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- iroisiNiveau 1
Dans le journal de la Région Midi-Pyrénées Occitanie numéro 12 on peut trouver une enquête sur l'alimentation.
A la fin de cette enquête apparaissent plusieurs questions dont une sur la catégorie socioprofessionnelle.
On a alors la surprise de lire "Profession intermédiaire (enseignant, cadre moyen, technicien...)"
C'est bizarre, parce que dans la dernière nomenclature de l'INSEE nous faisions encore partie des professions intellectuelles supérieures.
Je ne peux m'empêcher d'y voir un message...
Voici la page pour l'enquête: https://www.laregion.fr/monalimentation
Ci-dessous le texte avec les réponses pour la question sur la catégorie socioprofessionnelle:
"Quelle est votre situation professionnelle ?
Agriculteur-exploitant
Artisan, commerçant ou chef d’entreprise
Cadre ou profession intellectuelle supérieure
Profession libérale
Profession intermédiaire (enseignant, cadre moyen, technicien…)
Employé
Ouvrier
Etudiant
Demandeur d’emploi
Femme/homme au foyer
Retraité
Autre inactif"
A la fin de cette enquête apparaissent plusieurs questions dont une sur la catégorie socioprofessionnelle.
On a alors la surprise de lire "Profession intermédiaire (enseignant, cadre moyen, technicien...)"
C'est bizarre, parce que dans la dernière nomenclature de l'INSEE nous faisions encore partie des professions intellectuelles supérieures.
Je ne peux m'empêcher d'y voir un message...
Voici la page pour l'enquête: https://www.laregion.fr/monalimentation
Ci-dessous le texte avec les réponses pour la question sur la catégorie socioprofessionnelle:
"Quelle est votre situation professionnelle ?
Agriculteur-exploitant
Artisan, commerçant ou chef d’entreprise
Cadre ou profession intellectuelle supérieure
Profession libérale
Profession intermédiaire (enseignant, cadre moyen, technicien…)
Employé
Ouvrier
Etudiant
Demandeur d’emploi
Femme/homme au foyer
Retraité
Autre inactif"
- oreHabitué du forum
Dans les sondages, nous faisons partie de la catégorie intermédiaire... bac+5 ou 4 pour les nous les anciens... sympa, n'est-ce pas?
- Gilles B.Niveau 7
Non.
Il suffit de consulter cette page de l'insee.
Les professeurs du secondaire et du supérieur sont bien "cadres & professions intellectuelles supérieures" par contre les professeurs des écoles sont "professions intermédiaires"
Pas de message caché...
Il suffit de consulter cette page de l'insee.
Les professeurs du secondaire et du supérieur sont bien "cadres & professions intellectuelles supérieures" par contre les professeurs des écoles sont "professions intermédiaires"
Pas de message caché...
- PonocratesExpert spécialisé
Alors que les concours pour les collègues PE et les nôtres sont officiellement de même niveau, puisqu'ils sont "Professeur". Si, si il y a bien un message, mais pas sympa pour nos collègues...Gilles B. a écrit:Non.
Il suffit de consulter cette page de l'insee.
Les professeurs du secondaire et du supérieur sont bien "cadres & professions intellectuelles supérieures" par contre les professeurs des écoles sont "professions intermédiaires"
Pas de message caché...
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"If you think education is too expensive, try ignorance ! "
"As-tu donc oublié que ton libérateur,
C'est le livre ? "
- CathEnchanteur
Et pareil pour les plp !
- archebocEsprit éclairé
C'est l'héritage du passé : l'INSEE évite d'actualiser les catégories pour maintenir la possibilité de traitement longitudinaux sur la longue durée. Surtout au vu des effectifs concernés, basculer les PE en CSP+ ou les enseignants du secondaire en profession intermédiaire, cela provoquerait une anomalie statistique majeure. Donc ils maintiennent l'ancien système.
Il y a au moins un point sur lequel la différence de catégorie se justifie, du moins à la lecture de ce forum : le degré de caporalisation subi par les PE est très loin de la liberté pédagogique accordée aux enseignants du secondaire.
- TiberiusNiveau 8
Se sont surtout nos salaires qui sont très intermédiaires!!!!
- LefterisEsprit sacré
C'est aussi plus subtil : le classement tient compte de la catégorie de recrutement et du niveau du concours, de la grille indiciaire, pas du niveau réel de revenus. Stricto sensu, un professeur est donc comme les autres cadres/cadres sup de la fonction publique ou militaire. Un certifié débutant a un indice de lieutenant, un agrégé en fion de carrière un indice de colonel, etc. Sauf que dans les faits avec la carrière lente (pas de saut accélérant la carrière comme dans les métiers à grades), l'absence d'indemnités statutaires, la faiblesse ou l'inexistence des émoluments annexes, l'horizon professionnel bouché si l'on ne change pas de corps, les enseignants dégringolent financièrement au niveau de la catégorie B , comme le rappelle le rapport annuel de la FPE, graphique à l'appui.archeboc a écrit:
C'est l'héritage du passé : l'INSEE évite d'actualiser les catégories pour maintenir la possibilité de traitement longitudinaux sur la longue durée. Surtout au vu des effectifs concernés, basculer les PE en CSP+ ou les enseignants du secondaire en profession intermédiaire, cela provoquerait une anomalie statistique majeure. Donc ils maintiennent l'ancien système.
Il y a au moins un point sur lequel la différence de catégorie se justifie, du moins à la lecture de ce forum : le degré de caporalisation subi par les PE est très loin de la liberté pédagogique accordée aux enseignants du secondaire.
Pour les PE, le classement joue sans doute sur le fait que le corps est encore composé d'instituteurs, puisque dans les faits, ils sont assimilés certifiés. Ca changera sûrement , mais ça ne rendra sans doute pas les PE plus riches. Quant à la caporalisation qu'ils subissent, bien réelle, c'est un autre débat...
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- CeladonDemi-dieu
Lefteris a écrit:C'est aussi plus subtil : le classement tient compte de la catégorie de recrutement et du niveau du concours, de la grille indiciaire, pas du niveau réel de revenus. Stricto sensu, un professeur est donc comme les autres cadres/cadres sup de la fonction publique ou militaire. Un certifié débutant a un indice de lieutenant, un agrégé en fion de carrière un indice de colonel, etc. Sauf que dans les faits avec la carrière lente (pas de saut accélérant la carrière comme dans les métiers à grades), l'absence d'indemnités statutaires, la faiblesse ou l'inexistence des émoluments annexes, l'horizon professionnel bouché si l'on ne change pas de corps, les enseignants dégringolent financièrement au niveau de la catégorie B , comme le rappelle le rapport annuel de la FPE, graphique à l'appui.archeboc a écrit:
C'est l'héritage du passé : l'INSEE évite d'actualiser les catégories pour maintenir la possibilité de traitement longitudinaux sur la longue durée. Surtout au vu des effectifs concernés, basculer les PE en CSP+ ou les enseignants du secondaire en profession intermédiaire, cela provoquerait une anomalie statistique majeure. Donc ils maintiennent l'ancien système.
Il y a au moins un point sur lequel la différence de catégorie se justifie, du moins à la lecture de ce forum : le degré de caporalisation subi par les PE est très loin de la liberté pédagogique accordée aux enseignants du secondaire.
Pour les PE, le classement joue sans doute sur le fait que le corps est encore composé d'instituteurs, puisque dans les faits, ils sont assimilés certifiés. Ca changera sûrement , mais ça ne rendra sans doute pas les PE plus riches. Quant à la caporalisation qu'ils subissent, bien réelle, c'est un autre débat...
Inspiré, Lefteris, ce matin !
La caporalisation des PE A TOUJOURS EXISTE. C'est ce qui m'avait fait hésiter avant de passer un concours. Et puis j'ai cédé devant ce que j'ai jugé incompatibilité de mon manque de patience/adolescents.
- LefterisEsprit sacré
Bon , le doigt qui tape les deux touches en même temps, ça arrive...Malchance, ça correspond à une certaine réalité, j'aurais dû me relire .Celadon a écrit:
Inspiré, Lefteris, ce matin !
La caporalisation des PE A TOUJOURS EXISTE. C'est ce qui m'avait fait hésiter avant de passer un concours. Et puis j'ai cédé devant ce que j'ai jugé incompatibilité de mon manque de patience/adolescents.
Il me semble , maintenant que je les vois parfois en réunion devant leur tyrans, que ça tend à s'aggraver. Le nez baissé, attendant la fin de la péroraison de la jacasseuse de service, écoutant en silence les pires absurdités.
Quant à la patience, je me demande si bientôt il n'en faudra pas autant que dans le secondaire au-delà du CE1. Quand je vois les incidents de l'école à côté : coups de pieds à la maîtresse, menaces de parents et nsultes, tentative de coups de couteau sur un autre élève... Et on ne connaît que la partie émergée de l'iceberg.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
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- profs(Niveau 9
Lefteris a écrit:Bon , le doigt qui tape les deux touches en même temps, ça arrive...Malchance, ça correspond à une certaine réalité, j'aurais dû me relire .Celadon a écrit:
Inspiré, Lefteris, ce matin !
La caporalisation des PE A TOUJOURS EXISTE. C'est ce qui m'avait fait hésiter avant de passer un concours. Et puis j'ai cédé devant ce que j'ai jugé incompatibilité de mon manque de patience/adolescents.
Il me semble , maintenant que je les vois parfois en réunion devant leur tyrans, que ça tend à s'aggraver. Le nez baissé, attendant la fin de la péroraison de la jacasseuse de service, écoutant en silence les pires absurdités.
Quant à la patience, je me demande si bientôt il n'en faudra pas autant que dans le secondaire au-delà du CE1. Quand je vois les incidents de l'école à côté : coups de pieds à la maîtresse, menaces de parents et nsultes, tentative de coups de couteau sur un autre élève... Et on ne connaît que la partie émergée de l'iceberg.
Restons vigilants face aux effets d'optique - un simple exemple issu de notre observation est toujours inquiétant mais quelle part de la réalité reflète-t-il, est-ce si courant ?
Et ne confondons pas non plus provoc d'enfants et dérive sociétale...
Bien sûr je ne dis pas que le phénomène est anodin, mais y a-t-il tant de coups de pieds aux fesses provenant d'enfant de 6 ans ?
- ditaNeoprof expérimenté
On n'est pas dans la catégorie des prolétaires ?
- mathmaxExpert spécialisé
dita a écrit:On n'est pas dans la catégorie des prolétaires ?
Au sens où on ne vit que de notre salaire c'est bien le cas de la plupart d'entre nous.
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« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- gauvain31Empereur
dita a écrit:On n'est pas dans la catégorie des prolétaires ?
Pas encore mais on s'y dirige rapidement. Et tout est question de relativité. le salaire d'un PE ou certifié débutant dans le Gers comme je l'ai été permet de vivre normalement là où les prix de l'immobilier ne sont pas élevés. Par contre vivre avec ce même salaire à Paris intra muros te met de fait dans la catégorie des travailleurs pauvres
Ceci est une volonté politique. on a préféré privilégier d'autres corps comme la police. Mon cousin policier qui a arrêté l'école peu après le Brevet a débuté comme gardien de la paix à plus de 2000 euros par mois alors que j'ai débuté avec l'équivalent en euros de 1180 euros.Même ma mère qui était à la retraite à ce moment là avait une pension supérieure à ce que je touchais. Ayant débuté dans des départements ruraux, je n'ai pas du tout senti à l'époque la faiblesse de ma rémunération .
Mais depuis mon retour à Toulouse , je remarque comme tant d'autres que notre pouvoir d'achat est en baisse, surtout ces 7-8 dernières années. De nombreux collègues ayant des enfant en bas âge sont obligés de faire des heures supp (entre 2h et 5 heures) pour pouvoir subvenir aux besoin de leurs .Cette fois-ci le manque d'argent devient réellement palpable autour de moi (et je m'inclus dedans)
A ce rythme, nous serons réellement et majoritairement des prolétaires dans moins de 10 ans
- mathmaxExpert spécialisé
Je me répète, mais il me semble bien que la définition de ce qu'est un prolétaire n'a pas de rapport avec le niveau de salaire mais seulement avec le fait que c'est la seule source de revenus.
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« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- DanskaProphète
Le terme "prolétaire" au sens où l'entendait Karl Marx, en effet (encore que, dans l'analyse marxiste, le travailleur ne s'enrichit de toute façon pas par son travail, contrairement au capitaliste qui détient les moyens de production). Mais quand on parle de prolétaire dans le langage courant, on sous-entend généralement "personne pauvre", même si ce n'était pas nécessairement le sens initial du terme.
- gauvain31Empereur
Danska a écrit:Le terme "prolétaire" au sens où l'entendait Karl Marx, en effet (encore que, dans l'analyse marxiste, le travailleur ne s'enrichit de toute façon pas par son travail, contrairement au capitaliste qui détient les moyens de production). Mais quand on parle de prolétaire dans le langage courant, on sous-entend généralement "personne pauvre", même si ce n'était pas nécessairement le sens initial du terme.
Oui, je suppose celles qui sont exempt d'impôts ?
- DanskaProphète
Heu, c'est-à-dire ?
- LefterisEsprit sacré
Pas une seule observation, et si je dis au-delà du CE1, c'st une image, pour dire qu'il y a déjà à 10 ou 11 ans des élèves qui possèdent tous les codes de belles petites frappes, et des PE qui en bavent. Sans compter une présence plus pesante des parents.profs:( a écrit:
Restons vigilants face aux effets d'optique - un simple exemple issu de notre observation est toujours inquiétant mais quelle part de la réalité reflète-t-il, est-ce si courant ?
Et ne confondons pas non plus provoc d'enfants et dérive sociétale...
Bien sûr je ne dis pas que le phénomène est anodin, mais y a-t-il tant de coups de pieds aux fesses provenant d'enfant de 6 ans ?
Comme tous les salariés en effet.mathmax a écrit:dita a écrit:On n'est pas dans la catégorie des prolétaires ?
Au sens où on ne vit que de notre salaire c'est bien le cas de la plupart d'entre nous.
Remarque pertinente. Il y a une vingtaine d'années, quitter un poste de certifié pour devenir gardien de la paix relevait de la fiction. A la limite pour devenir officier. Aujourd'hui, c'est une réalité. On se barre pour devenir secrétaire administratif, agent de constatation des douanes, contrôleur des finances etc. pur ne citer que des exemples connus.gauvain31 a écrit:s
Ceci est une volonté politique. on a préféré privilégier d'autres corps comme la police. Mon cousin policier qui a arrêté l'école peu après le Brevet a débuté comme gardien de la paix à plus de 2000 euros par mois alors que j'ai débuté avec l'équivalent en euros de 1180 euros.Même ma mère qui était à la retraite à ce moment là avait une pension supérieure à ce que je touchais. Ayant débuté dans des départements ruraux, je n'ai pas du tout senti à l'époque la faiblesse de ma rémunération .
Mais depuis mon retour à Toulouse , je remarque comme tant d'autres que notre pouvoir d'achat est en baisse, surtout ces 7-8 dernières années. De nombreux collègues ayant des enfant en bas âge sont obligés de faire des heures supp (entre 2h et 5 heures) pour pouvoir subvenir aux besoin de leurs .Cette fois-ci le manque d'argent devient réellement palpable autour de moi (et je m'inclus dedans)
A ce rythme, nous serons réellement et majoritairement des prolétaires dans moins de 10 ans
Il devient de plus en plus difficile de ne pas penser que ce massacre ne relève pas d'un plan organisé pour en finir avec l'E.N., faire table rase, et passer ,peu à peu à un système contractuel et précaire, peu coûteux en carrières et pensions, comme dans certains pays anglo-saxons quiite à avoir un niveau lamentable et à former des "élites" en dehors de l'école publique ou en dehors du pays (je pense à l'Australie où j'ai eu un proche parent).
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Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- InvitéInvité
Un adjoint administratif, cat C, aux finances, gagnent autant qu'un prof neo-tit. Si on ajoute les primes, 1/3 du salaire, autant qu'un T5.
- gauvain31Empereur
Danska a écrit:Heu, c'est-à-dire ?
d'impôts sur le revenu je précise (et même peut-être ceux qui obtiennent un dégrèvement partiel de leur taxe d'habitation)
- nitescenceÉrudit
Je ne comprends pas : si c'est si avantageux ailleurs, pourquoi ne devenez-vous pas gardien de la paix par exemple ? A mon avis, la situation ne doit pas être si inconfortable pour rester...
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Mordre. Mordre d'abord. Mordre ensuite. Mordre en souriant et sourire en mordant. (avec l'aimable autorisation de Cripure, notre dieu à tous)
- LefterisEsprit sacré
Précisément, c'est ce que font de nombreux professeurs encore jeunes. Ils deviennent SA, gardien de la paix, contrôleurs, etc. avec la possibilit d'évoluer, le temps devant soi pour se former et préparer des concours. Evidemment, un ancien ne va pas repartir à zéro (sans compter les limites d'âge), et laisser un mal contre un pire. C'est bien la raison pour laquelle l'avis de Corailc est pertinent : ne pas traîner.nitescence a écrit:Je ne comprends pas : si c'est si avantageux ailleurs, pourquoi ne devenez-vous pas gardien de la paix par exemple ? A mon avis, la situation ne doit pas être si inconfortable pour rester...
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- DanskaProphète
Je ne suis pas sûre de comprendre la question : "personne pauvre" n'est pas synonyme de "personne qui ne paye pas d'impôt sur le revenu"... Une des définitions de la pauvreté (ici, relative) est par exemple celle de l'UE : on considère qu'un ménage est pauvre si son revenu est inférieur à 60 % du revenu médian par unité de consommation (50 % du revenu médian français pour l'Insee).gauvain31 a écrit:Danska a écrit:Heu, c'est-à-dire ?
d'impôts sur le revenu je précise (et même peut-être ceux qui obtiennent un dégrèvement partiel de leur taxe d'habitation)
On peut aussi mesurer une pauvreté absolue, ou la pauvreté en termes d'accès ou non à certaines ressources jugées nécessaires pour vivre - mais le paiement ou non des impôts n'a rien à voir dans cette définition.
- gauvain31Empereur
C'était ma définition personnelle de la pauvreté (je connaissais aussi cette autre définition). Dans ma tête , quand on paie pas d'impôts , c'est que les conditions de ressources sont insuffisantes .... même si je sais qu'on peut ne pas payer d'import en faisant jouer les abattements spéciaux. Je parlais de façon très (trop) générale. Manque de rigueur de ma part. Mea culpa
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- enseignant: cadre sup, moyen, profession intermédiaire?
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