman qui a donné le film Blade Runner sont ceux qui me sont restés le plus en mémoire.
Et si tu veux goûter à la folie de cet homme là, Ubik est fait pour toi.
C'est fou comme tu me connais bien, Frisouille!!
Mais je te fais confiance, je vais tenter!
Edit : Il n'y a pas une nouvelle très connue de lui, que certains font étudier en 3e mais qui n'est publiée qu'en édition bilingue? Oui, je fais mon élève à vouloir un minimum de pages...
Celadon a écrit:@Amaliah : si tu aimes Pearl Buck, je te conseillerais Vent d'est, vent d'ouest sur la Chine du début du XXe siècle et les transformations "à l'occidentale" qu'elle doit affronter. Le tout vu et vécu par une jeune Chinoise qui reçoit de plein fouet le vent d'ouest.
Je vais peut-être le relire pour la troisième fois!
nicole 86 a écrit:@Amalliah
Pour le défi 12, je viens de lire qu'Andrée Chédid a publié son premier recueil de poésie, en anglais, On the Trails of My Fancy, sous le pseudonyme A. Lake (merci Wiki). Il est sans doute aussi possible de la lire pour le défi 10 (auteur n'écrivant pas dans sa langue maternelle).
Je ne savais pas, je retiens l'idée.
- *Ombre*Grand sage
Amaliah, tu penses à Minority Report, de P. K. Dick.
- AmaliahEmpereur
Ah merci, je ne trouvais plus le nom!
En tout cas, je ne savais pas que cet auteur était considéré comme fou.
En tout cas, je ne savais pas que cet auteur était considéré comme fou.
- FrisouilleEnchanteur
Amaliah a écrit:Ah merci, je ne trouvais plus le nom!
En tout cas, je ne savais pas que cet auteur était considéré comme fou.
Cramé par les drogues et ayant développé une forte tendance paranoïaque, en effet.
Et pour le reste, nous nous lisons l"une l'autre avec curiosité, intérêt et sympathie mutuels.
- IssonoukwaNiveau 4
Dans le cadre du défi 22. Un livre évoquant le franchissement d'une frontière, réelle ou symbolique, je viens de finir Un appartement sur Uranus de Paul B. Preciado. L'ouvrage parfait pour ce défi, je crois. Il regroupe des chroniques publiées, essentiellement dans Libé, entre 2013 et 2018. L'auteur est un homme transgenre et ses chroniques sont autant de réflexion sur sa transition, sa condition politique d'homme trans, cette traversée des frontières qu'il compare souvent à celles des migrant.e.s. Très intéressant et touchant, très politique et théorique. Parfois un peu redondant, mais c'est normal vu la nature des écrits.
Une citation extraite de la chronique que j'ai le plus aimée :
https://www.liberation.fr/debats/2018/02/23/appelle-moi-par-mon-autre-nom_1631959
Une citation extraite de la chronique que j'ai le plus aimée :
Pour un migrant ou pour un trans, le succès du voyage dépend de la générosité avec laquelle les autres vous accueillent et vous soutiennent, sans penser constamment «voici un étranger» ou «je sais que vous êtes réellement une femme», mais en voyant votre singularité de corps vulnérable à la recherche d’un autre endroit où la vie pourrait prendre racine.
https://www.liberation.fr/debats/2018/02/23/appelle-moi-par-mon-autre-nom_1631959
- IrulanHabitué du forum
Après une grande pause, je reprends tranquillement mes lectures.
Pour le défi 17, un livre dont l'un des mots du titre évoque la météo (soleil, pluie, neige, vent...), j’ai lu le premier tome de Beyond de Clouds de Nicke, un joli manga onirique. C’est l’histoire d'un garçon de 16 ans, orphelin (comme d’habitude dans les mangas), qui travaille pour le gros homme-chat qui l’a recueilli. Petit, il a supporté la solitude en lisant. Il a ainsi pu s’imaginer des mondes pour échapper à la réalité.
Désormais, il ne croit plus aux histoires merveilleuses…enfin, il veut quand même un peu y croire, et son goût de la lecture comme son imagination sont ravivés par la découverte d’une petite fille ailée tombée du ciel... La fillette est mal en point, a perdu une aile… L'adolescent va la recueillir et l’aider, avec le soutien de ses proches.
Les protagonistes de l’histoire vivent dans un monde jaunâtre, à l’atmosphère polluée par les produits chimiques. On pense à Nausicaä de la vallée du vent (autre lecture possible pour ce défi), et plus généralement à Ghibli… C’est joli, poétique. J’ai aimé le cadre dystopique (peu marqué, dans ce tome en tout cas) et les dessins sont aussi réussis que soignés. J’aurais même préféré un plus grand format et quelques pages en couleurs. Que la lecture soit présentée comme un moyen de « résilience » m’a particulièrement fait plaisir. Et j'ai eu un coup de cœur pour la superbe couverture, au grain très agréable :
Une bande-annonce animée a même été réalisée, ça donne envie de suivre une éventuelle adaptation en anime :
Après, cela reste un peu « vert », un peu superficiel, même si on dépasse le stade de l’exposition. J’ai quand même aimé parce que je suis cliente de ce genre d'histoires !
Je suis actuellement en train de relire L’Etranger (oui, rien à voir), puis j’enchaînerai avec la réécriture de Daoud. Je lis également un livre sur l’apprentissage de Barbara Oakley, On ne naît pas brillant, on le devient ! (pas du tout le titre américain, qui est A mind for numbers, How to excel at math and science). Les principes me semblent proches de ceux développés dans Make it Stick !, même si je n’ai pas lu ce dernier. J’en reparlerai, mais je ne sais pas si je pourrai l’intégrer au défi (je pense que non).
Pour le défi 17, un livre dont l'un des mots du titre évoque la météo (soleil, pluie, neige, vent...), j’ai lu le premier tome de Beyond de Clouds de Nicke, un joli manga onirique. C’est l’histoire d'un garçon de 16 ans, orphelin (comme d’habitude dans les mangas), qui travaille pour le gros homme-chat qui l’a recueilli. Petit, il a supporté la solitude en lisant. Il a ainsi pu s’imaginer des mondes pour échapper à la réalité.
Désormais, il ne croit plus aux histoires merveilleuses…enfin, il veut quand même un peu y croire, et son goût de la lecture comme son imagination sont ravivés par la découverte d’une petite fille ailée tombée du ciel... La fillette est mal en point, a perdu une aile… L'adolescent va la recueillir et l’aider, avec le soutien de ses proches.
Les protagonistes de l’histoire vivent dans un monde jaunâtre, à l’atmosphère polluée par les produits chimiques. On pense à Nausicaä de la vallée du vent (autre lecture possible pour ce défi), et plus généralement à Ghibli… C’est joli, poétique. J’ai aimé le cadre dystopique (peu marqué, dans ce tome en tout cas) et les dessins sont aussi réussis que soignés. J’aurais même préféré un plus grand format et quelques pages en couleurs. Que la lecture soit présentée comme un moyen de « résilience » m’a particulièrement fait plaisir. Et j'ai eu un coup de cœur pour la superbe couverture, au grain très agréable :
4e de couv' a écrit:Percez les nuages gris du quotidien et retrouvez vos rêves d'enfant !
Dans la Ville jaune, les usines crachent leur fumée jour et nuit, cachant le ciel et ses astres. Le jeune Théo n'a jamais vu les étoiles, ni passé les portes de la ville. Enfant, il rêvait de partir à l'aventure, à la poursuite des créatures fantastiques de ses livres préférés, mais la réalité l'a rattrapé. Son travail à l'atelier de réparation Chikuwa devient son quotidien.
Sa routine est chamboulée le jour où il tombe sur une fillette pas comme les autres : c'est une humaine ailée, une espèce appartenant pourtant au monde des légendes ! Inconsciente après être tombée du ciel, elle a perdu une de ses ailes, ainsi que la mémoire... Théo fera tout pour percer le mystère de cette rescapée des cieux !
À mi-chemin entre les films de Ghibli et les mondes de Final Fantasy, découvrez l'univers poétique de Beyond the Clouds et suivez les aventures de deux enfants hors du commun : Théo, le jeune bricoleur de génie, et Mia, la fillette ailée !
- L'image en format paysage:
Une bande-annonce animée a même été réalisée, ça donne envie de suivre une éventuelle adaptation en anime :
Après, cela reste un peu « vert », un peu superficiel, même si on dépasse le stade de l’exposition. J’ai quand même aimé parce que je suis cliente de ce genre d'histoires !
Je suis actuellement en train de relire L’Etranger (oui, rien à voir), puis j’enchaînerai avec la réécriture de Daoud. Je lis également un livre sur l’apprentissage de Barbara Oakley, On ne naît pas brillant, on le devient ! (pas du tout le titre américain, qui est A mind for numbers, How to excel at math and science). Les principes me semblent proches de ceux développés dans Make it Stick !, même si je n’ai pas lu ce dernier. J’en reparlerai, mais je ne sais pas si je pourrai l’intégrer au défi (je pense que non).
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Ad augusta per angusta.
- AphrodissiaMonarque
Après une longue pause
6. Un livre d'un auteur publié en Pléiade: Zola, Thérèse Raquin.
Je ne sais pas pourquoi je ne l'avais pas encore lu celui-là. Toujours avec Zola, la misère est grandiose. Quel plaisir de lecture et que d'angoisses partagées avec Thérèse et Laurent !
6. Un livre d'un auteur publié en Pléiade: Zola, Thérèse Raquin.
Je ne sais pas pourquoi je ne l'avais pas encore lu celui-là. Toujours avec Zola, la misère est grandiose. Quel plaisir de lecture et que d'angoisses partagées avec Thérèse et Laurent !
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
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