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- cassiopellaNiveau 9
Je confirme, la même chose avec mes étudiants. Ils préfèrent largement exos-exos-exos-exos et moins c'est littéraire, mieux c'est pour tous. Les faibles et les meilleurs travaillent ensemble et ne bavardent pas. Pour les faire taire, les exercices traditionnels sans enveloppe textuel sont un bon remède.celitian a écrit:Juste un petit témoignage, cette année les élèves font des pieds et des mains pour avoir un collègue de maths très traditionnel (cours/exos/applications...) et ne veulent plus avoir un autre collègue très innovant (ilots, tablettes, numérique...).
Ce sont des élèves très faibles et qui ont beaucoup de difficultés à comprendre, à maitriser des concepts simples.
- PrezboGrand Maître
ylm a écrit:Certains chapitres se font très bien en plan de travail avec les élèves en autonomie, ça permet de varier.
Si tu peux détailler, ça m'intéresse.
J'ai tenté (en lycée) le travail en autonomie avec les élèves, à l'aide de fiches méthodes et fiches d'exercices progressifs avec exemple de correction. Honnêtement, même en bordant beaucoup les exigences, ça marche assez mal, d'une part à cause des problèmes de difficulté de lecture d'énoncé et de manque d'autonomie des élèves, d'autre part parce que même avec correction type ils ont du mal à faire une rédaction complète correcte seuls.
Il y a peut-être un positionnement que j'ai loupé.
En définitive, le critère vraiment déterminant reste le niveau scolaire global des élèves : ceux qui y arrivent sont ceux qui arriveraient aussi à suivre des explication magistrales.
- keroGrand sage
Qu'y a-t-il de mal à la routine ?
C'est une idéologie très présente qui consiste à nous faire croire qu'on devrait sans cesse varier. Zapper d'un truc à l'autre comme à la télé. Parce que sinon les élèves s'ennuient.
Oui mais voilà, en fait les élèves ne sont pas là pour s'amuser, ils sont là pour apprendre et travailler. A partir de là, les routines sont ce qui permet d'installer un enseignement solide.
En fait, il faut juste l'assumer et ne pas s'autoculpabiliser parce qu'on ne sacrifie pas à toutes les lubies actuelles. Après ça devient beaucoup plus facile.
C'est une idéologie très présente qui consiste à nous faire croire qu'on devrait sans cesse varier. Zapper d'un truc à l'autre comme à la télé. Parce que sinon les élèves s'ennuient.
Oui mais voilà, en fait les élèves ne sont pas là pour s'amuser, ils sont là pour apprendre et travailler. A partir de là, les routines sont ce qui permet d'installer un enseignement solide.
En fait, il faut juste l'assumer et ne pas s'autoculpabiliser parce qu'on ne sacrifie pas à toutes les lubies actuelles. Après ça devient beaucoup plus facile.
- PrezboGrand Maître
kero a écrit:Qu'y a-t-il de mal à la routine ?
C'est une idéologie très présente qui consiste à nous faire croire qu'on devrait sans cesse varier. Zapper d'un truc à l'autre comme à la télé. Parce que sinon les élèves s'ennuient.
Oui mais voilà, en fait les élèves ne sont pas là pour s'amuser, ils sont là pour apprendre et travailler. A partir de là, les routines sont ce qui permet d'installer un enseignement solide.
En fait, il faut juste l'assumer et ne pas s'autoculpabiliser parce qu'on ne sacrifie pas à toutes les lubies actuelles. Après ça devient beaucoup plus facile.
La routine ne crée AMHA l'ennui qu'à partir d'un certain temps. Il faut peut-être sentir quand ce moment arrive.
Actuellement, dans les classes les plus difficile, j'ai plutôt du mal à installer des routines plus qu'une usure à cause d'abus de celles-ci.
Et il me semble que la première cause d'ennui des élèves, c'est d'abord l'échec : s'ennuient ceux qui ne comprennent pas ce qu'on leur dit ni ce qu'on leur demande.
- VinZTDoyen
Prezbo a écrit:En définitive, le critère vraiment déterminant reste le niveau scolaire global des élèves : ceux qui y arrivent sont ceux qui arriveraient aussi à suivre des explication magistrales.
Oui, et j'ajoute que les explications magistrales (faire cours dans le calme, quoi) profitent davantage aux plus faibles que des travaux en autonomie ou des activités dont ils peinent à voir la finalité.
De toutes façons il faut les emmener d'un point A à un point B en un temps contraint (et rogné). Le « magistral » reste sans doute la façon la plus efficace (et la moins fatigante) d'y arriver. J'entends d'ici les remarques ipéhèro-espesques : « oui, mais il faut mettre les élèves en activité ». Eh bien, écouter, prendre des notes, poser des questions, ce sont des activités intellectuelles. Le magistral n'empêche évidemment pas les interactions, il faudrait être d'une sacrée mauvaise foi pour le prétendre.
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« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- krirkrirkNiveau 2
cassiopella a écrit:Pour les faire taire, les exercices traditionnels sans enveloppe textuel sont un bon remède.
Je trouve assez triste de vouloir donner des exercices aux élèves dans le but de "les faire taire" ! Je suis personnellement très heureux quand, sur un exercice, j'entends mes élèves débattre et échanger.
kero a écrit:Qu'y a-t-il de mal à la routine ?
C'est une idéologie très présente qui consiste à nous faire croire qu'on devrait sans cesse varier. Zapper d'un truc à l'autre comme à la télé. Parce que sinon les élèves s'ennuient.
Oui mais voilà, en fait les élèves ne sont pas là pour s'amuser, ils sont là pour apprendre et travailler. A partir de là, les routines sont ce qui permet d'installer un enseignement solide.
L'amusement et l'apprentissage ne sont pas des concepts opposés... Beaucoup d'études montrent qu'on n'apprend jamais mieux que par le jeu.
ll faut aussi comprendre qu'on doit un minimum s'adapter à nos élèves. Ils sont d'une génération souffrant d'un énorme déficit de l'attention. C'est comme ça et ce n'est pas moi qui réussirait à les guérir de ça maintenant qu'ils ont 16 ans. De là, deux options : soit on reste sur nos principes ("un élève est sensé pouvoir rester attentif pendant 2H sans broncher, moi j'y arrivais, donc ils peuvent y arriver"), soit on accepte de faire évoluer nos pratiques...
Mais je ne suis pas une fondamentaliste anti-routine. Je suis même un prof très classique : cours écrit, exercices, etc... Cependant je teste parfois des activités qui changent, et clairement les élèves apprécient. Quand on fait un "Kahoot", même les cancres sont motivés...
Et même pour le prof, c'est très plaisant de sortir de la routine. J'ai beaucoup de mal maintenant à me taper 5h de cours-exos-cours-exos toute la journée... Je comprends que pour les élèves c'est stabilisant d'avoir ce genre de routine, mais moi les maths je connais, et je ne suis pas contre un peu d'amusement dans mon boulot de temps en temps !
- celitianSage
J'ai plutôt lu l'inverse (chez André Tricot notamment), les élèves apprennent à jouer au jeu avant tout donc beaucoup de temps perdu pour peu de résultats sur les apprentissages.krirkrirk a écrit:cassiopella a écrit:Pour les faire taire, les exercices traditionnels sans enveloppe textuel sont un bon remède.
Je trouve assez triste de vouloir donner des exercices aux élèves dans le but de "les faire taire" ! Je suis personnellement très heureux quand, sur un exercice, j'entends mes élèves débattre et échanger.kero a écrit:Qu'y a-t-il de mal à la routine ?
C'est une idéologie très présente qui consiste à nous faire croire qu'on devrait sans cesse varier. Zapper d'un truc à l'autre comme à la télé. Parce que sinon les élèves s'ennuient.
Oui mais voilà, en fait les élèves ne sont pas là pour s'amuser, ils sont là pour apprendre et travailler. A partir de là, les routines sont ce qui permet d'installer un enseignement solide.
L'amusement et l'apprentissage ne sont pas des concepts opposés... Beaucoup d'études montrent qu'on n'apprend jamais mieux que par le jeu.
ll faut aussi comprendre qu'on doit un minimum s'adapter à nos élèves. Ils sont d'une génération souffrant d'un énorme déficit de l'attention. C'est comme ça et ce n'est pas moi qui réussirait à les guérir de ça maintenant qu'ils ont 16 ans. De là, deux options : soit on reste sur nos principes ("un élève est sensé pouvoir rester attentif pendant 2H sans broncher, moi j'y arrivais, donc ils peuvent y arriver"), soit on accepte de faire évoluer nos pratiques...
Mais je ne suis pas une fondamentaliste anti-routine. Je suis même un prof très classique : cours écrit, exercices, etc... Cependant je teste parfois des activités qui changent, et clairement les élèves apprécient. Quand on fait un "Kahoot", même les cancres sont motivés...
Et même pour le prof, c'est très plaisant de sortir de la routine. J'ai beaucoup de mal maintenant à me taper 5h de cours-exos-cours-exos toute la journée... Je comprends que pour les élèves c'est stabilisant d'avoir ce genre de routine, mais moi les maths je connais, et je ne suis pas contre un peu d'amusement dans mon boulot de temps en temps !
Je ne parle naturellement pas des plickers ou autres qui prennent très peu de temps pour les élèves mais même ça l'effet est peu probant (pour mes élèves), ils s'amusent mais retiennent peu, moins que sur la même chose à l'écrit, cela a plutôt tendance à les énerver.
A force de s'adapter on voit bien le résultat, des élèves qui ne savent plus faire une opération simple, calculer un %; résoudre une équation....
- keroGrand sage
krirkrirk a écrit:L'amusement et l'apprentissage ne sont pas des concepts opposés.
Moi, je ne les oppose pas. Ceux qui les opposent, ce sont justement ceux qui décrètent que certaines activités (comprendre: du cours classique) ne sont pas amusantes pour elles-mêmes.
Moi, quand je fais du cours classique, j'ai plein d'élèves très intéressés (même si ça ne vaut pas pour tous, bien sûr, mais lorsque je fais d'autres activités, ça n'amuse pas non plus tout le monde).
ll faut aussi comprendre qu'on doit un minimum s'adapter à nos élèves.
Ça fait des années qu'on nous demande de nous adapter à nos élèves (au sens de: ne pas leur faire des choses trop difficiles/ne pas leur imposer du travail classique) et que leur maîtrise des savoirs fondamentaux baisse. Peut-être faudrait-il revenir sur cette injonction ?
Par ailleurs, il y a s'adapter et s'adapter. Je fais (trop souvent, sans doute) des cours classiques, mais j'adapte mes cours à leur niveau et leur capacité d'abstraction. En essayant de concevoir des séquences qui permettent la transmission de ce qu'ils doivent apprendre.
Et même pour le prof, c'est très plaisant de sortir de la routine.
Bah oui mais alors que l'on assume que c'est pour se faire plaisir à soi-même plutôt que de s'inventer des histoires sur les prétendues nécessités d'une variation pédagogique incessante pour le bien des élèves.
Comprenons-nous. Je ne défends pas l'idée qu'il faille se cantonner toujours à la même chose. Je n'ai rien contre la variation dans les activités et moi-même je devrais varier plus, en fonction d'objectifs divers. Ce qui me gène c'est lorsqu'on l'on présente cette variation comme nécessaire pour que les élèves ne s'ennuient pas.
- AnaxagoreGuide spirituel
La question pose question. La routine? Un cours n'en vaut pas un autre. Entre deux exercices il peut y avoir un monde.
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"De même que notre esprit devient plus fort grâce à la communication avec les esprits vigoureux et raisonnables, de même on ne peut pas dire combien il s'abâtardit par le commerce continuel et la fréquentation que nous avons des esprits bas et maladifs." Montaigne
"Woland fit un signe de la main, et Jérusalem s'éteignit."
"On déclame contre les passions sans songer que c'est à leur flambeau que la philosophie allume le sien." Sade
- krirkrirkNiveau 2
celitian a écrit:
A force de s'adapter on voit bien le résultat, des élèves qui ne savent plus faire une opération simple, calculer un %; résoudre une équation....
kero a écrit:Ça fait des années qu'on nous demande de nous adapter à nos élèves (au sens de: ne pas leur faire des choses trop difficiles/ne pas leur imposer du travail classique) et que leur maîtrise des savoirs fondamentaux baisse. Peut-être faudrait-il revenir sur cette injonction ?
Je trouve le raisonnement malhonnête. Le niveau baisse pour plein de raisons, qui n'ont d'ailleurs pour la plupart rien à voir avec l'école. Il me semble qu'on nous demande de nous adapter parce que le niveau a baissé (bien que personne n'ose l'admettre), pas l'inverse. En plus, vous pensez vraiment que les profs suivent les recommandations des formateurs ESPE ? Soyez honnêtes... critiquez les programmes, les différentes réformes autant que vous voulez, mais ne me dites pas que le niveau baisse car les profs se sont adaptés en essayant des activités nouvelles.... !
Globalement, je trouve ce fil de discussion très symptomatique.
- Je suis un prof comme vous, très anti-pédagogie moderne style "on a autant à apprendre de nos élèves qu'ils ont à apprendre de nous"
- J'essaie cependant de faire constamment évoluer ma pratique - il faut dire que je suis encore jeune ! - car qui peut dire qu'il est le prof parfait...
- Je me sens en plus pris dans une routine en cette fin d'année, et je sens que mes élèves aussi
- donc je viens vers vous pour connaître vos pratiques, pour trouver de l'inspiration, pour discuter
- Vous vous sentez attaqués, comme si j'étais un formateur ESPE déguisé venu pour vous gronder car vous n'êtes pas moderne... !
- VinZTDoyen
Bon, mais que veux-tu qu'on te réponde d'autre que ce qu'on pense ?
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« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- krirkrirkNiveau 2
VinZT a écrit: Bon, mais que veux-tu qu'on te réponde d'autre que ce qu'on pense ?
Par exemple, j'aimerais connaître vos pratiques pour les phases d'exercices en classe. Je n'attends pas forcément des méthodes révolutionnaires : des petits "trucs" peuvent avoir de grandes conséquences. Pour l'instant, ma méthode est basique : je fais mes propres exos (tirés de manuels/pdf en ligne/mon cerveau), je les distribue, j'explique la consigne, je leur laisse du temps pour essayer. Je passe parfois dans les rangs, mais rarement, car ils sont 35, et le bruit monte vite dès que je quitte mon bureau. J'autorise les discussions avec le voisin tant qu'ils parlent de math. Puis je corrige en écrivant au tableau, en les interrogeant bien sûr.
Je ne trouve pas ma méthode mauvaise, et les élèves ne s'en plaignent pas du tout. Mais j'en suis un peu lassé, et certains élèves aussi, donc j'aimerais tester d'autres façons de faire ; non pas parce que je suis un agent de l'abrutissement des masses, mais parce que je ne veux pas perdre tout intérêt dans mon métier si loin de la retraite.
- ylmExpert spécialisé
Oui. J'étais en formation il y a quelques temps et quand le midi au repas les collègues discutaient beaucoup parlaient de leurs plans de travail, de leurs élèves qui sont actifs et construisent leur cours en autonomie, et critiquaient les autres façons de faire.krirkrirk a écrit:En plus, vous pensez vraiment que les profs suivent les recommandations des formateurs ESPE ?
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The life of man, solitary, poor, nasty, brutish and short.
Thomas Hobbes
- celitianSage
Bien sûr que les programmes ont une influence sur le niveau mais tu vas vite te rendre compte que la pédagogie adoptée par le professeur est essentielle.
Personnellement je ne me sens pas attaquée mais pour avoir déjà essayé plusieurs méthodes en 25 ans avec plus ou moins de réussite (classe inversée, îlot, plan de travail, constructivisme), je me suis rendue compte que cela ne fonctionnait qu'avec des élèves possédant un niveau bon/correct (avec eux toutes les méthodes fonctionnent), avec des élèves faibles c'est un échec.
Que tu t'ennuies n'est pas très important (dis celle qui a envie de changer de boulot...) si tes méthodes sont efficaces.
Personnellement je ne me sens pas attaquée mais pour avoir déjà essayé plusieurs méthodes en 25 ans avec plus ou moins de réussite (classe inversée, îlot, plan de travail, constructivisme), je me suis rendue compte que cela ne fonctionnait qu'avec des élèves possédant un niveau bon/correct (avec eux toutes les méthodes fonctionnent), avec des élèves faibles c'est un échec.
Que tu t'ennuies n'est pas très important (dis celle qui a envie de changer de boulot...) si tes méthodes sont efficaces.
- thalinaNiveau 3
Pour sortir de la routine, j'ai trouvé des jeux mathématiques. http://jeux2maths.fr/category/cycle-4/
Il y a aussi la salle informatique.
Il y a aussi la salle informatique.
- HélipsProphète
Pour les exercices très répétitifs type transformations d'écritures à base de logarithme, j'ai testé les puzzles (un truc en forme de triomino). Ben je suis fan : ils y ont passé une heure, mais au lieu de s'endormir après le second calcul (et moi dès le premier) d'une liste de 30, ils ont fait les 30, tous. Bon, je me suis ennuyée : je ne servais à rien finalement puisque c'était plus ou moins auto-correctif. Ils y ont gagné certains réflexes, enfin !
J'ai testé la même chose avec des pourcentages et des factorisations, ça bien marché aussi.
J'ai testé la même chose avec des pourcentages et des factorisations, ça bien marché aussi.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- ben2510Expert spécialisé
Tiens ça m'intéresserai bien de voir à quoi ça ressemble ce dont tu parles, car je suis sur les logs en ce moment en première (pas de dérivation pour l'instant,
plutôt des trucs du genre log_2(1024)=10 car 2**10=1024).
plutôt des trucs du genre log_2(1024)=10 car 2**10=1024).
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On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- HélipsProphète
Il y a des dérivations sur celui j'ai créé. Mais le voici
Edit : mode d'emploi : on imprime, on plastifie (ou pas), on découpe, et ça fait un puzzle. Je les ai collés par groupe de 4 ou 5 dessus.
Edit : mode d'emploi : on imprime, on plastifie (ou pas), on découpe, et ça fait un puzzle. Je les ai collés par groupe de 4 ou 5 dessus.
- Fichiers joints
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- Ramanujan974Érudit
Ca m'a l'air intéressant, et ça se décline bien.
On peut en faire avec les fractions, puissances, racines carrées en 2de
On peut en faire avec les fractions, puissances, racines carrées en 2de
- ben2510Expert spécialisé
Merci !
Effectivement il y a de quoi occuper les élèves un peu ; c'est un peu trop complet pour ce que je fais avec mes premières en ce moment, mais je retiens l'idée.
Effectivement il y a de quoi occuper les élèves un peu ; c'est un peu trop complet pour ce que je fais avec mes premières en ce moment, mais je retiens l'idée.
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On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- HélipsProphète
Voilà, ça se décline bien, c'est ça. Bon, en STMG tout à l'heure, ça a moins bien marché (avec des pourcentages, pas des log), mais quand même : je n'en ai eu que 3 ou 4 de vraiment passifs, les autres se sont pris au jeu et ont bien bossé.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- ben2510Expert spécialisé
Tu as fait un modèle LaTeX que tu remplis ensuite ?
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On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- nicole 86Expert spécialisé
@Helips Est-ce qu'ils travaillent en binôme ou seuls ? Quelles stratégies adoptent-ils ? écriture au brouillon ou travail de tête ? qu'en est-il de la mémorisation et de l'acquisition des automatismes ?
J'envie ta créativité ! Avec cette méthode, les exercices ne sont ni gradués par difficulté ni classés selon leur typologie, je suppose que tu l'utilises plutôt à la fin du chapitre et que cela ne remplace pas les exos systématiques de pur apprentissage.
J'envie ta créativité ! Avec cette méthode, les exercices ne sont ni gradués par difficulté ni classés selon leur typologie, je suppose que tu l'utilises plutôt à la fin du chapitre et que cela ne remplace pas les exos systématiques de pur apprentissage.
- Ramanujan974Érudit
On pourrait imaginer un puzzle en forme d'icosaèdre, dans l'espace. Comme ça, il n'y aurait pas de formule sans vis-à-vis.
- cassiopellaNiveau 9
@Hélips, j'aime beaucoup ta fiche! C'est une super idée!
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Moi et l'orthographe, nous ne sommes pas amis. Je corrige les erreurs dès que je les vois. Je m'excuse pour celles que je ne vois pas...
- HélipsProphète
Vi.ben2510 a écrit:Tu as fait un modèle LaTeX que tu remplis ensuite ?
Pffff on peut pas mettre de tex, qu'il me dit.
Je les ai mis par groupes de 4 ou 5 pour une bête question d'intendance : je n'ai pas eu le temps de fabriquer plus de 5 triominos.nicole 86 a écrit:@Helips Est-ce qu'ils travaillent en binôme ou seuls ? Quelles stratégies adoptent-ils ? écriture au brouillon ou travail de tête ? qu'en est-il de la mémorisation et de l'acquisition des automatismes ?
J'envie ta créativité ! Avec cette méthode, les exercices ne sont ni gradués par difficulté ni classés selon leur typologie, je suppose que tu l'utilises plutôt à la fin du chapitre et que cela ne remplace pas les exos systématiques de pur apprentissage.
Je leur donne l'enveloppe et vogue la galère, ils se débrouillent pour s'organiser. Pour les log, pas de calculatrice, pour les pourcentages en STMG, calculatrice autorisée. Je ne leur explique pas d'entrée de jeu quels sont les types de couples, à eux d'observer et je ne viens qu'au bout de 5/10min débloquer ceux qui galèrent. Et si, l'idée est justement de transformer la liste de 30 exos systématiques en un truc plus fun.
Pour la créativité, je n'y suis pour rien : j'ai fait un stage sur les jeux sérieux en math au cours duquel la formatrice nous a montré ce jeu (avec des factorisations) et j'ai adapté.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
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